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n° 21525Fiche technique18862 caractères18862
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Temps de lecture estimé : 11 mn
08/02/23
Résumé:  Une troublante coiffeuse, voisine de travail, objet de fantasme ou de réalité ?
Critères:  fh coiffure cérébral miroir odeurs fellation pénétratio confession -rencontre -voisins
Auteur : bleusombre            Envoi mini-message
Ma voisine la coiffeuse

Je me prénomme « O » et, juste à côté de mon lieu de travail, il y a un salon de coiffure. Pourquoi je vous parle de ce salon de coiffure ? En fait, cela fait des années que je suis tombé sous le charme de sa gérante, « L ».


Malgré un parking à disposition au pied de mon bureau, j’ai longtemps faussement estimé qu’il était complet à l’heure où j’arrivais… Alors je me garais sur un parking un peu plus loin qui « m’obligeait » à passer devant le passage piéton situé juste en face du fameux salon. Selon l’heure ou la saison, je pouvais avoir une journée rayonnante si la clarté était au rendez-vous à travers la vitrine, ou une journée monotone si le contre-jour m’empêchait d’admirer quoi que ce soit.


J’ai toujours eu peur de paraître voyeur ou marcheur insistant, mais c’était plus fort que moi, même le midi, ou le soir, je mettais un point d’honneur à passer devant ce divin salon.


Il m’importait de l’apercevoir, de connaître sa tenue du jour ; en effet, elle était toujours très bien apprêtée, avec goût, toujours joliment distinguée… Une belle ode à la féminité, car rarement en jean-basket, souvent avec une jolie robe, des talons ou des bottes… Bref, toujours raffinée, et moi, toujours subjugué.


Au bout de plusieurs mois, j’ai fini par me décider : prendre un rendez-vous pour me faire couper les cheveux. Rien de plus classique dans un salon de coiffure… Sauf qu’il n’en était rien et que j’ai dû prendre mon courage à deux mains. Le salon est ouvert entre midi et deux le vendredi, c’était donc parfait. Le fameux rendez-vous est arrivé, j’avais autant hâte que peur. Il ne fut que très court, car ce moment s’est avéré fort agréable, j’ai pu enfin discuter et sentir la proximité de ma coiffeuse. Et « malheureusement », mon sentiment ne fit que se confirmer et s’amplifier. En plus d’une beauté nature, sa jovialité et son sourire m’ont touché. Le moment était délicieux, j’aurais voulu qu’il s’éternise bien plus longtemps.


Les semaines et mois passaient, et je prenais de temps à autre rendez-vous chez elle pour me faire couper les cheveux. Chacun de ces moments était fort agréable.

Je n’avais aucune idée de son ressenti à elle, elle était toujours très professionnelle et elle ne laissait rien ressortir de ses émotions.


Un midi après un repas bien arrosé avec les collègues, passant juste devant son salon, je me prenais à fantasmer… Et la légèreté aidant, avec un soupçon d’impertinence, je me décide à lui adresser un message via son compte Facebook. Un acte dont j’ai encore parfois très honte, je conçois moi-même que ce n’est pas très cavalier. J’étais sûr de ne recevoir aucune réponse et, à ma plus grande surprise, j’ai reçu un message, pas forcément des plus agréables, car je suis en plus tombé sur une période délicate qu’elle traversait. Je m’en suis longuement voulu et n’ai pas donné suite.


Quelques mois plus tard, pensant toujours à elle, je lui envoie un nouveau message pour lui souhaiter une belle année. J’obtiens une réponse plutôt brève, je lui demande si je suis démasqué, elle m’affirme que oui…, mais la discussion ne s’élève pas plus, elle reste toujours sobre, professionnelle. Et je n’insiste pas. Si tout doit rester ainsi, alors qu’il en soit ainsi !


Pendant presque trois mois, nous échangeons de très très rares messages, quatre ou cinq tout au plus : de bonne année, de santé… mais rien de plus.


Et puis cela fait deux ans, deux ans que je n’ai plus daigné envoyer le moindre message, deux ans que je fréquente moins le bureau (ah, le covid) et que je ne passe que très rarement devant le salon. C’est simplement le chemin de la vie, et malgré ces pensées obsédantes, je me rappelle souvent que je suis marié et père, et que cette charmante coiffeuse est également en couple et maman.


Mais voilà, cette nuit, une nuit terrible d’insomnie, sûrement provoquée par ces quintes de toux d’un reliquat de bronchite, ma coiffeuse hante mon esprit pendant des heures, et mon cerveau imagine un de mes plus fous fantasmes…


Le lendemain, ce fantasme absolu, je décide de l’écrire, de le partager sur le site de référence des histoires érotiques, et d’envoyer le lien à ma coiffeuse. Une façon de lui dire mes pensées, sans lui exprimer en face, c’est peut-être un manque de courage, mais pour moi, plus justement, un acte de respect, en me dévoilant en toute sincérité et surtout en respectant son anonymat.



