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Temps de lecture estimé : 21 mn
31/01/23
Présentation:  Un texte qui aborde un classique du genre. Une fois de plus, ne pas confondre auteur et narrateur. Bonne lecture :)
Résumé:  En ce tout début d’année, Nina et moi avons décidé de tester un club libertin pour la première fois. Quand je dis « nous », j’avoue que c’est plutôt moi.
Critères:  fh fhh hplusag couplus extracon boitenuit fellation pénétratio fsodo init -libercoup -lieusexe club
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
Nouvel élan d’année animé(e) pour Nina

Un texte qui aborde un classique du genre.

Une fois de plus, ne pas confondre auteur et narrateur. Bonne lecture : )



Le défi



En ce tout début d’année, Nina et moi avons décidé de tester un club libertin pour la première fois. Quand je dis « nous », j’avoue que c’est plutôt moi. Après maintes tergiversations et refus, ma femme a accepté, juste pour ne pas mourir idiote comme elle le dit souvent. Les premières fois sont toujours périlleuses, surtout dans ce domaine. Je dois reconnaître que j’avais lancé ce défi, au départ par plaisanterie, et que Nina avait enchéri pour le fun.


Aidés par Internet, nous avons soigneusement choisi ce club de notre première fois. Les avis sont globalement favorables, certains insistent sur le fait que ça tourne rarement à l’orgie débridée, que ça reste convivial, idéal pour des néophytes, ce qui est notre cas. Nous nous sommes décidés pour vendredi prochain.


Le fameux soir venu, alors que nous nous apprêtons à sortir tous les quatre (avec nos deux enfants qui vont dormir chez Papy et Mamy), ma femme me lance :



Ma femme n’a pas trop apprécié que je m’offre ce petit cadeau sans l’avertir. Ça va faire bien des années que je rêve d’un cabriolet sportif, et l’occasion s’est présentée dernièrement. Oui, j’aurais pu lui en toucher un mot avant de signer l’achat, mais il fallait que je me décide sur-le-champ, sinon cette splendide occasion me filait sous le nez, et j’aurais eu plein de regrets jusqu’à la fin de ma vie…


Il m’a fallu des trésors de persuasion pour la convaincre que je n’étais pas atteint du démon de midi, et que cette voiture n’allait pas servir à draguer toutes les minettes du coin. Que c’était juste un petit plaisir que je m’offrais !



Après avoir confié les enfants aux grands-parents, nous nous dirigeons vers ce lieu de perdition, situé un peu à l’écart des habitations. Sur le parking, je constate que je ne suis pas le seul à avoir un faible pour les voitures sportives.


Ma femme raille gentiment :



Après une petite visite des lieux, durant une première partie de la soirée, réfugiés dans un coin sur un amas de vastes coussins, jouxtant un gros cube en bois qui peut faire office de table basse, nous nous contentons de nous caresser et de regarder les autres prendre du plaisir. Après avoir ôté son espèce de nuisette, Nina a gardé son string, révélant ses petits seins tout mignons. Quant à moi, j’ai conservé un caleçon. C’est étrange de voir des inconnus s’envoyer tranquillement en l’air, comme si nous regardions un film à la télé, mais ça ne s’affiche pas sur un écran… ça se déroule en réel, sous nos yeux, presque sous nos doigts, parfois.


Un bon de temps (j’ai perdu le compte des minutes) après notre arrivée, Nina se jette à l’eau :



À ma grande surprise, elle me propose :



Elle secoue la tête, puis elle me regarde, les yeux luisants :



S’installant à quatre pattes sur l’un des gros coussins en position de levrette et offrant une belle vue aux visiteurs qui passeraient derrière elle, Nina commence avec sa langue ses douces caresses sur ma verge bien raide. Je jette un coup d’œil de temps en temps autour de nous, en effet, nous ne choquons personne. Parfois, on regarde dans notre direction, mais sans plus. Et puis, se faire sucer par sa femme en présence d’inconnus, je dois avouer que c’est très excitant !


