L’été se terminait. Étant nouveau dans l’entreprise dans laquelle je travaillais, je n’avais pas voulu prendre de vacances, jusqu’au jour où mon pote Léo m’a demandé de passer chez lui pour résoudre un problème de configuration entre son synthé et son ordi. Il venait d’acquérir un ensemble de « Home Studio » et il pataugeait un peu dans la mise en place.
Léo, est un ami d’enfance. À l’adolescence, alors que je commençais à courir après les filles, lui préférait rester seul. Il m’avait avoué alors que les filles l’intéressaient bien sûr, mais dans ses fantasmes, c’étaient avec des garçons qu’il se complaisait. De fil en aiguille, pour lui faire plaisir, j’avais accepté qu’il fasse ses premières gammes érotiques avec moi. Après, la vie nous ayant éloignés nos rencontres ludiques et sexuelles s’étaient espacées.
Léo avait pourtant envie d’une vie sociale plus facile à vivre que celle de s’afficher ouvertement avec un garçon. Personne ne sut dans notre entourage, la relation que nous avions. J’ai donc été très surpris quand, une semaine auparavant, il m’avait téléphoné pour m’annoncer qu’il vivait en couple. Je lui ai demandé le nom de l’heureux élu, quand après une hésitation, il m’a répondu que l’heureux élu était une fille, qu’elle s’appelait Julia, qu’elle était formidable et tout et tout…
Je suis resté abasourdi de ce revirement dans sa sexualité. Je pensais donc à juste titre, que l’alibi de l’informatique était l’occasion pour lui de me présenter Julia. J’ai pris soin d’acheter un très joli bouquet de fleurs et la traditionnelle bouteille d’un grand cru.
Lorsque je suis arrivé, elle m’a accueilli en me faisant une bise franche et joyeuse, comme si elle me connaissait depuis toujours.
- — Alors c’est donc toi, Arsène. Léo m’a tellement parlé de toi.
- — Au téléphone, Léo m’a aussi parlé de toi comme étant la septième merveille du monde.
- — Toujours son sens de l’exagération. Tu verras, Arsène, je suis bourrée de vilains défauts.
- — En te voyant, je trouve qu’il n’a pas exagéré.
- — Et flatteur avec ça !
- — Comment a-t-il fait pour qu’une fille si jolie tombe amoureuse de lui.
- — Merci pour le compliment, Arsène, me répondit Julia, mais comment aurais-je pu résister à son charme, son intelligence, sa gentillesse, son humour et son talent d’artiste ?
- — En venant me voir par exemple, dit-il en riant et en donnant une claque dans le dos de mon ami et complice de toujours qui venait de pointer son nez dans l’entrée.
- — Si un jour il devient moche, con et macho, j’y penserai peut-être Arsène.
Léo me débarrassa de mes affaires en disant :
- — On a tout ce long week-end devant nous, commençons par un petit apéro. Je vais préparer des amuse-gueules. En attendant, profitez-en pour faire connaissance.
Nous nous sommes installés dans le canapé. Nous avons parlé musique, du groupe dans lequel jouait Léo. J’ai appris que Julia chantait aussi dans un autre groupe. J’ai parlé de mon boulot et de mon renoncement à faire la musique en pro. Julia, assise en face de moi, portait une petite robe courte qui dévoilait assez haut, ses jolies cuisses bronzées. Elle vit mon regard indiscret :
- — Tu connais Léo dit Julia en montrant la porte de la cuisine, il est tellement fier de moi qu’il a insisté pour que je porte une tenue sexy. Pour toute autre personne que toi, j’aurais choisi plutôt une tenue plus discrète.
- — Au diable la sagesse Julia, nous sommes entre nous et Léo ne m’en voudra pas si mon regard devient malgré moi un peu trop masculin.
- — Ah les garçons ! Tous les mêmes. Mais rassure-toi, je ne vais pas t’en tenir rigueur.
- — Avec ta bénédiction, je me sentirai moins coupable. Comment vous êtes-vous connus Léo et toi ?
- — Je ne devrais pas le dire, mais je sais que Léo et toi étiez assez intimes.
- — Qu’entends-tu par « intimes » demandai-je soudain, un peu gêné, mais quand même amusé.
« Tiens ! On parle d’intimité », demanda Léo, revenant de la cuisine les bras chargés.
- — Arsène me demandait comment nous nous sommes connus.
- — Ce n’est pas courant et je n’ai pas eu l’occasion de te le raconter me dit Léo. Je laisse à Julia le soin de te raconter notre première rencontre.
- — Nous étions chacun de notre côté, invités à une soirée d’anniversaire. J’avais tout de suite remarqué Léo et malgré les efforts que je faisais pour attirer son attention,« Monsieur » m’ignorait. Il discutait avec un autre garçon. Puis je l’ai perdu de vue. Au bout d’un moment j’ai décidé de le rechercher, sans succès. J’ai alors eu l’idée d’aller voir dans le jardin. Je l’ai trouvé derrière un buisson fleuri. Il était toujours en compagnie de même garçon, le pantalon aux chevilles et la bite à l’air. Enfin… « à l’air », façon de parler car, en vérité, ce mec la suçait avec entrain.
