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Temps de lecture estimé : 28 mn
24/01/23
Résumé:  Eh oui, je m’appelle Sabrina, et croyez-moi, ce n’est pas toujours facile à vivre, surtout quand on est d’origine italienne, et qu’en plus, on ressemble un peu à la chanteuse homonyme qui se trémoussait en bikini riquiqui dans une piscine.
Critères:  fh 2couples inconnu exhib photofilm fellation cunnilingu init -initiatiq -libercoup
Auteur : Patrik            Envoi mini-message
La plaine des Sables

Une histoire toute simple. Bonne lecture : )



État des lieux (Sabrina et Victor)



Eh oui, je m’appelle Sabrina, et croyez-moi, ce n’est pas toujours facile à vivre, surtout quand on est d’origine italienne, et qu’en plus, on ressemble un peu à la chanteuse homonyme qui se trémoussait en bikini riquiqui dans une piscine, il a déjà quelques décennies !


Enfin bref…


En parlant de bref, je ne vais pas tourner autour du pot, mon mari et moi sommes assez libertins. C’est ce que nous avons trouvé de mieux comme solution pour redynamiser notre couple, une fois les enfants partis du foyer. Notre but est de rencontrer d’autres couples et de voir ensuite ce qu’il est possible de faire ensemble. Ce n’est pas la voie la plus facile, car il faut que les quatre personnes concernées aient des atomes crochus entre elles, ce qui fait dangereusement chuter les probabilités.


Mais dans la vie, il faut savoir choisir entre quantitatif et qualitatif…


J’aurais pu me contenter d’un amant ou de plusieurs. Ça, c’est très facile à trouver. Un bon amant souvent disponible dans l’heure, ça devient plus compliqué, surtout que la plupart des hommes sont déjà mariés (ou en couple, ce qui revient au même) et ne sont donc pas forcément libres le week-end. Ah, ça ! pour un cinq à sept, il y a du monde, mais pour moi, ce n’est pas possible, mon travail (épuisant) et mon domicile (reposant) étant séparés par beaucoup de bouchons et aucun transport en commun.



Pardon, revenons à nos moutons. De plus, moi, ça m’amuse de pouvoir dialoguer avec l’épouse dont le mari est mon amant, ou la femme qui couche avec mon mari.


Je sais, c’est un peu bizarre, mais pourquoi pas ? Elles et moi avons ainsi des points communs, non ? Ne vous méprenez pas, je suis jalouse à ma façon, sur le plan des sentiments. Je sais que mon mari m’aime, il m’a toujours soutenue dans les moments difficiles, là où bien des hommes auraient fui en pareil cas. Mais lui, il a toujours été là, à mes côtés. Et il est toujours là. Et je sais aussi qu’il sera toujours là dans quelques années.


Je dois avouer qu’il m’a plus offert ce que, moi, je ne lui ai pas donné…


Pour parler crûment, qu’il aille tremper sa nouille ailleurs ne me gêne pas. C’est juste hygiénique, et aussi pour changer un peu du quotidien. De mon côté, c’est la même chose, je change parfois de ramoneur, point barre.



Je ne suis pas très romantique ? Oui, ça se peut, c’est probable. Pour moi, le sexe est une activité physique, comme le jogging ou le tennis. Une activité qui procure du plaisir ; enfin, pas toujours, car tout le monde n’est pas doué, hélas.


En revanche, je reconnais que je vivrai très mal le fait que mon mari tombe amoureux d’une autre femme. Victor est à moi, je ne transige pas là-dessus. Parfois, il flirtouille, mais je vois bien que c’est ludique. Pour ma part, j’ai vécu deux légères inclinations, mais rien de potentiellement dangereux pour mon couple.


Voilà, vous savez tout ou presque.




Avant le rendez-vous



Comme il faut ce qu’il faut, ma tenue pour le rendez-vous de premier contact d’aujourd’hui n’est pas précisément celle d’une nonne. Mis à part bien sûr des chaussures à lanières noires, je n’ai revêtu que deux choses : un débardeur et une jupe.


En me voyant, mon mari siffle d’admiration :



Commençons par le débardeur : rouge pour attirer l’œil, avec des fines bretelles et un tissu plutôt fin qui cache mal que je ne porte rien par-dessous. Et comme ma poitrine est assez voluptueuse, elle a tendance à vouloir s’évader sur les côtés. De plus, si je me penche un peu, je ne vous dis pas le décolleté profond ! Je sais, ça fait assez salope sur les bords, et pas que sur les bords. J’assume !


