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n° 21501Fiche technique25434 caractères25434
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Temps de lecture estimé : 15 mn
02/02/23
Résumé:  Julien était son patron réservé. Magali croquait la vie à pleines dents et l’a fait sortir de son cocon. Ils se retrouvent près de 10 ans plus tard, une étincelle suffit…
Critères:  fh ff fhh grp extracon cadeau revede vidéox facial fellation cunnilingu double sandwich init -rencontre -lieusexe
Auteur : Conteurreveur  (Gentleman séducteur)            Envoi mini-message
Soirée d'humeur Dorcelienne

Bonne année, Julien, je te souhaite le meilleur pour toi et tes proches. J’espère que tu vas bien…


Le WhatsApp (eh oui, fini le temps des SMS) arrive par ce lundi 2 janvier brumeux et nuageux, telle une éclaircie légère et intrigante.

Cela fait 10 ans que je n’ai pas vu Magali et plusieurs mois que je n’ai pas eu de ses nouvelles. Et pour cause, peu de temps après nos derniers ébats, elle a rencontré son prince charmant, eu un troisième enfant (suite aux deux premiers d’une première union) et plus récemment un quatrième. J’imagine son quotidien de mère de famille recomposée, quatre enfants, la reprise du boulot… Je suis à sa disposition quand elle veut donner des nouvelles et patiente lorsqu’elle n’en donne pas.

Je tente une réponse sympa sans être ridicule.



  • — HNY Caro. Que te souhaiter de plus, tu es déjà une femme comblée. J’espère que 2023 t’apportera à nouveau mille joies, bonheurs et plaisirs. Gros bisous.
  • — Joies, bonheurs, plaisirs, ça me plaît bien. Je prends. J’ajoute échanges, partages, écoutes respectives…
  • — Ah, je sens que tu as besoin de parler, toi.
  • — Mmmhhh, oui, en fait j’adorerais un dîner, on aurait le temps de parler de plein de choses, sans stress. Ça fait tellement longtemps qu’on ne s’est pas parlé en face à face.
  • — C’est vrai, le temps a filé très vite. Je vais m’arranger pour être disponible, cela me fait très plaisir de passer du temps avec toi.


Ni une ni deux, je suis sur l’organisation de notre soirée, car je sens que Magali a besoin d’une pause confort, voire réconfort. Je trouve un resto très agréable et cosy sur l’île Saint Louis et envoie un message à Magali pour lui confirmer l’adresse et l’heure. Une semaine plus tard, nous nous y retrouvons.


Je vois arriver Magali et donner son vêtement au chef de salle. Malgré les dix années qui nous séparent de notre précédente rencontre, Magali a peu changé. Elle reste telle que dans mon souvenir. Des cheveux blonds mi-longs, une jolie poitrine, sa taille s’est un peu épaissie, mais surtout elle a toujours ses yeux bleus coquins, rieurs, pétillants. J’adore, je suis sous le charme immédiatement.

Je me lève immédiatement pour lui faire la bise.



La bise est chaleureuse et, Magali, comme pour raccrocher les wagons des dix années passées et s’assurer que c’est bien réel, pose sa main droite juste au-dessus de ma hanche. Son sourire est radieux et elle semble aussi sous le charme.



Une case s’allume dans ma tête et je me demande si la main sur la hanche n’était pas le prétexte pour confirmer le bon état de la marchandise.



Le dîner est lancé, on se parle comme si on s’était vu la veille, de nos vies, de nos boulots, de nos espoirs ou de nos illusions. Il n’y a pas de faux semblants entre nous et notre immense respect mutuel nous permet de tout nous dire. Vraiment tout…



Je sens une pointe d’émotion dans la voix de Magali et ses joues rosissent légèrement.



Gloups… Quand Magali a prononcé le mot « joker », j’ai failli avaler de travers ma gorgée de Côte-rôtie.



Magali me regarde avec des yeux de cocker.



