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Temps de lecture estimé : 23 mn
13/03/23
Présentation:  Initialement, Soda, un lecteur de Rvbb, avait souhaité que je couche certains de ses fantasmes par écrit, ce qui a donné naissance à cette série.
Résumé:  Pas loin de chez nous, il y a un petit cabinet médical dans lequel mon mari et moi allons quand notre santé n’est pas au top.
Critères:  fh médical cunnilingu pénétratio -médical
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message

Série : Sophie sans sophisme

Chapitre 06 / 06
Médicalement vôtre


Initialement, Soda, un lecteur de Rvbb, avait souhaité que je couche certains de ses fantasmes par écrit, ce qui a donné naissance à cette série.

J’ai tardé à rédiger ce sixième récit, n’ayant pas trop d’inspiration à l’époque, sauf une vague trame. Ce sont trois autres lecteurs qui m’ont écrit me demandant la suite.

Voici donc venir un nouvel épisode avec Sophie et (un peu) Damien.


Bonne lecture : )





Résumé des épisodes précédents : Sophie découvre qu’il est possible d’avoir plusieurs amants, en plus d’un mari qui ne la néglige pas.




Cabinet médical



Pas loin de chez nous, il y a un petit cabinet médical dans lequel mon mari et moi allons quand notre santé n’est pas au top. Celui-ci est tenu par trois personnes : un couple de médecins et un jeune médecin fraîchement diplômé.


En général, Damien se fait ausculter par Monsieur, et moi par Madame. Les hommes entre eux et les femmes entre elles. Mais il arrive que, parfois, nous changions en fonction de leurs plannings. Quand celui de Madame est complet, je me rabats sur Monsieur, mais rarement sur le jeunot, car j’ai une confiance limitée en ce dernier, il me semble trop… immature. Idem pour mon mari, mais dans le sens inverse, vous l’auriez compris. De ce fait, au fur et à mesure des années, ce couple de médecins nous connaît assez bien tous les deux.


Il y a environ un mois de cela, j’ai eu un peu mal à l’estomac, et ça ne voulait pas passer. J’ai donc pris rendez-vous, et comme ma doctoresse avait son planning surchargé, je me suis logiquement rabattue sur son mari avec qui j’avais déjà eu affaire auparavant. Mais dans l’absolu, je préfère confier ma santé à une femme, c’est comme ça.


À la suite d’un examen tout à fait classique, je suis repartie de là avec une ordonnance. Un jour après, la douleur avait quasiment disparu, et le jour suivant, on n’en parlait plus. Oui, ce médecin connaît assurément son métier !


Mais depuis deux jours, comme j’ai à nouveau un peu mal, au même endroit qu’il y a un mois. De ce fait, j’ai repris rendez-vous vendredi en fin d’après-midi avec le docteur, car c’est lui qui m’a auscultée la dernière fois, et que ça simplifie les choses pour le suivi du traitement.


Et puis, il ne s’agirait pas que je sois hors service la semaine prochaine, il y a des hommes qui meurent d’envie de me démontrer tout le bien qu’ils pensent de moi !




Docteur Thévenin



Il me fait rentrer dans son cabinet, nous discutons un peu, puis il me demande d’ôter le haut. Je m’exécute, me retrouvant en jupe et en soutien-gorge très enrobant.



Une fois que je suis assise sur la table d’auscultation, le docteur commence son examen. Il me palpe le ventre, y passe pas mal de temps d’ailleurs, laissant longtemps ses mains sur ma peau bronzée, presque des caresses…



Il prend ma tension à mon bras, tout en écoutant mon cœur avec son stéthoscope. Puis il me demande d’une voix neutre :



Je suis un peu étonnée, car c’est plutôt au ventre que j’ai mal, mais je m’exécute à nouveau. Je crois déceler une lueur intéressée dans ses yeux quand mes seins sont dévoilés. C’est alors que je me rappelle une certaine soirée assez récente, avec plein de notables : j’avais dansé plusieurs fois avec mon cher docteur, et il m’avait même complimenté de façon assez subtile, je dois le reconnaître, pas comme certains lourdauds de ma connaissance…


Avec son stéthoscope posé entre mes deux monts, eux aussi bronzés, un air très pro sur le visage, mais les yeux qui louchent parfois, il me questionne :