Complètement scotché par son franc parler je demandai :
- — Tu as dû être sacrément surprise, non ? Tu t’es sauvée ?
- — Tu me connais mal Arsène, quand j’ai envie de quelque chose, en l’occurrence de quelqu’un, je m’accroche.
- — Elle a simplement demandé : je peux me joindre à vous ? Intervint Léo.
- — Tu es vraiment gonflée, Julia.
- — Oui, c’est ma nature.
- — Et alors ?
- — Léo a dit « oui » et son copain, « pas question ».
- — C’était un homo exclusif, me dit-il. J’étais tellement stupéfait par l’attitude de cette fille qui surgissait dans notre intimité, que j’ai eu soudain envie de m’intéresser à elle. J’ai laissé tomber mon copain. J’ai pris la main de cette fille incroyable et je l’ai amenée à l’autre bout du jardin.
- — Et là, poursuivit Julia, sans un mot, poursuivant sur la lancée l’ouvrage commencé par un autre, je lui ai fait la pipe du siècle.
Tout en écoutant leur rencontre peu ordinaire, je me délectais des croisements de jambes de la belle, qui ne faisait aucun effort pour se soustraire à l’audace de mon regard.
- — On s’est revu le lendemain, puis les jours suivants continua Léo. C’était la première fois que j’arrivais à oublier mon attirance pour les mecs.
- — On s’aime bien dit Julia, on s’arrange bien, nos caractères fusionnent en un cocktail savoureux, mais je ne veux pas qu’il refoule pour moi, son côté bi.
- — Dis-moi Léo, tu n’as pas rencontré de gars depuis ?
- — Non, mais si l’occasion se présentait, qui sait ?
- — Alors si le cœur vous en dit, dit Julia en me regardant, ne vous gênez pas pour moi.
- — Tu es vraiment une fille étonnante, dis-je, tu consentirais sans sourciller que Léo et moi…
- — Si vous acceptez ma présence, Arsène, l’expérience peut être intéressante.
- — Alors trinquons à cette séduisante invitation, dis-je en levant mon verre.
La tension était montée d’un cran. Chacun observait dans le regard des deux autres, l’intensité de son envie. Nous savions tous les trois qu’une phrase, un geste, suffiraient à lancer l’action.
Julia attendait bien calée au fond de son fauteuil, la suite des événements.
Léo assis près de moi, plaqua sa main sur ma braguette.
Ce n’était pas la première fois, mais ça me surprenait toujours ce côté « rentre-dedans » de Léo. Il s’est mis ensuite à me malaxer la queue et les couilles pendant que Julia ne quittait pas des yeux la bosse proéminente qui déformait à présent mon jean :
- — Toujours aussi viril l’Arsène ! dit Léo en regardant sa compagne.
- — Je suis mal placée pour apprécier à sa juste valeur la virilité d’Arsène, mais là-dessus je te fais confiance.
Pour le taquiner un peu, j’ai répondu :
- — Ce n’est pas sa main sur ma queue qui m’excite le plus Julia, ce sont tes longues jambes bronzées et l’ombre mystérieuse d’un trésor qui s’obstine à rester cachée.
- — Si ma « case trésor » reste dans l’ombre, répondit la belle, c’est que je te laisse la primeur de l’exhibition Arsène. Je suis peut-être un peu exhibitionniste, mais je suis aussi friande de spectacles coquins. Ce serait sympa Léo que ce soit toi qui me présentes la queue d’Arsène. Je serais flattée d’en faire la connaissance, de visu bien sûr.
Il ne se fit pas prier deux fois. En quelques secondes, il avait extirpé mon sexe tout raide en l’empoignant fermement.
- — Félicitation, Arsène, dit Julia, tu as vraiment une très belle bite. Je ne vais pas faire de comparaison avec celle de Léo, les deux ont leur charme. Léo, tu veux bien le branler un peu. Qu’en penses-tu Arsène ?
- — Tout le plaisir est pour moi, et sous le regard intéressé d’une jolie fille, c’est le top.
- — J’aimerais aussi Arsène, que tu sortes le sexe de Léo et que vous vous branliez l'un l'autre. Le spectacle de mon chéri et de son meilleur ami, se paluchant mutuellement restera pour moi, inoubliable.
Je me suis penché pour attraper la queue que Léo avait déjà sortie, en changeant ma position pour mater bien en face l’entre-cuisses de Julia. Elle me faisait languir la coquine. Son regard allait de l’un à l’autre, d’une bite à l’autre. Elle se décida enfin à écarter légèrement ses cuisses devant moi en disant :
- — Si votre branlette m’excite suffisamment, je saurais vous remercier par une petite friandise.
- — Avec une telle récompense en vue, tu peux être sûre Julia que jamais Léo n’aura été si bien branlé.
- — Si vous arrivez à jouir tous les deux ensembles, j’offre le champagne dit-elle en éclatant de rire.
