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n° 21577Fiche technique63767 caractères63767
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Temps de lecture estimé : 46 mn
02/03/23
Résumé:  En déplacement professionnel de longue durée, je loue un appartement au dernier étage d’un petit immeuble. Ma voisine, âgée de 90 ans, va rentrer dans ma vie.
Critères:  f fh ff fplusag fagée extracon voisins poilu(e)s fsoumise hdomine exhib fetiche fmast caresses intermast facial fellation cunnilingu anulingus 69 fgode pénétratio double fdanus fsodo hdanus hgode jouet jeu sm fouetfesse confession mélo nostalgie portrait
Auteur : Farewell95  (Retraité du BTP)            Envoi mini-message
Ma vieille

Ingénieur de formation, je suis conducteur de travaux dans une grande entreprise du BTP, et suis envoyé en mission sur des chantiers d’importances à travers la France, ou de par le monde si le chantier l’exige.

C’est ainsi qu’un gros chantier dans un port français m’éloigne quelques mois de ma famille. Ce n’est pas la première fois, nous sommes habitués. Ma société n’étant pas avare, la secrétaire me réserve chaque fois un T2 meublé, une voiture de location, et un aller-retour en avion en fin de semaine. Je pars si possible le vendredi soir et reviens le lundi matin, passant mes week-ends en famille et baisant ma femme.


Donc, fin août, j’ai rendez-vous avec l’agence pour prendre les clefs de l’appartement que m’a loué ma société. L’immeuble de quatre étages fait partie d’une petite copropriété sympathique et bien entretenue. Situé au dernier étage, il partage le palier avec un T5 occupé par une vieille dame curieuse comme une pie.

Début septembre, j’emménage pour une mission de neuf mois et, le premier soir, en arrivant, je me trouve en bas de l’ascenseur avec ma voisine chargée de sacs de provisions.



Mais quelle pipelette ! Le temps d’arriver à son étage, je sais qu’elle se prénomme Renée, qu’elle est veuve et qu’elle va fêter ses quatre-vingt-dix printemps ! Entre deux éclats de rire, car Renée est très gaie, malgré une vie somme toute pas très marrante. Ses deux enfants n’habitent pas à côté et viennent la voir de temps en temps. Ne conduisant plus, elle fait ses courses dans une petite supérette voisine, restant en quelque sorte cloîtrée dans son appartement.


Je la revois deux jours plus tard, avec ses petites courses en bas de l’immeuble. Je lui propose de les lui monter et, pour me remercier, elle m’invite à boire une petite liqueur. Pourquoi pas ?

Son appartement lui ressemble : vieillot, mais propre et bien entretenu. Elle continue à me raconter sa vie, m’interrogeant sur la mienne, le tout ponctué par de grands rires. Elle est incurablement gaie ! Un réel plaisir.

Elle fête ses quatre-vingt-dix ans le jeudi prochain. Ses enfants viendront le fêter avec elle le week-end suivant, avec ses petits-enfants et ses arrière-petits-enfants, une belle fête de famille qui lui fait un peu de soucis, car elle ne sait pas si elle va pouvoir trouver à la supérette de quoi nourrir tout ce monde. Je lui propose alors de l’emmener au grand supermarché de la zone commerciale, puisque j’y vais moi aussi faire des provisions. Elle est enchantée !


Et nous voilà partis, le lendemain en fin de soirée, vers la grande enseigne. On dirait une gamine dans un magasin de bonbon ! Cela fait des années qu’elle n’est plus allée dans une grande surface ! Elle remplit son chariot, me remercie mille fois, et nous faisons plusieurs voyages en riant pour tout monter dans son appartement. Pendant qu’elle range ses commissions en parlant et en riant, je l’observe. Quatre-vingt-dix ans, mais elle garde une certaine minceur, ses fesses semblent rebondies, sa poitrine est affaissée, certes, et son visage ridé, mais pas avachi.


« Attends, mais je pense à quoi, là ? Elle est plus vieille que ma mère. »



Une excellente soirée… La première d’une série tout aussi excellente passée en sa compagnie, d’ailleurs. Grande culture, de l’humour à revendre, une gaieté naturelle… Que du bonheur !


Le jeudi suivant, j’achète un petit bouquet, et sonne à sa porte.



Quelques dizaines de minutes plus tard, je la vois arriver, toute belle, maquillée, pomponnée, parfumée, dans une jolie robe rouge… et nous partons dans un resto sympa que j’ai repéré.

Un repas sympa, un peu de vin, beaucoup de rires : la soirée s’écoule merveilleusement. Je lui reproche d’avoir un peu trop bu… Ce à quoi elle me répond :



En arrivant devant sa porte, elle me propose de boire une dernière liqueur. Installé sur le canapé, je la regarde s’affairer dans sa belle robe. Sa robe descend un peu au-dessous du genou, est sagement fermée au cou, un peu serrée à la ceinture. Elle ne la moule pas trop, son corps ne se prête plus depuis longtemps à ce genre de fantaisie.

Elle pose le plateau avec verre et liqueur sur la table basse et s’assoit à mes côtés. On dirait qu’elle a perdu de sa gaieté, son visage est plus grave, elle me regarde de côté.



Elle se lève et module l’éclairage halogène pour ne diffuser qu’une légère clarté.



Et elle met un disque de tango langoureux.



J’aime les danses de salon, mais ça, elle ne le sait pas. Je me lève, et lui prends la main…



Et je la prends dans mes bras et la fais danser en la serrant contre moi, osant même quelques passes de tango argentin.



Alors, je la ramène doucement sur le canapé, m’assois à côté d’elle et l’embrasse pour la première fois. Ma langue rencontre la sienne, nos salives se mélangent, puis nos langues dansent un ballet sensuel.



Plutôt que d’entendre ces sottises, je replonge dans un second baiser, posant ma main sur son genou. Instinctivement, elle rapproche ses jambes, puis elle se détend. J’en profite pour remonter un peu ma main.

Elle met la sienne sur la mienne, arrêtant ainsi ma progression.



« Tiens, on passe au tutoiement… »



Et elle me retend ses lèvres, puis se lève en me prenant par la main et m’emmène dans sa chambre. Elle ferme la porte, ferme les volets, et me dit :



Je m’allonge à ses côtés, continuant à l’embrasser et remontant sa robe bien plus haut.