Ses yeux toujours rivés sur son stéthoscope ou plutôt sur ma poitrine, il répond :



Je fais la moue, je ne pensais pas devoir changer si vite de gynéco ! De plus, à l’heure actuelle, mettre la main sur une remplaçante ne va pas être facile ! Le docteur m’annonce alors :



Il déplace son stéthoscope sous mon sein :



Le docteur continue son auscultation, puis il recule :



Il est resté très correct durant toute l’auscultation, mais je soupçonne que ça dépassait un peu le strict intérêt médical. Ce docteur est bel homme, il est aussi cultivé, je pense qu’une femme ne doit pas s’ennuyer avec lui. Franchement, je me sens plutôt flattée que gênée…


Mais est-ce que je ne me fais pas des illusions ?


Tandis que je me rhabille, assis derrière son bureau, il rédige mon ordonnance :



Il me raccompagne :



Je repars à la maison, ayant fait un détour par la pharmacie.




Une grosse surprise



Lundi, tard dans la journée, je reçois un coup de fil de mon docteur qui me demande si mon souci est résolu, ce qui n’est pas tout à fait le cas. Il me demande alors :



Le lendemain, à l’heure indiquée, je suis à nouveau dans son cabinet. En soutif et petite culotte, je suis allongée sur la table et le docteur m’ausculte à nouveau, se focalisant sur divers endroits de mon ventre. Pour briser le silence, je lance :



Je ne comprends pas bien sa réponse, alors je le questionne :



Je me pince les lèvres, je me demande pourquoi j’ai spontanément dit ce genre de chose ! Mais en gentleman, il ne relève pas. À moins qu’il ne soit trop préoccupé par ses palpations.


Puis il se redresse, hochant de la tête :



Je suis un peu inquiète :



Je réfléchis quelques instants, puis je finis par dire d’un air qui se veut enjoué :



Il se met à rire :



Puis il redevient sérieux, me désignant une porte sur le côté :



Peu après, il revient avec deux étriers, ainsi d’un écran fixé sur un support à roulettes. On dirait un truc pour faire des échographies. Le docteur installe son matériel.



Toujours installée sur la table d’examen, j’ai à présent les jambes en l’air, les pieds posés sur des étriers, les lèvres intimes écartées par un spéculum. Le docteur regarde attentivement, puis m’annonce :



Avec soin, le docteur prépare son matériel, faisant en sorte que l’écran monté sur pied soit visible par nous deux. Avec une lingette, il essuie plusieurs fois une sorte de tige souple :



Il introduit la tige en moi, je ne sens presque rien. Un décor étrange s’affiche sur l’écran :



Il manœuvre la tige pour mieux voir, puis il lâche :



Je sursaute :



Le docteur continue son exploration, je fronce des sourcils, je ressens une étrange sensation. Soudain, il s’exclame :



Il désigne une sorte de boule grisâtre sur l’écran :



Je m’exclame :



L’explication arrive aussitôt :



En clair, j’ai une sorte de caillou dans le corps. Je demande :



Je lève les yeux au ciel :



Pauvre homme, je compatis :



Toujours largement ouverte, je reste pensive. Il se racle la gorge :



Aïe ! J’ai quelque chose de prévu demain avec Arnaud et peut-être son neveu qui piaffe d’impatience de me revoir, et Kevin va vouloir me sauter, lui aussi !




D’autres grosses surprises



Je me vois mal annuler pour Brian, ça va faire un mois que nous ne nous sommes pas vus, et d’après son oncle, il piaffe d’impatience. Oui, il faut que mon stérilet soit remis en bonne place, si je veux éviter les problèmes.


Mon visage doit afficher une certaine perplexité, car le docteur me demande carrément :



Le docteur affiche un sourire un peu étrange :



Je m’inquiète beaucoup :



J’ai avoué trop vite, je grimace :



Il ne répond pas à ma question :



Mon interlocuteur prépare la suite de son intervention :



Tandis qu’il est en train de s’activer entre mes jambes, je réponds plus ou moins franchement :



Me redressant un peu, je m’exclame :



Assez estomaquée, je ne réponds rien. Il en profite pour tripatouiller en moi pour remettre correctement le stérilet. Tant en s’appliquant, le docteur explique d’un ton enjoué :



Je persifle :



Il se met presque à rire :



Je sens qu’il introduit quelque chose en moi, ça doit être le produit contre l’irritation. Rebondissant sur sa dernière phrase, je hausse les sourcils :



Je soupire :



Les jambes toujours en l’air, je lève les mains :



On dirait qu’il est aussi au parfum pour ça. J’explique :



Redressant la tête, mon interlocuteur résume à sa façon :



Quand j’y songe, la situation est quand même étrange : je suis en train de discuter de mes amants avec un quasi-inconnu, les cuisses largement écartées, la chatte béante !




