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n° 21605Fiche technique35687 caractères35687
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Temps de lecture estimé : 25 mn
12/03/23
Présentation:  L’idée de ce texte part d’une situation réelle, puis l’imagination fait le larron.
Résumé:  Arsène retrouve un ami d’enfance et les souvenirs de leurs gammes érotiques. Cet ami à sa grande surprise s’est mis en couple avec...une fille.
Critères:  fhh jeunes plage voir exhib caresses fellation hsodo uro coprolalie
Auteur : imagine29            Envoi mini-message
Hello Léo !

L’été se terminait. Étant nouveau dans l’entreprise dans laquelle je travaillais, je n’avais pas voulu prendre de vacances, jusqu’au jour où mon pote Léo m’a demandé de passer chez lui pour résoudre un problème de configuration entre son synthé et son ordi. Il venait d’acquérir un ensemble de « Home Studio » et il pataugeait un peu dans la mise en place.


Léo, est un ami d’enfance. À l’adolescence, alors que je commençais à courir après les filles, lui préférait rester seul. Il m’avait avoué alors que les filles l’intéressaient bien sûr, mais dans ses fantasmes, c’étaient avec des garçons qu’il se complaisait. De fil en aiguille, pour lui faire plaisir, j’avais accepté qu’il fasse ses premières gammes érotiques avec moi. Après, la vie nous ayant éloignés nos rencontres ludiques et sexuelles s’étaient espacées.


Léo avait pourtant envie d’une vie sociale plus facile à vivre que celle de s’afficher ouvertement avec un garçon. Personne ne sut dans notre entourage, la relation que nous avions. J’ai donc été très surpris quand, une semaine auparavant, il m’avait téléphoné pour m’annoncer qu’il vivait en couple. Je lui ai demandé le nom de l’heureux élu, quand après une hésitation, il m’a répondu que l’heureux élu était une fille, qu’elle s’appelait Julia, qu’elle était formidable et tout et tout…


Je suis resté abasourdi de ce revirement dans sa sexualité. Je pensais donc à juste titre, que l’alibi de l’informatique était l’occasion pour lui de me présenter Julia. J’ai pris soin d’acheter un très joli bouquet de fleurs et la traditionnelle bouteille d’un grand cru.

Lorsque je suis arrivé, elle m’a accueilli en me faisant une bise franche et joyeuse, comme si elle me connaissait depuis toujours.




Léo me débarrassa de mes affaires en disant :




Nous nous sommes installés dans le canapé. Nous avons parlé musique, du groupe dans lequel jouait Léo. J’ai appris que Julia chantait aussi dans un autre groupe. J’ai parlé de mon boulot et de mon renoncement à faire la musique en pro. Julia, assise en face de moi, portait une petite robe courte qui dévoilait assez haut, ses jolies cuisses bronzées. Elle vit mon regard indiscret :



« Tiens ! On parle d’intimité », demanda Léo, revenant de la cuisine les bras chargés.



Complètement scotché par son franc parler je demandai :



Tout en écoutant leur rencontre peu ordinaire, je me délectais des croisements de jambes de la belle, qui ne faisait aucun effort pour se soustraire à l’audace de mon regard.



La tension était montée d’un cran. Chacun observait dans le regard des deux autres, l’intensité de son envie. Nous savions tous les trois qu’une phrase, un geste, suffiraient à lancer l’action.

Julia attendait bien calée au fond de son fauteuil, la suite des événements.

Léo assis près de moi, plaqua sa main sur ma braguette.

Ce n’était pas la première fois, mais ça me surprenait toujours ce côté « rentre-dedans » de Léo. Il s’est mis ensuite à me malaxer la queue et les couilles pendant que Julia ne quittait pas des yeux la bosse proéminente qui déformait à présent mon jean :



Pour le taquiner un peu, j’ai répondu :



Il ne se fit pas prier deux fois. En quelques secondes, il avait extirpé mon sexe tout raide en l’empoignant fermement.





