n° 21551 | Fiche technique | 14215 caractères | 14215 2387 Temps de lecture estimé : 10 mn |
18/02/23 |
Présentation: Mon deuxième texte, un peu plus long que le précédent. | ||||
Résumé: Suite à l’accident de son amie, l’héroïne de cette aventure est obligée d’appeler les pompiers pour la secourir. | ||||
Critères: fh couleurs extracon inconnu uniforme sport travail fellation cunnilingu pénétratio hdanus -extraconj | ||||
Auteur : Madounette3 |
Il était là. C’était bien lui. Même s’il ne portait pas la même tenue de secours que la dernière fois, je n’avais pas de doute. Il faut dire que j’avais passé du temps au printemps dernier à mémoriser les traits de son visage et les contours de sa silhouette durant leur précédente intervention. Grand, cheveux noirs, coupés courts, peau couleur du chocolat que j’aime tant, regard doux, mais décidé. Malgré des circonstances glauques : ils recherchaient un corps dans l’étang jouxtant le manège, je n’avais pas pu m’empêcher de détailler son corps durant tout le cours de poney de ma fille. Je dois reconnaître que j’ai toujours eu un faible pour les pompiers. L’effet de l’uniforme et de la noblesse de leur métier n’est pas un mythe. En tout cas chez moi. À tel point que les séries TV que je suis régulièrement sont bien évidemment celles autour de cette profession. Mon mari se moque d’ailleurs souvent de moi, mais peu importe, je reste une téléspectatrice assidue.
Aujourd’hui, à nouveau, ce n’était pas du cinéma, les pompiers étaient présents. Cette fois-ci, c’est moi qui les ai appelés. Ce n’était pas une lubie de ma part pour voir des soldats du feu, non. Pendant le nourrissage des chevaux, la brouette pleine de carottes et de granulés, sûrement mal équilibrée, s’est renversée sur Claire. Sa cheville n’a pas supporté le choc et fait maintenant un angle étrange avec le reste de sa jambe. Malgré la douleur, elle était alors entre de bonnes mains. Les pompiers l’emmenèrent dans l’hôpital le plus proche pour voir l’étendue des dégâts. N’ayant pas de famille dans le coin, elle m’a demandé si je pouvais l’accompagner. Évidemment, je ne pouvais pas la laisser seule. J’ai appelé mon mari pour qu’il vienne récupérer notre fille à la fin de son cours et je suis partie dans le camion, aux côtés de Claire et du caporal Marissaint. Les nids de poule de la route menant au centre équestre étaient un vrai supplice pour Claire. Un plus important que les autres me déséquilibra et je me serais sûrement étalée dans le camion si le caporal n’avait pas eu le prompt réflexe de me rattraper, une main saisissant mon épaule, l’autre atterrissant sur un sein. Très professionnel, il les laissa en place jusqu’à ce que j’ai repris mon équilibre.
Ce contact, bien que trop rapide à mon goût, ne me laissa pas indifférente, mais à ce moment précis l’essentiel était de s’occuper de Claire. Et puis, je suis mariée et en quinze ans de mariage, jamais aucun autre homme ne m’a touchée. Même si je n’ai pas trop à me plaindre, car je n’ai pas besoin de simuler, mon mari sait me donner du plaisir, le quotidien ne me stimule pas plus que cela. Si lui veut remettre le couvert très (trop) souvent, personnellement, les galipettes routinières ne sont pas des plus palpitantes. Pour autant, je n’avais pas l’intention de me jeter dans les bras du premier venu, fut-il pompier.
Le trajet menant à l’hôpital ne fut pas très long. Nous eûmes la chance de pouvoir profiter de la forêt et de la campagne tout en habitant en milieu urbain. Une fois arrivés, les pompiers transmirent les informations à l’équipe médicale et Claire fut prise en charge de suite… l’avantage d’être emmenée par les services d’urgence. Je restais donc dans la salle d’attente. De conception récente, l’architecte de l’endroit avait eu la bonne idée de prévoir de larges baies vitrées qui permettaient de faire entrer la lumière et d’observer le paysage extérieur. Dans le ciel, une nuée d’oies qui formait un V si caractéristique se dirigeait vers le sud. Sur le parking, voitures et véhicules d’urgence allaient et venaient dans un ballet étrange qu’un chorégraphe contemporain aurait sûrement apprécié. Le camion qui nous a conduits partait également. Sur le parvis se mêlaient toutes les émotions : le parent au visage refermé et inquiet, le soignant qui essayait d’oublier les turpitudes du métier en rigolant avec un collègue, l’homme qui ne pouvait retenir ses larmes de douleur, les enfants qui jouaient à chat en feignant l’innocence. Je décidai moi aussi de prendre un bol d’air plus ou moins pollué. Un peu plus loin, penché sur son téléphone, le caporal Marissaint. Il releva ses yeux de l’écran, scruta les alentours, et nos regards se croisèrent. Comme une invitation réciproque, nous nous rapprochâmes.