Puis, la gêne dissipée, la discussion dévie un peu. Nous parlons de nos couples, de la façon dont nous abordons les années à venir, de sexe aussi. Magali est très nature et parle facilement sans tabou de ce qu’elle aime et ce qu’elle aime moins, et me pose aussi des questions très intimes.



Le dîner touche à sa fin et Magali me propose de marcher un peu, car il ne fait pas trop froid ce soir, et elle adore les lumières de Paris la nuit.

Au détour d’une rue, nous passons devant un club libertin.



Booomm, j’ai le cœur qui bat à cent à l’heure, les tempes qui me chauffent, le cerveau en ébullition.

J’ai feint l’indifférence, mais la réalité est que je n’ai jamais osé rentrer dans un club, et une fois de plus, comme dix ans plus tôt, c’est Magali qui me pousse dans mes retranchements, me proposant de réaliser un de mes vieux fantasmes. Mais d’un autre côté, je sais que je perds le contrôle, que Magali va mener le jeu et ce n’est pas très fair-play avec cette posture de gentleman protecteur bienveillant.



Bon peut-être qu’elle en a très envie, qu’elle souhaite utiliser son joker à tout prix et que ma présence peut lui plaire ! Homme de peu de foi :



Nous entrons dans le club où l’ambiance est assez sombre et la clientèle plutôt bien habillée. L’accueil est sympa et prévenant en nous demandant si nous souhaitons découvrir le club par nous-mêmes ou être guidés. Magali toujours surprenante répond avec beaucoup d’aplomb que nous allons prendre un verre au bar directement.



Nous sirotons nos caïpirinhas au bar tranquillement, mais j’ai le sentiment que l’on nous observe un peu. Genre, il y a des petits nouveaux dans la cour de récré. Les femmes surtout, plutôt dans la cinquantaine, cherchent à accrocher mon regard et me font de grands sourires. L’une d’elles s’approche :



Avant que je ne prononce le moindre mot, Magali répond :



Et elle s’éloigne en me faisant un clin d’œil.


Je suis scié par l’aisance de Magali à répondre du tac au tac dans de telles circonstances. Elle en a profité pour se rapprocher de moi et me tient par le bras, comme pour affirmer sa possession.



Ouh là là, je perds complètement le contrôle, là. Magali semble de nouveau démoniaque.



Effectivement, les deux femmes dansent très lascivement en nous regardant très régulièrement. Tels des fauves prêts à fondre sur leur proie. Elles se déshabillent mutuellement et laissent apparaître un très bel ensemble bas et string pour l’une, guêpière et tanga pour l’autre. Il n’y a pas à dire, elles en jettent, mais bizarrement, je ne suis pas super excité. Celle en guêpière passe derrière l’autre et empaume ses seins, nous les montre ostensiblement, telle une offrande. Leurs bouches s’unissent pour un baiser humide et langoureux. Je prends subitement conscience de la présence de Magali collée à moi.



Nous nous enfonçons dans le club qui est finalement une cave assez grande aménagée de recoins. Nous passons devant une grande croix de Saint-André inoccupée sans nous y attarder, ce n’est pas notre créneau. Puis nous entendons gémir dans une alcôve séparée par une vitre. Accompagnés de trois couples, nous regardons ce qu’il s’y passe. Un homme est confortablement assis dans un fauteuil club, un verre à la main, et regarde une femme, visiblement sa compagne, se faire lécher par un jeune étalon qui a bien vingt ans de moins qu’elle. Allongée sur le dos, ses talons sont posés sur ses épaules musclées, ses jambes repliées haut, elle agrippe plus qu’elle ne caresse les cheveux de son amant.

Il semble bien s’y prendre, car l’épouse laisse exprimer son plaisir par des mots crus et encourageants.

Le bel étalon utilise ses doigts aussi et amène rapidement la femme à un premier orgasme.