Alors je me laisse aller…




Made in Grande-Bretagne



Soudain, surgissant de la pénombre, un homme nu arrive vers nous. D’emblée, il pose sa main sur une fesse de Nina, ce qui la fait sursauter. L’homme dit d’une voix grave :



Toujours enfoncé dans les coussins, je me mets à sourire :



Ayant arrêté sa fellation, ma femme tourne la tête pour mieux découvrir qui se permet pareille familiarité sur sa croupe. Elle semble heureusement surprise par cet homme complètement dévêtu, qui n’est pas mal de sa personne, un peu plus vieux que nous. Après l’avoir soigneusement scruté, Nina me lance un regard dans un questionnement muet.


Je lui réponds calmement :



Elle regarde une nouvelle fois le nouveau venu, puis lâche à voix basse :



Ce soir, c’est le deuxième pas de ma femme. Pour ma part, je me demande où ceci nous mènera. Je remontre à Nina ma verge toujours dressée, elle continue alors sa fellation à quatre pattes, se laissant patiner par cet inconnu.


Après plusieurs minutes de caresses, L’homme se focalise de plus en plus sur les fesses offertes, puis il commence impudiquement à frotter sa verge sur les rotondités de ma femme. Ce qui semble exciter beaucoup ma suceuse, car elle a de plus en plus de difficultés à pratiquer sans heurts sa fellation. À tel point que je me demande si mon gland si sensible ne va pas être victime d’un malencontreux accident !



Entendant ma proposition, l’homme est visiblement intéressé. Ôtant ma tige de sa bouche, ma femme tergiverse un peu :



Elle esquisse une petite grimace :



Toujours agenouillée, Nina tourne la tête vers l’inconnu, puis elle hoche faiblement la tête. Repoussant le cube en bois, l’homme s’installe alors à côté de moi, sa verge bien dressée. Puis il désigne son engin de sa paume :



Je prends le relais en regardant mon voisin :



À présent, ma femme a sous les yeux deux verges différentes. Celle de notre nouveau compagnon est assez large, mais un peu plus courte que la mienne, si bien qu’en volume, nos deux sexes doivent être sensiblement identiques.


Nina objecte :



Il se met à sourire :



Je réponds à la place de mon épouse :



Ayant posé une main sur la cuisse de James, Nina prend le relais :



Ma femme affiche un petit sourire coquin :



Nina répond mystérieusement :



Puis elle se penche sur la verge de James pour donner un petit coup de langue dessus. Un deuxième arrive rapidement, puis ma femme commence à sucer sous mes yeux un gland inconnu. Aussitôt, ma verge, qui se détendait un peu, durcit à nouveau.


C’est avec une forte conviction que Nina s’occupe de cette nouvelle verge mise à sa disposition. L’attrait de la nouveauté, je suppose.


Je me recule sur le côté, Nina s’installe presque à ma place, son corps étant maintenant perpendiculaire à celui de James, son bras blanc sur la cuisse velue.


Elle la suce goulûment, lèche sans complexe la hampe, suivant les veines palpitantes, allant parfois égarer la pointe de sa langue vers la base, et parfois sur les testicules. On dirait qu’elle souhaite faire voir à James qu’elle n’est pas une oie blanche.


Toujours agenouillée transversalement, elle s’applique, me tournant à présent le dos. Je me positionne sur le côté afin de caresser les seins de ma femme, puis, aidé par les vastes coussins, je me glisse ma tête sous son corps pour capturer ses mignons seins dans ma bouche. À gauche, je vois la tête de ma femme (son menton, surtout) en train de sucer une autre verge que la mienne, et à droite, une belle vue sur son ventre, puis sur son pubis qui s’agite, qui ondule.


Nina respire fortement, très excitée par ces diverses caresses et par la situation.


Soudain, la voix de James retentit :



La proposition est claire et nette, même si elle est bien enrobée. Retirant le sexe qu’elle a en bouche depuis un certain temps, ma femme tergiverse :



Un bref silence s’installe. Je suis en train de me retirer quand la voix de James retentit à nouveau :



Vu ma position, je ne vois pas bien, mais je me demande si James ne vient pas d’embrasser furtivement ma femme ! Toujours est-il que son visage était très près de celui de Nina.



