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Souvenir d’un passage aux Bains d’Odessa

Cet après-midi-là, j’avais décidé de me détendre au sauna et ce sont les Bains d’Odessa qui se sont trouvés le plus proche de l’endroit où je me trouvais.

Passé la caisse et le vestiaire, c’est revêtu d’une serviette courte que je descendis un étage pour me doucher et me détendre une dizaine de minutes au sauna. Il devait être à peu près 14 h 30 et il n’y avait pas foule.

Sorti du sauna, re-douche, et je suis parti à l’assaut des escaliers. Un petit tour des cabines du premier étage a révélé que je n’étais pas seul et j’ai poursuivi mon escalade jusqu’au deuxième étage.

En haut de l’escalier, je tournai à gauche, vers le labyrinthe sombre dans lequel je m’avançais lentement.

La silhouette plus claire de deux hommes s’embrassant semble-t-il fougueusement, empiétait sur le chemin, mais, en me frottant à eux, j’ai pu continuer vers les « glory-hole » et le fond du passage. Pas plus de monde. En retournant vers le palier, je me suis retrouvé face à une masse claire qui bloquait le passage. J’ai continué et j’ai senti des mains sur ma peau, sur ma poitrine, je me suis arrêté et ai aussi laissé partir mes mains à la découverte de ce corps inconnu. Les mains qui me palpaient se sont glissées vers mes cuisses et sont passées sous ma serviette qui j’ai aussitôt enlevé de mes hanches pour la jeter sur mon épaule.

Une main sur mon ventre puis sur mon pubis, mon partenaire s’est positionné face à mon côté pour pouvoir, en même temps, me caresser les fesses. Cette main ne s’est pas attardée sur mes rondeurs et un doigt s’est glissé dans ma raie pour se poser sur mon petit trou qu’il a commencé à pénétrer. Je me laissais faire et il s’est positionné derrière moi, caressant ma raie culière de son sexe tendu.

• — Tu te fais prendre, m’a-t-il demandé ?

Devant mon acquiescement, il m’a proposé de nous rendre dans une cabine pour y être plus à l’aise. Il s’est alors dirigé vers les cabines de l’étage et je l’y ai suivi.

Une fois entrés, il a aussi ôté sa serviette et nous nous sommes retrouvés nus, face à face. Son sexe, que ma main a attrapé, m’a semblé être dans la moyenne basse des sexes masculins que j’avais eu l’occasion de connaître.

• — Tourne-toi, pose tes coudes sur la banquette et présente tes fesses, me dit-il.

Un peu surpris par la tournure des choses, je m’attendais à un minimum de préliminaires, je m’exécutais quand même.

Je l’ai entendu prendre un préservatif au distributeur, puis du gel lubrifiant sur ses doigts qu’il s’est empressé de poser sur ma rosette et d’en forcer le passage avec vigueur.

La souplesse de mon sphincter a dû le satisfaire, car il a bien vite ôté ses doigts pour poser son gland œillet et peser dessus pour en forcer le passage, ce qui a été fait sans difficulté. Il m’a besogné quelques minutes en ponctuant ses assauts de quelques claques sur mes fesses, a cessé de remuer, s’est retiré de mon trou, a ôté sa capote et est venu faire coulisser son sexe dans ma raie avant de cracher sa liqueur sur mon dos.

Puis il s’est un peu reculé, a nettoyé sa queue sur mes fesses et est sorti de la cabine, sans dire un mot, et en laissant la porte ouverte.

Déçu, je me suis allongé sur le ventre en attendant un peu avant de me rendre à la douche.

Soudain, j’ai senti une présence près de moi et une main se poser sur une de mes jambes et remonter d’une caresse légère vers ma cuisse et mes fesses. Parvenu là, cette main a découvert le jus déposé précédemment. J’ai entendu mon visiteur prendre du papier essuie-tout et essuyer soigneusement ce que j’avais reçu sur le dos et le haut des fesses. Le papier déposé dans la corbeille, la main a poursuivi sa caresse plus haut sur mon dos, jusqu’à mes épaules. J’ai alors tourné la tête vers mon visiteur et nous nous sommes souri.

• — Tu veux bien que nous passions un moment ensemble ?
• — Oui, mais nous fermons la porte.

