Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21454Fiche technique9517 caractères9517
1485
Temps de lecture estimé : 5 mn
19/01/23
Présentation:  Le retour en 4L avec pour compagnie la Cibi des routiers.
Résumé:  Fin des vacances pour notre couple. Retour dans notre 4L équipée de la Cibi. Les Routiers parlent d’Emilie.
Critères:  fh vacances voiture exhib noculotte fellation portrait -exhib
Auteur : andrebernard93      Envoi mini-message
Vacances, sur le chemin du retour : Émilie et les routiers

Nos vacances étaient terminées, Émilie et moi avions quitté les côtes espagnoles la tête pleine de nos chaudes expériences. Nos finances étaient au plus bas. Nous roulions cheveux au vent dans notre 4L avec pour nos nuits notre fidèle tente canadienne qui ne quittait jamais le coffre. Les soirées fraîches nous poussaient à nous blottir dans nos duvets réunis. Et nous ne passions jamais une nuit sans nous éclater sexuellement.


Les visages et les corps de Fabio, Françoise, Juan, Diego et Miguel venaient délicatement pimenter nos ébats. Souvent après l’amour, nous évoquions ces moments que certains nomment candaulismes. Les qualifiant pour notre part de « nos petits secrets de plaisirs intimes et partagés ».


Bien sûr, aujourd’hui, en décidant de publier nos souvenirs, certains diront que nous sommes en plus exhibitionnistes. Sans soucis, nous l’assumons et notre retour de vacances atteste que nous l’étions déjà, en 1975.

Aujourd’hui, Émilie et moi, nous prenons plaisir à partager avec vous, chers lecteurs, nos aventures érotiques et sexuelles de notre folle jeunesse. Nous sommes également dans un état d’excitation en consultant vos commentaires. Ils sont pour nous un élixir de jouvence. À les lire, nous rajeunissons de trente ans, nous retrouvant autour d’un feu de camp avec une bande de copains débattant de sexualité. Chaque commentaire nous évoque celui d’un copain ou d’une copine de jeunesse.



Fou rire, petits bisous tendres et caresses ponctuent notre lecture. Et l’excitation grandit lorsque nous fantasmons sur le physique de nos commentateurs.

Mais reprenons notre machine à remonter le temps pour revenir en 75.



Nous avions quitté le camping. La journée s’annonçait particulièrement chaude. J’avais demandé à Daniel de décapoter notre 4L.


Coquine, comme à mon habitude, j’avais choisi un petit haut rose bonbon, bras nus, très décolleté et porté sans soutien-gorge. Pour le bas, en couleur coordonnée, une jupe à plis s’arrêtant à mi-cuisse, m’abstenant du port d’une culotte.


Le ciel était bleu et nous roulions sur des quatre voies. Pour mémoire, sans enfants, nous voyagions toujours hors vacances scolaires. L’avantage, c’est que nous n’étions pas gênés par les caravanes. Ceci étant, nous subissions des files interminables de camions, et autres semi-remorques.

Nous étions dans les années « Cibi » des émetteurs-récepteurs radio émettant sur la bande CB. Presque l’ancêtre de Facebook. L’immense majorité des routiers en était équipée. Ce qui leur offrait l’opportunité d’échanger entre eux d’un camion à l’autre. Les particuliers avaient cédé à cette mode leur permettant d’être avertis de la présence des gendarmes par une phrase célèbre : « attention papa22 au kilomètre 25 ou 50… Quelle époque ! »


Daniel avait craqué. Notre carrosse était donc équipé de ce petit bijou de technologie. Il aimait bien caler la fréquence de l’appareil sur le canal des routiers, dont les échanges étaient souvent amusants et très colorés.

C’est dans cette ambiance que nous voyagions ce jour-là.

Je somnolais, bercée par le roulis de la voiture. Mes pieds débarrassés de leurs tongs reposaient sur le tableau de bord. Daniel roulait sur la file de gauche, empilant les dépassements de camions. La Cibi se mit à résonner dans l’habitacle.