J’ai branlé Léo en mouillant sa queue de ma salive. Afin de mieux mouiller ma queue, Léo l’a prise en bouche, me gratifiant ainsi d’une pipe magistrale. J’hésitai un instant entre la vision enchanteresse des cuisses de Julia et la bite palpitante de Léo. Je décidai sur le champ de gober pour la première fois depuis de longs mois la queue raide de Léo. Julia ne perdait pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Allongés en 69 sur le canapé chacun pompant la bite de l’autre. En penchant la tête sur le côté, je pouvais contempler les cuisses appétissantes, mais résolument hermétiques, de mon hôtesse.
Le regard de Julia allait de gauche à droite, d’une bite à l’autre quand elle décida de siffler la fin de la partie en disant :
- — Eh les gars ! On a parlé de branlette rapide, mais gardez-en pour le dessert ! dit Julia en rabattant sa jupe sur ses cuisses.
- — Ok ! dis-je, mais tu n’avais pas promis une friandise en récompense de notre spectacle ?
- — Merci pour votre excitante prestation les garçons ! Un baiser sur la bouche, ça vous conviendra ?
- — Avec la langue et en profondeur, demandai-je ?
- — Juste un peu alors, pour le reste, nous avons le week-end devant nous. Qu’en dites-vous si nous nous contentions pour l’instant de cette mise en bouche ?
- — Avec la promesse d’un week-end torride, je suis prêt à toutes les concessions, Julia.
Elle s’approcha de Léo en lui roulant un patin et entreprit de ranger son sexe trop encombrant à l’abri de sa braguette. Elle vint ensuite vers moi, en prenant ma bite à pleine main et en m’offrant sa bouche ouverte pour la récompense promise.
- — Je te laisse rentrer ta queue tout, seul Arsène. Je crains que dure et raide comme elle est, la ranger va être très difficile.
- — T’inquiète, la belle ! Répondis-je en riant. Cependant, dès que j’aurais besoin ou envie de la sortir à nouveau, je demanderai l’assistance de tes longs doigts agiles.
- — Marché conclu Arsène ! Je vous laisse avec l’informatique à tripoter d’autres bits.
- — Surtout que le logiciel que nous allons configurer s’appelle Cubase.
- — Eh oui ! Soupira-t-elle, même pour les musiciens, le cul c’est la base ! Je vais pour ma part nous préparer un bon repas.
Nous nous installâmes Léo et moi dans le fond du salon, là où il avait aménagé son coin musique. Dans la cuisine, on entendait chanter Julia qui semblait être dans une forme superbe. Elle avait un timbre de voix magnifique.
- — Julia a étudié le chant, demandai-je à Léo ?
- — Oui, le chant classique, mais il y a longtemps. Elle a de beaux restes, hein ?
- — Je me demande s’il y a en elle une seule chose qui ne soit pas admirable. Tu es vraiment un sacré veinard d’être tombé sur elle. Tu l’aimes vraiment ?
- — Tu sais qu’on ne s’est pas dit une seule fois « Je t’aime ».
- — Elle non plus ?
- — Non. On a sans doute peur des conséquences.
- — Vous avez peur de l’amour ?
- — On a peur du « toujours ».
Je ne voulais pas approfondir cette étrange relation, de peur d’ennuyer Léo avec ma curiosité un peu malsaine. Dans la cuisine, la voix de Julia enchantait la maison tout entière.
- — Quelle est donc cet air ? Criai-je pour que Julia m’entende, je le connais, mais je n’arrive pas à le situer ?
Elle arriva en tenant à la main une grande cuillère en bois dégoulinant de sauce dans un bol qu’elle tenait de l’autre main.
- — Tiens lèches, tu me diras si tu trouves ma sauce à point. Le second degré, c’est pour plus tard… Si tu es sage ! L’air que je chantais est de Haendel « Lascia ch’io pianga ».
- — C’est super beau, ça me ferait presque pleurer d’émotion.
- — Tu tombes pile, c’est exactement la traduction en italien.
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Pendant le repas, Julia nous abreuva d’un tas de questions sur notre enfance, notre adolescence et sur la singulière relation qui nous unissait.
- — Si je comprends bien ,me dit-elle, ta bisexualité ne concerne que ta relation avec Léo, les autres gars ne te font pas bander.
- — Tu comprends bien. Je n’imagine même pas un instant baiser avec un autre gars que Léo. Au début, c’était uniquement pour lui faire plaisir, et après j’y ai pris goût.
- — C’est pousser le sens de l’amitié un peu loin, non ?
- — Mais toi, avec Léo, c’est aussi une relation complètement insolite. Il aime les hommes et, pourtant, il se met en couple avec une nana.
- — C’est un rapprochement raisonnable. Tout nous rapproche, sauf peut-être une seule chose, la sexualité, alors on en invente une nouvelle. Dès le début, j’ai su que sa préférence irait vers la sodomie. J’avais déjà inauguré, à plusieurs reprises, cette intromission délicate, mais sans plaisir. Je dirais même avec abnégation. Léo a su me la faire aimer.
