n° 21524 | Fiche technique | 21670 caractères | 21670 3712 Temps de lecture estimé : 15 mn |
08/02/23 |
Résumé: Une expérience, deux cobayes, la solution... ? | ||||
Critères: #humour #sciencefiction #fantastique #initiation f h fh couple copains douche miroir lingerie hféminisé travesti cunnilingu pénétratio | ||||
Auteur : Antilope Envoi mini-message |
Cette fois, c’était la bonne.
J’avais testé plusieurs fois sur des animaux et aucun ne semblait présenter de séquelles.
Il fallait donc passer à la deuxième étape de cette expérience menée en toute illégalité.
Mais pour ça, il fallait être deux. Il me fallait donc trouver un cobaye.
Mais qui serait assez fou pour tenter une chose pareille ? Sachant qu’il y avait des risques, bien sûr, comme dans toute expérience médicale.
J’ai fait le tour de mes amis, de mes connaissances professionnelles et de mes élèves sans en trouver un seul suffisamment digne de confiance pour que je puisse seulement lui parler du sujet…
J’avais sous-estimé l’essai sur l’être humain… d’un coup, cela m’apparaissait comme un mur infranchissable.
Ayant conduit mon expérience sous l’effet de l’euphorie, je n’avais pas l’ombre d’un protocole officiel et rigoureux à proposer à d’éventuels candidats.
Pourtant ça marchait ! j’en avais eu la preuve lorsque cette minuscule souris avait poursuivi ce pauvre chat terrorisé pendant un après-midi entier, puis que tout était rentré dans l’ordre lors du retour arrière.
Un soir, alors que je me changeais les idées en préparant mon budget recherche pour l’an prochain, j’ai eu un coup de fil d’Isabelle.
Isabelle était une amie de longue date. J’avoue que je n’avais pas pensé à elle. Pourtant on se voyait souvent et nous étions toujours présents l’un pour l’autre lorsque l’envie de se confier se faisait sentir.
Il se trouve qu’elle était particulièrement bien roulée, en tout cas selon mes goûts, mais du fait de son homosexualité assumée, notre relation était toujours restée uniquement amicale à mon grand regret.
Pourtant, son physique me faisait de l’effet, et il m’était arrivé plus d’une fois d’avoir envie d’elle.
Loin d’être masculine, elle avait des seins très lourds, des hanches larges et tout un tas de petits reliefs et bourrelets particulièrement appétissants.
Quant à son cul, je n’aurais pas de mots pour le décrire, tant il était parfaitement proportionné à mon goût, c’est-à-dire large, mou, grand, bref parfait.
Isabelle vivait assez mal le fait d’avoir un corps aussi voluptueux, et se plaignait constamment de ses formes, de ses règles, des regards que les hommes jetaient sur elle…
C’est ce soir-là qu’après une longue discussion dans un bar autour d’une pinte comme deux potes, nous sommes arrivés à la conclusion qu’elle serait la candidate idéale pour faire l’expérience avec moi.
Elle était consciente des risques, mais me faisait confiance. Sans doute son côté tête brûlée. Elle avait surtout compris que ça pouvait être une expérience inoubliable, l’expérience de sa vie.
De mon côté, j’étais prêt depuis longtemps, et absolument comblé de l’avoir trouvée comme partenaire pour ce projet fou.
Nous avons choisi la date ensemble ainsi que la durée de l’expérience, car dans ce genre de situation, il faut toujours limiter les choses dans le temps. Vingt-quatre heures nous semblaient idéales.
Le jour J est enfin arrivé.
Nous nous sommes rejoints à mon labo le matin. J’y avais construit deux cabines indépendantes côte à côte complètement fermées.
La tension était palpable et même si quelques petites plaisanteries fusaient, l’ambiance était plutôt silencieuse.
Nous nous sommes installés chacun dans notre cabine, puis nous nous sommes déshabillés et allongés nus sur la table. Il ne restait qu’à se brancher à l’appareil à l’aide du casque.
J’ai lancé le protocole et nous avons plongé vers l’inconnu.
Au bout d’un temps indéterminé, j’ai perdu connaissance.
Lorsque je me suis réveillé et que j’ai ouvert les yeux, j’ai d’abord cru que l’expérience avait échoué. Rien ne semblait avoir changé. Normal, les deux cabines étaient identiques. J’ai regardé autour de moi et j’ai observé que je voyais mieux, même sans lunettes.