Je détourne les yeux de Magali et lui donne raison. Plusieurs personnes se regroupent autour d’une sorte de très grand lit en forme ronde, rouge flashy, inondé de lumière par des projecteurs au plafond. Des poufs et tabourets entourent le lit. C’est visiblement le spot du club où l’on souhaite se montrer et être vu. D’ailleurs, trois personnes s’avancent vers le centre du lit au milieu de chuchotements des observateurs. Intrigués, nous nous approchons. Le spectacle est au rendez-vous. Le trio est composé d’une black sublime, aux cheveux très longs, avec une chute de rein à réveiller un mort et deux apollons blonds qui l’entourent déjà de leurs bras puissants. Le contraste est saisissant et ajoute une touche esthétique indéniable au show. C’est très beau, trop beau et je comprends qu’il s’agit de gogos payés par le club pour animer et/ou lancer la soirée. D’ailleurs, j’entends certains nommer la belle black Tigra, certainement une habituée… J’en suis dans mes pensées lorsque je vois Tigra ne pas perdre de temps et s’agenouiller entre les deux hommes pour prendre leur sexe en bouche alternativement, puis parfois simultanément. Elle est très active et montre une grande énergie à lécher, aspirer, masturber les deux verges d’une belle taille désormais.



Ça y est, j’ai le feu en moi. Sur le « lit scène », les choses s’accélèrent. Tigra est à quatre pattes en train de sucer avidement Mr Blond N° 1 face à elle, tandis que Mr Blond N° 2 est passé derrière et lui lèche sa fente et son anus avec délectation. Mais je pense que ce qui m’excite le plus c’est l’attitude de Magali, son regard si séduisant de gourmandise quand elle a chuchoté à mon oreille cette dernière phrase… D’ailleurs, elle se colle dans mon dos et je peux sentir sa poitrine gonflée par l’excitation et son souffle dans mon cou. Elle m’enserre de ses deux mains en les passant devant mon ventre, comme pour marquer sa possession.



En me disant ça, Magali a passé sa main gauche derrière moi et me caresse les fesses tout en douceur. Dès que le blond commence à aller et venir dans le sexe de Tigra, Magali me caresse beaucoup plus fermement, pressant mon fessier pour s’assurer qu’il est resté ferme et musclé après toutes ces années.



Magali est bouillante, je sens son souffle chaud dans mon cou. Sa main droite est descendue sur mon érection et vient me caresser à travers le pantalon. Je suis de nouveau à sa merci, elle me contrôle et va obtenir ce qu’elle veut de moi. C’est grisant. D’ailleurs, avec beaucoup d’habileté, Magali défait la boucle de ma ceinture et entrouvre mon pantalon, toujours calée derrière moi. J’ai le souffle court, la bouche sèche, je laisse Magali faire, car je sais par expérience que cela va encore être inoubliable. Elle baisse un peu mon pantalon et mon boxer et sa main derrière moi suit le sillon entre mes fesses jusqu’à effleurer mon anus, puis repart empaumer franchement l’une ou l’autre de mes fesses. Dans le même moment, sa main devant soupèse et caresse mes testicules, gonflés de désir, apprécie leur douceur et vient me masturber lentement la verge. Je suis tendu au maximum, Magali me fait des bisous dans le cou, me lèche le lobe de l’oreille. Personne ne semble prêter attention à nous, tous regardent le show sur le lit et se caressent mutuellement. D’ailleurs, les protagonistes ont changé de position. On entend désormais Tigra gémir, accroupie, elle est venue chevaucher et s’empaler sur le sexe de Blond N° 1 dos à lui tandis que Blond N° 2 semble lui donner des petites tapes sur le clito. Elle est belle à monter et descendre sur le vit de son amant. Elle y met du cœur et lors d’un mouvement plus ample je distingue que le sexe qui la pénètre va et vient dans son anus, luisant et distendu.