Je me suis penché pour attraper la queue que Léo avait déjà sortie, en changeant ma position pour mater bien en face l’entre-cuisses de Julia. Elle me faisait languir la coquine. Son regard allait de l’un à l’autre, d’une bite à l’autre. Elle se décida enfin à écarter légèrement ses cuisses devant moi en disant :



J’ai branlé Léo en mouillant sa queue de ma salive. Afin de mieux mouiller ma queue, Léo l’a prise en bouche, me gratifiant ainsi d’une pipe magistrale. J’hésitai un instant entre la vision enchanteresse des cuisses de Julia et la bite palpitante de Léo. Je décidai sur le champ de gober pour la première fois depuis de longs mois la queue raide de Léo. Julia ne perdait pas une miette du spectacle que nous lui offrions. Allongés en 69 sur le canapé chacun pompant la bite de l’autre. En penchant la tête sur le côté, je pouvais contempler les cuisses appétissantes, mais résolument hermétiques, de mon hôtesse.


Le regard de Julia allait de gauche à droite, d’une bite à l’autre quand elle décida de siffler la fin de la partie en disant :



Elle s’approcha de Léo en lui roulant un patin et entreprit de ranger son sexe trop encombrant à l’abri de sa braguette. Elle vint ensuite vers moi, en prenant ma bite à pleine main et en m’offrant sa bouche ouverte pour la récompense promise.



Nous nous installâmes Léo et moi dans le fond du salon, là où il avait aménagé son coin musique. Dans la cuisine, on entendait chanter Julia qui semblait être dans une forme superbe. Elle avait un timbre de voix magnifique.



Je ne voulais pas approfondir cette étrange relation, de peur d’ennuyer Léo avec ma curiosité un peu malsaine. Dans la cuisine, la voix de Julia enchantait la maison tout entière.



Elle arriva en tenant à la main une grande cuillère en bois dégoulinant de sauce dans un bol qu’elle tenait de l’autre main.




<<<>>>



Pendant le repas, Julia nous abreuva d’un tas de questions sur notre enfance, notre adolescence et sur la singulière relation qui nous unissait.



Nous nous sommes mis à table pour le dîner. La conversation était animée et joyeuse. On a parlé musique, évidemment, de mon nouveau job, de mes amours ou plutôt des filles que j’avais baisées. Léo racontait à sa compagne les tours pendables que nous avions faits ensemble comme : aller dans des photomatons et prendre la photo de nos culs et de nos bites en érection. Les godes invraisemblables que nous fabriquions avec de la résine. De nos jeux à qui éjaculerait le plus ou le plus loin ou le plus vite. Julia s’amusait follement de nos bêtises, veillait à ce que nos verres soient toujours bien pleins. Léo était intarissable sur notre jeunesse. J’acquiesçais même quand il en rajoutait un peu. Je ne pouvais regarder ailleurs que dans la direction de la jolie Julia. Son sourire était un rayon de soleil. J’avais goûté ses lèvres pulpeuses, mais j’étais encore sous le charme de les voir entrebâillées découvrant ses dents d’une blancheur éclatante.



Je l’écoutais raconter son aventure, d’une voix posée, les yeux dans le vague comme si elle cherchait à se retrouver dans son récit. Son attitude assez lointaine était à l’opposé de la verdeur des situations qu’elle nous racontait.



Elle a fait une pause. Elle ne semblait pas perturbée par son récit.



Il ne fallut pas bien longtemps pour nous retrouver, Léo et moi, bites à l’air et bien raide. Julia nous a mis en position face à face. Elle a réuni nos sexes raides de ses deux mains. Elle nous a esquissé quelques mouvements de branlette, puis un petit bisou rapide sur les deux glands réunis.




<<<O>>>



Léo et Julia ont chanté « Bridge over Troubled Water » à deux voix. Léo à la guitare et moi aux claviers. Leurs voix s’accordaient super bien. Le plaisir de la musique avait à ce moment supplanté nos libidos. Je connaissais bien la voix de mon pote, mais celle de sa compagne m’envoutait, au point de me planter dans les accords. Ils ne m’en ont pas tenu rigueur. J’avais un peu perdu la main depuis que j’avais arrêté la musique.