- — Quand on le fait avec douceur et patience, dis-je, alors on y prend du plaisir.
- — Quand tu baises avec une fille, Arsène, tu la prends des deux côtés ?
- — J’essaie au moins de lui proposer, mais si ça la bloque, je n’insiste pas.
Nous nous sommes mis à table pour le dîner. La conversation était animée et joyeuse. On a parlé musique, évidemment, de mon nouveau job, de mes amours ou plutôt des filles que j’avais baisées. Léo racontait à sa compagne les tours pendables que nous avions faits ensemble comme : aller dans des photomatons et prendre la photo de nos culs et de nos bites en érection. Les godes invraisemblables que nous fabriquions avec de la résine. De nos jeux à qui éjaculerait le plus ou le plus loin ou le plus vite. Julia s’amusait follement de nos bêtises, veillait à ce que nos verres soient toujours bien pleins. Léo était intarissable sur notre jeunesse. J’acquiesçais même quand il en rajoutait un peu. Je ne pouvais regarder ailleurs que dans la direction de la jolie Julia. Son sourire était un rayon de soleil. J’avais goûté ses lèvres pulpeuses, mais j’étais encore sous le charme de les voir entrebâillées découvrant ses dents d’une blancheur éclatante.
- — Nous te racontons nos frasques de jeunesse, mais toi Julia, tu as sûrement un tas d’anecdotes à nous raconter.
- — Je l’ai déjà raconté à Léo.
- — Oui réplique celui-ci, mais pas à Arsène.
- — Ma première expérience fut avec une copine de fac. Je n’étais pas précoce, elle non plus. Je me suis rattrapée depuis. Je n’en garde pas un souvenir inoubliable, mais j’avais aimé sur le coup. Ses parents s’étaient absentés pour la journée.
- — Qu’aviez-vous expérimenté ensemble, j’adore les détails croustillants.
- — Je voulais tester avec ma copine le baiser avec la langue, pour ne pas paraître godiche lorsque j’aurais accepté qu’un garçon le fasse. Avec elle, je n’avais rien à craindre. Puis après le baiser qui nous avait assez excitées, nous en sommes venues aux caresses plus osées. Elle fut la première à mettre sa main dans ma culotte. J’étais déjà complètement trempée. Je lui ai rendu la pareille. Elle mouillait, elle aussi. Nous étions vierges toutes les deux, nous avons reculé devant l’envie de s’enfoncer un doigt dans la minette. Prise par un désir d’enfoncer mon doigt quelque part, je l’ai glissé entre ses fesses. C’est ainsi que j’ai enculé ma copine.
- — Et elle demandai-je, curieux d’entendre la suite.
- — Elle aussi a percé le trou de mon cul avec son doigt.
- — Un seul doigt ?
- — N’oublie-pas Arsène que nous étions pucelles. Par devant, bien sûr, mais aussi par derrière. Nous avions franchi déjà pas mal d’interdits.
- — Vous ne vous êtes pas léchées ?
- — Eh non ! Nous n’y avions pas pensé. Mais les jours suivants, cet oubli commença à m’obséder. J’en ai parlé à ma copine pour savoir si nous pouvions recommencer l’expérience. Elle n’a pas hésité une seconde pour accepter. Nous sommes allées nous balader en forêt pour trouver un coin tranquille. Nous avons trouvé l’endroit idéal près d’un ruisseau. J’avais emporté un plaid dans mon sac à dos. Là, nous avons tout repris à zéro. Nous langues sont parties dans une danse effrénée, j’ai enlevé son tee-shirt, son soutif. J’ai sucé les seins d’une fille pour la première fois, c’était délicieux. J’ai enlevé son jean, sa culotte, et j’ai continué mon léchage. Évidemment, elle n’était pas restée inactive. Je me suis retrouvée rapidement toute nue au-dessus d’elle, ma tête entre ses cuisses, la sienne entre les miennes. J’étais fascinée par le spectacle érotique de ses lèvres écartées. Je ne me lassais pas de scruter les moindres détails de sa vulve, et plus bas de son petit trou plissé dans lequel j’ai déjà plongé un doigt, mais sans le voir.
Je l’écoutais raconter son aventure, d’une voix posée, les yeux dans le vague comme si elle cherchait à se retrouver dans son récit. Son attitude assez lointaine était à l’opposé de la verdeur des situations qu’elle nous racontait.
- — Et alors ? demanda Léo.
- — Ça vous fait bander les garçons ?
- — Plutôt deux fois qu’une, dis-je. Tu peux vérifier si tu en doutes.
- — Je te crois sur parole. Je continue ?
- — Oui ! Nous répondîmes dans un unisson parfait.
- — Enivrée par ce tableau érotique à souhait, je pris soudain conscience que, moi aussi, j’étais exhibée jusqu’aux confins de mon intimité. À quatre pattes au-dessus d’elle, un genou de chaque côté, j’étais écartelée, cuisses écartées et fesses ouvertes. Non seulement, elle voyait tout de mes trésors cachés, mais elle me commentait en même temps tous les détails de mon anatomie.
