n° 21529 | Fiche technique | 16683 caractères | 16683 2739 Temps de lecture estimé : 10 mn |
10/02/23 |
Présentation: Deux jeunes femmes se découvrent… sexuellement. | ||||
Résumé: Complicité, attirance, découverte du sexe et de l’amour… | ||||
Critères: ff amour cunnilingu init -initiatiq -lesbos | ||||
Auteur : ooclemenceoo (humblement écrit par un débutant) Envoi mini-message |
Léa est une jolie jeune femme, sa peau mate s’offre comme une gourmandise sans fin, une douceur suave et érotique. Que dire de sa silhouette, toute en finesse et en élégance ? Elle se sent bien dans sa peau, peut-être rêve-t-elle d’une poitrine plus généreuse. Elle s’en fait malgré tout un petit complexe alors qu’il n’y a pas lieu d’être tant son charme est évident. Pourtant, âgée de dix-huit ans, elle ne connaît pas encore les premières aventures. Il est vrai que courir après les garçons ne semble pas être sa priorité. Si bien que Léa ne fréquente que sa meilleure copine, Gabriella. Elles sont devenues des inséparables, tant pour les études scolaires que dans les loisirs qu’elles partagent en commun.
Gabriella est tout son contraire, une jolie blonde dont la poitrine généreuse s’apparente pleinement à celle d’une femme épanouie. Sa peau claire lui donne un côté pur. La courbure de ses hanches est celle d’une femme pulpeuse. Côté look, les deux jeunes femmes se copient, jean et tee-shirts remplissaient régulièrement leurs panoplies du quotidien, baskets aux pieds pour compléter le tableau.
Cet après-midi-là, Léa se trouve au domicile de sa copine, précisément dans la chambre. Un exposé à faire à deux les réunit studieusement. Elles se trouvent seules dans la maison, les parents de Gabriella étant absents jusqu’au soir. Contrairement à ses habitudes vestimentaires, Gabriella porte un chemisier blanc très cintré. Il suit harmonieusement les courbes de ses seins. Alors que les deux jeunes femmes sont accoudées sur le bureau, Léa se surprend à fureter à plusieurs reprises dans le décolleté de sa copine. En effet, comment ne pas s’apercevoir que l’on devine la couleur et la dentelle du soutien-gorge qu’elle porte ? Il est blanc, bordé d’un liseré de dentelle transparent. Le tissu du chemisier semble même trop tendu au niveau de la poitrine, car il laisse entrevoir, entre deux boutons du boutonnage, la lingerie blanche. Entrapercevoir le soutien-gorge de son amie trouble tout simplement Léa.
Pour s’échapper de cette vision coquine, Léa se lève et se dirige vers la fenêtre… un besoin de s’aérer l’esprit tout en regardant dans le vide. Gabriella se retourne vers sa copine et, tout en la regardant, lui demande si quelque chose ne va pas. Léa ne dit rien et semble absente. Se levant à son tour, et pensant que sa copine à un coup de blues, Gabriella l’enlace avec tendresse. Cette complicité est bien souvent leur réconfort, se serrant l’une vers l’autre pour se rassurer dans de tels moments.
Léa se retourne enfin, avec le sourire, pour se lover davantage contre elle, amoureuse et contente de ce réconfort amical. Sentant le volume de poitrine de son amie contre son propre buste, elle s’en émoie. Complice sur tous les sujets, Léa lui demande de but en blanc si elle peut déboutonner son chemisier. Elle n’hésite pas à lui souffler à voix basse qu’elle voudrait voir son joli soutien-gorge.
Gabriella reste muette et surprise face à cette demande inattendue. Finalement, elle ne sait pas s’il faut s’en effaroucher ou non. C’est plutôt un silence complice qui s’installe entre les deux amies. Léa vient poser ses mains au niveau du ventre de son amie et attrape le premier bouton en bas du chemisier. Les boutons sautent un à un, lentement, avant d’arriver au dernier qui allait libérer le buste. Déjà, à ce stade, tout le bas du soutien-gorge blanc est apparent. Cet effeuillage complice semble émoustiller les deux jeunes filles.