Voici ce que mon imaginaire m’a fait vivre :


Alors un soir de milieu de semaine, décidé comme jamais, je décide d’aller prendre rendez-vous chez ma fameuse coiffeuse pour le vendredi midi.

J’arrive juste à temps, elle est sur le point de fermer le salon. Les lumières sont quasiment toutes éteintes, le sol est humide… Je me sens gêné d’arriver si tardivement et je lui présente mes excuses pour ce dérangement, exprimant une demande de rendez-vous qui ne prendra que quelques secondes.

Je suis vite rassuré, son humeur si joviale et son beau sourire la traduisent très détendue. Elle est calée derrière son comptoir, je devine une robe printanière colorée avec un décolleté aux bordures de dentelle discret, mais perturbant.

Elle m’annonce qu’elle n’a pas de place pour ce vendredi midi… Je fais la moue, et me trouve quelque peu désemparé. Voyant ma déception, elle me propose de me prendre de suite pour terminer sa journée, argumentant qu’une coupe homme comme la mienne n’est pas chronophage. Je reste totalement sans voix à cette proposition. J’insiste que le salon est propre, qu’elle a sûrement envie de rentrer, mais elle m’affirme ne pas avoir de contraintes et peut tout à fait prendre le temps qu’il faut.


Certes, je suis enfin convaincu sauf que le salon ne prend pas les règlements par carte, et n’ayant jamais de liquide sur moi, je n’ai rien pour régler, et il me paraît abusé de demander à nouveau 5 ou 10 minutes pour aller retirer du liquide au distributeur le plus proche. Mais là encore, elle est très compréhensible et me laisse le temps d’aller faire mon retrait.


Je ressors très perturbé du salon… Je file au distributeur et en chemin, tellement gêné par mon arrivée impromptue et sa générosité de me recevoir, je décide de repasser par le bureau où j’ai une bonne bouteille de vin rouge dans le bas du frigo. Je prends également deux verres à vin. Me voilà plus confiant, histoire de me faire pardonner.


De retour devant le salon, je suis calmé, car les stores sont baissés et je ne vois que très peu de lumière. Elle a dû me faire une blague, fermer le salon et rentrer chez elle. Avant de tourner les talons, je toque doucement à la porte. J’entends des bruits de talons s’approcher, le bruit de la serrure se déverrouiller, et la porte s’entrouvre soudain devant moi.

Elle s’excuse de cet accueil, mais m’affirme ne pas vouloir que le salon apparaisse comme encore ouvert à cette heure-ci de peur de ne plus avoir à terminer la journée, ce que je comprends aisément. J’en profite pour enchaîner sur le fait que je lui propose de partager un verre de vin afin de m’excuser d’être le client « relou » du jour. Là aussi, où cette proposition semblait un peu osée, elle a semblé enthousiaste et, à l’heure qu’il était, c’était justement le moment de l’apéritif.

J’en profite pour l’admirer en entier, et je relève sa paire de bottines très sexy qui, juste au-dessus et jusqu’au bas de sa robe dentelée, laisse apparaître un début de jambes divines.


Je propose d’ouvrir la bouteille et de lui servir un verre, mais toujours en tout professionnalisme, elle me dit vouloir « s’occuper de moi » - j’adore - avant de boire. Je débouche tout de même la bouteille et me dépêche de « m’offrir » à elle. Elle me passe la tenue adéquate, me glisse une serviette autour du cou et m’invite à m’asseoir pour le lavage des cheveux. Je me laisse entièrement diriger, ses gestes sont doux et affirmés.

Confortablement installé dans le fauteuil, grâce au miroir placé devant moi, je ne vois que son visage, ses belles lunettes rondes qui lui donnent ce charme et fou et sa bouche joliment dessinée qui est totalement envoûtante. Je me noie autant dans ses yeux que dans sa bouche !


Le lavage débute et je me laisse emporter par les caresses qu’elle me procure sur le crâne. Elle souligne la qualité et densité de mon cheveu, je ne l’écoute qu’à moitié, je suis parti dans une vague étourdissante. Elle alterne les gestes fermes et assurés et les délicates caresses, ce mixte est troublant. Elle est la seule à parler, je suis ailleurs, je réponds « oui » à tout… Je me laisse aller entre ses mains expertes.

Le shampoing terminé, elle se poste devant moi et me sèche les cheveux en se penchant, je suis absorbé par le débordement de sa poitrine voluptueuse qui s’offre à mes yeux.