- — J’aurais bien aimé être à sa place.
- — Je n’en doute pas un instant, mais à ce moment, c’est moi qui avais la langue sur son clito. Elle aussi me léchait divinement. Nous n’avions pas d’expérience, mais sûrement un don particulier pour le plaisir sexuel. Je fis rentrer ma langue dans son minou et je l’ai léchée, aspirée, sucée jusqu’à n’en plus pouvoir. Je ressentais en même temps sa langue s’insinuer en moi en me procurant de sacrés frissons. Sans arrêter le frétillement de ma langue au milieu de sa mouille, j’ai humecté mon doigt pour presser sur son anus. Elle me faisait simultanément la même caresse. Je poussais sur mon anus comme pour aspirer son doigt. Il rentra d’un seul coup. Elle le planta jusqu’au plus profond de mon cul. Surprise par cette intrusion violente, je l’enculai de la même manière. Mon orgasme fut aussi ravageur que le sien. Dans le feu de l’action elle avait laissé un jet de pisse ou de mouille sur ma figure. Elle m’a demandé de ne pas bouger, car elle avait envie de faire pipi. J’ai écarté ses petites lèvres pour voir jaillir un jet doré qui a giclé jusqu’au-delà du plaid. Nous avons éclaté de rire ensemble. J’avais été fascinée par ce jaillissement doré d’entre cuisses. Elle a voulu connaître la même chose. Je me suis mise accroupie au-dessus d’elle et, fesses ouvertes, j’ai poussé, mais j’étais bloquée. « Pousse plus fort, me disait-elle. Encore, je vois ton anus se dilater, c’est sublime, mais ne te trompe quand même pas d’expulsion ». Je lui ai dit en riant, de boucher mon trou du cul avec ses doigts pour éviter ce dégât collatéral. Du coup, elle m’a enfoncé trois doigts. Tout en me sentant ouverte et profondément enculée, j’ai pissé sur ses seins et son ventre.
Elle a fait une pause. Elle ne semblait pas perturbée par son récit.
- — Alors les garçons ! L’aventure de la jeune Julia vous a fait bander, j’espère.
- — Oui de plus en plus. J’en ai presque mal, car ma queue est coincée dans mon jean.
- — Décoince-la. J’en profiterai peut-être pour te la caresser.
- — Et moi alors ? dit Léo.
- — Une dans chaque main ou alors les deux ensembles, serrées l’une contre l’autre, pour vous être agréable.
Il ne fallut pas bien longtemps pour nous retrouver, Léo et moi, bites à l’air et bien raide. Julia nous a mis en position face à face. Elle a réuni nos sexes raides de ses deux mains. Elle nous a esquissé quelques mouvements de branlette, puis un petit bisou rapide sur les deux glands réunis.
- — Je vous aime bien tous les deux ensembles, dit-elle l’œil plein de malice.
- — Nous deux, répondit Léo, on t’aime beaucoup toute seule.
- — Tu vois, me dit Julia, mon chéri a le sens du partage. Quand je dis, partage, je ne parle pas de moi, mais du plaisir que l’on peut prendre ensemble tous les trois. Maintenant j’aimerais bien faire un bœuf avec vous, ça vous dit ?
<<<O>>>
Léo et Julia ont chanté « Bridge over Troubled Water » à deux voix. Léo à la guitare et moi aux claviers. Leurs voix s’accordaient super bien. Le plaisir de la musique avait à ce moment supplanté nos libidos. Je connaissais bien la voix de mon pote, mais celle de sa compagne m’envoutait, au point de me planter dans les accords. Ils ne m’en ont pas tenu rigueur. J’avais un peu perdu la main depuis que j’avais arrêté la musique.
Pour terminer la soirée Léo proposa d’aller se rafraîchir sur la plage pas loin de chez eux, cinq minutes de marche tout au plus. Il était hors de question de prendre la voiture. Il était près de minuit, le bord de mer était désert, Julia enleva ses chaussures pour prendre un bain de pieds.
- — Elle est super bonne ! nous cria-t-elle. Venez me rejoindre.
- — Avec nos jeans, on ne s’y risque pas !
- — Enlevez-les, c’est l’heure du bain de minuit.
- — Dans ce cas, dis-je, la tradition c’est à poil, non ?
- — Ben oui, il faut respecter les coutumes, n’est-ce pas les gars ?
En quelques minutes nous fûmes mon pote et moi nus comme des vers.
- — Et toi alors ? demandai-je à Julia, qui avait remonté sa robe très haut sur ses cuisses pour éviter de la mouiller.
- — Moi, j’attends que mes chevaliers servants viennent m’enlever ma robe, ma petite culotte de coton et mon soutif.
- — Dans l’eau, l’opération est risquée dit Léo, viens plutôt sur le sable.
Elle est revenue à la raison, en nous rejoignant sur le bord.