Léa dégrafe le dernier bouton et libère totalement le soutien-gorge. Gabriella se laisse faire, toujours complice de la situation. Le bustier de lingerie est resplendissant, chaque bonnet étant magnifiquement rempli d’un sein bien rond. Le rebondi de cette poitrine déborde légèrement des bonnets, pourtant de bonne tailles. La vision de cette poitrine généreuse voilée de lingerie est tout simplement une invitation aux plaisirs charnels.
Les deux jeunes femmes se sourient, l’une et l’autre jouant du trouble que crée cette situation coquine. Léa souffle à l’oreille de sa complice qu’elle a de bien jolis seins, contrairement aux siens qu’elle juge trop petits. Léa ôte à son tour son tee-shirt pour apparaître également en soutien-gorge. Cette pièce de lingerie est rembourrée et offre plutôt un effet « cage molletonnée » enveloppant des petits seins blottis. Elle sait que son buste était moins émoustillant que les seins généreux de Gabriella.
Sans attendre la moindre remarque sur sa poitrine revêtue de bonnets rembourrés, Léa se rapproche de son amie. Elle glisse délicatement ses mains sous les bras de Gabriella à la hauteur de son soutien-gorge. Ses mains viennent de se lover derrière le dos au niveau de l’accroche de la pièce de lingerie. Comprenant la position des mains et la suite logique des éventements, Gabriella ne manifeste aucune réprobation, semblant même partante pour un tel jeu. Du coup, Léa dégrafe le soutien-gorge et fait glisser lentement les bretelles le long des bras de sa copine. Petit à petit, deux seins nus généreux font leur apparition. Léa reste ébahie sur la beauté de ces seins dénudés tant ils sont fermes, avec des courbes voluptueuses, les seins dont elle rêve d’avoir.
Léa retire elle-même son propre soutien-gorge sous le regard de sa copine. Les deux femmes se regardent maintenant, les seins dénudés l’une devant l’autre. Leur sourire complice en dit long sur le plaisir qu’elles éprouvent à se montrer ainsi, le buste dénudé, pour la première fois depuis qu’elles se connaissent. Léa s’approche et enlace à deux mains les hanches de Gabriella. Les deux jeunes filles se rapprochent ainsi l’une de l’autre à se toucher. Leurs deux ventres sont entrés en contact, tout comme, à l’instant, leurs seins nus. Les tétons des deux jeunes femmes se frottent et les troublent toutes les deux. L’érotisme du moment les fait frissonner et les voilà envahies de pensées coquines.
Au fur et à mesure qu’elles se serrent, les seins de Gabriella, plus ronds, viennent à écraser sur ceux de Léa. Ses petits seins disparaissent, comme envelopper suavement par le volume des seins de Gabriella. Les deux femmes qui regardent leurs poitrines en rient. C’est pour toutes les deux la première fois qu’elles touchent les seins nus d’une autre jeune fille, qui plus est, en utilisant non pas leurs mains, mais leurs propres seins. Les deux femmes se tiennent très proches. Chacune sent la respiration fébrile de l’autre alors que leurs visages se font face. Léa avance encore doucement sa bouche et pose ses lèvres sur celles de Gabriella. Les deux amies se mettent à s’embrasser délicatement, puis s’activent avec plus de ferveur. Cette expérience est toute nouvelle et tellement excitante. Timidement, les langues viennent de se lover, passant d’une bouche à l’autre. Elles restent longuement à profiter de ce baiser qui ne semble jamais prendre fin.
Alors que les deux amies s’écartent pour revenir au réel, Léa s’accroupit devant son amie. Se laissant glisser doucement le long du corps de Gabriella, Léa s’arrête au niveau des seins nus. Sa main droite s’enroule autour d’un sein charnel. La bouche se pose sur l’autre. D’un côté, la tendresse d’un délicat pelotage pratiqué par sa main, de l’autre, ses lèvres et sa langue jouent sur le mamelon et le téton. Léa remarque que ses caresses finissent par ériger les deux tétons de son amie. Les deux jeunes filles restent ainsi enivrées par la chaleur de l’instant.