Elle défait sa robe, l’enlève, elle a une combinaison blanche en dessous. Je la caresse sur tout le corps. Elle se laisse faire en me regardant, puis entreprend de défaire les boutons de ma chemise. Je l’aide et me retrouve le torse nu, qu’elle parcoure de ses mains (je fais de l’exercice physique et modestement, je peux dire que je porte bien mes cinquante-cinq ans). Elle me caresse en ne disant rien, grave, songeuse, à l’opposée de la Renée enjouée que je connais.


Je défais la ceinture de mon pantalon et l’ôte, de même que mes chaussettes, bien sûr, et entreprends de lui retirer sa combinaison. Elle est allongée sur le dos, le peu de clarté filtrant à travers les volets et sous la porte me laisse deviner un corps un peu empâté, des sous-vêtements blancs, classiques. Elle ne dit plus rien. Je prends sa culotte et commence à la faire glisser sur ses jambes. Elle se soulève un peu pour me faciliter la tâche, puis défait elle-même son soutien-gorge et m’attire vers elle. Je bande. Elle prend ma virilité en main, m’embrasse fougueusement et essaie de descendre mon slip. Je me relève un peu, l’enlève moi-même, et m’allonge contre elle en continuant de l’embrasser et de la caresser.


Je caresse ses seins, les mamelons sont imposants, ses seins gardent curieusement une certaine fermeté, due à leurs tailles plutôt réduites. Je prends un des mamelons en bouche, le mordille. Elle sursaute et pousse un petit cri. Je m’arrête, craignant de lui avoir fait mal, mais elle me reprend la tête et me dit :



Je continue donc, allant d’un sein à l’autre, ma main descendant vers son entrejambe. Elle écarte les cuisses pour me faciliter la progression, et j’arrive à son sexe. Je cherche son clitoris, le caresse un peu, mais ne sentant pas l’humidité caractéristique de l’excitation, je quitte ses seins pour mettre ma tête entre ses cuisses. Je les sens se raidir, s’écarter au maximum, je pousse ma tête vers son sexe, et elle s’empare du mien.


Ma langue lui produit l’effet d’un choc, elle sursaute brusquement. Je m’active, allant du vagin au clitoris, passant mes mains sous ses fesses, lui caressant l’anus d’un doigt inquisiteur, puis introduisant un doigt dans son vagin. Elle me pousse la tête vers son sexe en gémissant, me caressant la bite et les couilles un peu rudement quand même, puis elle se raidit en gémissant. Elle retire ma tête, me ramène à sa hauteur, me lèche les lèvres et m’embrasse profondément.



Elle me pousse sur le dos, se met à la hauteur de mon sexe et commence à lui faire de petits bisous, partout, me caressant les couilles.



Elle me lèche la hampe, les couilles, remonte vers le gland, le lèche un peu, puis le prend dans sa bouche, enfournant ma queue au plus profond. Elle me prend une main et la pose sur sa tête.



Direct… Je lui prends la tête d’une main pour la guider, l’autre lui caressant les seins. Elle suce très bien, me caressant les couilles doucement, sa langue s’active autour de mon gland, elle aspire, suce, lèche, aspirant mes couilles en me caressant l’anus de son doigt. Je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme ! Je la retire donc et l’embrasse pendant qu’elle continue de me branler.

Je l’allonge sur le dos et monte sur elle. Elle ouvre les jambes en grand, prenant ma bite pour la diriger vers sa chatte.



En effet, je sens que ce n’est pas très humide et m’enfonce en elle avec précaution. Je la sens sursauter. J’arrête ma progression dans son ventre et lui demande :



Je recommence à la baiser, mais je la sens quand même crispée et me retire. Elle me dit :



Et elle prend quelque chose dans sa table de chevet, un tube de gel qu’elle presse pour s’enduire la chatte et ma bite, puis elle se remet sur le dos et écarte les cuisses en me disant :



Je me représente à l’entrée de sa chatte et pousse, ça rentre facilement et, bientôt, je suis au fond de son trou et commence des aller-retour qui semblent bien lui plaire, l’entendant haleter. J’y vais plus violemment, m’enfonçant au plus profond, en donnant de puissants coups de reins qui la font gémir.

Je sens monter la jouissance quand elle me dit !



Je me retire donc de sa chatte et me mets dans sa bouche. Elle aspire goulûment, un doigt s’égare près de mon cul, je lui prends la main et lui fais comprendre qu’elle peut m’enculer. Je sens son doigt entrer dans mon cul alors que sa bouche, autour de ma queue, m’affole. Je lui prends la tête, m’enfonce et gicle mon foutre dans sa bouche. Elle aspire et avale tout en faisant tourner sa langue autour de mon gland.

Je me retire doucement et, me penchant sur elle, l’embrasse tendrement, mélangeant ainsi nos salives à mon foutre.


Nous avons une longue conversation. Je lui dis que les choses se sont faites naturellement, qu’elle a eu l’air d’aimer, que nous n’avons pas à culpabiliser de quoi que ce soit. Elle me répond en riant que c’était un beau cadeau d’anniversaire, puis, plus gravement, elle me dit que son mari maintenant décédé ne la baisait guère et qu’il n’avait jamais été trop porté sur la chose. Elle en a été un peu frustrée d’autant que, comme c’était une « suceuse » – comme elle se qualifie – elle ne pouvait pas se laisser aller.

Elle me répète que ça fait trente ans qu’aucun homme ne l’a touchée. La conversation se prolongeant un peu tard, je lui demande si je peux dormir avec elle, ce qu’elle accepte avec joie, puis, en m’endormant, je lui dis :



Après un grand éclat de rire de sa part, nous nous endormons.


Le matin, je suis réveillé par une agréable sensation. Me réveillant ensuite brusquement, je vois dans la pénombre Renée penchée sur moi en train de me tailler une pipe. Je la laisse faire, la tenant par les cheveux afin de la guider. Sa main droite me caresse doucement les couilles, sa langue virevolte autour de mon gland, je ne vais pas tenir longtemps à ce rythme ! Je me dégage, l’embrasse, l’allonge sur le dos et monte sur elle. Elle ouvre ses jambes en grand, me prend la queue et la dirige dans sa chatte.

Elle est un peu humide, je prends d’infinies précautions pour la baiser, puis entame un lent va-et-vient, m’enfonçant doucement au plus profond. Elle me serre contre elle et je l’embrasse goulûment, puis je sens venir le moment ultime, elle le sent aussi, se raidit et jouit quand je me vide les couilles en elle. Je me retire lentement, je me mets sur le dos et elle se relève et nettoie consciencieusement ma queue.

Je me lève pour allumer, elle se couvre rapidement du drap.



