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n° 21545Fiche technique18810 caractères18810
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Temps de lecture estimé : 14 mn
16/02/23
Résumé:  La pratique du VTT présente certains dangers, mais ce n’étaient pas ceux auxquels je m’attendais. Récit d’une première infidélité.
Critères:  fh sport campagne fsoumise hdomine ffontaine sm attache fouetfesse init -occasion -dominatio
Auteur : Laure 34      Envoi mini-message
Hot mountain bike



Je venais de reprendre le triathlon après des années de maternité, une création d’entreprise et un mariage. J’en avais fait plus jeune, mais cette fois, je comptais découvrir le cross-triathlon qui comporte une section VTT à la place du vélo de route. Avec l’approche de la quarantaine, j’avais davantage besoin de flirter avec mes limites et me prendre des shoots d’adrénaline. C’est pour ces raisons que le VTT typé « enduro » m’avait séduite. Par contre, étant débutante dans cette discipline, une connaissance m’a proposé de m’entraîner de temps en temps.


Colin est un ancien sportif de haut niveau au corps d’athlète, dévoué, mais plutôt taciturne, voire même assez froid, parfois. J’ignore d’ailleurs pourquoi il m’a fait cette proposition, mais un coach gratuit et aussi agréable à regarder, ma foi, pourquoi pas ! Je pensais être suffisamment solide pour que cela ne me fasse ni chaud ni froid, d’autant plus que ma relation avec mon mari est heureuse même si nos ébats manquent un peu d’originalité à mon goût.


La semaine dernière, nous avons commencé par une série de longueurs à la piscine. Considérant que mes mouvements de crawl n’étaient pas bien synchronisés, il s’est approché de moi dans l’eau afin de me montrer le geste correct. Je me rappelle m’être empourprée et avoir ressenti une vague de chaleur dans mon ventre en sentant ce corps magnifique me frôler. J’ai découvert que Colin a un tatouage de dragon très sensuel sur le côté des abdominaux, dont la queue (du dragon) disparaît mystérieusement dans son mini-slip de bain moulant. Mon regard avait l’affreuse tendance à glisser le long de cette queue et imaginer où elle pouvait se terminer. Bref, je crois que cette séance n’a pas été très efficace.


Aujourd’hui, c’est VTT, donc, et après un tour de chauffe, me voilà engagée dans une descente plus technique. Je sens mon vélo ruer, cabrer entre mes jambes tout en essayant de suivre tant bien que mal mon guide. Celui-ci franchit tranquillement tous les obstacles : marches, champ de cailloux ou bien racines. La pratique du VTT a l’air tellement aisée ainsi que j’en suis jalouse. Mais de là où je me trouve, je peux distinguer la mécanique merveilleusement bien huilée des quadriceps et des triceps qui se contractent et se détendent. Mon regard se pose aussi sur ses fessiers. Beaucoup seront d’accord avec moi, rien n’est plus magnifique que le cul ferme et pommé d’un cycliste. Et moi je l’avais constamment sous les yeux, le collant ajusté ne m’épargnant aucun détail. Au fil des kilomètres, ma gorge s’est asséchée, ma respiration s’est faite plus rapide et mes joues ont rougi. Bien qu’on puisse attribuer tous ces symptômes à l’effort effectué, je sais bien qu’il n’en est rien, pour preuve, la survenue d’un phénomène plutôt inhabituel chez moi qui commence à me faire du souci.


En effet, suite aux vibrations, aux secousses de la selle entre mes jambes et à la vue magnifique que j’ai devant les yeux ; de l’humidité commence à sourdre de mon sexe et à humidifier ma culotte. Des petites quantités ne m’auraient pas gênée, mais là, mon collant est sérieusement imbibé. J’essaie vainement de penser à autre chose, mais plus le temps passe, plus ma monture me frotte la vulve et me chauffe le clitoris. Cela aurait pu continuer ainsi sans que personne ne remarque rien, mais c’était sans compter sur LA marche de la mort. Un rocher de 50 cm de haut que mon guide a sauté avec une élégance folle. Je tente aussitôt de l’imiter, mais peine perdue. La base du rocher est constituée d’une épaisse couche de gravillons dans laquelle ma roue s’est fichée telle la flèche de Guillaume Tell dans la pomme, je m’arrête net. Mon corps est violemment propulsé en avant, par-dessus le guidon, et je finis la tête dans le thym, les membres enchevêtrés dans une position parfaitement grotesque. Je me relève en me tenant les reins et me frottant les coudes, secouée d’une grosse envie de rire.