Comparativement, ma jupe est nettement plus sage, si on excepte le fait qu’elle soit un peu fendue sur le côté, ce qui révèle fort bien ma cuisse (légère) dans certaines conditions. Bien sûr, pas de petite culotte et autre string. J’ai bien précisé que je ne portais que deux choses, mis à part mes chaussures.


Comme nous sommes en été, pas de tralala supplémentaire comme des bas et un porte-jarretelles. Il faut savoir rester simple, n’est-ce pas ?


Le lieu de rendez-vous a été fixé dans une auberge située en pleine forêt de Marchiennes (entre Lille et Valenciennes, à la louche), un endroit d’où partent divers sentiers de randonnées pédestres ou équestres. Je sais aussi que c’est un point de chute connu pour une certaine faune. Certaines personnes viennent même ici au spectacle, pour admirer, sans se mêler avec quiconque.


On m’a raconté qu’une fois, un groupe de chrétiens évangéliques (ou quelque chose dans le genre) a débarqué inopinément dans cet antre de perdition pour faire la morale aux personnes présentes. Ces fervents moralistes n’ont pas fait long feu. Est-ce vrai, est-ce faux, je ne sais pas, mais l’anecdote m’amuse.



Comme vous le savez déjà, j’ai des courbes. J’ajoute que j’ai aussi des longs cheveux bruns que j’aime laisser flotter au vent (ma manie en vélo ou en moto). J’ai un succès fou quand mon mari et moi chassons sur les terres germaniques au sens large (flamandes surtout), les joies des contrastes. En revanche, logiquement, je suis considérée comme commune en terre transalpine et en terre transpyrénéenne.




Durant le rendez-vous



Je ne vais pas m’en cacher, j’aime être la cible des attentions, et mon entrée dans cet estaminet est une franche réussite. La plupart des regards sont braqués sur moi, et ça me plaît beaucoup. Ceux des hommes sont admiratifs, la moitié des femmes sont envieuses, l’autre moitié est réprobatrice.


Amusé, mon mari me glisse à l’oreille :



Allant dans la direction désignée, nous nous approchons de nos contacts du jour. À l’image de la salle, l’homme est très ravi de me voir, la femme tique un peu plus. Contrairement à moi, elle n’a pas mis ses atouts en valeur, restant nettement neutre. En revanche, je surprends son regard envers mon mari, j’ai la nette impression qu’elle ne dirait pas non à ce que celui-ci s’occupe d’elle. Je la comprends, moi-même, je ne dirais pas non, d’autant plus que Victor sait très bien s’occuper de ma petite personne.


Nous discutons d’un peu de tout. Il s’agit d’un premier contact, même si j’ai mis la dose pour attirer l’attention. L’homme n’est pas trop mal, mais banal. Sa femme est un peu dans le même style. Je parie que c’est elle qui le mène par le bout du nez. Mais cette fois-ci, son mari échappe à son contrôle, bien trop fasciné par mon décolleté, et ce qu’il devine sous mon top, surtout avec mes tétons qui pointent bien sous le tissu.



Pour tout avouer, le feeling passe à moitié. Mentalement, je range ce couple dans la deuxième liste, celle des remplaçants. La femme converse avec mon mari qu’elle semble trouver à son goût, mais elle est perturbée par l’empressement de son mari à mon égard. J’ai peut-être trop forcé la dose, tombant pile-poil dans le fantasme de cet homme. Tout en jetant toutes les cinq secondes un coup d’œil à son époux, elle arrive à tenir tant bien que mal une conversation avec Victor :



Si cette femme avait été seule avec mon mari, je n’aurais pas été étonnée qu’elle lui fasse du rentre-dedans. Mais elle reste perturbée par ce qui se passe entre son mari et moi. Au bout d’une demi-heure, je pense qu’il est temps de prendre congé. Je me tourne vers mon mari qui comprend le message muet. Se levant, il prend donc l’initiative (ça sert aussi à ça, un homme) :



La réponse de l’homme est spontanée et sincère ; je me doute bien de sa motivation, surtout si j’en juge son regard brûlant sur moi. De son côté, sa femme est partagée, mitigée, même si elle louche copieusement sur mon homme. Jalousie latente ?