Je me suis levé pendant qu’il fermait la porte et nous sommes restés face à face. Je lui ai ôté sa serviette, dévoilant un sexe de belle taille, même au repos, nous nous sommes enlacés et avons partagé un baiser fougueux. Ses mains douces parcouraient mon corps, nous nous sommes un peu écartés, sans pour autant cesser de nous embrasser, et avons laissé nos mains partir à la découverte de nos torses, de nos seins. Les miens se sont vite raidis, mais je sentais aussi contre mon ventre son sexe qui grandissait et se raidissait. Ma main est partie à sa découverte et la grande taille de ce membre s’est concrétisée. J’estimais son diamètre à au moins cinq centimètres et sa longueur à une vingtaine de centimètres. J’en ai eu envie.

J’ai alors quitté, à regret, ses lèvres pour les poser sur son torse et descendre vers son ventre, vers l’objet de ma convoitise. Son gland décalotté attirait mes lèvres qui se sont naturellement posées dessus, ma langue titillant son méat. J’ai tenté de le prendre en bouche, mais sa taille ne me permettait pas de le faire entrer à mon idée et j’ai dû me contenter de sucer son gland et de lécher cette verge de haut en bas.

Il m’a fait alors me relever et nous nous sommes à nouveau embrassés pendant que ses mains descendaient le long de mon dos vers mes fesses. Il s’est alors agenouillé et a pris ma queue en bouche pour la téter avec douceur.

• — Couche-toi sur le dos.

Une fois fait, il s’est agenouillé entre mes jambes, les a écartées et a repris sa caresse buccale. Puis il a pris mes jambes en main, les a relevées pour atteindre mes couilles et, surtout, je pense, mon petit trou qu’il s’est mis à caresser et à forcer avec une langue chaude, humide et très agréable. J’adore recevoir cette caresse et j’en soupirai de plaisir.

Au bout d’un moment, il s’est relevé de cette position et a glissé son corps sur le mien pour que nos lèvres se retrouvent à nouveau.

• — J’ai envie de te prendre.
• — Mais tu es si large, je ne sais pas si je pourrais m’ouvrir assez.
• — Ne t’inquiète pas, je serai doux.
• — Comme tu l’es déjà.
• — Mets-toi à quatre pattes, je vais te prendre en levrette.

Pendant que je me mettais en position, un peu angoissé quand même, il revêtait un préservatif puis lubrifiait et pénétrait mon anus de ses doigts pour l’élargir et l’assouplir. Il s’est alors positionné derrière moi, a passé quelques fois son gland dans mon sillon pour encore me détendre, a posé ce gland sur mon petit trou, a commencé à peser dessus et, d’un coup, ses mains ont claqué mes fesses. Surpris par cette action, mon réflexe a été de reculer et je me suis retrouvé empalé entièrement sur son pieu, le ventre de mon partenaire contre mes fesses. Je ne savais pas si la douleur que je ressentais venait de mes fesses ou de la pénétration, mais, quand j’ai voulu bouger, il m’a retenu par les hanches.

• — Ne bouge pas, laisse ton corps s’habituer à ma présence.

Je suis alors resté immobile, mais le cul douloureux. Après un petit moment, j’ai senti son ventre faire des petits cercles contre mes fesses, ce faisant son membre tournait lentement dans mon sphincter et le massait agréablement. Le plaisir procuré par cette caresse atténuait la douleur et je l’ai bien vite accompagné en tournant mes fesses dans le sens inverse. Puis il a changé de geste et a commencé de lents aller et retour dans mon fondement, d’abord très courts, puis d’une amplitude allant en s’accroissement, toujours lentement, allant jusqu’à presque sortir de moi, puis en sortant entièrement et en entrant à nouveau sans difficulté ni douleur pour moi. Le plaisir avait remplacé cette gêne et je l’accompagnai dans ses mouvements. Comprenant que je trouvai mon plaisir, il a accéléré ses mouvements, sortant plus souvent, et aussi parfois cherchant à ouvrir ma deuxième porte en tapant dans le fond de mon rectum. Je sentais son gland se poser sur ce deuxième sphincter, à mon grand plaisir, chercher à l’ouvrir mais son membre n’était pas assez long pour franchir cette porte.

Quand il a encore accéléré sa cadence, j’ai senti que son plaisir montait. Puis il s’est calé au fond de moi et les soubresauts de son sexe m’ont fait sentir sa jouissance qui a dû provoquer la mienne, car je me suis trouvé à jouir sous moi sans me toucher.

Quand il s’est retiré et a ôté sa capote, je n’ai pu me retenir de reprendre ce sexe, maintenant en bouche pour en recueillir les dernières gouttes de plaisir.

Nous nous sommes encore un peu embrassés et caressés, puis quittés.

Je sentais un grand vide entre mes fesses quand je suis parti prendre une douche puis me détendre dans le spa.