Pour terminer la soirée Léo proposa d’aller se rafraîchir sur la plage pas loin de chez eux, cinq minutes de marche tout au plus. Il était hors de question de prendre la voiture. Il était près de minuit, le bord de mer était désert, Julia enleva ses chaussures pour prendre un bain de pieds.



En quelques minutes nous fûmes mon pote et moi nus comme des vers.



Elle est revenue à la raison, en nous rejoignant sur le bord.



Léo a commencé. « Waouh » ! Qu’elle était belle la môme en petite culotte. Son corps de déesse, même dans le clair-obscur de la nuit, fit monter en moi des bouffées de désir. J’ai posé mes mains sur ses hanches en la regardant dans les yeux. Elle souriait très à l’aise dans cette situation équivoque. J’ai fait glisser le bout de tissu en le suivant dans sa descente jusqu’aux chevilles. Je me suis donc retrouvé accroupi devant elle, le nez à quelques centimètres de sa belle touffe brune, artistiquement taillée en forme de cœur. J’ai résisté, je me suis levé pour terminer ma tâche en dénudant ses seins. Jamais encore une fille ne m’avait troublé à ce point.



Le gage, c’était pour moi. L’eau n’était pas aussi froide que je l’avais craint. Nous avons batifolé comme des enfants, nous bousculant, nous attrapant, par les jambes, les bras, les fesses. J’ai senti plus d’une fois, une main me prenant la bite ou glissant dans la raie de mon cul, sans savoir si la caresse était féminine ou masculine. Je ne m’en souciais pas, c’était toujours agréable. J’en profitais aussi plus souvent qu’à mon tour, pour peloter la belle Julia qui se prêtait volontiers à mes attouchements. Pourtant, nous étions bien plus dans une attitude ludique qu’érotique.

Au bout d’un moment, le froid nous obligea à sortir de l’eau.



Debout, face à nous à un mètre à peine, elle tendit son ventre en avant, écarta ses lèvres en les remontant vers le haut de ses doigts et nous lança :



Son jet fusa sur mon visage. Surpris, mais ravi, j’ouvris la bouche pour recueillir cet élixir enivrant. Elle descendit son jet visant directement mon sexe. Ce fut ensuite au tour de Léo de subir cet exaltant supplice. La source était presque tarie et il n’eut que les quelques giclées restantes.

Nous n’avions pas prévu de serviettes. Nous nous rhabillâmes en gardant sur nous l’odeur enivrante de Julia. Nous prîmes le chemin du retour au pas de course pour nous réchauffer. Nos vêtements mouillés nous collaient à la peau. Aucun de nous, pourtant, ne s’en plaignait. Nous avions en compensation la vision de la robe de Julia collée à sa peau, épousant parfaitement ses formes appétissantes.

À l’arrivée, notre premier réflexe fut d’enlever nos vêtements pour nous sécher. Sous la lumière vive du salon, elle était belle à couper le souffle. La fraîcheur lui donnait une chair de poule. En baissant son regard vers notre bas-ventre, elle nous dit :



<<<O>>>


Nous nous sommes retrouvés devant le lit, tous les trois à poil, à discuter sur la meilleure disposition dans le lit. La meilleure place étant évidemment celle du milieu, permettant à l’heureux gagnant d’avoir accès aux deux autres. Julia me proposa la place en tant qu’invité.



Évidemment, la proposition fut acceptée à l’unanimité.

Léo s’est laissé tomber sur le lit, à plat ventre, bras en croix et jambes largement ouvertes. Julia me regarde et désignant son compagnon :



Elle est montée sur le lit et s’est mise accroupie cuisses écartées de chaque côté du cul du Léo, face à moi juste au-dessus de ses fesses, toujours à plat ventre et attentif à la suite des événements. Quel spectacle excitant, je ne pus m’empêcher de branler ma queue toute raide.

Elle a commencé à frotter ses fesses contre celles de Léo qui en ronronnait de plaisir. Elle écartait les fesses de Léo pour glisser une des siennes dans la raie béante.



Tout en se déhanchant sur les fesses du bienheureux Léo, elle laissa couler un filet de salive dans la raie de sa monture virile. Elle l’étala très largement en insistant particulièrement sur l’œillet brun de mon ami.