Magali a profité de ma fascination pour franchement baisser mon pantalon et passer devant moi. Elle se saisit d’un pouf et s’assied confortablement, son visage juste en face de ma verge. Elle me regarde avec ses yeux brûlants de désir, me saisit fermement les fesses puis amène mon sexe au contact de sa bouche. En un millième de seconde, je suis replongé dans notre aventure en séminaire et sa pipe magistrale vécue dix ans plus tôt. Les gens autour de moi n’existent plus, Tigra et les deux blonds ne m’intéressent guère plus. J’ai chaud, le cœur qui bat à cent à l’heure, mon sexe frémit déjà sous les premiers coups de langue de Magali. Surtout dès qu’elle passe sous mes testicules et qu’elle remonte vers mon gland en me lançant des regards de braise, je suis complètement hypnotisé. Je ne peux pas me détacher d’elle. Magali met tout son savoir-faire et son énergie pour mon plaisir. Ses mains caressent mes testicules, passent derrière mes fesses, glissent sur mon abdomen. Elle me tient, me possède, me domine presque. Elle va me faire jouir avec force, puissance, autorité, et j’ai beau lui avoir tenu un pseudo-discours de gentleman une heure plus tôt, elle me dompte en maîtrisant mon plus pur instinct animal. Qu’est-ce que c’est beau, qu’est-ce que c’est bon !

Une sorte de clameur venant du lit central me fait lever les yeux un instant. Comme prédit par Magali, Tigra est prise en sandwich par les deux blonds qui vont et viennent sans ménagement, l’un dans son sexe, l’autre dans son anus. Là encore, ce beau corps black pris entre deux étalons blonds forme un beau tableau. Mais même vu d’ici, la baise semble mécanique, orchestrée, chronométrée. Incomparable avec l’érotisme et la volupté dans lequel me plonge Magali.



D’ailleurs à peine avons-nous échangé ces morceaux de phrase que le trio prend la pose sur le lit. Tigra est à genoux, entourée de ses deux mâles qui se masturbent énergiquement au-dessus de son visage. Elle les regarde et tire la langue avec envie, scrutant le premier à venir, les premiers grondements libérateurs, la première salve à gicler. Puis le déluge s’abat sur ses joues, son front, sa bouche. L’un des deux blonds s’applique à viser la langue offerte de Tigra, mais celle-ci s’amuse à laisser couler le sperme sur son menton puis sur sa poitrine. Tigra lance ensuite des regards francs et directs à l’assistance, avec une certaine fierté et une lueur de défi.



En prononçant cette dernière phrase, Magali me regarde dans les yeux, me masturbe très vite et salive beaucoup sur mon gland. J’ai atteint le point de non-retour et je sens l’orgasme monter, monter, monter.



Magali continue à me masturber de plus belle et ouvre la bouche comme Tigra précédemment. Une première salve vient s’écraser sur son menton, une seconde beaucoup plus fournie vient zébrer en travers son visage de ses cheveux jusqu’à sa joue droite. Magali s’amuse ensuite à diriger les trois salves suivantes sur ses joues, ses lèvres, son menton. Je suis sidéré par l’érotisme et la puissance sexuelle de la situation. C’est au-delà de tout ce que j’ai pu imaginer. Magali me regarde, couverte de mon sperme avec un sourire coquin. Encore une image qui restera gravée à vie dans mon esprit, et elle le sait probablement. Je prends soudain conscience que plusieurs couples se sont intéressés à nous pour profiter de notre spectacle final. Plus que par des mots, je veux remercier Magali pour ce plaisir ultime et je saisis son visage au creux de mes mains pour venir le porter à mes lèvres. Je l’embrasse fougueusement et passionnément. Ce baiser a le goût de stupre, mais le message que je veux transmettre dépasse de très loin ces contingences pratiques. Magali me rend d’ailleurs ce baiser avec bonheur et enthousiasme, je la sens trembler et jouir dans l’instant.



Nous nous embrassons à nouveau et je me rends compte que la plupart des hommes présents ne s’intéressent plus à nous, mais que les femmes elles nous regardent avec beaucoup d’admiration, de tendresse, d’envie. L’une d’entre elles me fait un signe du pouce, comme si ce baiser partagé après cette éjac faciale était un réel moment de communion entre les deux amants et non une soumission de l’un à l’autre. C’est pour moi le moment le plus hot de ma soirée, cela ne fait aucun doute.

Magali me sort de ma torpeur.