Après le rendez-vous



Dans la voiture qui roule vers la maison, étant au volant, mon mari me demande :



Un bon kilomètre défile, Victor reprend la parole :



J’aime bien quand mon mari reconnaît mes points forts :



Se tournant légèrement vers moi, Victor affiche un large sourire :



Je me mets à rire :



Les deux mains sur le volant, mon mari constate :



Cet endroit jouxte un petit bois, pas loin des marais, assez à l’écart des zones urbanisées. Tout le monde appelle ça la Plaine des Sables, même si ça porte en réalité le nom d’un quidam que tout le monde a oublié (un sénateur ou un député, je crois). Je m’étonne du choix de mon mari :



Quelques minutes plus tard, nous nous stationnons sur un parking visiblement refait à neuf. Nous sortons de la voiture. Après un rapide coup d’œil circulaire, je m’exclame :



Victor désigne l’accès vers la Plaine :



L’accès à la Plaine est composé de diverses palissades en zigzag. Peu après, main dans la main, nous déambulons parmi ces mini-dunes. C’est mignon, et c’est étrange de fouler du sable, ici, bien à l’intérieur des terres. On se croirait même sur la côte, même si celle-ci est à une bonne centaine de kilomètres. Un peu plus loin, mon mari s’arrête :



Je me prête au jeu, je prends la pose, je remonte ma jupe, je dévoile mes seins… le grand classique, en somme.


Victor virevolte autour de moi. À moitié nue, je danse presque sur place, mon cher mari ne perdant aucune miette du spectacle que je lui offre et qu’il immortalise en photos digitales.



Je me prête au jeu avec application et amusement. J’aime ce jeu de séduction par objectif interposé, et ça décuple les ardeurs de mon mari. J’aime quand il me démontre à quel point il a envie de moi, à quel point il me désire !


Soudain, nous entendons des applaudissements. Intrigués et surpris, Victor et moi tournons la tête vers l’endroit d’où vient le bruit, et nous découvrons un autre couple blond-blanc à moitié caché par une mini-dune, deux personnes sensiblement du même âge que nous. Mon mari leur fait signe de s’approcher. Après quelques hésitations, l’homme et la femme s’avancent lentement vers nous, tandis que je finis de me réajuster.


C’est l’inconnu qui parle en premier :



Un peu surprise, je réponds poliment :



Comme il faut dire quelque chose sans forcément parler de la pluie et du beau temps, je demande :



Je souris, j’aime plaire. L’homme se gratte la tête :



La blondinette rougit un peu. Son mari répond :



Je me tourne vers la femme :



Elle devient cramoisie :



Son mari intervient :



Je consulte mon mari du regard. L’homme me convient bien, et je sais que sa femme est dans les goûts de mon mari. Celui-ci me confirme muettement qu’il ne voit pas d’inconvénient à ce que nous poursuivons cette rencontre inopinée. À prime vue, je ne me serais peut-être pas habillée de la sorte pour rien, excepté pour les photos.




Initiation improvisée



Puisque nous sommes à présent quatre personnes, décrivons un peu les divers rôles : Brigitte est une petite blondinette à cheveux courts et au nez mutin, habillée d’une robe d’été verte. Contrairement à moi, elle a les yeux très clairs, plutôt verts que bleus. Elle a plus de hanches et moins de poitrine. Quant à Lionnel, il est tout blanc de cheveux, avec une allure de… de bibliothécaire amateur de musique classique, c’est la première idée qui me vient en tête pour le décrire. Il est différent de mon mari encore tout brun, y compris son bouc bien taillé. Victor est plus athlétique aussi, mais fait moins intello. Les deux hommes sont habillés de la même façon : jean et chemise blanche.


Mon mari escalade une mini-dune un peu plus haute que les autres. Arrivé en haut de celle-ci, il scrute l’horizon. Puis il redescend en annonçant :



Brigitte n’est visiblement pas rassurée par la tournure des événements, même si je constate qu’elle ne se prive pas de bien regarder mon homme. C’est vrai que Victor présente bien et qu’il s’entretient toujours malgré les années. Ce n’est pas pour rien si nous avons quelques engins de torture à la maison, genre rameur ou elliptique.


