n° 21461 | Fiche technique | 10895 caractères | 10895 1947 Temps de lecture estimé : 7 mn |
20/01/23 |
Résumé: Après-midi tranquille à la rivière. Tranquille ? Pas tant que ça, finalement, puisqu’un jeune couple choisit de s’ébattre juste à côté de moi. Vais-je oser entrer dans leur jeu? | ||||
Critères: ffh couleurs vacances bain forêt voir exhib nudisme init -occasion -couplea3 | ||||
Auteur : Laure 34 Envoi mini-message |
Je suis allongée au bord de la rivière, savourant la caresse du soleil sur ma peau nue, les membres un peu engourdis à cause de l’effort de la nage. Je ne porte en tout et pour tout qu’un casque beats bluetooth, le maillot de bain étant resté dans le sac, vu la probabilité faible de rencontrer qui que ce soit dans cet endroit reculé de la forêt.
Je contemple les feuilles, en surimpression sur un ciel bleu azur, à peine bousculées par une légère brise qui passe aussi sur ma peau, séchant les gouttelettes d’eau qu’il reste encore entre mes seins.
Je m’étire lentement en m’amusant de la façon dont pointent mes tétons vers le ciel et j’entrouvre les cuisses pour laisser entrer le vent et le soleil dans mon intimité.
« Baby, if you give it to me, I’ll give it to you, I know what you want, you know I got it » me chante le rappeur de sa voix suave dans mon casque. Mmmh, oui, je sais ce que je veux, moi : un homme sur mon corps. Ça fait tellement longtemps que je n’ai pas senti une bonne queue me pénétrer et une langue sur mon clito !
Je presse mes cheveux tressés pour extraire un peu d’eau que je fais ruisseler sur ma chatte assoiffée. La caresse est fraîche et agréable, je prolonge la sensation avec mon doigt que je passe d’avant en arrière autour du clitoris et de la vulve. Je m’arque en arrière de plaisir. Le ballet de mes doigts est en rythme avec les basses de ma musique. Ils disparaissent les uns après les autres, comme avalés à l’intérieur de mon vagin, puis cherchent à titiller le point G…
Je m’arrête brusquement.
À cause de la musique, je n’ai pas entendu les gens arriver. Pour l’instant, ils ne me voient pas, car je suis cachée par un repli du terrain, mais impossible pour moi de me lever et de m’habiller sans être vue. Je reste immobile en espérant qu’ils passent leur chemin. Mais au bout d’une minute, continuant d’entendre des voix joyeuses, je risque un œil hors de ma cachette pour voir de quoi il retourne.
C’est un couple d’environ 25 ans… très amoureux vu la façon dont les deux amants se touchent et s’embrassent. Merde, ils se déshabillent prestement en envoyant leurs fringues un peu partout, il y a même une petite culotte noire qui atterrit sur moi. Je ne peux m’empêcher d’admirer leurs corps jeunes et bronzés.
La fille est brune, grande et très mince ; un visage effronté, des petits seins aux tétons insolents érigés vers le haut, des membres souples et déliés, un tatouage en bas du dos et… elle est entièrement épilée. Je distingue ses lèvres génitales gonflées et assez foncées. Le gars, lui, est presque noir, naturellement ou à cause du bronzage ? On voit l’adepte de la salle de sport avec ses pectoraux bien dessinés et la façon désinvolte avec laquelle il porte sa copine. Il est glabre, lui aussi, du torse et du reste.
Son sexe présente une monumentale érection au contact de la peau douce de sa copine. J’ai rarement vu une queue de cette taille et, à cette vue, je sens ma respiration s’accélérer.
Ils s’enfoncent tous les deux dans l’eau jusqu’au ventre. C’est le moment de m’éclipser, mais je reste plantée là, fascinée par leur jeu.
La fille a poussé un gémissement au moment où la hampe de son compagnon avec son gros gland turgescent a passé la barrière de sa vulve. Elle s’accroche à lui et se tend vers l’arrière, les yeux dans ceux de son partenaire. J’imagine bien ce qu’elle doit ressentir : la chaleur du sexe en elle, la fraîcheur de l’eau sur ses fesses qui s’invite aussi dans son vagin, le courant qui caresse son corps… le sentiment de ne rien peser et de s’empaler sans effort sur le membre de son compagnon. À cette idée, mes doigts viennent de nouveau s’inviter sur mon intimité frissonnante de désir à la vue de ces fesses masculines qui se contractent au rythme de ma musique.
Je me caresse sans retenue puisque les deux partenaires ahanent en duo, accompagnés par le clapotis de l’eau. Je ferme les yeux et me concentre sur la jouissance qui monte en puissance. Mais le couple s’interrompt, sort de l’eau en souriant et se dirige vers moi.
Merde, est-ce qu’ils m’ont vue ?
Ils s’installent tête-bêche sur une grande pierre plate juste au-dessus de ma cachette et commencent à se lécher, chacun sa langue sur le sexe de l’autre.
Moi, j’ai la vue sur les fesses de la fille, des petites fesses bien fermes, dont la vulve, à demi entrouverte, laisse couler un peu d’eau mêlée de mouille. Le gars a l’air doué sous elle, car elle gémit fortement en appuyant son bassin sur le visage de son compagnon qui lui suce le clitoris de plus belle. Je ne peux m’empêcher de mouiller moi aussi à cette idée et je caresse mes mamelons sensibles. Comme je voudrais être à sa place !
L’homme se redresse en embrassant sa compagne à pleine bouche, les lèvres encore trempées de cyprine, puis la retourne, à genoux, les fesses en arrière, face à moi. Je vois son visage grimacer de plaisir lorsqu’il la pénètre violemment. On sent son corps résister aux coups de boutoir de son compagnon, ses petits seins impertinents s’agitent en cadence en pointant dans ma direction.