Elle m’installe ensuite devant le miroir, et débute le travail, très absorbée pour bien faire. J’aimerais que ce moment ne s’arrête jamais, je me délecte de l’observer dans le miroir sous toutes ses coutures. Elle est tout simplement à croquer, telle une pomme colorée, fraîche et juteuse. Il y a peu d’échanges, de mon côté, je reste quasi telle une statue pour ne pas importuner son travail et elle s’applique au maximum, ces gestes sont sûrs et calculés. La séquence est rapide, trop à mon goût, mais elle semble toujours aussi radieuse et, après avoir passé un coup de balai rapide et s’être lavé les mains, elle me suggère de boire un verre en guise de fin de journée. Je sers deux verres avec générosité, c’est un Saint-Joseph, et lui tends son verre en lui proposant de trinquer afin de la remercier de sa disponibilité et de son accueil.


Le premier verre lance le débat sur la qualité du vin ; il est de robe sombre, tannique et puissant, avec une très belle matière. J’en profite pour briller un peu de mes anciennes expériences dans le monde du vin. Elle semble apprécier et être également connaisseuse. Je nous ressers, toujours généreusement.

Ne tenant plus, j’en viens à lui avouer mon admiration pour elle depuis des années, lui exprimant mes rites les plus ridicules pour pouvoir l’observer. Je la sens intimidée, mais toujours souriante, moi qui avais peur qu’elle puisse se braquer.

Lancer pour lancer, je lui décris ma fascination par son visage, son attitude, ses tenues… J’en profite pour souligner que j’adore celle qu’elle arbore justement, que ses bottines sont craquantes.


Après ce discours, le silence se fait… Elle finit par le rompre en s’approchant de moi, m’affirmant qu’il y a une mèche qui persiste qu’elle n’a pas vue. Son visage s’approche du mien, elle passe sa main dans mes cheveux et, en toute inconscience, emporté par mes aveux cachés, je pose mes lèvres sur les siennes, si rouges, si belles. Nous restons figés un instant, bouche contre bouche, le parfum du Saint-Joseph en suspens.


Nos lèvres finissent par s’entrouvrir et nos langues timides se rencontrent puis s’emmêlent dans un manège incessant, humide et tannique.

Le baiser n’en finit pas, il est langoureux et aucun de nous ne paraît vouloir l’arrêter. Je pressens qu’elle aimerait me glisser la main dans les cheveux, mais ne doit pas oser « saboter » son joli travail. De mon côté, l’une de mes mains glisse sur le satin léger de sa robe, depuis son épaule jusqu’à sa chute de reins, qui lui fait faire un léger rebond de surprise tout contre moi. Ce geste me tend, car mon sexe est en pleine érection, et, bousculé par ce baiser imprévu, j’ai peur qu’elle se braque. Il n’en est rien, et sa main fait de même en direction du bas de mon dos. Nous ne faisons plus qu’un, et les respirations s’intensifient lorsque ma main arrive sur ses fesses. À travers la douceur du tissu, je sens la couture d’un tanga, mes palpitations sont extrêmes… Graal absolu, en poursuivant ma descente, je devine la couture d’un bas, couleur chair. Je suis envoûté.


L’excitation est à son comble, l’un comme l’autre oscillons entre la tendresse et l’agression, mes mains n’arrêtent pas de la découvrir : ses jambes, ses fesses, son dos, je glisse ma langue dans son cou et je la sens frissonner. Mes mains arrivent sur ses seins, je sens ses tétons gonflés à travers le tissu, avec douceur, je les approche… c’est un délice, ce jeu de "touché". Ses mains à elle sont sur mes fesses et exercent une pression pour que mon corps se rapproche du sien. Je pressens qu’il lui tarde de sentir mon sexe gonflé contre le sien.


L’une de mes mains trouve la faille dans le joli décolleté et, peau contre peau, vient prendre un sein brûlant qui ne demande qu’à être goûté… Je m’y précipite et joue de ma langue sur ce téton sensible. Une autre de mes mains s’est aventurée sous la robe, caressant la couture des bas et remontant avec délicatesse vers un sexe s’annonçant brûlant… Il est trempé, et j’y introduis un doigt habile, ma coiffeuse soupire, la tête en arrière, son corps entier s’offrant à moi.