Une dernière surprise



Ce n’est pas que je sois mal, mais même si cet homme est un médecin et gynéco en plus, j’aimerais en finir. Alors je demande :



En entendant sa réponse, je m’étonne :



Je suis tellement surprise que je reste sur place, me redressant sur mes coudes :



Toujours à moitié allongée, j’accuse le choc :



Je me moque gentiment :



Eh bé ! Au moins, c’est direct ! Je temporise :



Se levant, il me répond en toute franchise :



Je ne proteste pas quand il pose une main sur mon genou :



Un peu ironique, je compatis :



La formulation m’amuse :



Puis songeur, tout en caressant délicatement mon genou, il continue sa phrase :



Il répond à ma place :



Une fois de plus, il répond à ma place :



Nous nous regardons, lui debout et moi allongée. Curieusement, je ne bouge pas. Il serait si facile de me relever, de m’habiller, puis de partir. Je ne sais pas ce que j’attends vraiment. Le docteur fait le tour de ma jambe, s’approchant lentement, puis, arrivé à côté de moi, il dit d’une voix douce :



Je suis dubitative :



Je le regarde dans les yeux, puis je murmure :



Il ne faut pas lui dire deux fois ! Et en plus, il est poli ! L’instant d’après, mes deux seins aux tétons légèrement pointés s’offrent à sa vue. Il penche la tête pour mieux les admirer. Puis après contemplation de très près, il murmure à son tour :



J’aime cette atmosphère suspendue, de savoir que cet homme me désire, mais qu’il restera gentleman, et que finalement, c’est moi qui mène le bal. Ma respiration s’accélère légèrement quand je réponds d’un ton feutré :



À peine le merci prononcé qu’il couvre mes seins de mille baisers brûlants. Puis sans me demander la permission, ses mains s’invitent au bal. J’ai déjà été désirée plus d’une fois, mais aujourd’hui, c’est quelque chose ! Mais la sensation est… différente… je n’arrive pas à l’expliquer…


Par réflexe, je caresse les cheveux de cet homme qui est en train de me dévorer la poitrine, ce qui l’incite et l’excite encore plus. Avec ses lèvres et ses doigts, il sait très bien jouer avec mes tétons totalement érigés et sensibles, avec mes masses bronzées qu’il palpe et caresse avec dextérité et sensualité.


Quelques instants plus tard, il lève la tête et m’annonce fiévreusement :



À ma grande surprise, sans lâcher mes seins, il affiche un air contrit :



Étonnée, j’insiste :



Il continue de caresser délicatement mes seins :



Je suis tentée, je le reconnais. Je pense que ça serait une très bonne expérience à vivre. Je n’imaginais pas ce docteur être si… intéressant sur ce plan. Fronçant des sourcils, je regarde avec insistance la porte d’entrée du cabinet :



Assez surprise par cette réponse, je ne peux m’empêcher de lâcher :



Je respire un grand coup, puis je demande :



Il se contente de sourire, puis il s’assied à nouveau sur son siège, sa tête entre mes cuisses. Il dépose un premier baiser sur l’orée de ma fente, puis la tempête des bisous se déchaîne, aucun millimètre carré n’y échappe !



Puis il s’attaque voluptueusement à mon clitoris. Sa langue est très efficace, ce docteur connaît très bien l’anatomie féminine. Durant ce temps, ses mains s’occupent de mes seins. Je sens que je vais jouir à vitesse grand V. Pour tenter de faire redescendre la pression, je demande :



Sans lâcher mes seins, intrigué, il arrête momentanément sa torture :



Je le regarde droit dans les yeux :



Il ne répond pas, mais continue sa délicieuse léchouille autour de mon clitoris en feu. Je suis sans doute en train de dégouliner comme une fontaine, ce type est trop bon amant, du moins avec sa langue ! Si c’était possible, je vire mes trois amants et je les remplace illico par Patrice !