Quel effet cela ferait-il de les sucer, les faire rouler entre mes lèvres ? Cette idée ne m’était encore jamais passée par la tête, mais il faut dire que je n’avais jamais été aussi près d’un couple en train de baiser si torridement !
La jeune femme ouvre brusquement les yeux, et je vois au petit « oh » de surprise qui s’imprime sur ses jolies lèvres… Elle m’a vue cette fois. Un petit sourire narquois accompagne son regard qui se pose sur mon corps nu et mes doigts posés sur ma chatte. Curieusement, je n’ai pas envie de me cacher ni de retirer mes doigts, bien au contraire. Ceux-ci continuent de s’enfoncer en moi, au même rythme que le gros sexe de l’homme pénètre sa compagne. Celle-ci passe une langue coquine sur ses lèvres tout en me regardant avec malice. Elle me chauffe, celle-ci ?
Elle se mordille les lèvres plus fort et son regard devient trouble. Je sens que le fait que je les observe et que je me touche augmente son excitation. Les testicules claquent contre ses fesses alors qu’elle titille son clitoris de son majeur. Elle ferme les yeux et gémit de plus en plus fort. Je décide de m’avancer doucement pour cueillir un téton de la pointe de ma langue. La fille sourit de plaisir, les yeux fermés. Elle appuie fermement son sein contre mes lèvres avec lesquelles je lui pince le téton. Ma langue dessine les contours de son aréole. Une chaleur inconnue envahit mon bas-ventre lorsque je sens ses muscles se raidir alors qu’elle jouit brusquement en poussant des cris rauques.
L’homme, lui, ne jouit pas encore et passe sa verge sur la petite chatte secouée de spasmes. La caresse à l’air de prolonger l’orgasme et mon ventre se contracte également de désir.
Le mec me regarde pensivement, il m’a sûrement découverte depuis un bout de temps et je pense qu’il hésite sur la conduite à suivre. Je me redresse en dévoilant mes seins galbés, mes formes douces que mes doigts effleurent. Je plonge mon regard dans ses yeux étonnamment verts, reflet de la nature autour de nous. Le temps s’arrête.
Je perçois avec acuité les bruits de l’eau, du vent dans les branches, de mon cœur qui cogne dans ma poitrine. Je hume l’odeur mâle puissante qui se dégage de ce magnifique spécimen d’homme, un parfum entêtant, musqué, presque sucré… chargé de phéromones sexuelles auxquelles je suis sensible. Une odeur de sexe et de stupre mêlée à un peu de transpiration.
Il me semble, mais je ne suis pas très sûre que mes lèvres murmurent quelque chose comme : « Viens, viens, je t’en prie, s’il te plaît, baise-moi ». Le garçon se tourne vers sa compagne d’un air interrogatif et celle-ci acquiesce de la tête en souriant.
Et là, le temps reprend son cours avec encore plus de vélocité, sans doute afin de rattraper son retard, et en moins de temps qu’il faut pour le dire, je me retrouve à genoux devant cette magnifique queue dressée, le gland au contact de mes lèvres. Je n’ai pas le temps de réfléchir si j’assume le fait qu’elle soit encore mouillée de l’autre fille qu’elle pénètre déjà dans ma bouche. Tant pis pour le goût acidulé caractéristique, je l’ai déjà enduite de ma salive à moi. J’ai du mal à refermer mes lèvres sur ce calibre inhabituel, alors du liquide coule au coin de mes lèvres et fait comme un filet lorsqu’il retire sa queue.
Cela a l’air de l’exciter et il plonge encore et encore de plus en plus profondément dans ma gorge. Je sens que la fille me caresse les épaules, les seins, les hanches, mais je me dégage doucement lorsque sa main glisse vers ma chatte. Ce n’est pas de ça que j’ai envie. Le mec à l’air de le comprendre, il ressort presque à regret de ma bouche humide pour se placer accroupi derrière mes fesses. Ha, quel plaisir de sentir cette verge lubrifiée glisser en moi ! Je suis remplie entièrement de lui et je serre mes muscles autour de cette queue pour qu’il me sente bien lui aussi.
Mes genoux tremblent de plaisir et je dois me retenir contre un arbre pour ne pas tomber en avant. Mon partenaire n’en peut plus, il gémit, me tire les cheveux tressés, me pétrit les fesses, me caresse la chatte violemment, passe un doigt sur mon anus et se cambre en arrière. Je sens la vague de l’orgasme monter très vite de mon clitoris en direction de mon ventre (en passant par la zone anale) et, à ce moment-là…, la jolie fille pose ses lèvres douces sur ma bouche tout en me caressant les seins. Sa langue vient entourer la mienne en étouffant le grand cri de jouissance que je pousse au moment où je sens le sperme gicler sur mes fesses, sur mon anus sensible et sur mes cuisses.
Il a fallu quelques minutes au couple à rassembler leurs affaires éparpillées. Ils ont tenu à me donner leur numéro de téléphone, griffonné au dos d’un ticket de caisse. Mais le vent, ce coquin de vent jaloux a arraché le fragile morceau de papier qui est tombé dans la rivière, et moi, je n’ai fait aucun mouvement pour le retenir. Je l’ai regardé flotter le long du courant et disparaître au loin. J’ai ouvert mon sac afin de m’habiller et j’ai laissé tout au fond cette petite culotte noire qui ne m’appartient pas, comme je conserverai tout au fond de ma mémoire le souvenir de cette journée.