Léa s’écarte légèrement, quittant le bonheur suave de cette poitrine offerte. Ses deux mains se placent sur les hanches de sa compagne. Délicatement, les mains suivent le haut du jean vers l’avant pour se positionner sur les boutons de la braguette. Un à un, les boutons sautent, libérant le haut de la petite culotte de dentelle. Le jean glisse, aidé par Gabriella qui effectue un déhanchement pour faciliter son passage à hauteur de son bassin, le long des hanches. La petite culotte échancrée est maintenant visible. Cette lingerie est ravissante. Léa ne semble pas pouvoir s’arrêter dans ses désirs lesbiens. Le jean glisse indécemment le long des cuisses. Prenant appui sur les épaules de Léa, Gabriella lève une jambe, puis l’autre, pour faciliter le passage du pantalon au niveau des pieds. Léa, toujours accroupie, se délecte en contemplant la peau blanche et lisse de son amie. Léa dévore cette silhouette dénudée. Seuls les petites socquettes et le slip en dentelle sont encore en place. Vus d’en bas, les seins généreux de Gabriella paraissent encore plus gros, leurs courbes s’offrant en une insoutenable impudeur.
Observant avec gourmandise son amie, Léa remonte ses mains à nouveau sur les hanches de Gabriella. Les mains agrippent les deux bords du petit slip et l’entraînent pour une lente glissade le long des jambes. Une chatte poilue apparaît au grand jour. Le poil est blond, peu garni, laissant voir le dessin vertical des lèvres vaginales fermées. Léa pose avec gourmandise sa bouche sur le nombril de Gabriella. Un baiser humide commence lentement et glisse ensuite dans le haut de la touffe de poils fins. Pour la première fois de sa vie, Léa, enivrée de plaisir, embrasse la zone vaginale. Gabriella, tout autant enivrée par des désirs ardents, se laisse faire et ne veut surtout pas interrompre les agissements indécents de son amie.
Léa se redresse et se dépêche à son tour de retirer son propre jean. Celui-ci à peine ôté, elle fait glisser sa petite culotte, prise d’une envie frénétique d’être aussi dénudée que sa jeune compagne. Les corps des deux filles se rapprochent pour une nouvelle étreinte. Les deux jeunes femmes s’embrassent à nouveau avec gourmandise. Léa, pendant le long baiser érotique, glisse ses bras autour de son amie et vient poser ses mains sur ses fesses. Léa ne se gêne pas pour peloter amoureusement le fessier de sa copine. Indécent et excitant à la fois, Léa comprend qu’elle devient folle des courbes charnelles de Gabriella.
Tout en essayant de garder leurs bouches bien collées pour de pas interrompre leur baiser, Léa attire sa complice vers le lit, elle s’assoit sur le bord du matelas. Se tenant à genoux devant elle, Léa écarte délicatement les jambes de sa complice pour s’avancer vers cette chatte qui s’ouvre indécemment devant elle. Gabriella se laisse glisser naturellement en arrière et s’allonge sur le lit gardant les jambes ouvertes et posées au sol. Son sexe est offert à la vue de Léa alors que ses seins sont gonflés vers le plafond de la pièce.
La chatte de Gabriella est entrouverte, seules ses petites lèvres vaginales sont encore collées l’une à l’autre. La petite toison fine et blonde laisse bien visible l’anatomie du vagin. Léa, les jambes ouvertes, pose ses douces lèvres chaudes et humides sur le fin bourrelet des lèvres vaginales. Elle goûte pour la première fois de sa vie au miel sucré d’une chatte. Passé le baiser charnel avec les lèvres, Léa se met à lécher le vagin dont l’ouverture se fait de plus en plus grande. Elle savoure maintenant la saveur intérieure de la paroi vaginale humide. Ses léchouilles déclenchent un émoi sonore et sensuel de la part de Gabriella.
Gabriella soupire de désir et ouvre sans pudeur ses jambes, comme pour montrer à son amie qu’elle en veut encore. Comme par instinct, Léa remonte sa langue jusqu’au plus haut des lèvres vaginales. Elle se surprend à sentir sous sa langue la petite boule clitoridienne. Sous ces chaudes caresses, Gabriella lâche spasmes et râles plus audibles. Léa, devenue subitement vicieuse, se met à sucer avec vigueur le clitoris gonflé de sa copine. Elle est contente de voir à quel point s’acharner sur cette petite perle sexuelle transcende son amie vers un orgasme certain.