J’ai tenté de me redresser sur la table, et c’est là que je les ai sentis.
Ils étaient gros, ils étaient lourds, ils tiraient sur la peau de mon cou, ils étaient étalés sur mes bras, puis ils ont roulé sur moi. Ils se balançaient doucement, se cognaient mollement l’un dans l’autre.
Ça y est ! je les avais, ces seins magnifiques, si inaccessibles, ils étaient sur moi ! je pouvais les toucher, les tenir… les peloter !
Je me suis levé de la table, un peu étourdi, et j’ai failli tomber par terre, car je n’étais pas habitué à ce nouveau corps.
Une fois debout, j’avais l’impression de ressentir la gravité sur toute la surface de ma peau. Cela faisait comme si j’étais entouré d’un matelas d’eau qui ballottait dès que je me mettais à bouger.
La vue obstruée par cette énorme poitrine, je ne voyais rien de ce qui se passait en dessous, même pas mes pieds.
C’est donc à tâtons que j’ai exploré ma nouvelle anatomie, et je dois dire que j’ai été particulièrement paniqué lorsque j’ai constaté l’absence entre mes cuisses.
C’est pile à ce moment-là que j’ai entendu un cri de joie dans la cabine d’à côté :
J’ai été terrorisé par le son de ma propre voix. Comme si un monstre avait parlé dans ma tête.
Rien d’étonnant, je n’avais pas que ses seins, j’avais aussi sa voix, sa chatte, ses fesses, son ventre, ses cheveux, ses cuisses, ses pieds, ses mains…
Chacun avait laissé un sac de vêtements de sa propre garde-robe pour que « l’autre » ait de quoi vivre pendant la durée de l’expérience.
Nous avions convenu que chacun pourrait découvrir son nouveau corps, mais ne pourrait pas faire l’amour avec une autre personne.
Isabelle avait suggéré que nous fassions l’Amour entre nous.
En tant que lesbienne, elle était enthousiaste à l’idée de pénétrer un corps de femme, mais moi, je n’étais pas prêt du tout à me faire prendre par un mec, même si c’était un mec particulièrement familier…
Alors que je prenais mes marques, avec difficulté, je l’ai entendu crier :
La porte a claqué. J’étais terrorisée. Elle était partie en me laissant seul avec son corps qui me semblait si inadapté. Qu’allait-elle faire ? J’espérais qu’elle respecterait notre engagement.
Il fallait que je me reprenne. Elle avait eu beaucoup moins de mal que moi à s’adapter.
Peut-être parce que depuis toujours elle se sentait homme… et moi, je ne me sentais pas du tout femme…
Mais l’idée de vivre une journée entière dans ce corps de rêve et d’avoir les mêmes sensations qu’une femme m’excitait énormément. Sauf, bien sûr, si Isabelle décidait de ne jamais réapparaître… !
D’un coup, cette idée m’a rempli d’effroi. Non ! elle ne ferait pas ça ! il fallait que je garde confiance en elle.
J’ai ouvert le sac qu’elle m’avait laissé. Il y avait dedans une lettre :
Salut !
J’espère que tu te débrouilleras mieux que moi dans ce corps.
Je te laisse découvrir mon quotidien grâce à un petit « package » issu de ma garde-robe. J’ai essayé de rester raisonnable pour que tu ne galères pas trop.
Pour ma part, je pars à la découverte des plaisirs masculins que je convoite depuis toujours :
• pisser contre un mur…
• me bourrer la gueule tranquillement dans un bar sans me faire draguer ;
• aller en boîte sans me faire draguer…
• me branler avec ta queue !
• emballer une nana ! mais ne t’inquiètes pas, je ne violerai pas notre accord, je ne coucherai pas !
• aller à la piscine sans me faire reluquer et plonger sans perdre mon maillot.
Un instant, j’ai songé que pour vraiment découvrir ma nouvelle condition de femme, je devais faire exactement la même chose :
• pisser derrière un arbre ;
• me faire offrir un verre dans un bar ;
• aller en boîte et me faire draguer ;
• me masturber avec un coussin ;
• brancher un mec ;
• et aller à la piscine en bikini…
Mouais… on verra… J’étais moyennement motivé.