James se redresse, il s’éloigne un peu, se dirigeant vers une niche incrustée dans un mur. Durant ce temps, je m’assieds à côté de ma femme. Notre comparse revient avec un petit flacon et quelques préservatifs, qu’il pose sur le cube en bois :



Nina prend alors la parole :



Ainsi, ma femme préfère que le sperme d’un inconnu se répande en elle ? Je suis étonnée ! Aurais-je ouvert la boîte de Pandore ? Un peu crispée, Nina s’adresse à James :



James s’éloigne, mon épouse se penche sur moi en murmurant à mon oreille :



Je m’étonne :



Je grimace. C’est moi qui l’ai entraînée ici. Je suis partagé entre deux sentiments contradictoires : celui de ne pas partager ma femme, car elle est à moi, et celui de voir jusqu’où elle osera aller. Comme elle vient de me le dire, c’est peut-être l’unique occasion de sa vie. Nous venons ici pour la première fois, et le premier bonhomme qui s’invite, c’est le bon ! C’est fou, quand même !


Quoique… il y a au moins cinq ans environ, poussée par sa sœur, ma cousine s’était inscrite à un speed dating, sans trop y croire. Le premier homme qui lui adresse la parole, c’est celui qui partage sa vie depuis ce jour-là…


Peu après, James revient avec trois boissons qu’il dépose sur le cube en bois. Nina lui adresse un joli sourire :



Ma femme rougit un peu. Ça faisait bien longtemps ! Nous buvons tous une petite gorgée, Nina en boit une seconde tout de suite, sans doute pour évacuer une partie de son stress, puis elle repose son verre sur le cube. Faisant de même, James aménage l’un des coussins pour que le bassin de ma femme soit plus en hauteur, puis, se mettant de côté, il commence à la caresser sur tout le corps. Une main glisse lentement vers sa fente déjà luisante. Peu après, sa nouvelle compagne de jeu frémit quand des doigts experts commencent à titiller son clitoris avec précision et efficacité.



Parfaitement consentante, elle ouvre largement les cuisses pour faciliter l’accès. Oui, elle a visiblement une forte envie de cet homme, sa folie du jour ou plutôt du soir. Elle le regarde souvent droit dans les yeux, mais aussi parfois plus bas, en direction de la verge bien raide qui va bientôt pénétrer en elle.



Conciliant, James change de façon de faire. Nina soupire d’aise. Décidément, ce type semble s’y connaître. Peut-être vient-il ici assez régulièrement. Peut-être aussi qu’il a des années d’expérience en la matière. Quoique, dans certains cas, on apprend vite !


Avachie dans les gros coussins, ma femme frémit de plus en plus, elle halète bruyamment. Délaissant momentanément la fente maintenant fortement détrempée, James change d’emplacement, se positionnant entre ses cuisses, puis il continue à masturber ma femme. Lentement, il se cale, il s’installe au mieux.


Soudain, c’est avec sa verge qu’il taquine le clitoris de Nina, couvrant son gland de cyprine à l’intérieur des lèvres pour mieux revenir vers le bouton rose si sensible. Une main caresse un sein offert, jouant parfois avec un téton érigé. Ma femme vibre fortement sous cette double caresse.


L’épaisse verge s’aventure de plus en plus profondément entre les lèvres pour mieux ressortir ensuite. Ce petit jeu dure un certain temps, Nina se pince les lèvres. Taquin, James demande d’une voix grave et suave :



Délaissant son sein, se mettant en appui sur une seule main, James introduit la totalité de sa verge avec une facilité déconcertante ! Nina se met à gémir à haute voix :



Maintenant, en appui sur ses deux mains, James pistonne amplement ma femme qui vient de nouer ses jambes autour des reins de son amant, cherchant visiblement à l’attirer plus encore en elle. Les yeux fermés, elle se laisse totalement envahir, elle s’offre, elle se donne.