Elle le tient, mais sans réelle volonté. Je tire doucement et dévoile son corps petit à petit. D’abord ses seins, étonnement fermes – enfin, fermes pour son âge –, puis son ventre. Il est plissé, ridé bien sûr, puis sa chatte apparaît avec sa toison grise.



Elle écarte ses jambes lentement, pas trop, car elle n’est plus très souple ! Je m’approche et regarde sa chatte de près, puis j’enfouis ma tête entre ses jambes et lui lèche la chatte pour la deuxième fois. Je m’attarde sur son clitoris, lèche ses lèvres, enfonçant ma langue le plus possible dans sa chatte, recueillant un peu de mon sperme au passage. Je remonte vers son clitoris quand elle me saisit par les cheveux, elle se raidit et se met à gémir, puis elle me repousse gentiment.



Elle passe un peignoir, moi mon slip, et elle prépare un petit-déjeuner en me racontant un peu plus sa vie. Son mari était très gentil, mais peu porté sur la chose. Elle aimait sucer, mais lui trouvait cela sale et n’appréciait guère. Elle aimait être léchée, il ne la léchait pour ainsi dire jamais, et les rares fois, ça ne durait pas longtemps. Il ne l’avait jamais sodomisée, il trouvait cela dégradant. En clair, elle a été frustrée toute sa vie. Un seul point positif, il était endurant et elle jouissait plusieurs fois quand il la baisait, ce qui n’arrivait pas trop souvent. Entre-temps, elle se débrouillait toute seule.

Je reste étonné de la fraîcheur d’esprit de Renée. Elle est enjouée, rigole tout le temps, me parle de sa vie privée sans honte ni retenue.



Avec mon épouse, nous faisons l’amour « normalement », je la lèche, elle me suce, on se fait des 69 et elle accepte la sodomie, comme elle accepte que j’éjacule dans sa bouche. Avec le temps, c’est devenu plus espacé, mais nous nous réservons deux/trois fois par an des week-ends en amoureux, en laissant les enfants pour un peu nous éclater. Les enfants sont grands, maintenant, le plus jeune termine son doctorat et l’aîné est marié. On baisouille à la papa. Mes absences liées à mon travail n’arrangent pas les choses ! J’ai suspecté un temps mon épouse d’avoir un amant, mais sans preuve formelle. Voilà, c’est à peu près tout.


Oups ! C’est l’heure d’aller bosser ! Vite une douche, dans mon appart ; je m’habille vite et je pars.

Toute la journée, je pense à cette nuit. Est-ce que c’était une connerie ? En tout cas, elle baise bien ! Et elle en veut !


Allez, zou ! c’est vendredi, et ce soir je rentre chez moi. Hum… il va falloir être en forme… je dois baiser ma femme… En attendant l’avion, je passe un coup de fil à Renée, on se dit des mots gentils et à lundi. Ce week-end, elle a ses enfants et fête son anniversaire.


Je retrouve mon foyer avec plaisir, ma femme est en demande le soir et nous baisons tranquillement. Je ne peux m’empêcher de comparer son corps avec celui de Renée. Certes, celui de ma femme est plus ferme, son cul est plus rebondi, ses seins sont volumineux et se tiennent encore bien, mais celui de Renée a son charme, sa peau est encore douce et sa bouche est un réel bonheur !


Bon, ce n’est pas tout ça, il va falloir aller travailler !

Lundi matin, descente d’aéroport, je récupère ma voiture, je vais sur le chantier et le soir je retourne dans mon appartement.

Je n’ai pas le temps de fermer la porte que déjà Renée, frappe.



Renée ouvre la porte et rentre, je ne la reconnais pas ! Elle est excitée comme une puce !



Et elle s’approche, me fait une bise sur la bouche, me prend la main, me tire dehors.



Bon, bien, je la suis. Elle ouvre son appartement et derrière la porte je vois une adorable petite chienne Cavalier King Charles pas plus haute que trois pommes qui nous regarde.



Je me penche, la prends dans les bras, l’approche de mon visage… Et hop, un coup de langue sur mon nez ! C’est vrai qu’elle est mignonne.



Sous la douche, je réfléchis : apparemment, Renée a intégré notre relation, ce qui n’est pas pour me déplaire, mais m’inquiète cependant. Je ne voudrais pas qu’elle s’attache de trop ! Enfin, on verra. Ceci dit, je m’aperçois que j’espère aussi que cette relation perdure.


Je me pomponne un peu et frappe à la porte de Renée, qui m’ouvre, suivie par Canelle qui regarde tout de ses grands yeux. À table, nous discutons de nous. Renée est inquiète que je mette un terme à notre relation, bien qu’elle trouve aussi que ce serait plus sage. Je lui dis de ne pas trop se poser de questions, le hasard nous a mis sur la route, laissons-nous porter !

Le repas terminé, nous nous sommes assis sur le canapé. Elle pose sa tête sur mon épaule, Canelle fait des efforts désespérés pour nous rejoindre. Je la prends et la pose sur les genoux de sa maîtresse.



Puis sa main quitte la chienne et se pose sur mon pantalon. Je ne dis rien, mais m’avachis un peu dans le canapé. Sa main se fait plus précise et s’attaque à ma ceinture. Je l’aide en défaisant ma ceinture et les boutons de mon pantalon. Je me laisse faire. Sa main s’insinue dans mon pantalon, puis dans mon slip, puis s’empare de ma queue en demi-bandaison. Quelques va-et-vient et je bande résolument… Alors, Renée pose Canelle par terre et se penche vers mon sexe qu’elle commence à lécher doucement. Je soulève mon bassin et baisse mon pantalon et mon slip. Elle s’empare de mes couilles et me suce avec passion. Je m’abandonne. C’est vrai qu’elle suce bien. Elle me caresse l’anus et je lui dis :



Elle suce alors son majeur et me l’enfonce doucement dans le cul. Je me laisse faire un petit moment et lui dit :



Elle arrête sa pipe et me dit :



Elle enlève le doigt de mon cul, j’enlève mon pantalon et mon slip, puis nous nous dirigeons vers sa chambre, suivis par Canelle ! Je termine de me déshabiller dans la chambre et m’allonge nu sur le lit. Renée me regarde et dit :