Je me suis agenouillé devant l’autel de luxure. Julia écartait de ses deux mains les lèvres de sa chatte pour m’en faciliter l’accès. J’y ai plongé ma langue avec avidité et j’aurais bu son jus d’amour jusqu’à en tarir la source si je n’avais pas été engagé vers une autre voie.

Nous avons, Julia et moi œuvré de concert, mêlant nos doigts entre les fesses de Léo pour en assouplir l’entrée intime. Celui-ci nous accompagnait par des encouragements à parfaire notre action. Julia fut la première à engager un doigt dans son anus désormais accueillant.



Joignant le geste à la parole, elle saisit ma bite d’une main, puis joignant ses doigts ensemble, les saisit de son autre main.



Sans plus attendre, elle tira sur ma queue qu’elle tenait toujours bien en main, pour l’approcher du cul de Léo. Elle fit glisser mon gland tout au fond de la raie bien lubrifiée. Au bout de quelques allers-retours du bas du dos à la racine des couilles, elle positionna mon gland à l’entrée de l’anus de son homme. Ce n’est pas moi qui ai poussé, c’est elle qui a enculé son chéri avec ma queue.



Toujours tout-sourire, la belle Julia promenait sa main entre les fesses de son amoureux, et ne manquait pas de saisir ma bite au passage quand je la ressortais du fourreau étroit dans lequel elle s’ébattait.

Elle s’écarta ensuite en se plaçant derrière moi.



Julia se plaqua alors à moi, encastrant son corps nu contre ma peau nue. La sensation était grisante. Son ventre enveloppait mes fesses et ses seins s’écrasaient contre mon dos. Elle suivait mes mouvements de baise sans décoller un centimètre de peau de mon dos. Elle m’entourait de ses bras comme la passagère d’une moto puissante à son pilote. Je crus l’espace d’un instant qu’elle accompagnait seulement mes poussées en avant, mais je m’aperçus très vite que c’était elle qui propulsait mon ventre en avant. C’est Julia qui sodomisait Léo par l’intermédiaire de mon corps.

Elle poussait de plus en plus fort et de plus en plus vite. Je ne pouvais que la suivre et lancer ma queue de plus en plus profond dans les fesses de mon ami. Julia me griffait la peau me mordillait le cou et me torturait les tétons.

J’ai joui, le premier, Léo ne m’a pas suivi. Je suis resté planté en lui, laissant mon corps anéanti.



Julia s’est mise en levrette en prenant ma bite toute molle entre ses lèvres. Léo quant à lui avait pris place à genoux derrière elle, le chibre bien raide.



Quand Léo s’enfonça en elle, je ressentis la secousse transmise par sa bouche tout le long de mon sexe. La coquine faisait en sorte de coordonner les coups de queue de son compagnon et la succion avide de mon gland. C’était phénoménal. Elle avait un talent certain pour la fellation. La bite tendre et molle qu’elle avait embouchée, durcissait sous l’action de ses doigts qui caressaient mes bourses et la raie de mon cul. Elle libéra sa bouche quelques secondes pour me demander :



Il m’a barbouillé la raie et sa moitié en rajouta une couche en insistant sur mon anus.



Elle avait à peine eu le temps de terminer sa phrase que Léo, secoué par un orgasme ravageur, la propulsa en avant. Lâchant ma queue devenue raide, elle s’affala sur moi de tout son long tétanisée par une jouissance à l’unisson.

Quel ravissement, de sentir sa peau nue contre la mienne, son ventre contre le mien, ses seins s’écrasant sur ma poitrine. Quelques minutes passèrent, chacun jouissant avec gourmandise de cet instant magique, où les corps émergent peu à peu de l’explosion des sens.

Elle s’allongea tout contre nous en abreuvant son compagnon de baisers mouillés. Elle était attendrissante. Je posai ma main sur ses hanches. Que sa peau était douce !

Nous nous sommes endormis tous les trois, côte à côte, en ramenant la couette sur nous. Comme prévu, j’étais entre les deux. Une main sur la queue de Léo et l’autre sur le petit buisson de Julia.


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