Mon téléphone vibra. C’était Claire. Elle me rassura : les infirmières n’étaient pas très inquiètes, mais les examens risquaient d’être longs, d’autres cas plus urgents étaient prioritaires et passeraient avant elle. Elle me proposa de rentrer chez moi et de me rappeler dès qu’elle en saurait plus.
Le caporal ne put s’empêcher de rire. Nous continuâmes à échanger des banalités.
Le camion revint nous récupérer quelques instants plus tard. Nous montâmes à l’arrière du véhicule. Une fois installés côte à côte, il vint caler sa jambe contre la mienne. Vu que je ne me dégageais pas, il s’aventura à poser sa main sur ma cuisse, la remonta sur mon ventre, longea mon flanc droit jusque sous l’aisselle. Je ne pus m’empêcher de réagir tant cette zone est sensible chez moi. Il continua, arriva dans mon cou pour caresser ma joue. J’étais un peu perdue, un mélange trouble entre le désir physique de profiter du moment et l’envie de rester fidèle à mon mari que j’aimais toujours. Il continuait ses effleurements et une phrase de mon mari me revint en tête. « Je comprendrais que tu aies d’autres envies physiques, tant que cela reste charnel et qu’il n’y a pas de sentiments, je pourrais assez l’accepter ».
Ce souvenir lâcha mes derniers freins et je commençai à explorer le corps du caporal. Encouragé par ma réaction, il osa poser ses lèvres dans mon cou et joua à déposer des baisers sur les différentes parties de mon visage en évitant soigneusement ma bouche, puis, d’un coup, il prit possession de ma bouche, rapidement nos langues s’entrelacèrent. Un échange fougueux qui me rappelait les baisers avec mon mari voici plusieurs années. Ses mains poursuivirent la découverte de mon corps. Pendant qu’une caressait ma poitrine contenue dans mon soutien-gorge, l’autre descendait tester l’élasticité de la culotte qui formait l’ensemble. Mon mari me faisait remarquer à chaque fois que c’était dépareillé. Je m’efforçai donc au maximum de coordonner le haut et le bas. Ses doigts continuaient leurs explorations. Les cinq premiers tournaient autour d’un de mes tétons puis rejoignaient l’autre sein. Les cinq autres s’aventuraient sur mon pubis que mes séances d’épilation définitive avaient rendu tout lisse. Encouragé par mon bassin qui se frottait contre cette main, il vint coller la paume de sa main contre mon clitoris et positionna un doigt à l’entrée de mon sexe.
L’arrêt un peu brusque du camion nous interrompit. Nous étions arrivés à la caserne.
Avec cette arrivée à la caserne, j’étais partagée entre le soulagement de ne pas être allée plus loin, d’être restée fidèle à mon mari, et la frustration de ne plus avoir les doigts du caporal sur mon corps.
Nous sortîmes du camion en nous redonnant de la contenance, l’air innocent.
Souhaitait-il réellement me faire visiter son lieu de travail ou en profiter pour poursuivre ses explorations ? Peu importait la réponse qu’il m’aurait faite, j’étais tentée par les deux propositions. J’acceptai son invitation et nous commençâmes le tour du propriétaire.
La découverte des différentes salles n’était pas inintéressante, mais j’étais distraite par le frôlement de nos corps. À chaque passage de porte, il se positionnait à l’ouverture de celle-ci, faisait mine de me céder galamment le passage et attendait que je passe. Techniquement, il m’était impossible de franchir le seuil sans que nos corps se touchent. Mon esprit essayait de rester concentré sur les explications techniques. Ma chair réclamait des contacts de plus en plus prolongés. Arrivé à son bureau, il continuait à raconter une anecdote d’intervention. Il ferma la porte et tourna le verrou. Le piège se refermait sur moi. Était-ce vraiment un piège ? N’était-ce pas ce que j’étais venue chercher ici : un prolongement de l’instant vécu dans le camion ?
Tout en énumérant différents faits divers saugrenus, il se colla à moi, et recommença à parcourir mon corps de ses doigts. Je n’écoutais plus grand-chose. J’avais beaucoup de mal à rester concentrée. Mon esprit était focalisé sur ses mains. Il caressa d’abord l’ovale de mon visage. Du bout des doigts, il fit le tour de mes lèvres, sans oublier de passer sur mes lobes d’oreilles, zone que je ne classerais pas comme totalement érogène, mais qui participa bien à faire monter mon excitation.