James ne dit rien, je constate qu’il se contrôle du mieux qu’il peut. Je parie que ce type est capable de rester raide un bon bout de temps et de faire jouir une femme ou des femmes trente-six fois, sans éjaculer. Je me demande même s’il n’a pas été ou s’il n’est pas un acteur X…



Soudain, une mélopée s’évade des lèvres de ma femme, elle est en train de jouir. C’est allé vite ! D’habitude, il lui faut dix fois plus de temps pour décoller ! Le contexte, la nouveauté, sans doute.



Lui obéissant, James la pistonne de plus en plus fortement tandis qu’elle l’attire à elle, ses seins à présent broyés sous le large torse viril de son amant. Les deux corps soudés vibrent à l’unisson.


Un dernier cri étrange, un dernier raidissement… Puis, Nina devient soudainement inerte, vaincue par la puissante vague qui vient de la submerger complètement, sombrant dans un demi-sommeil…


Maintenant, c’est acté : ma femme vient carrément de jouir comme une petite folle avec un autre homme que moi.




Canātim



À peine ma femme est-elle sortie de sa torpeur qu’elle recommence ses turpitudes !


Maintenant, c’est à quatre pattes sur les gros coussins qu’elle se fait allégrement besogner par James. Celui-ci lui a juste proposé de changer de position qu’elle s’est aussitôt mise en place ! Je ne me rappelle pas avoir eu de sa part tant d’entrain ! Ah si, c’est vrai, tout au début que nous nous fréquentions, elle y allait de bon cœur, mais elle s’est vite calmée.


L’attrait de la nouveauté, je suppose…


Je crois avoir déjà proposé cette explication. Cela étant, je suis quand même assez sidéré par ce que je vois depuis que James s’est invité parmi nous. Je reconnais que c’est… hmm… excitant de voir sa femme faire l’amour à un autre homme, mais… comment dire… ça me chagrine un peu qu’elle y mette tant d’enthousiasme.


En appui sur les coudes, ma femme rehausse ostensiblement le bassin pour que son nouvel amant puisse la pénétrer plus profondément encore. Les va-et-vient s’intensifient. De temps à autre, James fait couler un fin filet de lubrifiant pour faciliter encore plus les choses. Nina crie de plus en plus fort, elle est vraiment en train de prendre son pied, c’est évident. Mes caresses sur son clitoris y sont aussi pour quelque chose, je n’allais quand même pas rester les bras ballants, sans rien faire. Néanmoins, c’est bien l’une des premières fois que je la vois si chienne, je ne trouve pas d’autre mot…



Se retirant de la grotte dégoulinante, James se positionne autrement, sa verge posée sur la cuvette du petit trou de ma femme. Un nouveau filet de lubrifiant choit à cet endroit. Puis il agite son sexe bien imprégné comme s’il toquait contre une porte. Comme Nina ne semble pas s’offusquer, James continue son petit manège.


Soudain, Nina se cambre, présentant posément son séant. Ses jambes s’écartent aussi, comme pour être mieux en assises. J’écarquille les yeux, c’est clairement une invitation à la sodomie !


C’est aussi ce que comprend James puisqu’après avoir une fois de plus utilisé du lubrifiant, son gland luisant est posé bien dans l’axe, poussant contre le trou qui s’évase peu à peu. Puis celui-ci disparaît dans le cul de Nina qui soupire abondamment, mais qui se laisse faire. Lentement mais sûrement, James laissant toujours choir un fin filet de lubrifiant, la colonne de chair entre, centimètre par centimètre, jusqu’à ce que le bas-ventre vienne toucher les fesses offertes.


Moi qui avais tant voulu posséder cette porte que ma femme me refusait, et voilà que cet inconnu y arrive avec une facilité déconcertante !


Visiblement, ça plaît beaucoup à ma femme. James s’y prend lentement, mais puissamment, Nina ouvre grande la bouche comme pour aspirer encore plus d’air. Puis, doucement, mais sûrement, le rythme augmente, s’accélère, il plonge dans son cul de la même façon que dans sa chatte, le tout avec une incroyable intensité.