Colin a tout de suite fait demi-tour et me tend la main pour m’aider à me remettre sur pieds. Sa main est chaude et douce, son visage à quelques centimètres du mien.




Je réponds, les yeux plantés dans les siens.



Il a écarquillé les yeux avant de sourire énigmatiquement.



J’obéis sans discuter, un peu honteuse de mon rentre-dedans verbal. Mon Dieu, que m’arrive-t-il ? Moi, la gentille petite épouse fidèle et timide.

Il reprend son VTT et descend plusieurs fois le rocher en me précisant comment placer mon bassin très en arrière de la selle, pratiquement sur la roue arrière.



Ha non, pour qu’il puisse entrevoir l’auréole entre mes jambes, hors de question !



On distingue nettement une pointe d’énervement dans ses paroles. Il m’attrape par le bras et rapproche brusquement son visage du mien, les sourcils froncés. J’ai envie de mordre ces lèvres boudeuses, de les faire s’entrouvrir, s’humidifier, et gémir sous mes baisers. Et, tout à coup, je suis prise d’une impulsion soudaine et impérieuse :



Je vois son visage se figer sous la surprise, sa main attraper ma cuisse et ses yeux déjà foncés s’assombrir brusquement. Le sourire asymétrique est réapparu, mais avec un je ne sais quoi de diabolique. Sueur froide : la situation est en train de m’échapper complètement.



J’opine de la tête, les jambes flageolantes, fascinée par ce sourire si joueur, un peu cruel. J’appréhende ce qui va suivre, mais pour rien au monde je ne voudrais être ailleurs.



Alors Colin pose tranquillement son VTT contre un arbre et cueille au passage une petite branche d’arbre bien souple tout en revenant vers moi.



Tout en obtempérant, j’aperçois du coin de l’œil sa main descendre sur son sexe qui forme une excroissance impressionnante sous ses habits moulants. Je frémis d’excitation à l’idée de poser mes lèvres sur cette bosse de chairs palpitantes. Voir un homme se masturber m’a toujours fait cet effet… mais jamais autant qu’aujourd’hui, en voyant Colin se caresser.


Après avoir enfin réussi à ôter mes chaussures, je grimace en sentant le sol caillouteux sous mes pieds tendres et nus. De sa main libre, mon partenaire attrape la badine et me donne des coups légers sur les fesses pendant qu’il continue à frotter son pénis tendu à travers ses vêtements.



Je murmure des oui indistincts, fascinée par le manège de ses doigts, cinglée légèrement plus fort par la badine.



Je ne réponds rien pour le moment, peu habituée à utiliser ce genre de vocabulaire, mais je commence à souffrir des seins qui sont comprimés depuis trop longtemps dans ma brassière de sport. J’ôte mon t-shirt et descends la fermeture éclair de mon soutien-gorge. Les deux globes laiteux emprisonnés jaillissent d’un coup et j’en ressens un soulagement immédiat. Les yeux de Colin flamboient à cette vue.



Colin colle des lèvres avides sur mes seins douloureux. Mes tétons sensibles disparaissent l’un après l’autre dans sa bouche chaude et accueillante. La langue expérimentée caresse et délasse, mais, rapidement, la succion se fait plus forte. La douleur légère déclenche des décharges électriques qui se répandent à travers mon ventre. Mes jambes me portent à peine. Il suce mes seins, les lèche et les mordille. Plus j’ai mal, plus la tension monte dans mon clitoris, jusqu’au moment où je sens brusquement un flot de mouille se libérer et couler contre ma jambe. Encore ! Cela ne m’était encore jamais arrivé avec mon mari, même si j’en avais vaguement entendu parler. Je suis presque honteuse, mais Colin sourit d’un air gourmand, recueille du fluide sur ses doigts et le passe sur mes lèvres entrouvertes, sur mes gencives, et s’insinue dans ma bouche. Jamais je n’avais goûté ma propre mouille. C’est un peu fade avec un arrière-goût acidulé presque pimenté.