- — Alors, qu’attendez-vous ? Déshabillez-moi. Que l’un de vous se charge de ma robe, et l’autre ma culotte et le soutif.
Léo a commencé. « Waouh » ! Qu’elle était belle la môme en petite culotte. Son corps de déesse, même dans le clair-obscur de la nuit, fit monter en moi des bouffées de désir. J’ai posé mes mains sur ses hanches en la regardant dans les yeux. Elle souriait très à l’aise dans cette situation équivoque. J’ai fait glisser le bout de tissu en le suivant dans sa descente jusqu’aux chevilles. Je me suis donc retrouvé accroupi devant elle, le nez à quelques centimètres de sa belle touffe brune, artistiquement taillée en forme de cœur. J’ai résisté, je me suis levé pour terminer ma tâche en dénudant ses seins. Jamais encore une fille ne m’avait troublé à ce point.
- — Eh, Arsène ! réveille-toi, me lance Léo en riant. À trois, on court vers l’eau et on plonge.
- — Le dernier à l’eau aura un gage dit la belle en se précipitant vers les premières vagues.
Le gage, c’était pour moi. L’eau n’était pas aussi froide que je l’avais craint. Nous avons batifolé comme des enfants, nous bousculant, nous attrapant, par les jambes, les bras, les fesses. J’ai senti plus d’une fois, une main me prenant la bite ou glissant dans la raie de mon cul, sans savoir si la caresse était féminine ou masculine. Je ne m’en souciais pas, c’était toujours agréable. J’en profitais aussi plus souvent qu’à mon tour, pour peloter la belle Julia qui se prêtait volontiers à mes attouchements. Pourtant, nous étions bien plus dans une attitude ludique qu’érotique.
Au bout d’un moment, le froid nous obligea à sortir de l’eau.
- — J’ai oublié de faire pipi dans l’eau, dit Julia en pressant son bas-ventre de ses deux mains, maintenant j’ai une envie pressante.
- — Ne te gêne pas pour nous dit son compagnon.
- — Dans ce cas, je vais vous faire le petit numéro de la fille qui pisse plus haut, plus loin, plus fort. Comme vous êtes tout mouillés je peux compléter l’arrosage sur vous deux. D’accord camarades ?
- — Je n’en espérais pas tant. Ce soupçon de perversité qu’elle affichait sans pudeur me donnait le frisson.
Debout, face à nous à un mètre à peine, elle tendit son ventre en avant, écarta ses lèvres en les remontant vers le haut de ses doigts et nous lança :
- — Vous êtes prêts pour la douche de minuit ?
Son jet fusa sur mon visage. Surpris, mais ravi, j’ouvris la bouche pour recueillir cet élixir enivrant. Elle descendit son jet visant directement mon sexe. Ce fut ensuite au tour de Léo de subir cet exaltant supplice. La source était presque tarie et il n’eut que les quelques giclées restantes.
Nous n’avions pas prévu de serviettes. Nous nous rhabillâmes en gardant sur nous l’odeur enivrante de Julia. Nous prîmes le chemin du retour au pas de course pour nous réchauffer. Nos vêtements mouillés nous collaient à la peau. Aucun de nous, pourtant, ne s’en plaignait. Nous avions en compensation la vision de la robe de Julia collée à sa peau, épousant parfaitement ses formes appétissantes.
À l’arrivée, notre premier réflexe fut d’enlever nos vêtements pour nous sécher. Sous la lumière vive du salon, elle était belle à couper le souffle. La fraîcheur lui donnait une chair de poule. En baissant son regard vers notre bas-ventre, elle nous dit :
- — Eh bien mes chéris, vous avez perdu quelque chose pendant la baignade ;
- — Non, je ne pense pas, dis-je, j’ai récupéré tous mes vêtements.
- — Mais tu as perdu les trois-quarts de ta queue, s’esclaffa-t-elle en montrant du doigt mon sexe rabougri par l’eau froide. Léo n’est pas dans un meilleur état.
- — La douche chaude, que tu nous as offerte, ne m’a pas assez réchauffé.
- — Tu peux peut-être nous les réchauffer avec ta bouche douce et chaude, dit mon copain en riant.
- — Désolé de vous décevoir les garçons, mais les glaçons, je ne les suce qu’avec un jus de fruit ou un petit rosé. Si nous sonnions plutôt l’heure du coucher ? Le meilleur moyen de se réchauffer c’est encore sous la couette.
- — Tu n’as pas pitié de ce pauvre Arsène qui va se retrouver tout seul dans son lit froid ?
- — Invite-le à dormir avec nous. Le lit est assez grand pour trois. Nous nous réchaufferons plus vite.
- — Qu’en penses-tu Arsène ?
- — Comment refuser une telle proposition ? Mais si vous avez envie de faire l’amour cette nuit ?
- — On peut le faire à trois Arsène, me dit Léo. Je n’ai pas goûté au plaisir de sentir une bonne queue en moi depuis des lustres. Tu n’es pas contre ma chérie, dit-il ?