Nina se comporte comme si tout était naturel, comme si elle l’avait toujours fait…


Je décide d’intensifier mes caresses sur son clitoris complètement baveux. Nina gémit sans retenue, puis, soudain, elle tressaille, et pousse un long hululement de plaisir :



Agrippé à ses hanches, James se laisse alors aller, propulsant sa semence dans les profondes entrailles de ma femme. Tout en jouissant à son tour, il donne de grands coups de reins, pour mieux se vider dans cet endroit qui m’était pourtant interdit.


Tremblant, le couple reste figé, rivé l’un dans l’autre, tout en gémissant sourdement…


Puis James se retire lentement. Il marmonne quelque chose à l’oreille de ma femme, mais je n’entends rien de ce qui a pu se dire.


Un peu essoufflée, Nina se retourne alors vers moi avec un grand sourire que je lui rends aussitôt. Je suis quand même un peu vexé qu’elle ait pu se faire enculer par un autre homme, mais satisfait du plaisir qu’elle en avait retiré.


Me regardant droit dans les yeux, elle lance :



Eh bé, ma femme apprend vite ! Moi, je n’ai jamais pu m’introduire en elle par son petit trou, et voilà qu’elle me le réclame après l’avoir offert à un illustre inconnu. Et en plus, je soupçonne que c’est son amant qui lui a soufflé l’idée !


Mais je ne me fais pas prier d’aller investir cet endroit si secret…

Mais je suis le deuxième, pas le premier à l’investir de la sorte…




Turpitudes



Enfin, je suis plongé bien au chaud dans le cul de ma femme, ma verge coulissant dans ses profondeurs, lubrifiant et sperme me facilitant la tâche. Pourtant, cette victoire est en demi-teinte, car si je suis ancré en Nina, je le dois à un homme que nous ne connaissions même pas il y a une heure, voire peut-être une demi-heure, la notion de temps étant diffuse dans ce club.


Je la ramone du mieux que je peux afin de l’entendre gémir comme elle avait pu le faire avec James. Je plonge en elle, je m’enfonce en elle, je m’immerge en elle, tentant d’aller plus loin encore. La tension est telle que je ne résiste pas longtemps. Tandis que mes mains sont rivées aux hanches de Nina, j’expulse toutes mes réserves dans ce sombre endroit tant convoité !


L’esprit de plus en plus vacant, je me vide, je m’assèche…

Je mélange impudiquement mon sperme avec celui de cet autre homme.


Puis plus rien…

Je suis ailleurs…

Je flotte autrement…


Quand j’ouvre les yeux, Nina est en train de sucer avec application son nouvel amant. On dirait presque qu’elle est en adoration devant ce type, je le vois à cette petite lueur dans ses yeux. Ma femme ne déteste pas les découvertes comme aller dans des restaurants que nous ne connaissons pas, mais ce soir, le repas est très différent !


Ou devrais-je dire le dessert crémeux…


À ma grande surprise, des mains visiblement féminines me caressent. Je me retourne et je tombe nez à nez avec une mignonne blondinette, quasiment nue, simplement vêtue de bas et d’un redresse-seins qui présente sa poitrine en plateau. La demoiselle ressemble assez fortement à une Scandinave, mais je pense qu’elle est plutôt un « produit » local.


Toujours en train de se faire sucer, James prend la parole :



Avec un grand sourire, elle me répond :



Puis, sans complexe, une de ses mains s’empare de mon sexe avachi. James continue :



Flegmatique, James explique :



James caresse les cheveux de ma femme, toujours affairée dans son entrejambe :



En venant ici, j’ai un peu cherché cette situation. Mais la probabilité qu’elle survienne était pourtant très faible. Récupérer quatre As dans une main de cinq cartes est très faible, pourtant ça arrive, ça m’est arrivé, étant étudiant.


Je me lève, Virginie se plaque contre moi, me faisant bien sentir ses seins contre mon bras, sans cesser de me branler délicatement. Quelque chose me dit que cette femme doit être torride, une bombe au lit, comme on dit. À moi d’être à la hauteur de ce qui ressemble à un échange standard ou un lot de consolation, c’est selon.