  • — Marc, quand elle te dépassera, vise la poupée rose dans la 4L. Dans les vingt ans, un vrai p’tit canon la nana ! Avec le toit ouvrant, tu arrives à voir sa paire de seins sans soutif. Et je ne te parle pas des jambes sur le tableau de bord. Quelle vue sur sa paire de cuisses ! Franchement, elle est bandante la môme.
  • — Tu déconnes, Alfred ! Un peu que je vais la mater, la p’tite, quand elle sera à mon niveau ! Je vais même accélérer. Avec sa charrette, il va mettre un temps fou à me dépasser. J’espère pouvoir mater la culotte de la pucelle.


Daniel tournait la tête vers moi avec un sourire pétillant de malice.



Daniel arrivait à la hauteur de la cabine du fameux Marc quand je me saisis du micro.



  • — Alors comme ça, mon petit Marc, tu veux mater la culotte de la pucelle rose.
  • — Euh, ma p’tite dame, je ne voulais pas…
  • — Tais-toi et mate !


Je glissai sur le côté et tout en posant ma tête sur les genoux de Dan, j’écartais largement mes cuisses en relevant ma jupe jusqu’à la ceinture.



  • — Alors, mon petit Marc ! Tu as perdu ta langue ?
  • — Oh putain, la môme, tu es magnifique ! Et tu ne portes pas de culotte ?


Je regardai avec délice ses yeux excités, j’en profitai pour écarter les lèvres de ma chatte et caresser mon clito.



  • — Jamais, mon petit lapin ? Alors comme ça je suis pucelle ?
  • — Arrête la môme, c’est trop, tu me fais bander comme un malade.
  • — La môme, elle s’appelle Émilie, et mon homme c’est Daniel au cas où tu aurais un doute sur ma naïveté sexuelle, regarde !


Me tournant sur le côté, je m’attaquai à déboutonner le pantacourt de Daniel puis je baissai son slip. Inutile de vous dire qu’il était en pleine forme. Sa verge se dressait et ses jolies bourses lisses étaient gonflées de plaisirs.

Je caressais du micro l’entrejambe de mon Dan, consciente que tous les routiers sur la même longueur d’onde participaient à nos ébats.



  • — Ho, mon Marc, tu m’excites ! Tes grosses couilles, ton beau mandrin…


Je ponctuais mes silences de longs gémissements dans le micro et forçais le rythme de ma respiration. Je découvrais lentement le gland de mon chéri. Je suçotais son extrémité du bout de la langue.



  • — Ho, Marc, tu mouilles mes lèvres et ma langue de ton joli gland. C’est divin.
  • — Arrête Émilie, tu es diabolique. En plus, tu me montres ton cul de rêve. Je bande comme un fou.
  • — Oui, je sais, j’ai effectivement un beau cul. J’adore d’ailleurs me le faire prendre.


Je crois bien que ce jour-là, j’ai sucé mon homme comme jamais. Daniel s’est alors répandu dans ma bouche en plusieurs giclées puissantes. Je conservais les dernières gouttes de sa liqueur sur ma langue que je tirai en direction du chaud routier.



  • — Merde, j’ai giclé dans mon slip. C’est vraiment pas sympa, Émilie !
  • — Comment ça, je ne suis pas sympa ? Tu me traites de pucelle, je te prouve que tu as tort, et tu n’es pas encore content ? Mon petit Marc, tu sais que tous tes copains routiers nous ont entendus. Allez, sans rancune, mon petit puceau.


C’est un flot d’éclats de rire qui résonnaient à ce moment dans l’habitacle de notre 4L. Des rires de routiers, mais également ceux de femmes, branchées sur la même fréquence. Les commentaires allaient bon train : « le pauvre biquet, il a taché son slip » ; « Depuis le temps que je vous dis d’être discret les gars » ; « Ben mon vieux, elle est gonflée la gamine » ; « et son homme, il n’a rien dit ? ».


Nous n’avons pas la prétention ce jour-là d’avoir réalisé la première émission de radio érotique. En tout cas, nous avions bien profité de cet instant. Je me souviens encore que, pendant le reste du voyage, nous cherchions un titre pour notre séquence radio : « Émilie et Daniel dans comico exhibitionniste » ou bien encore « Les aventures de Marc, le routier » ; « La 4L sans culotte » ; « Sur la goutte du routier » ; « canal 69, présente ».


Une nouvelle fois, nous roulions insouciants vers de nouvelles aventures que nous souhaitions toujours plus chaudes.