n° 21473 | Fiche technique | 16025 caractères | 16025 2628 Temps de lecture estimé : 9 mn |
23/01/23 |
Présentation: Deux rencontres fortuites qui n’en font plus qu’une. | ||||
Résumé: Une élégante sexagénaire vit une rencontre imprévue avec deux messieurs très coopérants. | ||||
Critères: fhh fplusag candaul inconnu parking voiture exhib double -totalsexe -lieuxpubl | ||||
Auteur : mauricebernard (Couple illégitime et très complice) Envoi mini-message |
Debout face à son miroir, Patricia apprécie son allure de sexagénaire élégante et toujours svelte, mise en valeur par sa robe qui s’arrête opportunément au niveau des genoux, laissant apparaître ses mollets galbés qui glissent vers des bottines, qui soulignent ses chevilles fines. Son buste, légèrement marqué par sa mince poitrine, suffit à laisser imaginer des seins encore sensibles aux caresses et, surtout, à l’épanchement de ses amants de passage, lorsqu’elle les conduit à la jouissance, de la main et de la bouche… Brrouuuuhhhh, fait-elle, essayant d’écarter de son esprit des images si libertines de ses aventures passées que, déjà, son ventre se serre et son sexe s’humidifie chaudement. Sage elle est, sage elle doit le rester ! Belle résolution, mais bien délicate à tenir à n’en pas douter. Et pourquoi se fixer une telle obligation après tout ? Pourquoi ne pas profiter de l’occasion, des occasions ? Elle ne cherche pas, elle se contente de saisir ce qui peut se présenter à porter de ses mains agiles… Dans un sourire complice qu’elle s’adresse, elle tourne sur elle-même et se prépare à sortir en ville pour y faire quelques courses, en cette fin d’après-midi du début du printemps.
D’un pas vif, elle parcourt les rues du centre en quête de quelques articles de mode pour se préparer à la nouvelle saison, s’arrêtant par-ci par-là au gré des vitrines de fringues et autres colifichets. Absorbée dans l’examen des vêtements, elle ne porte pas attention à ce qui l’entoure et ignore les passants qui la dépassent sur le trottoir quand, soudain, elle sent une main se poser doucement sur son épaule.
La belle se retourne alors, surprise sans crainte, et reconnaît l’une des connaissances de son mari, qu’elle a déjà rencontré plusieurs fois à l’occasion de dîners amicaux. L’homme, plus jeune qu’elle de quelques années, porte beau et lui sourit, amusé par la surprise de la rencontre fortuite.
Il est vrai que l’individu, sans jamais avoir pris d’initiative trop hardie, a déjà fait sentir à Patricia combien il était sensible à ses charmes. Elle-même lui trouve un certain attrait mais, fidèle à ses habitudes qui l’amènent à séparer strictement sa vie conjugale de ses frasques libertines, elle s’est bien gardée de lui faire sentir.
Surprise et amusée par l’opportunité, alors qu’elle est encore un peu émue par ses pensées érotiques de tout à l’heure, Patricia accepte volontiers et accompagne son compagnon du moment jusqu’à son véhicule. L’homme, enhardi par cet accord spontané et rapide, lui prend doucement le bras et la guide jusqu’à la porte de la voiture, qu’il lui ouvre courtoisement. Après quelques minutes de trajet, occupées à échanger des banalités de convenance, il se gare aux abords d’un parking, devant la galerie commerciale que lui a indiquée sa voyageuse. Puis, comme s’il s’agissait d’un couple établi, ils se dirigent ensemble et partent explorer les magasins du secteur. La femme apprécie les remarques plaisantes de son compagnon, lequel s’amuse à la titiller sur tel ou tel avantage d’un pull, d’une jupe ou d’un corsage… mais aussi, sur l’effet que produiraient des sous-vêtements discrets mais coquins ! Patricia comprend évidemment le sens qu’il donne à ses allusions, mais s’amuse à le laisser poursuivre, sans lui accorder plus d’attention que cela ; c’est un jeu de séduction qu’elle adore pratiquer, quelle qu’en soit l’issue. Après quelques dizaines de minutes de ce jeu et des achats finalement faits selon les souhaits de la dame, ils reprennent la direction de la voiture, alors que le jour finissant commence à obscurcir le parking.