Colin arrache plus qu’il ne quitte son collant. Il ne porte pas de caleçon en dessous et sa bite épaisse se déploie. Je suis fascinée par l’entrelacs de vaisseaux tout autour. Le bel engin a réellement l’air de palpiter. J’ai une envie démente d’y coller mes lèvres. Mon coach s’approche de moi, sa hampe de chair effleure mon pubis, ce qui m’électrise. Le dragon sur sa hanche me fixe d’un œil furieux. Je caresse d’un doigt léger les volutes noires qui se détachent sur la chair bronzée, découvre où se termine la queue de la bête, pas bien loin de celle de Colin.


Celui-ci détache précautionneusement la bride de mon casque pour le poser derrière lui et empoigne ma queue de cheval à pleine main. Sa poigne ferme me fait lever le visage vers lui, il s’approche de mes lèvres, sa langue dardée. Je frémis de plaisir anticipé à l’idée de ce baiser, complètement enivrée par son odeur musquée aux relents de parfum et de transpiration, mais soudain, il me fait m’agenouiller tout en me guidant à l’aide de ma queue de cheval. C’est sa bite et non sa langue qui se retrouve contre mon visage. Avec de petits coups de bassin, il la fait taper contre mes lèvres, mais je refuse d’ouvrir la bouche. Ma résistance à l’air de l’exciter.



Et il prend mes mains pour les plaquer sur son magnifique petit cul ferme.



Je masse les durs fessiers de toute la force de mes doigts pendant que son engin bien raide commence à forcer le passage entre mes lèvres. Je l’encourage en plaquant son bassin contre mon visage. Je hume son odeur d’homme puissante, d’autant plus forte que tout cela a macéré de longues heures dans le lycra. Mais cette odeur ne m’indispose pas, au contraire. Elle est très mâle et virile. Je dois être dans une période d’ovulation tant elle me fait de l’effet. Ça y est, la pine passe brusquement la barrière de mes lèvres et, emportée par son élan, vient cogner au fond de ma gorge. Colin se cambre et reste quelques secondes en butée avec un petit râle de jouissance. Même si son bassin s’est arrêté de bouger, je sens sa queue qui tressaute contre ma luette, comme animée d’une volonté propre. Colin la retire et je peux enfin respirer. Je pousse un long soupir.



Et il éclate d’un rire sardonique.

Ayant fourragé dans son sac quelques secondes, il en sort une chambre à air qu’il noue autour de mes poignets.



Je lui obéis, sans poser de question. La pierre est tiède sous le radieux soleil de printemps. Un peu rugueuse, tout de même, pour la peau tendre de mes seins. J’ai l’impression d’être calée au creux d’une main géante.


Je reste là, frissonnante, ignorante des intentions de mon coach. Mais je lui fais confiance, il n’ira pas trop loin. Tout à l’heure, nous avons choisi un mot d’urgence, au cas où je voudrais arrêter le jeu. Car c’est un jeu, n’est-ce pas ?


J’essaie de calmer les battements de mon cœur, j’écoute le vrombissement des insectes, le vent dans les arbres, le pas de Colin qui approche. La chaleur de la pierre irradie dans mon bas-ventre et c’est agréable. Soudain, Fzzz, la badine frappe mes fesses par surprise. Je sursaute en poussant un cri de protestation, mais au même moment, une langue s’insinue entre mes cuisses. Une langue habile qui me fouille, qui passe entre les plis de mon intimité, qui cherche mon clitoris pour l’aspirer. Je gémis de satisfaction.



Et puis, Fzzz, au moment où je me détends complètement, voilà la badine qui laisse un trait de feu sur la peau tendre de mes cuisses.