Tandis que nous déambulons vers le nouvel endroit, Brigitte me demande, tandis que les hommes ouvrent la marche devant nous :



À mon tour, je la questionne :



Elle ne répond pas, elle sourit tout en rosissant. J’en profite pour lui demander :



Brigitte me regarde d’un air effaré. Je lui souris :



Elle rougit, je préfère ne plus la taquiner. Nous arrivons rapidement à l’endroit désigné par mon mari. Celui-ci s’entretient avec Lionnel :



Victor se met à rire :



Mon mari se tourne vers nous, les femmes :



Je me doutais bien de quelque chose comme ça, mon mari ne perd aucune occasion de shooter les anatomies féminines, la mienne surtout, même s’il vient juste de clôturer une séance, il y a quelques minutes. Je ne sais pas si ma voisine a relevé le « auparavant » qu’il a prononcé et qui laisse supposer bien des choses…


Nous nous tenons debout, Brigitte et moi, face aux hommes et surtout face à l’appareil photo numérique de Victor. D’emblée, je capture ma voisine, pressant ses seins contre les miens. Je lui murmure :



Peu à peu, elle se détend. Cependant, elle se montre nettement moins provocante que moi qui n’hésite pas à empoigner mes seins par-dessus le top, ou de prendre des pauses lascives, pour l’énorme satisfaction de Lionnel qui ne cache même plus le chapiteau de son pantalon. Pour sa défense, il pourra toujours prétendre que c’est sa femme qui le met dans cet état tendu.


Appareil photo en main, Victor nous dirige depuis le début :



Depuis le temps que je vis avec lui, je connais mon mari par cœur, lui et ses petites manies de photographe. Il a par deux fois explosé nos photos, il a eu droit à un petit succès, aidé par ma plastique, il me l’a d’ailleurs avoué à l’époque. Toutes les deux, nous lui tournons le dos. Pour ma part, je remue beaucoup du popotin. Ma collègue m’imite un peu, petit à petit.



Aucun problème pour moi de relever ma jupe, même en sachant que je n’ai rien mis en dessous. En revanche, ce n’est pas le cas de Brigitte qui hésite à passer à l’acte, me regardant faire. Lionnel intervient :



M’adressant à ma voisine, je plaisante :



Brigitte tergiverse quelques instants, puis elle remonte le bas de sa robe, révélant une culotte blanche qui enserre un popotin très appréciable. Son mari insiste :



Brigitte me jette un coup d’œil. Je lui adresse un petit clin d’œil. Alors, elle s’exécute. Mon mari s’écrie, admiratif :



Je vois bien que cette exclamation fait plaisir à ma voisine. Puis fidèle à son habitude, dansant presque autour de nous, Victor nous shoote en long, en large et en travers. Très vite, je laisse tomber la jupe, puis j’ôte le haut pour me révéler à nouveau toute nue, pour la plus grande satisfaction de mon nouvel admirateur. Entraînée par le mouvement, Brigitte ôte sa robe puis son soutien-gorge, mitraillée par Victor qui multiplie les photos, avec une légère fixation de sa part sur les hanches de la nouvelle venue.


Amusant : Victor est à la fois fasciné par le popotin et le petit bosquet de Brigitte. Lionnel semble ensorcelé par mon pubis tout lisse. L’attrait de la nouveauté et de la différence, je présume.


Bien entendu, mon photographe attitré se fait un plaisir de nous mitrailler longuement, tout en nous donnant des directives précises, faisant très pro. Aidée par mes agissements, Brigitte se laisse prendre au jeu, je constate qu’elle ose maintenant sourire vers l’objectif, à moins que ce ne soit adressé à mon mari, ce qui ne serait pas étonnant.


Soudain, levant le bras, Victor clame :



Ce qui nous fera un petit répit. Voyant que ma consœur est assez déboussolée, je préfère parler franchement, telle une grande frangine :



Je la rassure :



Pour tenter de la détendre, je plaisante :



Elle devient cramoisie :



Mon bras sur ses épaules, je la rassure :



Durant ce temps, les hommes palabraient, nous laissant discuter. Je fais un petit signe de la tête à mon mari, la séance continue, avec une Brigitte plus détendue. Elle ose un peu plus, elle me ressemble quand j’ai commencé. L’expérience venant, on oublie parfois ses débuts, et le fait qu’il est parfois si difficile de franchir un petit ruisseau qu’on imagine être un gigantesque fleuve.