Confortablement assis dans la limousine, ils échangent alors quelques mots à propos des achats effectués par Patricia, y compris celui des sous-vêtements…
La belle sexagénaire, qui n’attendait que cela, lance un regard circulaire pour constater que l’ombre autour du véhicule les protège de la vue d’autres personnes, remonte lentement le bord de sa jupe au-dessus de ses genoux, jusqu’en haut de ses cuisses, pour dégager ses bas et laisser apercevoir le renflement de son string, recouvert de dentelle.
Et, sans attendre une réponse qu’il devine positive, il caresse la cuisse jusqu’à la limite du bas, jusqu’à la bande de chair douce et chaude, en fixant le regard complice de la femme. Celle-ci, en libertine accomplie, laisse lentement ses jambes s’écarter un peu l’une de l’autre, pour attirer la main masculine plus haut, vers son ventre qui palpite d’impatience. Son complice du jour laisse aller ses doigts vers l’humidité tiède qui transpire sous le tissu fin et les appuie pour dessiner la forme des grandes lèvres déjà gonflées. En même temps, il approche sa bouche de celle de Patricia et lui lèche sensuellement, avant de glisser sa langue pour aller à la rencontre de la sienne. Envoûtée par les deux caresses simultanées, sur son sexe et sur sa langue, la coquine soulève son bassin pour provoquer l’homme et l’inciter à aller plus loin, plus vite. Déjà, elle sent les doigts fermes mais habiles, passer sous le tissu du string et décoller ses lèvres humides de cyprine, puis s’enrouler autour de son clitoris durci par le désir. Comme deux adolescents excités, les deux futurs amants laissent leurs envies croître au fur et à mesure que leurs caresses deviennent de plus en plus osées, libérées. Patricia n’avait certes jamais particulièrement fantasmé sur cet homme mais, l’occasion se présentant, elle est résolue à en profiter pleinement, comme lui conseille toujours son amant de cœur, que la distance a trop éloigné d’elle depuis longtemps maintenant ; et puis surtout, elle pourra tout lui raconter après, avec moult détails croustillants qui les combleront tous les deux !
C’est en pensant à tout cela, les doigts de son compagnon la pénétrant lentement, qu’elle pose une main impatiente sur le membre tendu sous le tissu du pantalon. Quelques aller-retour suffisent à la convaincre que l’homme va lui offrir un morceau de choix et elle poursuit son approche en détachant habilement la ceinture et ouvre la braguette. Elle goûte alors ce moment favori de ses conquêtes, quand elle découvre du bout des doigts la peau chaude et douce d’un sexe inconnu et, tout en extirpant adroitement le membre raide, elle le soupèse et en apprécie le diamètre et la fermeté. Déjà, le gland est dégagé du prépuce et elle peut se pencher dessus pour en dessiner la forme du bout de la langue. Pierre la laisse s’allonger en travers de ses cuisses et présente sa bite à la bouche ouverte, tout en passant un bras par-dessus les épaules de la coquine, pour aller titiller sa poitrine. Il ouvre la robe et roule les tétons tendus entre ses doigts au moment où Patricia avale résolument le sexe offert et se met à le pomper avec application et adresse. Elle sait combien ses qualités de suceuse expérimentée peuvent provoquer une éjaculation trop rapide, aussi, elle se plaît à jouer avec le membre, sans aller trop vite ni trop loin !
Les couilles remplies au creux de la main, elle se redresse pour échanger un baiser avec son compagnon de jeu quand elle aperçoit une ombre, du côté de la vitre de sa porte.
Patricia, toujours à moitié couchée sur l’homme, sa robe relevée sur ses fesses exposées à la vue du voyeur, se rend compte alors que celui-ci a sorti une queue tout à fait appréciable qu’il masturbe en profitant de la vue offerte par le couple.