Commençons déjà par regarder le reste du sac. Il contenait un panel de vêtements allant de l’ultra sexy au standard.
J’ai passé pas mal de temps devant la glace de la salle de bain à jouer à la poupée avec ce corps voluptueux.
Puis je suis sorti découvrir le monde moi aussi… et je n’ai pas été déçu.
J’ai très rapidement découvert les multiples petits désagréments d’un corps de femme…
Depuis la culotte qui rentre dans la raie des fesses, jusqu’aux seins qui tombent du soutif quand on se penche, en passant par la jupe qui remonte… tout y est passé.
Certes, je n’avais pas une grande expérience de l’habit féminin, mais je n’avais pas non plus choisi les vêtements les plus hardcores.
Le pire, c’était les talons… ingérables ! Mais ça, c’était avant que je n’enjambe un muret et que l’élastique du côté droit de ma culotte ne me rentre dans la chatte. Après cet incident, le simple fait de marcher était devenu extrêmement dérangeant. Évidemment, impossible de le ressortir. J’avais beau me contorsionner dans tous les sens, rien à faire…
Et ces seins, quelle plaie ! je ne savais plus quoi en faire, ils bougeaient tout le temps et j’avais l’impression que tout le monde les regardait. Avec le froid, les tétons étaient devenus durs et crevaient le tissu du chemisier. Pas encore habitué à leur volume, je n’arrêtais pas de les cogner.
Descendre un escalier était un cauchemar. Je devais me rhabiller à chaque fois.
Et puis il y avait cette envie de pisser… constante, et qui ne faisait que s’aggraver…
J’étais terrorisé à l’idée de me servir des toilettes des femmes. D’abord, je n’avais aucune idée de ce que j’allais y trouver, mais en plus j’étais un mec, et j’avais peur d’avoir une attitude ou des regards déplacés et de me faire démasquer.
Absurde… j’avais un corps de femme, je devais donc aller dans les toilettes des femmes !
Je reculais le moment fatidique et continuais à marcher dans la rue…
J’étais excité de me promener au milieu de tout le monde avec ce corps et de sentir mes fesses et mes seins bouger… J’aurais voulu marcher quelques mètres derrière moi pour pouvoir me mater. Évidemment, je ne bandais pas, je ne pouvais plus ! Je mouillais…
… et ça coulait, ça coulait, je n’en pouvais plus de ce truc visqueux entre mes cuisses. Je sentais mes deux lèvres glisser l’une contre l’autre lorsque je marchais, et l’élastique de ma culotte qui baignait toujours dedans depuis des heures… je sentais le tissu de mon fond de culotte devenir de plus en plus lourd et pendouiller… pouvais-je encore m’asseoir sans laisser une trace sur la chaise ? Mais comment pouvait-elle supporter ça au quotidien ?
J’avais de plus en plus de mal à me retenir et j’allais devoir vivre ma première vraie expérience de femme sous peine de me pisser dessus en pleine rue. Là où, avant, mon corps de mec avait juste besoin de serrer légèrement ses sphincters, il fallait maintenant fournir un effort énorme et croiser les jambes pour ne pas tout lâcher.
Je suis rentré dans un café et j’ai commandé, puis je suis allé aux toilettes.
Il y avait quatre filles qui faisaient la queue devant les toilettes pour femmes, et bien sûr, personne devant les toilettes pour hommes ! Quelle injustice ! Mais j’ai patiemment attendu mon tour, en me dandinant, les jambes toujours croisées de peur qu’une catastrophe se produise.
Alors que j’étais le prochain, la fille devant moi est sortie en disant :
Elle n’avait même pas fini de se rhabiller, probablement pour me faire gagner du temps. Solidarité féminine… La pauvre n’a pas remarqué que mon regard avait plongé directement vers son entrejambe…
À l’intérieur, c’était des toilettes à la turque ! J’avais tiré le gros lot ! Elle avait raison, c’était immonde.
J’ai remonté ma jupe et baissé ma culotte, puis je me suis accroupi, ne sachant pas trop comment faire. J’ai tout lâché…
La suite a été catastrophique.