Victor aurait pu nous pousser un peu plus, mais il a compris que Brigitte avait déjà bien donné lors du shooting. Il faut savoir reculer d’un pas pour mieux avancer de trois par la suite. Néanmoins, mon mari semble décidé à explorer une autre voie, puisqu’il nous annonce :



Lionnel affiche un sourire ravi quand je m’approche de lui, toujours toute nue. Avançant à petits pas vers Victor, Brigitte rougit une fois de plus, cachant maladroitement ses appas, même si Victor a pu les contempler sous toutes les coutures, ce dont il ne s’est pas privé.


Presque aussitôt, je suis dans les bras de Lionnel, tandis que Brigitte est capturée par ceux de mon mari. Celle-ci demande :



Tout de suite, Victor exprime manuellement le bien-fondé de sa phrase, en pelotant la femme qui est captive dans ses bras. « Captive » est un bien grand mot, car elle pourrait aisément s’enfuir ou protester, mais rien de tel. Bien que rougissante, elle se laisse caresser, câliner, cajoler par mon mari qui est assez expert dans ce domaine.


Voyant que la voie est libre, mon cher époux s’offre le plaisir d’être plus intime : il dépose divers baisers dans le cou, sur les épaules puis les seins, tandis que ses mains furètent partout.


Pour sa part, Lionnel ne se prive pas de mettre ses doigts sur tout mon corps, sa verge bien plaquée contre moi, même si celle-ci est toujours dans son pantalon. Au moins un homme à qui je fais beaucoup d’effets ! Du coin de l’œil, il copie mon mari, sans doute pour savoir jusqu’où il peut aller. Si Victor se permet de faire un certain truc sur Brigitte, alors il peut à son tour se permettre la même chose sur moi. Je constate avec plaisir que Lionnel commence à prendre quelques initiatives, modestement, mais c’est déjà ça.


S’ensuit une séance de câlins assez poussés, sans toutefois verser dans le sexe. Certaines mains s’égarent sur les fesses ou les seins, mais ça ne va pas plus loin que des préliminaires tactiles. À ce petit jeu, Lionnel n’est pas mauvais. Quant à sa femme, elle se laisse aller les yeux fermés sous les assiduités de mon mari.


Comme le soir commence à venir et que la fraîcheur s’installe, je propose :



Nous étant rhabillées, nous nous dirigeons vers le parking, où nous attendent nos voitures, la suite se passant chez nous, à la maison. Brigitte a tout remis, culotte et soutif, mais quelque chose me dit qu’elle ne va pas les conserver longtemps…




Cent trente-huit



Brigitte part chez nous dans notre voiture, et moi dans celle de ce nouveau couple, en compagnie de Lionnel au volant. Sur le trajet, j’ai droit à divers compliments, j’aime qu’on en fasse, surtout ceux qui sont sincères, ce qui est le cas aujourd’hui.


Nous habitons une maison en L un peu isolée située au bout d’un chemin privatif. Comme tout est entouré d’arbres et de hautes haies, personne de l’extérieur ne peut savoir qui débarque chez nous et qui s’y trouve. Ainsi, je peux me balader nue autour de la maison, nul voyeur possible, ou alors très difficilement, ou alors un drone volant. Cette caractéristique, nous l’avons exploitée bien des fois avec divers visiteurs et visiteuses.


Découvrant notre demeure, Brigitte s’exclame :



Brigitte me regarde en coin :



Nous faisons succinctement visiter notre maison, Victor collé contre Brigitte et moi avec Lionnel. Toujours enlacée par mon nouveau partenaire, je propose :



C’est ainsi que nous avons baptisé une chambre dont la plupart des murs sont tapissés d’étagères à livres. Arrivé sur place, échappant à l’étreinte de Lionnel, je repousse la petite table basse et les deux poufs rouges dans un coin, tandis que mon mari déroule des gros shikibutons (des matelas japonais, à ne pas confondre avec des tatamis) qu’il dispose au milieu de la pièce, sur deux épaisseurs, formant ainsi un vaste lit qui mesure environ deux mètres sur deux. Puis je l’aide à disposer un grand drap noir soyeux par-dessus. Noir pour mieux contraster avec le blanc des corps, un détail jouissif…


Une fois la couche achevée, voyant le résultat, Lionnel hoche la tête :



De son côté, Brigitte ouvre de grands yeux, on dirait qu’elle vient d’arriver dans une nouvelle galaxie. Désignant le lit improvisé, Victor annonce avec un petit sourire :



À la fois intéressé et intrigué, Lionnel répond :



Ce qui fait sourire Lionnel. Puis mon mari regarde posément Brigitte qui semble un peu perdue. L’enlaçant posément, il lui dit :



Mon mari a un certain sens de la répartie quand ça l’arrange, et actuellement, j’ai bien compris qu’il a fortement envie de lutiner avec Brigitte. Quant à son mari, il meurt d’envie de faire la même chose avec moi, et l’idée me plaît bien.