Et comme elle l’a déjà fait à quelques reprises par le passé, Patricia fait descendre la vitre de sa porte pour permettre au voyeur de s’approcher tout près d’elle, de son visage. Elle se tourne alors résolument vers ce second braquemart qu’elle prend bien en main, décidée à le faire jouir rapidement. Elle crache un tout petit peu pour mouiller la peau et la branler plus facilement, alors que Pierre, maintenant penché dans son dos sur le siège de la voiture, approche son propre sexe de la vulve qu’il a longuement préparée de ses doigts. La coquine remue pour faciliter l’approche de son compagnon et va jusqu’à tirer sur sa fesse pour écarter en grand le passage qu’une queue chaude et raide remplit alors. Tout en dégustant cette pénétration nouvelle, en sentant le gland se glisser entre ses chairs trempées, Patricia caresse de plus belle le voyeur, mais constate que l’énergumène est résistant et qu’elle n’en viendra pas à bout (!) aussi vite qu’elle le pensait, d’autant plus que le coït qu’elle a entamé avec Pierre ne peut qu’exciter encore plus l’autre homme. Lasse d’avoir trop attendu, depuis plusieurs mois, pour se faire baiser ainsi elle se décide donc à mener la danse plus loin, plus fort.
Au passage, elle se débarrasse de son string trempé et chiffonné, puis attend d’être rejointe par son nouvel amant. La robe ouverte sur ses seins tendus, les cuisses écartées et chaudes, la bouche offerte ainsi que son sexe, elle est décidée à se donner du plaisir comme elle aime le faire quand elle se lâche la bride, en club libertin, notamment. Dans ces moments-là, elle oublie tout le reste et se concentre sur sa jouissance et celle de ses partenaires, hommes et femmes. Rejointe par Pierre qui vient de s’asseoir à côté d’elle, ni une ni deux, elle enjambe ses cuisses et vient s’empaler sur le sexe qui a commencé à lui procurer de si bonnes sensations ; avec d’habiles mouvements de son bassin, elle s’évertue à pomper le dard qui palpite dans son ventre, tout en vérifiant où en est le voyeur resté à l’extérieur. Son amant du soir remarque sa recherche et lui glisse au creux de l’oreille, les mains agrippées aux hanches qui roulent lentement.
Celle-ci comprend l’allusion et, offrant franchement son petit cul à la caresse, elle incite son complice à ouvrir le passage qu’elle sait si sensible. Alors, son amant ouvre une porte de la voiture pour permettre l’approche du voyeur, et il s’allonge lui-même sur la grande banquette tout en entraînant Patricia sur lui. Celle-ci, adepte des doubles pénétrations bien effectuées, cambre ses reins et présente ses jolies fesses à la peau si douce, au regard et aux mains de l’autre homme. Déjà prêt à l’action, ce dernier s’est couvert le sexe de l’indispensable préservatif et pose doucement son gland entre les chairs qu’il caresse avec envie.
L’homme appuie alors délicatement sa bite sur l’anus qui cède facilement le passage, déjà bien préparé par les caresses de Pierre. Ensuite, la belle mène la danse en roulant son corps lentement entre ses deux baiseurs, faisant alternativement glisser les deux sexes dans son corps. Elle les pompe à coup de reins et ressent au fond d’elle les vibrations des bites chaudes qui s’accordent pour faire monter leur plaisir à tous les trois. Là, en ce lieu insolite, dans ces circonstances impromptues, avec ces comparses inattendus, elle sent les frissons lui monter le long des flancs et, soudain, la belle se cambre, saisie par une jouissance trop forte pour être contenue et, ce faisant, elle contracte involontairement ses orifices, provoquant un raidissement dont jaillit une sourde chaleur, contenue par les préservatifs, mais très perceptible pour une sensuelle comme elle.
Les trois corps reprennent leur souffle pendant quelques instants avant que le voyeur remercie, fort poliment, la belle par un baiser déposé sur les fesses encore nues, puis il s’éloigne sans bruit, dans la nuit tombée.
Un moment plus tard, quand Pierre a reconduit Patricia près de chez elle et l’a quittée sur la promesse d’autres aventures aussi palpitantes, la sexagénaire satisfaite s’arrête un instant avant de regagner le domicile conjugal, le temps d’envoyer un texto explicite à son amant de cœur.