Léa dévore avec amour le clitoris de sa copine, contente de l’entendre gémir de plaisir. Les deux femmes ne savent pas combien de temps a duré ce cunnilingus, mais Gabriella vient à se cabrer brutalement, prise d’un orgasme jubilatoire. Gabriella se lâche – bouche grande ouverte, mais jouissance timide – tandis que son ventre est pris de spasmes et autres soubresauts. L’orgasme à peine fini, Léa se relève légèrement pour contempler avec béatitude l’attitude obscène de sa copine en pleine jouissance. Elle est contente de lui avoir si bien sucé la chatte et de l’avoir fait jouir si intensément. Elle se délecte également du goût et de l’odeur de sexe qui parfume sa bouche et sa langue. Elle regarde son amie avec amour et l’invite à se jeter sur elle pour une nouvelle embrassade amoureuse et sensuelle.
Les deux jeunes femmes s’embrassent à nouveau tendrement. Aucune ne trouve les mots dans l’instant, et le baiser semble le plus approprié pour se prouver le bonheur du moment. Gabriella et Léa échangent pourtant leur position, dans un regard complice et une envie d’inverser les rôles. Gabriella s’allonge sur le lit en ouvrant en grand ses jambes. Sa petite poitrine semble pointer vers le ciel. C’est surtout ses tétons qui sont érigés, car sa petite poitrine s’est irrémédiablement aplatie dans cette position allongée sur le dos. Gabriella offre, par contre, une toison brune indécente au regard de son amie.
Léa semble intimidée devant cette chatte offerte. Pourtant décidée à rendre la pareille à sa meilleure amie, elle vient poser sa bouche sur un vagin complètement humide. Le goût est celui d’une chatte détrempée qui attend le plaisir du sexe depuis déjà un bon moment. Léa découvre et apprécie le jeu de la bouche et de la langue venant se délecter des pourtours de cette zone vaginale. Léa se met à lécher avidement des lèvres qui se sont ouvertes naturellement sous sa langue. Gabriella se tord, allongée sur le lit, découvrant le plaisir du cunnilingus fait par son amie. Elle l’invite à sucer encore plus fort son clitoris. Sitôt que l’intensité de la stimulation sexuelle devient plus forte, Gabriella se met à gémir de plaisir, ne cherchant nullement à dissimuler les sons grandissants qui sortent de sa bouche grande ouverte.
Léa, prise par le jeu de cette stimulation, se déchaîne sur le clitoris en feu de son amie. La couleur rose vif de ce petit appendice le rend obscène. Le cunnilingus de Léa révèle très rapidement les signes évidents d’un orgasme. Gabriella ne se rend plus compte qu’elle gémit maintenant bruyamment et se tord comme pour échapper aux derniers coups de langue de Léa. Au bord de la convulsion, elle explose dans un délice orgasmique devant son amie quelque peu outrée.
Les deux jeunes lesbiennes se précipitaient l’une contre l’autre pour assouvir le plaisir de se coller, de s’aimer et de s’embrasser. Elles ne trouvent pas les mots pour se féliciter et restent finalement silencieuses à se regarder avec amour. C’est Léa qui rompt ce moment de béatitude en invitant sa complice à filer dans la salle de bain pour prendre une douche. Il est vrai que les deux jeunes femmes ont pris un sacré coup de chaud, leur transpiration étant bien visible. L’idée de se blottir sous un jet d’eau tiède d’une douche emballe les deux femmes.
Une fois sous la douche, les deux complices se détendent. Elles commencent à échanger à haute voix la façon dont elles ont vécu leurs premiers orgasmes. Les deux jeunes femmes ont pendant ce temps les mains bien baladeuses. Chacune savonne avec plaisir le corps nu de l’autre en s’appliquant tout particulièrement sur les parties intimes de chacune. La douche se transforme finalement en un jeu lesbien rempli d’attouchements, de caresses et de baisers.
Les deux filles finissent leur douche et se sèchent mutuellement. Revenues dans la chambre, l’émotion et l’intensité sexuelle sont quelque peu retombées. Gabriella et Léa prennent tout leur temps pour remettre en place leurs lingeries intimes, puis leurs vêtements. En plus de l’amitié qui datait déjà depuis longtemps, voilà que les deux amies vont devenir, à la suite de cet événement, deux lesbiennes affirmées.