J’entrevois même le fait de devenir secrétaire médicale, et de me faire baiser de la sorte entre deux rendez-vous !



Je n’arrive plus à me retenir, je me laisse aller dans une débauche de petits cris qui envahissent la pièce. Un véritable feu d’artifice qui me transporte très loin, par-dessus les nuages.


Je redescends petit à petit en longs tourbillons, comme une plume bercée par la brise…


Oui, tout doucement…


Hou, très efficace, ce bon docteur, il procure de bons soins, de très bons soins, c’est indéniable… Pourtant, il ressemble plutôt à un classique notable, qui continuerait quand même à s’entretenir, un peu comme mon mari.



Là, je sens que je vais passer à la casserole, je ne suis pas toujours fan des pénétrations, mais si c’est aussi génial qu’avec le cunni, ce sera toujours bon à prendre.



Se redressant, il abaisse posément son pantalon et son slip en même temps, révélant une verge bien dressée. Je constate avec satisfaction que la taille est tout à fait normale, ni trop ni pas assez. En revanche, le diamètre me semble un peu supérieur à la moyenne…



Le sexe toujours bien dressé, il répond en souriant :



Comme mon regard répond à la place de mes lèvres, il pose ensuite son bel engin sur mon pubis, se frottant dessus longuement. J’apprécie qu’il ne me pénètre pas tout de suite, et qu’il sache prendre son temps. Puis il descend vers ma fente largement ouverte et humide pour jouer avec elle du bout de son gland. À nouveau, je vibre. Arnaud n’est pas mauvais dans sa partie, mais ce docteur le dépasse. Oui, j’en reste avec l’idée que je peux remplacer mes trois actuels amants pour un nouveau venu.


Je soupire d’aise :



Il enfonce directement son large engin dans ma fente détrempée. Ouvrant grands les yeux et la bouche, je sens chaque centimètre coulisser en moi, il n’y a pas à dire, vaut mieux une bien épaisse qu’une trop longue pour bien vous combler ! Ses mains sur mes hanches, face à moi, il commence un long et délicieux ramonage, je me laisse faire avec délectation.



Toujours entreprise par cette bonne colonne de chair qui coulisse lascivement en moi, me procurant beaucoup de bien-être, je confie :



J’adore ce dialogue policé, ça me change, même si je ne déteste pas être parfois un peu rudoyée.


Comme s’il avait lu dans mes pensées, le docteur intensifie son va-et-vient en moi, tout en s’occupant maintenant de mes seins de façon plus leste. Je lis distinctement le désir dans ses yeux, et j’adore ça ! Il monte d’un cran puis d’un autre. Je peux maintenant dire qu’il est en train de me baiser à fond, malaxant mes seins, étirant mes tétons, tout en me pilonnant avec volupté !


Gentleman et voyou à la fois !


Je me laisse complètement aller. Cet homme est aussi bon dans le cunni que dans le coït. Trivialement, j’aurais même envie de tester s’il est tout aussi bon dans le cul, pour rester dans la lettre C. Cette idée saugrenue me fait lâcher prise, une puissante vague monte en moi, je sais que je vais être bientôt emportée par un tourbillon de jouissance !



Tandis que je décolle, je l’entends éructer, puis il éjacule longuement en moi, me remplissant, m’envahissant, m’inondant complètement. C’est divin ! Je me sens transportée par-delà la lune, par-delà les étoiles, à des millions d’années-lumière !


Oh oui ! Ça, c’est de la jouissance puissance E=mc² !


Oh oui…


Plus tard, je commence à sortir de mon nuage blanc cotonneux, mon corps encore irradié. À mon grand étonnement, mon nouvel amant est toujours en moi, même s’il a un peu perdu de sa superbe, mais sa présence charnelle m’apaise. C’est bien la première fois que je ressens ce genre de chose…


Je le regarde droit dans les yeux :



Le sourire rayonnant qu’il affiche me dit que je n’ai pas fait le mauvais choix.

Maintenant, le souci sera de gérer ce nouveau venu dans mon emploi du temps assez surchargé…