C’est ainsi que je suis parti dans une autre section du club et que j’ai passé un moment ardent et excitant. Comparativement, Nina a encore beaucoup de chemin à parcourir pour arriver au niveau de Virginie ; idem pour moi, par rapport à James. Il est certain que je vais me souvenir de cet épisode jusqu’à mes derniers jours.


Mais ceci est une autre histoire que je garde pour moi, du moins, pour l’instant…




Repos



Plus tard, étant totalement vidé par Virginie qui s’est déniché ensuite un autre homme à épuiser, je reviens vers le coin aux coussins où j’ai laissé ma femme en compagnie de son amant qui me lance en me voyant arriver :



Il se met à sourire :



Assez fatiguée, toute nue, Nina est blottie amoureusement contre James qui la caresse délicatement. Décidément, cet homme sait s’y prendre avec les femmes, même avec la mienne qui râle parfois quand un homme veut lui faire simplement la bise afin de lui dire bonjour. Avec James, nous sommes largement au-delà de la simple bise affective…


Tout en jouant avec un sein et son téton, son amant du soir lui dit :



Tout en la plaquant contre lui, James se redresse un peu :



Je suis muettement étonné, ma femme est plus bruyante :



Les yeux de ma femme brillent :



Tout ceci amuse Nina :



Puis avant que je réagisse à cette solution qui m’exclut, il se tourne vers moi en ajoutant :



Je n’ai pas le temps de réfléchir à cette nouvelle donne surprenante, ma femme a déjà dit oui à ma place en se jetant au cou de son amant.




Écolière



Quand Nina a quelque chose dans la tête, il est difficile de lui faire changer d’avis, surtout quand c’est une nouveauté. Ça va faire une grosse demi-heure qu’elle est enfermée dans notre chambre. J’ai l’interdiction de la déranger tant qu’elle n’aura pas arrêté son choix. Donc j’attends…



Je la rejoins dans notre chambre, les enfants étant toujours devant la télé devant un long dessin animé. À peine ai-je ouvert la porte que je m’exclame :



Effectivement, elle est habillée en écolière. Pour le haut, elle a pris une chemisette blanche qu’elle a nouée sous ses menus seins restés libres, ce qui dévoile son nombril. Quant au milieu, il s’agit d’une jupette écossaise au ras de la moule, comme on dit. Enfin, plus bas, des socquettes blanches avec des souliers vernis. Pour parfaire le tout, deux couettes et du bleu sur les yeux.


L’image parfaite de collégienne ou de lycéenne dévergondée, tel que les jeunes et les vieux mâles en rut fantasment dans leur rêve mouillé…



Je soupire :



Je préfère ne pas répondre, je regarde plus attentivement :



Elle soulève sa jupette pour dévoiler ce qui ressemble au croisement d’un string et d’un filet à crevettes. Autant dire que ça ne cache pas grand-chose, je dirais même que c’est provocant.



Je suis dispensé de répondre, car on vient de sonner à la porte. Son James, a-t-elle dit ? Houlà, ça présage bien ! Enfilant un long manteau qu’elle referme plus ou moins, ma femme se précipite pour aller ouvrir. Les enfants ne détournent même pas la tête du téléviseur quand elle passe devant la porte du salon.


C’est effectivement James qui se présente à l’entrée. Me devançant, Nina lui ouvre la porte, et à peine est-il entré dans le couloir que ma femme en profite pour ouvrir grand le manteau qui la recouvre. Il affiche un sourire ravi :



Ma femme sautille carrément sur place, tant elle est excitée. James se tourne vers moi :



Je dodine de la tête :



Totalement excitée, Nina m’embrasse, puis elle part au bras de son amant. Je me demande si je vais réussir à m’endormir sachant ce que ma femme est en train de faire… Car quelque chose me dit qu’elle ira plus loin encore qu’hier.


Il suffit parfois de peu de choses, d’un déclic dans le bon contexte pour franchir la rivière et découvrir ensuite d’autres contrées, et parfois bien plus loin qu’on n’aurait osé l’imaginer…