Curieusement, je n’ai pas mal. La douleur augmente mon excitation. La langue de Colin poursuit sa découverte pour faire des cercles autour de mon anus. Je sens celui-ci se contracter. Des doigts me caressent la vulve, me pénètrent. Il en glisse un, puis deux, puis je ne sais plus trop combien. J’ai perdu le compte. Sa langue humidifie mon œillet, puis un doigt se glisse à l’intérieur. Combien cet homme a-t-il de doigts ? Ou de langues ? À l’intérieur de moi, les doigts poursuivent leur ballet, se caressent à travers la fine paroi, et titillent mon point G avec un grand bruit d’eau. Je ruisselle sur la pierre en haletant.



Et Fzzz, quelques coups de branche pleuvent sur mon dos. Je m’en fous, je ne sens plus rien. J’entends la respiration de mon bourreau qui se fait plus rapide. Mais les doigts continuent leur manège et je sens une vague de plaisir arriver. Je me concentre pour ne pas jouir maintenant.



Alors mon coach fait le tour de la pierre pour enfourner son pénis dans ma bouche tout en laissant ses doigts me mettre au supplice. Ma langue glisse autour de son gland turgescent, caresse sa hampe dure comme une barre de fer. Il commence des va-et-vient brutaux que je ne peux ralentir puisque mes mains sont attachées. Je proteste en émettant des sons qui ont l’air de l’exciter encore plus puisque les vibrations de mes cordes vocales stimulent son gland. La fellation devient gorge profonde. Je ne contrôle plus rien, des haut-le-cœur commencent à me secouer. Colin s’en aperçoit et se retire.



Colin approche son beau visage et pose ses lèvres sur les miennes



Il m’aide à me retourner et plonge une nouvelle fois sa tête entre mes cuisses. Sa langue me suce, me lèche, décrit des huit entre mon clitoris et mon vagin. Ses mains attrapent mes tétons dressés et les malmènent. Il les caresse violemment, les pince. Je suffoque, ma tête tourne de droite à gauche, les yeux fermés, les narines pincées.



Alors ce grand diable d’homme au corps d’athlète se pose sur moi de tout son poids. Je sens sa queue qui se faufile entre mes cuisses lubrifiées. Elle glisse en trouvant son chemin toute seule. Le gland passe le seuil de mes chairs intimes, la hampe s’insinue dans mon ventre, me remplit entièrement. Je pousse un cri de satisfaction. Enfin, il est en moi.


Sa tête se découpe à contre-jour sur le ciel, le soleil m’éblouit. Il s’agite, il m’ouvre, il m’empale. Les va-et-vient s’accentuent. Il me met à genoux, me prend en levrette, les mains crispées sur le haut de mes fesses en les meurtrissant au passage. Je ne sais plus où j’habite, je ne sais plus qui je suis. Je ne suis que le réceptacle de ce soc qui me laboure, la fente dégoulinante, avide de cette lance de chair, comme si j’allais l’avaler, la faire disparaître au plus profond de moi.


Je sens la vague du plaisir monter du plus profond de mon ventre, du même endroit que des râles rauques presque bestiaux qui sourdent de moi. La vague s’étend, gagne les parois de mon vagin, les fait frissonner de petits spasmes, elle arrive sur les petites lèvres distendues par le gros sexe qui les écartèle et s’arrête sur le clitoris où elle explose en feu d’artifice de jouissance.


Dans mon demi-coma, j’entends une femme hurler. Je panique. Est-ce une randonneuse qui nous a surpris ? Au bout d’une seconde, je comprends que ce cri provient de mes lèvres, que je ne peux le contrôler… formidable manifestation de mon plaisir monumental. Des spasmes violents contractent mon ventre en enserrant au passage le pénis tendu de Colin.


À ce moment, celui-ci se retire brusquement pour dégorger, gicler en longs jets sur mes fesses, mon dos jusqu’à mes cheveux. Le sperme coule le long de mes cuisses, sur mon pubis, sur mon anus.


J’ai froid soudain. Je me sens vide et abandonnée. Comme si le soleil s’était caché entre les nuages. Colin me détache et me prend dans ses bras. Il a perdu sa morgue et son petit air supérieur.



Alors je me redresse, ramasse la badine tombée au sol, et d’un ton solennel, le cul à l’air et les seins dans le vent, je pose la branche sur sa tête :



Ainsi obéit-il, même après avoir croisé deux petites mamies, pétrifiées à la vue de ce centaure nu monté sur son destrier à roues 29 pouces.