- — Puisque tu demandes mon avis, il y a aussi des lustres que je n’ai pas eu en moi une queue de chaque côté.
- — Si le paradis existe, dis-je, c’est ici avec vous deux, dans votre lit.
<<<O>>>
Nous nous sommes retrouvés devant le lit, tous les trois à poil, à discuter sur la meilleure disposition dans le lit. La meilleure place étant évidemment celle du milieu, permettant à l’heureux gagnant d’avoir accès aux deux autres. Julia me proposa la place en tant qu’invité.
- — Je crois que Léo est impatient de sentir ta bonne queue au plus profond de ses fesses. Je ne resterais pas insensible à ce spectacle. Je me propose même de guider la bite d’Arsène et de me charger ainsi, avec plaisir, de cette pénétration. Mes caresses seront un bonus, « non négligeable ».
Évidemment, la proposition fut acceptée à l’unanimité.
Léo s’est laissé tomber sur le lit, à plat ventre, bras en croix et jambes largement ouvertes. Julia me regarde et désignant son compagnon :
- — On va commencer par le caresser un peu.
- — Un massage à quatre mains ?
- — Oui, mais pas que… Je vais te montrer une caresse que mon chéri adore.
- — Quel genre de caresse ?
- — Regarde bien, Arsène, tu vas surement apprécier.
Elle est montée sur le lit et s’est mise accroupie cuisses écartées de chaque côté du cul du Léo, face à moi juste au-dessus de ses fesses, toujours à plat ventre et attentif à la suite des événements. Quel spectacle excitant, je ne pus m’empêcher de branler ma queue toute raide.
Elle a commencé à frotter ses fesses contre celles de Léo qui en ronronnait de plaisir. Elle écartait les fesses de Léo pour glisser une des siennes dans la raie béante.
- — Viens me lécher Arsène, tu seras ainsi aux premières loges et cesse de te branler, Léo serait vraiment fâché si tu jouissais de manière intempestive.
- — D’accord, belle amazone. Je me demande ce qui m’excite le plus entre la danse lancinante de vos fesses qui s’entremêlent, les chairs nacrées de ta chatte béante et les couilles de Léo tanguant sous tes caresses.
- — Dans ce cas, ne te pose pas de questions, prends le tout comme un cadeau de bienvenue, que Léo et moi nous t’offrons.
Tout en se déhanchant sur les fesses du bienheureux Léo, elle laissa couler un filet de salive dans la raie de sa monture virile. Elle l’étala très largement en insistant particulièrement sur l’œillet brun de mon ami.
- — Approche Arsène, ma salive n’est pas suffisante pour son petit trou fragile. Un peu de cyprine en plus et le lubrifiant sera parfait. Je compte sur toi pour venir la récupérer à sa source avec ta langue et la remettre directement sur l’objectif.
- — Te lécher la foufoune jolie Julia, c’est déjà la porte du paradis.
- — Il y a devant toi une porte plus étroite qui attend ta collaboration.
Je me suis agenouillé devant l’autel de luxure. Julia écartait de ses deux mains les lèvres de sa chatte pour m’en faciliter l’accès. J’y ai plongé ma langue avec avidité et j’aurais bu son jus d’amour jusqu’à en tarir la source si je n’avais pas été engagé vers une autre voie.
Nous avons, Julia et moi œuvré de concert, mêlant nos doigts entre les fesses de Léo pour en assouplir l’entrée intime. Celui-ci nous accompagnait par des encouragements à parfaire notre action. Julia fut la première à engager un doigt dans son anus désormais accueillant.
- — Mets-y ton deuxième doigt la belle, je le devine bien assoupli, dis-je d’un ton badin.
- — J’ai une autre idée, Arsène. Joins ton doigt au mien, ensemble, ils seront d’une efficacité redoutable dans leur unisson.
- — Combien de doigts as-tu réussi à lui introduire jusqu’ici ?
- — Regarde ma main comme elle est fine. À ton avis combien ?
- — Trois ? Mais il faudrait au moins quatre de tes doigts agiles pour concurrencer la grosseur de ma bite.
- — Oh le vilain vantard ! Quoique en regardant bien, on n’est pas loin du compte.
Joignant le geste à la parole, elle saisit ma bite d’une main, puis joignant ses doigts ensemble, les saisit de son autre main.
- — Je crois que tu as gagné, bel étalon, c’est kif-kif. Léo, lui, préférera surement ton membre bien raide à mes doigts bien-aimés.
Sans plus attendre, elle tira sur ma queue qu’elle tenait toujours bien en main, pour l’approcher du cul de Léo. Elle fit glisser mon gland tout au fond de la raie bien lubrifiée. Au bout de quelques allers-retours du bas du dos à la racine des couilles, elle positionna mon gland à l’entrée de l’anus de son homme. Ce n’est pas moi qui ai poussé, c’est elle qui a enculé son chéri avec ma queue.
- — Waou ! Doucement Arsène, j’avais oublié que tu avais un chibre aussi percutant.