Elle entreprend, entre nos deux corps resserrés, de glisser une main sur mon pantalon gonflé. Mon sexe est dur, il n’attend plus qu’à être libéré, ce que ma coiffeuse comprend bien, et non sans mal, elle dégrafe ma ceinture et déboutonne mon jean. Ma queue rendue presque douloureuse manque presque de percer mon boxer. Elle joue avec en me caressant à travers le tissu soyeux. Elle descend à présent tout en douceur le long de mon corps, et sa bouche rejoint sa main. Sa langue parcourt mon boxer, mon sexe est prêt à exploser. Elle le libère, l’attrape à pleine main et commence un va-et-vient qui augmente sauvagement mon rythme cardiaque. Sa langue commence à déguster mon gland, timidement, et j’en profite pour me délecter de ce moment dans le miroir. Mon sexe ne cesse de gonfler, ma coiffeuse salive généreusement dessus, pour finir par l’engloutir dans sa divine bouche avec une gourmandise et une lenteur comme si elle s’en délectait.


Après un tel moment, si près d’exploser que je dois l’arrêter dans son entreprise, je l’invite à nous déplacer légèrement, je prends place sur le fauteuil-lavabo, je sors un préservatif et me l’installe délicatement sur ma queue en feu. Je l’amène par la main à s’asseoir sur moi, dos à moi. J’écarte son tanga plus que trempé et je place mon sexe en elle. Un petit râle de plaisir sort de sa bouche et elle débute un petit va-et-vient tout en douceur qui me plonge dans un état second. Je tente à tout prix de me maîtriser pour ne pas jouir trop tôt en elle et lui procurer un plaisir prolongé. Je réalise qu’à présent c’est elle qui peut observer nos ébats dans les miroirs. Aussi, je décale doucement ma tête et admire ma coiffeuse se mordiller les lèvres et se régaler de ce moment.

Je profite de cette position pour lui prendre les deux seins, chacun dans une main, ils sont gonflés et volontaires.


Je suis près de faire jaillir ma semence, mais je veux encore rendre ce moment encore plus intense. D’un mouvement du bassin, et en positionnant mes mains sur ses fesses, je lui fais comprendre de se lever et l’amène, toujours dos à moi, devant le miroir, ses mains posées sur la tablette. Je relève sa robe jusqu’à sa taille, et je la libère enfin de son tanga, définitivement à essorer. Je lui écarte légèrement les jambes, sa croupe divine s’offre à moi, depuis ses petites bottines sexy jusqu’à son sexe si gourmand. C’est à genoux que je m’installe et que je commence à lui lécher ses chevilles, ses mollets, ses cuisses, ses fesses si rondes et voluptueuses et je me cale enfin avec fougue sur son bel abricot suintant à souhait. Je m’attarde intensément sur son clitoris, tout gonflé, si appétissant. Ses petits cris de jouissance légèrement étouffés m’excitent et m’invitent à poursuivre ce régal de cunnilingus. Ma coiffeuse finit par me supplier de la prendre sans plus attendre.


Ma queue en a profité pour se reposer, mais sa dureté est intacte. Je me relève, et lui offre ce plaisir en la pénétrant avec douceur. Ce moment est une véritable fusion, il nous offre également une vue imprenable en même temps, nous pouvons profiter ensemble de toute cette scène outrageusement érotique. Je malaxe ses seins en même temps que je lui offre des mouvements de bassin irréguliers, parfois en toute lenteur, parfois avec des à-coups plus prononcés, et ma partenaire ne cache plus sa jouissance extrême. J’en arrive à mon tour au moment de plaisir absolu, j’éjacule en elle et ressens un moment de bonheur infini.


Nos corps se sont fondus en un seul, ma muse se retourne, nous partageons un baiser tendre et humide, elle me débarrasse du préservatif et file dans l’arrière-boutique. J’ai tout simplement beaucoup de mal à réaliser ce qu’il vient de se passer, je n’ai plus les pieds sur terre. Je remonte mon boxer et mon pantalon, me reboutonne et boucle ma ceinture. Mes yeux fondent sur un tanga, oublié sur le sol. Je le ramasse et le porte à mon nez et à ma bouche. Le parfum de sa mouille exhale mes sens. Je glisse ce bel objet dans ma poche, tel un souvenir de ce moment hors du temps.


Ma coiffeuse réapparaît tout apprêtée, et annonce vouloir « terminer cette bouteille délicieuse ». Je sers à nouveau deux verres, nous trinquons à cet instant de complicité, nos yeux sont brillants et nos pensées déjà à nouveau frivoles.

Sans échanger un mot, nous terminons le vin jusqu’à la dernière goutte.


Nous décidons de prendre congé, je remercie alors ma coiffeuse de ce moment inoubliable, elle m’ouvre la porte et je m’aperçois à ce moment que je ne l’ai même pas réglée pour la coupe de cheveux qu’elle m’a réalisée. Je me rends navré de cet oubli, je commence à sortir mon portefeuille de ma veste, mais sa main bloque mon geste, et me glisse à l’oreille avec beaucoup d’espièglerie « Vous n’avez qu’à venir me régler la semaine prochaine, même jour, même heure… »