Il ne s’est d’abord rien passé pendant quelques secondes, puis il y a eu une sorte d’explosion qui a tout aspergé en dessous de moi et ensuite un jet plat hyper puissant est parti de travers, d’abord directement sur mon pied, puis un peu dans toutes les directions. Je ne contrôlais rien. En plus, ça coulait sur mes fesses. Lorsque j’ai terminé, j’en avais partout. C’est là, alors que ça gouttait en dessous de moi que je me suis aperçu que je n’avais rien pour m’essuyer, et bien sûr, pas de papier toilette.
Je me suis relevé… j’ai senti des gouttes couler le long de mes jambes jusque dans mes chaussures. J’ai remis ma culotte qui avait été aspergée abondamment et je suis sorti devant le regard compatissant de mes semblables.
La conclusion de cette expérience lamentable était qu’il ne fallait pas se retenir aussi longtemps !
Impossible de me rasseoir, j’ai payé le café sans le boire, et j’ai continué mon chemin.
Je pensais à Isabelle. Comment se débrouillait-elle ? Que faisait-elle ?
C’est sur le chemin du retour que la démangeaison a commencé.
Au fur et à mesure que ma culotte séchait, ça devenait insupportable. Au point que j’ai dû m’arrêter plusieurs fois dans des endroits isolés pour me gratter discrètement sous ma jupe.
Alors que je pressais le pas pour arriver plus vite et me débarrasser de cette culotte trempée, je suis tombé sur un spécimen particulièrement gratiné du gros lourd… celui qui vous tombe dessus au plus mauvais moment. Celui que toute femme croise de temps en temps. Moi, je l’avais dès le premier jour. Décidément, j’étais particulièrement bien servi.
Il me suivait, je n’arrivais pas à m’en débarrasser même en pressant le pas. Mon cœur battait de plus en plus vite. J’étais terrorisé. Plus que tout, j’aurais voulu qu’Isabelle soit là. Elle, au moins, avait l’habitude… elle saurait quoi faire…
J’ai réfléchi à la scène qui était en train de se dérouler.
Moi, si désarmé devant ce qui n’était autre que le quotidien de toutes les femmes, et j’ai ri face au ridicule de la situation et à la peur qu’elle m’infligeait.
Cela a sonné le clap de fin…
Il a abandonné, mais mon cœur, lui, a continué à battre la chamade longtemps après.
Après ces émotions, je suis arrivé à la maison où une bonne douche m’attendait. Je dois dire que ce moment a été particulièrement agréable, car j’en ai profité pour découvrir la masturbation féminine. Cela s’est révélé très facile. Il suffisait de diriger le pommeau de douche au bon endroit…
J’ai enfin compris à quoi servaient les douchettes à plusieurs jets. Ça a été une sorte de révélation ! Je ne regarderai plus jamais de la même façon le rayon des douches dans les magasins de bricolage…
Le plaisir commençait à monter très vite, et débouchait au bout de quelques minutes sur un orage de sensations intenses que je n’avais jamais senti jusqu’alors. C’était différent de ce que je connaissais dans mon corps de mec, je ne saurais dire comment. Plus diffus, plus long, moins violent que l’orgasme masculin, mais plus fort.
J’en ai enchaîné trois ou quatre.
Mais il fallait maintenant se préparer pour la soirée. Bien sûr, la boîte gay s’imposait. Foncièrement hétéro, je ne pouvais imaginer me faire draguer par un mec.
« Le Swap » ! Le nom, évocateur de cette boîte qu’Isabelle m’avait fait découvrir un jour, était particulièrement approprié à ma situation. Je suis rentré comme une lettre à la poste, grâce aux vêtements qu’elle avait judicieusement choisis.
La robe était courte, et avec mon string en dessous, j’avais la sensation d’être complètement à poil, au point de vérifier régulièrement si mes fesses étaient toujours couvertes.
Le décolleté était plongeant, mais cette fois, j’avais testé le soutif en sautant plusieurs fois sur place devant la glace.
À l’intérieur, il y avait de tout. Des couples, des hommes avec des hommes et des femmes avec des femmes…
Je suis allé au bar pour prendre un verre, et ensuite ça s’est enchaîné.
Sur la piste de danse, j’étais constamment approché par des nanas qui étaient loin d’être farouches. L’une d’elles a même réussi à mettre sa main dans ma culotte pendant qu’elle dansait collée contre mon dos.
Je dois dire que je me suis laissé faire et j’en ai même profité un peu ! Évidemment, pour le mec qui était dans ma tête, c’était le paradis, mais Isabelle apprécierait-elle vraiment ce que je faisais ?
