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Temps de lecture estimé : 16 mn
16/03/23
Présentation:  Le récit d’une aventure récente vécue qui a bouleversé mon cœur.
Résumé:  Laurence est une femme adorable. Je l’ai rencontrée dans une situation professionnelle. Nous avons partagé des moments pleins d’émotions et de désir partagé. Mon petit cœur en est encore tout bouleversé.
Critères:  fh extracon collègues poilu(e)s hotel amour caresses cunnilingu préservati confession -rencontre
Auteur : Marcdumans            Envoi mini-message

Série : Merveilleuse Laurence

Chapitre 01 / 02
Laurence - Coup de foudre

Je viens vous raconter une merveilleuse rencontre.

J’aime le sexe, mais ce sont surtout les femmes que j’apprécie, dans l’entièreté des différences de personnalité. Il est parfois des rencontres qui marquent, de celles dont on sait que l’on éprouvera bientôt de la nostalgie, de celles dont on imagine qu’elles auraient pu, vingt ans plus tôt, changer le cours de sa vie. Si vous souhaitez lire un récit torride de sexe intense, alors, passez votre chemin et lisez plutôt d’autres de mes histoires. J’ai fait le choix d’écrire des récits qui tentent de décrire la réalité des aventures et celle-ci est empreinte de douceur et d’émotion.


Je travaille dans une société de services qui implante des logiciels web dans les entreprises. Je n’interviens pas dans l’installation du matériel ou le déploiement des logiciels, mais dans la formation des utilisateurs finaux, ce qui m’amène à me déplacer un peu partout en France, et parfois à l’étranger.

La crise COVID nous a montré que la formation à distance avait ses limites, très pratique pour une aide ponctuelle ou pour intervenir une heure sur une fonctionnalité précise, mais peu efficace pour former au déploiement d’une toute nouvelle solution logicielle globale. Depuis octobre 2022, j’interviens donc dans une entreprise de fournitures de matériel de bureau, cliente de celle dont je suis employé.


Je viens de terminer ma dernière intervention aujourd’hui. Mission accomplie, certes, mais aussi avec un pincement au cœur.


Je vais essayer de vous raconter fidèlement pourquoi je me retrouve dans cet état. Je pensais qu’après mon divorce, le sentiment d’amour était pour moi du passé révolu. Non pas que mes nombreuses aventures sexuelles étaient dénuées de sentiments - je ne suis pas juste un baiseur profitant des faveurs des femmes que je rencontre - mais ils relevaient de l’affection ou de la complicité sexuelle. J’ai fait une rencontre dans cette entreprise qui m’a renvoyé à l’époque où je suis tombé amoureux de mon ex-épouse.



J’étais donc attendu comme le loup blanc, comme chaque fois que l’on décide de bouleverser les habitudes de travail. Bien sûr, c’est l’entreprise commanditaire qui a pris la décision, mais c’est moi qui dois m’y coller pour expliquer les changements dans la façon de faire.

J’ai potentiellement une vingtaine de personnes à former, qui vont devoir effectuer les opérations de saisies. Le DSI de l’entreprise m’accueille et après les politesses d’usage devant la machine à café, il me conduit dans la salle prévue à la formation. J’entre dans une grande salle dont les vastes fenêtres donnent sur le parking où je me suis garé. Un début octobre anormalement ensoleillé baigne la salle d’une lumière agréable. Ma vingtaine de stagiaires, toutes des femmes, discute dans un brouhaha impressionnant, la plupart, un gobelet à la main.

Tous les regards se tournent vers moi. Je balaye du regard l’assemblée. Parmi toutes ces femmes, une femme attire mon regard. Il émane d’elle un charme indéfinissable. Elle est assez fine, un regard magnétique et un sourire désarmant qui respire la gentillesse, la bienveillance et le calme. Un carré châtain, des yeux marron tirant vers le vert. Un maquillage léger, très réussi, qui réhausse la douceur de ses traits. J’ai envie de la regarder sans fin, mais je m’oblige à quitter son regard. J’ai peur qu’elle interprète mon insistance comme une volonté de la draguer. Tandis que je fais connaissance avec les autres stagiaires, je sens son regard sur moi et je résiste à la regarder malgré une envie de le faire quasi irrépressible.


La première partie de la formation se déroule dans une grande salle. Surtout de l’information descendante, je ne manque pas de regarder Laurence qui me dévore du regard. C’est certain, il existe une attirance réciproque.

Le midi, je suis invité par le staff de l’entreprise et la seconde partie de la journée se déroule dans chaque bureau. Je circule de l’un à l’autre pour répondre aux demandes de précision et résoudre les difficultés de prise en main de la solution logicielle. Je passe plus de temps que de nécessaire dans le bureau où travaille Laurence, prétextant des réglages à effectuer. Je profite de ces moments pour la détailler, ses jolies jambes gainées de bas noirs et son petit haut qui souligne la finesse de sa taille me charment. Elle semble avoir des seins de taille moyenne, plus petits que ceux que j’apprécie habituellement et… une bague à l’annulaire gauche. Cette jolie femme d’une quarantaine d’années est mariée. Il fallait s’en douter.


Je passe une journée, le mardi, chaque semaine dans l’entreprise. Mes stagiaires progressent bien, dans la bonne humeur. Laurence est devenue la référente de son bureau. Chaque fois, une nouvelle tenue très seyante met en valeur un corps de jeune fille malgré ses quarante ans. Son maquillage discret met bien en valeur la douceur et la grâce de son visage. J’adore.