Elle ne dit rien et commence à se déshabiller. Elle éteint quand même la lumière, mais la clarté est suffisante pour que je la voie. Elle enlève sa robe, elle n’a rien dessous hormis ses sous-vêtements. Elle ôte son soutien-gorge, je vois ses seins qui pendent quand même un peu, puis elle enlève sa culotte et se dirige vers le lit ; un peu penaude. Elle s’allonge contre moi et me tend ses lèvres. Je l’embrasse, ma langue rencontre la sienne, puis je descends en embrassant son corps vers sa chatte dont je m’empare avec gourmandise. Je lèche tout ce que je peux, elle écarte les jambes au plus qu’elle peut, puis se glisse sous moi pour reprendre ma bite en bouche. Son doigt s’aventure vers mon anus, et là, elle me dit :



Alors, j’humecte un doigt et l’introduis doucement dans son cul. Elle se raidit un peu, puis se détend, s’ouvre, mon doigt continue sa progression, je reprends le léchage de sa chatte, et elle reprend sa pipe avec, me semble-t-il, plus d’avidité. Je quitte sa chatte dans l’intention de la baiser et elle se dégage aussi de ma bite et me dit :



Et elle prend son gel dans sa table de chevet pour s’en enduire la chatte et, l’instant d’après, je la pénètre avec bonheur. Je suis bien serré dans sa chatte, elle me convient parfaitement. Elle commence à onduler du bassin et nous trouvons un rythme en harmonie. Je l’embrasse en la baisant, comme je le fais en général avec mon épouse, puis je lui demande :



Et je pars la rejoindre dans son orgasme. Je reste en elle un petit moment puis je me retire, et elle descend prendre ma bite dans la bouche pour la nettoyer, ce qui devient un rituel immuable, comme la pipe du réveil.


Le lendemain soir, elle dîne chez moi, mais il ne se passe rien de notable sinon que nous prenons le temps de bien discuter. Quelque chose me tarabuste et je lui pose la question.



Elle rougit comme une jeune fille, détourne la conversation et, devant mon insistance, me dit :



Et pendant ce temps, Canelle visite mon appartement et fait pipi au milieu de mon salon…

Le matin, que ce soit chez elle ou chez moi, nous buvons le café tranquillement et, avant de partir travailler, je l’embrasse tendrement en lui caressant les fesses à travers sa robe de chambre. Puis je prends Canelle dans les bras, lui faisant une petite bise, elle me lèche le nez… Décidément, elle m’a adopté !



Et le soir venu, nous voilà partis tous les deux. Elle a une jolie robe ample qui me permet de caresser ses cuisses en roulant. Elle se prête volontiers au jeu, en écartant les jambes pour me permettre de remonter haut jusqu’à sa culotte. Le resto est effectivement sympa, sans prétention, mais très correct et à un prix raisonnable.

En rentant, je m’attarde un moment chez elle, Canelle sur les genoux. Je repense alors au gel.



Elle est manifestement mal à l’aise. Pourquoi ? Moi aussi je me branle, même si je suis marié !



Elle se lève, se dirige vers sa chambre, puis revient avec deux godes : un fin, mais long, l’autre plus épais et ayant plus l’air d’un sexe d’homme.



Je regarde les godes, me les imaginant dans sa chatte.



J’ai insisté un petit peu, puis elle va chercher le gel. Elle s’installe bien dans le fauteuil, en face de moi, soulève sa robe et baisse sa culotte jusqu’aux chevilles. Elle prend le gode le plus fin, l’enduit de gel, le présente sur son anus et appuie doucement. Je vois son cul qui aspire le gode et je commence à bander méchamment. Puis elle prend l’autre, l’enduit aussi de gel, se le met dans la chatte et commence à se branler en ondulant du bassin.

Je sors ma queue et commence à me branler aussi, puis je pense qu’elle aimerait peut-être me la sucer en même temps et je me lève pour la lui mettre dans la bouche. D’une main, je tiens sa tête pour guider la pipe, de l’autre je lui malaxe les seins par-dessus sa robe, et elle faisait coulisser les godes dans la chatte et dans son cul.



J’accélère le mouvement, puis je prends sa tête à deux mains et lance dans sa bouche de longs jets de foutre qu’elle avale avec délice.



Je me penche pour l’embrasser. Elle enlève le gode de sa chatte en me regardant et le suce… Je suis sidéré par le naturel de Renée, elle est beaucoup moins coincée que mon épouse, par exemple. Là, elle est allongée dans le fauteuil, les jambes écartées, un gode encore dans son cul et en train de sucer celui qui sort de sa chatte en me regardant dans les yeux…


Nous avons pris un rythme : une fois chez l’un, une fois chez l’autre, le jeudi soir on ne fait rien, car le vendredi soir je reprends l’avion et baise ma femme en rentrant… Faut que je sois un minimum en forme, car Renée est toujours partante !

J’ai toujours pensé que la sexualité des personnes âgées était éteinte, qu’à partir de soixante-dix ans ce n’était que des souvenirs ! C’est faux, totalement faux. Certainement que pour les hommes c’est plus compliqué et qu’en étant depuis des décennies avec la même femme, le désir s’envole… mais changez de femme, prenez une pilule bleue si le besoin s’en fait sentir et, à mon avis, c’est reparti ! Si votre épouse que vous délaissez se trouve un mec qui la regarde avec insistance, elle ne mettra pas longtemps à enlever sa culotte ! Bon, pour l’instant, je baise une femme de cinquante ans deux fois par semaine, et une de quatre-vingt-dix trois fois par semaine. Il va me falloir des vitamines !


Les godes font partie de nos jeux… d’autant plus qu’un soir, alors que nous sommes au lit, chez elle :



Je râle un peu pour la forme, puis, en me suçant, elle ôte son doigt et prend le gode fin, l’enduit de gel et commence à me le mettre dans le cul. Je suis coincé comme une pucelle.



Que répondre ? D’autant que le gode rentre dans mon cul et qu’elle reprend ma bite en bouche. Je sens la progression du gode, une nouvelle sensation, bizarre, mais très agréable.

Elle arrête de me sucer et me regarde dans les yeux en faisant aller et venir le gode dans mon cul.



Rire ! Oui, comme argument, on peut trouver mieux.



Elle sort le gode de mon cul, reprend ma bite en bouche pour bien l’humecter, et se met sur le ventre.



Elle se met sur les genoux, gardant la tête enfouie dans les oreillers.



Elle semble prendre un certain plaisir à dire ce mot : « encule-moi… » Ma queue est raide, je la positionne sur son anus et force, le gland passe. Elle gémit, j’arrête.



J’ai oublié de dire que je suis assez bien pourvu par la nature, plus épais que le gode qu’elle se met dans le cul.