En plus, les gens autour de moi semblaient me reconnaître. Était-elle une habituée de l’endroit ? Était-ce vraiment une bonne idée de venir ici ?
Alors que je reprenais un verre au bar, j’ai eu la réponse sous la forme d’une grande claque sur mes fesses, donnée par un mec derrière moi.
Je me préparais à éconduire ce malotru, oubliant que j’avais laissé une autre main rentrer dans ma culotte sans résister cinq minutes avant.
En me retournant, je me suis retrouvé face à… moi-même !
Et ce « moi même » m’a dit :
C’était Isabelle, nous nous sommes pris dans les bras, heureux de nous retrouver.
Nous avons décidé de quitter cet endroit.
Sur le trottoir, à la sortie, il pleuvait. Je ne sais pourquoi, nous avons repris nos réflexes primaires. Je suis allé appeler le taxi pendant qu’Isabelle est restée sous le porche, à attendre.
Alors que le taxi approchait, le gros lourd est réapparu.
Oh non ! Pitié ! Pas lui ! Pas maintenant !
Avant même que j’aie le temps de réagir, je me prenais une autre claque sur les fesses, puis il m’a enlacé avec son bras.
Alors, soudain, Isabelle est arrivée derrière lui, lui a fait une clef autour du cou avec son coude, enfin, avec mon coude. Il s’en est suivi une lutte acharnée. Le gars était petit, mais hargneux. Je la voyais prendre des coups en me disant que, dans quelques heures, ce serait moi qui aurais mal…
Heureusement, elle en donnait aussi, et a fini par avoir le dessus et mettre en déroute cet abruti.
Nous sommes montés dans le taxi et sommes allés chez moi. Isabelle avait la lèvre qui saignait et un bleu à l’arcade sourcilière. Je l’ai soigné en arrivant… enfin, plutôt je me suis soigné.
Alors que je passais de la pommade sur son front, elle a commencé à me caresser les seins. Mais que pouvais-je dire, c’était les siens !
C’est là qu’elle m’a fait cette demande étrange :
J’ai accepté. Après tout, si c’était encore mieux que la douche…
Nous nous sommes mis en position. Moi, sur le dos, jambes écartées sur le lit, elle, à genoux par terre, la figure entre mes jambes.
Dès les premiers coups de langue, ce fut purement fantastique. Un frisson me traversait à chaque frôlement. L’intensité augmentait au fur et à mesure qu’elle accélérait et qu’elle appuyait plus fort sur ce qui devait être son clitoris.
Je perdais doucement le contrôle…
Tout à coup, un ouragan m’a envahi. Incapable de respirer, je me tordais sous l’effet des décharges de plaisir qu’elle m’infligeait en poussant des cris incontrôlés. Cela a semblé durer une éternité, jusqu’à ce que tout contact avec sa langue devienne une torture. Je me suis alors dégagé de son étreinte pour resserrer les jambes, rouge sous l’effet de l’effort et hors d’haleine.
Et nous avons éclaté de rire.
Alors que je reprenais encore mon souffle, elle m’a dit :
J’ai réfléchi, et je me suis dit que l’expérience ne serait pas complète si nous n’allions pas jusqu’au bout. Alors j’ai accepté à nouveau.
Lorsqu’elle m’a pénétré, un nouvel orage de sensations m’a percuté de plein fouet. C’était totalement différent, même alors qu’elle ne s’y prenait pas très bien, étant beaucoup moins expérimentée avec une bite qu’avec une langue.
Elle m’a fait l’Amour, et j’ai aimé ça. Nous avons joui en même temps comme un couple amoureux, c’était fantastique !
Je suis tombé des nues.
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Le retour arrière a été particulièrement douloureux pour moi. À la fin du protocole de transformation, les multiples contusions qu’elle avait subies pendant sa bagarre se sont manifestées soudainement, toutes en même temps, comme si je recevais à nouveau les coups.
Mes gémissements de douleur l’ont alertée. Elle est sortie de sa cabine et m’a rejoint dans la mienne. Elle était complètement nue, plus belle que jamais.
Sa poitrine se balançait doucement, ses hanches m’hypnotisaient, et ses grands yeux doux me regardaient.
Elle s’est allongée à côté de moi, tendrement, et m’a dit :
Tout en me chevauchant, elle m’a dit :