Brigitte objecte timidement :



Argument assez imparable que mon cher mari a inventé, il y a quelques mois. D’ailleurs, pour appuyer ses dires, Victor embrasse sa nouvelle partenaire de jeu. On ne peut pas dire qu’elle résiste ! Tout son corps prouve le contraire…


Puis leurs lèvres se détachent. Je suppose qu’elle est assez convaincue. Pour initier le mouvement, j’ôte posément mon bas puis mon haut, puis je m’installe nue sur le lit. Je tends le bras vers Lionnel et Brigitte :



Pas besoin de le dire deux fois à Lionnel. En un rien de temps, il s’installe, lui aussi nu, à côté de moi. Brigitte s’approche timidement du lit noir, puis elle se décide à ôter sa robe verte. C’est mon mari qui dégrafe son soutien-gorge. Puis elle s’assied, et ensuite, elle ôte timidement sa culotte blanche.


Juste devant elle, sans complexe, mon mari se déshabille, révélant presque sous son nez sa verge déjà raide. Une fois de plus, Brigitte rougit, mais regarde posément l’engin qui se trémousse face à elle. Le sexe de mon mari n’est pas moche, ni trop ni pas assez, et joliment arqué, avec un gland bien détaché. Celui de mon partenaire d’aujourd’hui est plus court, mais doté d’un plus gros diamètre. Curieusement, son gland est dans le prolongement de sa colonne.


Déjà en train de me peloter, Lionnel demande :



Une fois de plus, Brigitte rougit, mais ne dit mot. Nous nous installons pour former un carré. Victor guide Brigitte qui ne sait pas comment se disposer, mais qui accepte volontiers l’aide de mon mari. Je constate qu’elle n’hésite pas beaucoup avant d’enfourner la verge qui lui est proposée sous son nez. Moi, ça fait déjà un certain temps que je suce Lionnel qui est aux anges. Puis celui-ci s’occupe de l’entrejambe de sa femme, une fois celle-ci bien en route.


Lionnel suinte déjà, ma langue se tapisse légèrement de son sperme. Plus bas, mon mari y va de bon cœur, il sait comment s’y prendre pour me faire décoller. Brigitte est appliquée, elle s’occupe un peu maladroitement de la verge qui lui est offerte, mais je peux constater qu’elle apprécie ce qu’elle est en train de faire. Malheureusement pour elle, son mari semble avoir des problèmes de synchronisation, le fait que je le suce lui fait perdre ses moyens buccalement.



Moyens qu’il perd totalement quand il éjacule dans ma bouche, tandis que je continue à le sucer. J’en profite pour me laisser aller, la bouche pleine, la langue de mon mari faisant des étincelles autour de mon clitoris en feu.


Mon mari suit le mouvement, se laissant aller dans la bouche de Brigitte qui essaye de faire comme moi, c’est-à-dire de boire au fur et à mesure que les jets fusent. Néanmoins, je comprends vite qu’elle n’a pas trop l’habitude. Mais elle s’applique.


Ayant expulsé son dernier jet, Victor pose délicatement sa main sur la tête de sa compagne de jeu, caressant ses cheveux :



Puis il se retire doucement de la bouche de Brigitte. Celle-ci se met à respirer bruyamment. Sans attendre qu’elle récupère entièrement, mon mari allonge sa compagne de jeu sur le dos :



Pour toute réponse, il plonge son nez dans le bosquet blond, à la recherche d’une fente sans doute humide et de son clitoris fort délicat. Visiblement, mon mari a vite trouvé, car Brigitte se met à gémir de plus en plus fort, se tortillant sur place. Quelques secondes plus tard, elle jouit avec beaucoup de bruits et de soubresauts :



Agenouillé face à sa femme en train de décoller pour le septième ciel, se penchant sur moi, Lionnel murmure à mon oreille :



Un air gêné s’affiche sur sa figure :



Aidée par mon mari, Brigitte se redresse, s’asseyant maladroitement. Par amusement et provocation, soupesant les testicules pendouillants de mon nouvel amant, je lui confie à voix basse :