Je m’enfonce alors jusqu’aux couilles. Elle ne dit rien. Je commence à baiser son cul. Ça coulisse de mieux en mieux. Je sors ma bite complètement et la remets d’un coup, ou fais des petits mouvements. Ma femme n’aime pas les coups violents quand je l’encule. Là, je fais pareil.



Cette phrase accélère mon excitation. Je la baratte un peu plus vite et vide mes couilles dans son cul à longs jets, puis, je me retire doucement. Elle se retourne et se penche pour prendre ma bite en bouche. Je la repousse !



Elle grogne, insiste et prend ma queue qu’elle suce longuement.



C’est une semaine ou deux plus tard qu’elle me raconte un de ses fantasmes : la fessée.



Elle s’allonge sur le canapé en soulevant sa robe et en baissant sa culotte jusqu’à mi-cuisse. J’ai la vision d’une vieille dame, jupe relevée, le cul à l’air, qui attend que le la corrige. Surréaliste !

J’enlève donc la ceinture de mon pantalon (et mon pantalon, dans la foulée, car il a tendance à tomber), me positionne à la hauteur de sa tête et porte le premier coup.



Je retape un peu plus fort, mais je ne veux pas lui faire mal.



Et encore un coup. Ses fesses commencent à rougir et j’y trouve un plaisir trouble. Jamais mon épouse n’a souhaité être fessée ! Encore un coup, elle sursaute, mais ne dit rien. Je continue, puis sa main s’aventure jusqu’à mon sexe en semi-bandaison et le caresse à travers mon slip que je ne tarde pas à ôter. Les coups s’enchaînent, elle ne dit rien, ses fesses sont rouges.



Ce disant, elle s’empare de ma queue et commence à la sucer. Je frappe de nouveau, moins fort, elle sursaute, ma queue s’enfonce bien dans sa bouche. Pour me sucer, elle est obligée d’un peu se tourner, ce qui met son cul à l’abri. J’attends un peu, puis me retire de sa bouche et me positionne sur sa rondelle que j’investis sans trop de ménagement. Elle sursaute aussi, se crispe un peu, signe que l’enculage n’est pas indolore.

Quelques va-et-vient dans son cul, puis, je me retire et investis à nouveau sa bouche dans laquelle je me vide avec bonheur. Elle avale tout et me suce bien la queue avant de me la rendre. Je regarde son cul, bien rouge, alors je l’aide à se lever et l’emmène devant la grande glace de l’armoire de la chambre. Je lui montre son cul rouge et, allant chercher mon téléphone, je prends une photo d’une vieille dame devant sa glace, la robe relevée, la culotte sur les cuisses et le cul rouge et qui me regarde en souriant. Obscène, mais tellement excitant.


Que de choses passées depuis que je l’ai baisée la première fois ! Elle ne voulait pas que je la voie nue, ce qui n’a pas duré. Maintenant, elle s’exhibe sans honte, me fait voir ce que je souhaite voir, se caresse, se met des godes. J’ai commencé à prendre des photos d’elle à l’arrivée de Canelle. Habillée, bien sûr, puis moins habillée, puis nue, puis en me suçant. On a commencé aussi à faire des vidéos de nous deux en train de baiser, vidéos qu’elle regarde en riant !



Elle ne ferme même plus la porte des toilettes ! La regardant un jour en train d’uriner, robe relevée, culotte sur les chevilles, je lui dis :



Alors, j’ai aussi des photos d’elles sur les w.c.… Ceci dit, elle m’a avoué un jour fermer la porte des w.c. du temps où elle vivait avec son mari ! Comme quoi…


Les fessées étaient quand même relativement rares. Nous avons varié les plaisirs en l’attachant sur le lit, sur le ventre, les bras et les jambes écartées. Pratique pour fouetter, moins pour se faire sucer et pour l’enculer. Alors, je la détache puis elle met son cul en position et attend. Après une séance de fouet, elle adore être sodomisée. Ça lui donne l’impression d’être soumise.

Je lui demande aussi, assez souvent je le confesse, de se branler et de se goder. J’aime la voir faire, elle se branle sans honte en me regardant dans les yeux, puis je me branle aussi et la pénètre au gré de nos envies, éjaculant dans son ventre, ou sa bouche, ou dans son cul, comme elle le souhaite.


Un jour, allongée sur mon lit (nous alternions les appartements), elle me demande de me branler. Elle me regarde et me caresse les couilles doucement, puis prend le petit gode et me l’enfonce.



Je ne dis rien et continue à me branler. Le plaisir vient, j’éjacule sur mon ventre et fais mine de me lever pour prendre un Kleenex.



Elle se penche sur mon ventre et me lèche consciencieusement tout le foutre, puis enlève le gode, me retourne et me lèche le cul.

J’ai dans mon lit une vieille dame par ailleurs très digne, mais qui a l’esprit gai et rieur d’une fille de vingt ans ! Les expériences sexuelles ne l’effrayaient pas, bien au contraire ! Un jour que nous en discutons, elle me dit :



Elle me révèle un dernier fantasme, un soir, au restaurant. Nous avons vu rentrer un couple de jeunes femmes, la trentaine, manifestement ensemble. Personnellement, ça m’indiffère, mais Renée les regarde en coin. Je suis étonné.



La conversation s’arrête là, mais quelques jours plus tard, je le ramène sur le tapis, car en vrai, l’idée m’excite. Mais qui trouver ? Peut-être une prostituée ?



Rires !



Rires de sa part !



Dont acte.

À temps perdu, je regarde un peu sur internet les sites spécialisés, pas évident, mais petit à petit, je trouve des « escortes ». Je note leurs numéros de téléphone et les appelle. Pas génial… Souvent des voix vulgaires laissant augurer du reste. J’élimine les trop jeunes, je cherche une femme de quarante-cinq/cinquante ans. Puis, un jour, je tombe sur une dame qui me paraît bien. Je lui explique la problématique, elle n’est pas hostile, faisant parfois l’amour avec des couples qui veulent voir leurs femmes avec une autre femme et qu’une relation tarifée ne dérange pas. J’ai un peu rajeuni Renée : quatre-vingts ans… Silence au bout du fil.



Le soir, je m’ouvre à Renée de cette conversation. Pour la première fois de notre relation, je la trouve pensive, grave.



Et le grand soir arrive. Renée se pomponne, elle met sa jolie robe rouge, un manteau, des collants, et nous voilà partis. Je la sens tendue, nerveuse, elle parle peu durant le trajet. En fait, Renée n’a connu que trois hommes durant sa vie : celui qui l’a dépucelée et l’a plaquée aussitôt, son mari et moi, et aucune femme, évidemment.