Il entreprit alors de me délester de mes vêtements. Ses mains descendirent tout le long de mon corps, évitant soigneusement les zones les plus sensibles lors de ce premier passage. Au fur et à mesure de ses allers-retours, il s’aventurait de plus en plus précisément. Progressivement, il m’ôta mes différents vêtements. Je me retrouvai alors uniquement avec mon soutien-gorge et ma culotte qui, ma foi, était bien humide. Je repris l’initiative et lui ôta son uniforme. C’était un vrai pompier. Vraiment musclé, pectoraux et abdominaux bien présents. Mes mains et mes lèvres prirent le temps de vérifier la présence de chacun de ces muscles et de leur rigidité une fois bandés.
L’exploration de ce torse terminée, j’osai enchaîner avec le bas. La boucle de sa ceinture me résista quelques instants. Il fallait dire qu’à une main, c’était moins facile, l’autre ayant déjà commencé à caresser ses fesses.
Il se retrouva en quelques instants totalement nu. Mes doigts commençaient à tâter ses bourses et ses fesses qui n’avaient rien à envier au haut de son corps. Il ne restait pas totalement passif et il en profita pour faire tomber mes derniers morceaux de tissus. Nous étions à égalité.
Du bout de mon index, je pris un peu de mouille qui dégoulinait de mon sexe. Je glissai dans son sillon, commençai à masser son petit trou. Passé la première surprise, je ne connaissais pas un homme qui n’aimait pas cette pratique et qui ne me la réclamait pas ensuite. Une fois relâché, j’insérai mon doigt un peu plus loin. L’effet fut immédiat : son érection naissante gagna en puissance et se rigidifia totalement. Son sexe était long, plus long que celui de mon homme (je ne pouvais m’empêcher de comparer), mais bien plus fin. Après quelques minutes de ce traitement, je voulais qu’il s’occupe de moi. Je posai mes fesses sur le rebord du bureau et guidai son pénis jusqu’à l’entrée de mon vagin. Il était enfin en moi. Il commença ses allers-retours, immédiatement sur un rythme intense. Il ne me fallut pas très longtemps pour avoir mon premier orgasme. Chaque centimètre de sa bite allait et venait sans discontinuer, le miracle d’un corps musclé. J’enchaînai les jouissances à en perdre le contrôle. Mon corps tremblait.
Je ne sais pas s’il était au bord de l’éjaculation ou s’il sentait que mon corps avait besoin d’un peu de répit après cet enchaînement, mais il se retira. Il commença alors à me caresser les seins avec des cercles de plus en plus petits jusqu’à arriver à mes aréoles. Ses doigts s’aventurèrent sur mes tétons trop sensibles, je les repoussai. Il se rabattit alors sur mes fesses, une main sur chaque lobe. Pendant qu’il les pétrissait, sa bouche descendait de ma poitrine jusqu’à mon pubis. Les premiers baisers sur mes grandes lèvres se poursuivirent vers le capuchon de mon clitoris. De sa langue, il le délivra de sa protection de chair pour commencer à le titiller directement. Elle tourna autour quelques instants, puis d’un coup, l’aspira. Je ne pus retenir un soupir de surprise et de plaisir. Il poursuivit ainsi en diversifiant son trajet, descendant vers mon méat urétral, l’entrée de mon vagin, et osant même découvrir mon petit trou.
J’avais l’impression de vivre des préliminaires en plein milieu de notre partie de sexe. Loin d’être désagréable comme sensation. Ce doux traitement fit monter progressivement en moi un plaisir différent. Je me retins le plus longtemps possible pour finalement exploser d’un orgasme profondément intense et sonore.
Il enchaîna en présentant de nouveau son sexe à l’entrée du mien. Mais il ne me pénétra que de son gland. Des petits allers-retours rapides. Nouvelle jouissance. Comme s’il savait que c’était ma position favorite, il me retourna et me prit en levrette, profondément, intensément. Encore des orgasmes.
La fatigue commençait à se faire sentir. Il était temps de le faire jouir. Je brisai notre accouplement pour me placer à genoux entre ses jambes. Je l’embouchai : d’abord son gland puis, centimètre par centimètre, l’entièreté de son membre. Je le sentais de plus en plus fébrile. C’était le moment de l’assaut final. Je replaçai alors deux doigts à l’entrée de son cul. Il poussa ses fesses pour les faire entrer directement. Cette double stimulation, sa bite dans ma bouche et mes doigts dans son cul, le fit jouir en quelques instants. Le fixant dans les yeux, je le gardai entre mes lèvres durant les différents jets de sa semence. Avant d’avaler, je mêlai ma langue à la sienne pour partager ce liquide au goût si particulier.
C’est à ce moment précis que mon téléphone sonna. Claire avait besoin que je vienne la voir. Je me rhabillai et partis la rejoindre.