Lionnel apprécie beaucoup ma caresse coquine et imprévue, en témoigne sa verge maintenant pleinement redressée :



Les coucougnettes toujours en main, je me tourne vers mon mari et Brigitte, assis sur le lit :



Victor se tourne vers Lionnel :



Puis il se tourne vers Brigitte :



Les yeux brillants, elle esquisse un mignon sourire :



Puis elle se met à nouveau à rougir. Son mari explique :



Saisissant maintenant la verge de mon nouvel amant, je me relève en lui disant :



Brigitte s’étonne :



Victor sourit, mettant déjà ses mains partout sur son nouveau jouet féminin :



Je sors de la bibliothèque en entraînant avec moi Lionnel que je mène toujours du bout de son bout.




Une nouvelle ligne dans la liste



Je ne vais pas détailler toutes les cochonneries que j’ai pu faire avec Lionnel. Néanmoins, je peux dire que j’ai eu la nette impression qu’il rattrapait le temps perdu et qu’il était en train d’expérimenter des choses qu’il n’avait pas pu faire avec sa femme ou une autre.


Je ne lui refuse rien… Son enthousiasme fait plaisir à voir !


Un peu plus tard, je décide d’aller dans le salon, puisque Lionnel semble avoir vidé toutes ses ressources. Si je dois tirer un bilan, je dirais que ça va, j’ai connu mieux, mais ce partenaire est dans une moyenne haute. Sa résistance pas très au top est compensée par son exaltation de grand gamin.


Quand Brigitte arrive à son tour toute seule dans le salon, où son mari et moi faisons encore de gentilles galipettes, je vois bien qu’elle a bien profité, elle aussi. Son visage, son corps, sa façon d’agir montrent bien qu’elle est à la fois épuisée mais ravie. Ce qui ne m’étonne pas de mon cher mari qui se montre quelques secondes plus tard.


Il s’installe dans un fauteuil, puis il fait s’asseoir Brigitte sur ses genoux. Inutile de préciser qu’il abuse joyeusement des formes de sa compagne de jeu, aussi bien des mains que des lèvres.


Amusée, je lance à ma consœur :



Je pose alors une série de questions franches et directes :



Tripotant toujours sa partenaire, Victor prend le relais :



Soudain, Lionnel grimace, il lui semble avoir été trop enthousiaste, surtout face à sa femme. Mais celle-ci est lovée contre Victor, absente, flottant sur son petit nuage. Son mari s’enquiert auprès du nouvel amant de son épouse :



Jouant avec les tétons de Brigitte, mon mari lui dit :



Un peu crispée, Brigitte interroge du regard son mari. Celui-ci annonce :



Je capture un fugace sourire radieux sur le visage de ma consœur. Elle ignore pourtant beaucoup de choses de mon mari. S’il sent que ce sera possible, mon mari se fera un plaisir de lui faire découvrir plein de choses, sans doute plus qu’elle ne l’aurait imaginé. C’est la très grande force de Victor, il sait exploiter à fond les opportunités qui s’offrent à lui. C’est ainsi que j’ai vu des femmes normales (si je puis utiliser ce terme) devenir franchement lascives, dévergondées ou salopes. Je songe à Elisabeth qui est devenue insatiable et qui se vautre carrément dans les gangs-bangs, elle qui était presque une Sainte-Nitouche…


Je me propose de les garder avec nous pour le repas du soir, voire un peu plus. Lionnel décline :



Il se tourne vers sa femme :



Victor intervient :



Quelques instants plus tard, tout le monde est rhabillé, puis nous nous dirigeons vers l’entrée. Au-dehors, Lionnel me fait un gros bisou, Brigitte en fait de même à mon mari. Puis nos invités montent dans leur voiture qui s’engage ensuite dans le petit chemin privatif.


Les voyant s’en aller, Victor me confie :



Nous rions tous les deux. La voiture disparaît complètement dans le chemin privatif. Toujours dehors, je m’adresse à mon mari :



Spontanément, nous nous embrassons. Victor et moi, nous nous sommes bien trouvés. Je crois que nous pouvons ajouter Brigitte et Lionnel à la liste des invités spéciaux. Prochainement, nous donnerons une soirée très mélangée. D’ici là, nous avons le temps de faire tomber d’autres barrières entre ce nouveau couple et nous…