Nous voici devant l’entrée de l’immeuble, elle officie au quatrième étage. Nous sonnons, elle nous ouvre et dit laconiquement :



On monte, nous entrons discrètement. Elle nous accueille avec le sourire. Une belle femme, une poitrine généreuse, mince, quarante-cinq ans, certes, mais un beau quarante-cinq ans. Renée ne dit rien. Elle ferme la porte, nous fait entrer dans le salon. Discrètement, je lui remets l’argent de la passe.



Elle s’appelle Chloé, enfin, peut-être son nom de « guerre ». Elle s’assoit à côté de Renée et demande :



Elle lui caresse les cheveux, passe ses doigts dans ses boucles.



Chloé se penche et prend les lèvres de Renée. Elle l’embrasse et Renée répond à son baiser. Les mains de Chloé se font baladeuses, Renée est un peu crispée.



Petit rire.



Chloé se lève, prend Renée par la main et l’aide à se lever. Elle se tourne vers moi :



Je les suis toutes les deux dans la chambre. Chloé se déshabille immédiatement, elle n’a pas beaucoup à enlever, d’ailleurs ! Elle nous dévoile un beau corps, mince, bien entretenu, des seins volumineux et encore fermes, une belle paire de fesses et une chatte rasée. Renée la regarde et je la sens hésitante. Elle doit avoir une certaine réticence à montrer son corps.



Renée commence alors à défaire sa robe lentement, trop lentement.



Je m’approche et l’embrasse fougueusement. Elle s’accroche à moi, me rend mon long baiser durant que je défais sa robe. Je la lui passe dessus la tête, sa combinaison suit le même chemin. Elle ne regarde pas Chloé, garde ses bras autour de mon cou et m’embrasse. Je défais son soutien-gorge, caresse un peu ses seins. Elle me touche la bite à travers le pantalon. Je bande. J’ai l’impression que cette bandaison la rassure. Je me mets à genoux et fais glisser son collant, enlève ses escarpins. J’enlève le collant, elle pose ses mains sur ma tête, sa culotte suit le même chemin.


Chloé, allongée sur le lit, regarde. Renée est nue. Je l’embrasse une dernière fois et la couche sur le lit, à côté de Chloé. Celle-ci lui prend un sein et l’embrasse. Renée se détend et enlace Chloé. Rapidement, la main de Chloé descend jusqu’à la chatte de Renée qui se détend et ouvre les jambes. Chloé commence à lui caresser le clitoris. Renée commence à caresser le corps de Chloé, elle s’empare de ses seins, quitte sa bouche et prend un mamelon entre ses lèvres, puis sa main se glisse entre les jambes de Chloé.


Chloé la repousse et descend au niveau de son entrejambe. Elle écarte les cuisses de Renée et pose sa bouche sur son sexe. Je la vois la lécher, sucer, aspirer sa chatte. Renée ferme les yeux, caresse les fesses de Chloé, se laisse aller. Quant à moi, je suis tétanisé. Je bande à en avoir mal. Puis Chloé enjambe le corps de Renée et positionne son sexe en face de sa bouche, en 69. Je vois Renée prendre les fesses de Chloé entre ses mains, approcher sa bouche de la chatte de cette prostituée, mettre sa langue à l’intérieur de son sexe, lécher son clitoris et remonter jusqu’à son anus. Elle se laisse complètement aller, écartant les jambes pour offrir le plus possible son intimité à son amante d’une heure.

Chloé arrête de la lécher, se relève, s’assoyant carrément sur le visage de Renée, se faisant lécher du clitoris à l’anus. Elle me regarde en souriant, puis s’adressant à Renée :



Chloé se retourne, et l’embrasse, puis leurs mains vont chacune à la chatte de l’autre pour la caresser. Je vois ces deux femmes s’embrasser, se caresser. Autant que puisse le permettre la souplesse de Renée, elles s’emboîtent, frottent leurs sexes l’un contre l’autre, se mettent les doigts et la langue de partout. Je vois Renée se raidir, elle jouit. Elle retombe un peu, se laisse aller, et Chloé lui dit :



Et Chloé enjambe de nouveau Renée et, la tenant par les cheveux, lui impose un cunnilingus appuyé.



Et je vois la main de Renée descendre sur son sexe et s’activer pendant qu’elle lèche cette femme, puis elles se remettent en 69 et, au bout d’un moment, Renée a un second orgasme.

L’heure se terminait, elles se rhabillent, Chloé fait une petite bise sur la bouche de Renée et nous partons. Dans l’ascenseur, Renée m’embrasse longuement et me dit simplement :



Au retour, elle reste silencieuse, s’inquiétant seulement du fait que ça avait dû être dur pour moi.



Nous rentrons chez elle, elle m’attire immédiatement dans sa chambre.



Elle relève sa robe, descend son collant et sa culotte sur les cuisses, et s’allonge sur le ventre.



J’enlève ma ceinture, la plie en deux et applique le premier coup.



Je frappe un peu plus fort, puis encore plus fort. Elle enfouit son visage dans les oreillers et crie à chaque coup.



Je continue quelques coups encore, ses fesses sont bien marquées, puis, je sors mon sexe, je la prends par les cheveux et le lui enfourne dans la bouche.



Elle tressaille, gobe ma queue au plus profond et me met un doigt au cul. Je me retire et me mets derrière elle pour la pénétrer.



Dont acte. Je me positionne sur sa rondelle que j’investis sans (trop) de ménagement. Elle gémit un peu, remet sa tête dans les oreillers, et moi, m’enfonçant complètement dans son cul, je commence des va-et-vient un peu brutaux. Je ne tiens pas longtemps. Je m’enfonce au plus profond et éjacule dans son cul à longs jets. Immédiatement, elle se raidit, serre les fesses, gémit et se laisse aller complètement, détendue au possible.


Je me retire, lui fais une bise sur les fesses. Elle se redresse, me prend la tête, m’embrasse passionnément, et prend ma queue en bouche pour la nettoyer, s’inquiétant peu de l’endroit d’où elle venait, puis elle se retourna, se met sur le dos en me regardant en souriant. Elle est allongée, les bras au-dessus de sa tête, la robe relevée, les collants et la culotte baissée. Je vois sa toison. C’est profondément obscène et excitant.



Elle râle un peu, se lève, se reculotte, prend son manteau, puis nous allons dans un petit resto pas trop loin et très sympa. À table, nous évoquons cette soirée un peu particulière.