- — Ce n’est pas moi le fautif Léo, c’est Julia qui a enfoncé d’autorité ma queue dans ton cul.
- — Je la reconnais bien la coquine ! Elle, que je dois préparer pendant un temps infini avant d’honorer son trou du cul, se venge à sa façon.
- — Mais non, mon amour, je sais que dans le fond tu aimes ça. Vas-y, Arsène, actionne ton piston et bourre lui le cul.
Toujours tout-sourire, la belle Julia promenait sa main entre les fesses de son amoureux, et ne manquait pas de saisir ma bite au passage quand je la ressortais du fourreau étroit dans lequel elle s’ébattait.
Elle s’écarta ensuite en se plaçant derrière moi.
- — J’adore le spectacle que vous m’offrez, les garçons. Non seulement ça m’excite, mais d’autres idées viennent à mon esprit échauffé.
- — Lesquelles ? demanda l’ami qui gémissait de plaisir sous mes coups de queue.
- — Vous le saurez en temps voulu petits curieux. Aller, Arsène fais-le jouir ! Tu auras ta récompense ensuite.
Julia se plaqua alors à moi, encastrant son corps nu contre ma peau nue. La sensation était grisante. Son ventre enveloppait mes fesses et ses seins s’écrasaient contre mon dos. Elle suivait mes mouvements de baise sans décoller un centimètre de peau de mon dos. Elle m’entourait de ses bras comme la passagère d’une moto puissante à son pilote. Je crus l’espace d’un instant qu’elle accompagnait seulement mes poussées en avant, mais je m’aperçus très vite que c’était elle qui propulsait mon ventre en avant. C’est Julia qui sodomisait Léo par l’intermédiaire de mon corps.
Elle poussait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je ne pouvais que la suivre et lancer ma queue de plus en plus profond dans les fesses de mon ami. Julia me griffait la peau me mordillait le cou et me torturait les tétons.
J’ai joui, le premier, Léo ne m’a pas suivi. Je suis resté planté en lui, laissant mon corps anéanti.
- — C’était comment Arsène ? me demanda Julia.
- — Merveilleusement inédit, j’étais en même temps le marteau et l’enclume. Mes fesses en sont toutes endolories.
- — Imagine que j’ai un instant eu l’idée de me harnacher de mon gode-ceinture. Je n’aurais pas hésité à ouvrir tes fesses et à pourfendre ton joli petit cul.
- — C’est une bonne idée ! Léo sortait de sa torpeur post-coït.
- — Pour ma part, j’aimerais faire une petite pause.
- — C’est facile à dire, tu es le seul à avoir joui. Je propose donc que tu t’allonges bien tranquillement. Je m’occupe du reste.
Julia s’est mise en levrette en prenant ma bite toute molle entre ses lèvres. Léo quant à lui avait pris place à genoux derrière elle, le chibre bien raide.
- — Suce bien mon ami ma chérie, pendant que j’enfonce mon pieu entre tes fesses.
- — Pas dans le cul, s’il te plait, c’est dans ma chatte que j’ai envie de toi.
- — OK ma belle, je ne forcerai pas ta porte étroite, pour le moment.
- — Vas-y, maintenant baise-moi.
Quand Léo s’enfonça en elle, je ressentis la secousse transmise par sa bouche tout le long de mon sexe. La coquine faisait en sorte de coordonner les coups de queue de son compagnon et la succion avide de mon gland. C’était phénoménal. Elle avait un talent certain pour la fellation. La bite tendre et molle qu’elle avait embouchée, durcissait sous l’action de ses doigts qui caressaient mes bourses et la raie de mon cul. Elle libéra sa bouche quelques secondes pour me demander :
- — Tu veux que je t’encule pendant la pipe, Arsène ?
- — Oui, mais mouille-moi bien d’abord.
- — Tiens mon pote, du jus de chatte tout chaud, dit Léo en retirant sa main des cuisses de sa belle.
Il m’a barbouillé la raie et sa moitié en rajouta une couche en insistant sur mon anus.
- — Lèche mes doigts, ils ont le goût d’un savant mélange : celui de ma chatte, de ton sperme et du cul de mon homme.
Elle avait à peine eu le temps de terminer sa phrase que Léo, secoué par un orgasme ravageur, la propulsa en avant. Lâchant ma queue devenue raide, elle s’affala sur moi de tout son long tétanisée par une jouissance à l’unisson.
Quel ravissement, de sentir sa peau nue contre la mienne, son ventre contre le mien, ses seins s’écrasant sur ma poitrine. Quelques minutes passèrent, chacun jouissant avec gourmandise de cet instant magique, où les corps émergent peu à peu de l’explosion des sens.
Elle s’allongea tout contre nous en abreuvant son compagnon de baisers mouillés. Elle était attendrissante. Je posai ma main sur ses hanches. Que sa peau était douce !
Nous nous sommes endormis tous les trois, côte à côte, en ramenant la couette sur nous. Comme prévu, j’étais entre les deux. Une main sur la queue de Léo et l’autre sur le petit buisson de Julia.
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