Rires



Et nous rentrons, on se couche, je n’ai pas voulu qu’elle prenne une douche, je veux sentir son odeur. Canelle vient comme à son habitude dormir sur le lit.



On se demande bien pourquoi !


Je téléphone à mon épouse, ou l’inverse, tous les deux jours environ, en soirée. Ce qui veut dire que Renée entend nos conversations. Le plus souvent, nous sommes chez elle ou chez moi, à discuter, ou au supermarché, mais une fois, mon épouse m’a appelé un peu tard, vers 22 h.

Je suis nu sur le lit, Renée est dans le même appareil, en train de me tailler une pipe, comme elle sait si bien le faire. Le téléphone sonne.



Renée s’arrête de sucer, me regarde, je décroche, craignant un problème.



  • — Oui, chérie ?


Aïe ! Renée me serre les couilles, elle n’a pas dû aimer le « chérie ».



  • — Non, rien, je n’ai pas fait attention à l’heure, j’avais simplement envie de te parler, je ne te dérange pas ?
  • — Non, je lisais.


Renée, voyant qu’il n’y a rien de grave, reprend sa pipe, mais avec plus d’intensité. Notamment, elle me met un doigt au cul. J’essaie de la repousser, mais non, elle s’accroche ! Moi, je tiens la conversation avec mon épouse tant bien que mal…

Renée se lève, je crois qu’elle va me laisser tranquille, mais non, elle va prendre un gode dans la table de nuit. Je lui fais non, non, non, du doigt, mais rien ne l’arrête, elle m’écarte les fesses et commence à introduire le gode. Je me détends au maximum, le gode entre dans mon cul pendant que mon épouse me parle de choses sans trop d’intérêt, d’ailleurs. Le gode bien enfoncé dans mon cul, Renée lui imprime un mouvement de va-et-vient en même temps qu’elle reprend à me sucer. Sa langue qui tourne autour de mon gland alors qu’elle va de haut en bas avec sa bouche sur ma queue est un véritable supplice. Bientôt, cependant, la conversation s’arrête.



  • — Bonne nuit, Chéri, je t’aime ! me dit mon épouse.
  • — Je t’aime aussi !


Aïe ! Elle m’a mordu la queue, cette garce ! Alors, Renée s’arrête de sucer et me regarde avec un sourire en coin.



Que voulez-vous faire ? Je la prends dans mes bras, l’embrasse et lui monte dessus, la pénétrant avec fougue, le gode sortant seul de mon cul au gré de mes mouvements. Elle ondule du bassin, je sens les parois de son vagin frotter mon gland et j’éjacule. Nous restons l’un dans l’autre un petit moment et je me retire, m’allongeant sur le dos. Elle vient me sucer la queue, comme à son habitude. Alors, je prends le gode, ramène son cul près de moi et y présente le jouet. Elle a d’elle-même écarté ses fesses et je l’y introduis sans réel ménagement. Elle a un sursaut, mais ne dit rien ! Une bonne claque sur ses fesses vient ponctuer ce petit moment…


Voilà, c’est ça, Renée, en apparence une vieille dame digne, un peu austère, mais dans l’intimité, une amante jeune dans sa tête, fougueuse avec ses moyens et ses limites physiques dues à son âge. Souvent, après une soirée agitée, les matins sont difficiles : elle a mal aux jambes, au dos, mais elle fait son possible pour me satisfaire et ne dit jamais non quand je me fais pressant. Elle a des douleurs, mais jamais la migraine ! Elle a aussi compris que mon cul est une zone érogène importante pour moi, et ses doigts, les godes et sa merveilleuse petite langue s’en occupent particulièrement, mais, autant tailler une pipe ne nécessite pas de position acrobatique, autant lécher le cul est plus difficile pour une vieille dame.


Un soir, en me suçant alors que je suis allongé sur le dos, la tenant par les cheveux, elle me met un doigt au cul. Elle suce son doigt, l’introduit un peu, le ressort, le suce à nouveau et le remet, ceci plusieurs fois, jusqu’à ce que son majeur soit bien au fond. Je me cambre pour lui faciliter l’introduction. Elle quitte ma queue pour me lécher les couilles, puis descend encore. Elle enlève alors son doigt et essaie de me lécher le cul. Je suis un peu étonné, mais pas hostile, mon épouse ne m’ayant jamais léché le cul, je ne connais pas la sensation. La position n’est pas vraiment confortable pour elle, elle n’y arrive pas.



Je me tourne, je me mets à quatre pattes, mais, même, ce n’est pas pratique. Elle s’allonge sur le dos et me dit :



Ce que je fais, je m’assois, présente mon cul à sa bouche, et lui demande :



Pas que ce soit sale, mais enfin. En réponse, elle écarte mes fesses et me passe un grand coup de langue sur l’anus.



Et elle me lèche consciencieusement, essayant de rentrer sa langue dans mon anus. Parfois, elle soulève mes fesses et s’empare de mes couilles pour les lécher, les avaler. Au bout d’un petit moment, je plonge entre ses jambes pour m’occuper de son clito et de sa chatte.


Depuis ce jour, elle me lèche le cul souvent, j’adore cela. Je le lui rends évidemment, mais elle n’y trouve pas un plaisir exceptionnel, préférant que je lui lèche la chatte.

Renée aime la soumission douce, les fessées, le léchage de cul, les pipes. Elle aime sucer à genoux, que je la tienne par la tête et utilise sa bouche comme un vagin pour me vider dans sa bouche ou sur son visage. Ensuite, il faut se relever ! Elle aime aussi quand j’éjacule sur son visage, que je l’emmène devant une glace, qu’elle regarde le sperme, puis le ramène dans sa bouche. Il ne faut pas perdre les bonnes choses, dit-elle alors !

Elle aime regarder une de nos vidéos qui la représente ainsi : elle nue, à genoux, moi habillé, assis dans le fauteuil, lui tenant les cheveux et éjaculant sur son visage.



Ce dialogue se déroule alors qu’elle est allongée, en train de me sucer.



Elle m’explique ensuite qu’elle aime tout cela. Elle n’a jamais léché le cul de son défunt mari, évidemment, bien qu’elle en a eu très envie, mais c’était impossible. Déjà, les pipes c’était limite, alors… elle aime être un peu soumise, être attachée, fouettée, humiliée. Elle aime que je la regarde faire pipi, par exemple. Sucer est pour elle une véritable drogue et, nettoyer ma queue, peu importe d’où elle sort, est indispensable, mais je la respectais et le lui dis.



Les mois passent, Canelle grandit et deviens une magnifique petite chienne, adorable, avec son petit caractère quand même, se transformant en parfait tue-l’amour quand ça lui prend. Elle vient se mettre entre nous deux dans le lit et si j’ai envie d’un gâté, il faut la virer, mais elle est si gentille.


Mais le temps passe… Le mois de juin approche à grands pas, et avec lui, la fin de ma mission. J’appréhende ce moment, Renée aussi. Je le luis dis, elle me répond un laconique « c’est comme ça ». Un peu plus tard, elle m’explique que ce qu’elle vit là est déjà extraordinaire et qu’il faut remercier le ciel de cette rencontre et en profiter jusqu’au dernier jour.


Le mois de juin commence, assez chaud, c’est plus agréable d’être jambes nues pour elle que de porter ces collants qu’elle n’aime guère. Comme chaque jeudi soir, nous faisons l’amour, tendrement, puis, le vendredi soir, je reprends l’avion pour retrouver ma femme. Le week-end se passe tranquillement. Je reprends l’avion pour rejoindre mon travail.


Journée tranquille, le chantier avance bien. Le soir, en arrivant, je tapote légèrement à la porte de Renée, j’entends Canelle aboyer, un peu bizarrement, certes. Je rentre chez moi et range mes affaires. Étonné de ne pas voir arriver Renée. Je retourne taper à la porte, un peu plus fort. Mêmes aboiements et pas de réponse. Est-elle sortie ? C’est bizarre, elle a pour habitude de m’attendre… J’insiste, puis je vais prendre le double des clefs (nous avions chacun un double des clefs de l’autre) et je rentre dans l’appartement. Canelle me fait la fête, je la repousse gentiment, car un mauvais pressentiment s’empare de moi. Je vais dans la chambre et je la vois, là, allongée sur le dos, un petit sourire sur son visage qui semble détendu, reposé. Renée est morte dans son sommeil.


Je reste debout, hébété, sidéré, j’essaie bêtement de lui donner des petites claques, mais son corps est déjà froid et je me dis que le dernier geste que je lui dois n’est pas des claques, mais un baiser, et j’embrasse tendrement ses jolies lèvres… une dernière fois.


Cenelle gémissait au pied du lit. J’appelle les pompiers, ne sachant que faire, puis je me rappelle de nos conversations :



  • — Tu sais, je me dis que si je meurs, mes enfants vont trouver les godes dans la table de nuit ! Je vais avoir une honte post-mortem !
  • — Arrête, tu n’es pas morte !


Oui, mais maintenant, c’est fait. Alors, rapidement j’ouvre la table de nuit, reprends les godes, le gel, le double de mes clefs et emmène tout cela dans mon appartement. Puis le chagrin m’envahit.

Les pompiers arrivent, suivis de près par la police, puis par le médecin légiste. Il pense à une crise cardiaque arrivée dans la nuit de dimanche à lundi. La police m’interroge sur la nature de nos relations, le fait que je sois arrivé le matin par avion et que j’aie passé la journée à mon boulot me lave de tout éventuel soupçon.

Les voisins viennent voir, je m’enferme chez moi en ayant récupéré Canelle. La famille arrive en fin de soirée.

Ils viennent me voir, je leur raconte et leur dis qu’ils ne s’inquiètent pas pour Canelle, je m’en occuperai. Ils me remercièrent distraitement, ils n’ont d’ailleurs rien à faire de Canelle. Et je passe la nuit ainsi, Canelle se serrant contre moi.


Renée est emmenée au reposoir le temps que se prépare l’enterrement. Dans la semaine, la famille commence à vider l’appartement. Ils vont le mettre en vente une fois la succession terminée. Le vendredi matin, j’assiste à l’enterrement, nous sommes peu nombreux. Elle va reposer aux côtés de son mari, dans sa jolie robe rouge qui lui allait si bien, robe que j’ai enlevée pour la première fois il y a neuf mois.


Le soir, je prends l’avion avec Canelle avec moi, pour qu’elle rencontre sa nouvelle famille. J’ai demandé à la famille si je pouvais la leur racheter. Un moment d’hésitation, ils l’avaient complètement oubliée.



Mon épouse a un peu râlé pour la forme, mais Canelle a vite fait de l’apprivoiser. Le vendredi soir, en parfait tue-l’amour, elle est montée sur le lit et s’est mise entre mon épouse et moi…


Les deux semaines suivantes sont un véritable calvaire. Je suis seul dans mon appartement et pense à Renée en permanence. Je passe au cimetière tous les soirs, pour lui parler, et le retour définitif chez moi est une véritable délivrance.


Je dis à ma société que je souhaitais arrêter les missions, que je fatigue un peu, ce qu’elle comprend et missionne un jeune ingénieur à ma place. Mon épouse me dit en riant :



Et je fais ce qu’il faut. Je regarde ma femme différemment, lui accordant plus d’attention, ce à quoi elle est sensible. Je gronde aussi Canelle qui est tout le temps collé à mon épouse, qui lui passe tout. Un peu jaloux, je pense. Souvent, pour ne pas dire toujours, quand je regarde Canelle, je vois Renée, et ça me fait du bien.


Et le temps continue sa course inexorable. Je prends ma retraite vers soixante-trois ans, attendant que mon épouse, un peu plus jeune, prenne la sienne. Aujourd’hui, j’ai soixante-cinq ans. Nous effectuons en cette fin d’été un petit voyage en France, allant d’hôtel en hôtel. Évidemment, nous faisons une halte dans cette petite ville qui m’a permis de rencontrer Renée. Je dis, sur le ton badin à mon épouse :



Et me voilà devant ta tombe, ma chère Renée. Dans mes bras, il y a Canelle qui, arrivant devant ta dernière demeure, curieusement, se met à gémir, pas longtemps, mais enfin.

Je regarde ton caveau et je pense à toi, ici, dans ton cercueil et dans ta jolie robe rouge, et moi devant toi, avec ta chienne. Aujourd’hui, tu aurais eu cent ans. Car c’est le jour de ton anniversaire. Il y a dix ans que tu es tombée dans mes bras et ces quelques mois passés en ta compagnie ont changé ma vie, mon regard sur les personnes âgées, sur ma femme.

Canelle vieillit, un jour elle partira elle aussi et je n’aurais plus de lien direct avec toi. Oui, je pleure. Car je ne t’ai jamais dit ce que Canelle te disait tous les jours dans son langage de chien et que ma bêtise m’a empêché de te dire : je t’aime, ma vieille !