Chaque fois que j’entre dans son bureau, elle me gratifie d’un sourire enjôleur auquel je réponds par un sourire rayonnant. Je la cherche sans cesse des yeux et je m’aperçois que, de façon discrète, elle m’observe chaque fois qu’elle en a l’occasion. Quelque chose passe entre nous, c’est manifeste.


Début janvier, le 3, le pot de nouvelle année de l’entreprise nécessite d’un commun accord que j’intervienne non pas le mardi, mais le mercredi. Il y a peu de monde dans l’entreprise. Beaucoup d’employées prennent leur mercredi – activités de leurs enfants obligent, les messieurs ne contribuant, comme trop souvent, très peu à l’accompagnement de leurs enfants. À l’époque où c’était le cas pour les miens, j’étais à peu près le seul homme à dédier mon mercredi après-midi, comme je pouvais le constater dans les gymnases ou le conservatoire.

Je n’espère donc pas voir Laurence. Sur son bureau, deux cadres présentaient en effet le visage de deux adolescents. Je commence ma tournée des popotes et aide deux personnes sur des processus qui leur posent problème. Cela va assez vite. La maîtrise de l’outil (c’est vraiment une application au point !) ne semble pas poser de problèmes majeurs et ma mission va probablement s’achever dans les prochaines semaines.


Je m’attends à ne trouver personne dans le bureau de Laurence, dont la porte est restée ouverte, comme si elle ne voulait pas rater mon passage. Ma charmante Laurence est là… seule. Sourire radieux et accueillant de sa part. Joli rouge à lèvres rouge vif, un haut beige. Ses seins semblent dressés : un soutien-gorge push-up, sans doute ! Sa petite jupe en imitation cuir laisse entrevoir jusqu’à mi-cuisses, ses jambes que je trouve délicieuses.



Je suis allusif. Va-t-elle se refermer ? Non, elle me sourit largement. Ouf !



Tiens ! Tiens ! Elle me relance. Elle souhaite en savoir plus sur ma vie personnelle.



Je suis assis à côté d’elle devant son poste de travail. Nous parcourons les options avancées. Nous rions des mésaventures de ses collègues qui ne sont pas très adaptables. Nos jambes se touchent. Ni l’un ni l’autre ne font quoi que ce soit pour que cela cesse. Je ne sais pas pour elle. Quant à moi, j’ai une amorce d’érection que je contrôle en pensant à autre chose. Je ne saurais me rappeler qui a commencé, mais nous passons du vouvoiement au tutoiement assez rapidement.

Elle a du mal à effectuer un glissé de document sur l’application et c’est tout naturellement que ma main se pose sur la sienne pour lui montrer la manipulation avec la souris. Aucun mouvement de recul de sa part. Nous sommes en phase, comme de vieux amis, presque comme des amants.

C’est le moment de nous quitter. Nous allons chacun rentrer chez nous. Sans même nous questionner, nous nous tournons l’un vers l’autre pour nous faire la bise. Elle m’en fait un vrai : je sens le délice du contact de ses lèvres sur ma joue.

Elle est si belle, si charmante que je ne résiste pas à placer en retour mes lèvres sur les siennes. Zut, j’ai été trop loin. Ce n’est pas une réaction de répulsion, mais plutôt une réserve qui se dessine sur son visage. Comment vous expliquer ? Son visage est tendu, son sourire crispé, mais son regard est plein d’envie.


Le retour est difficile. Je conduis sans m’arrêter de penser que je suis allé trop loin. Je suis dans une situation embarrassante tout autant d’un point de vue personnel que professionnel.

J’aime le sexe, ma nouvelle vie est très libre depuis mon divorce. J’ai connu des femmes mariées, certes, mais dans ce cas c’est toujours elles qui avaient pris l’initiative, jamais moi. L’idée de briser un couple et de repartir comme de rien n’était ne me tente guère. Professionnellement, cela risque de me coûter mon poste si je ne peux plus intervenir sereinement dans cette entreprise. Il faut que je puisse clarifier les choses, en parler avec elle avant la semaine suivante.


Je lui adresse le soir un mail sur sa boîte professionnelle avec toute la distance nécessaire pour que personne ne puisse se douter de ce qui s’est passé.


Laurence,


J’espère que notre séance sur les fonctions avancées avait été à la fois profitable, mais aussi que vous deviez vous poser bien d’autres questions.

J’apprécie et je vous remercie du temps que vous passez avec vos collègues pour les aider à prendre en main la solution logicielle.

Pour faciliter votre tâche, vous pouvez m’envoyer directement vos demandes sur ma boîte personnelle dont voici l’adresse : …


Bien cordialement,


Marc


Le lendemain, je suis angoissé ; je scrute sans cesse ma boîte personnelle.

Enfin un message de sa part. Depuis son mail personnel.


Marc,


Tu vas pouvoir communiquer avec moi à cette adresse.


Amicalement,


Laurence


C’est bref et sec. Gloups !


Laurence,


Je suis désolé pour hier. Je n’ai aucune excuse. Je ne peux pas cacher que tu m’attires. Notre proximité, notre complicité, je pense, m’ont désarmé et ce baiser instinctif est regrettable.

Je te présente mes excuses. Tu es au point avec le logiciel et si tu ne souhaites plus que je te conseille, je respecterai ta décision.

J’espère sincèrement que tu me pardonneras cet excès.


Marc


Je reçois une réponse une heure après :


Marc,


Tes mots me touchent. J’ai de l’attirance pour toi également. J’ai le don de deviner rapidement le caractère des personnes inconnues. Cela ne s’explique pas. Ce que tu écris me confirme ce que je pense de toi : tu es à la fois instinctif, sincère, empathique, mais aussi sensuel et attentif aux autres.

Rassure-toi : j’ai certes été surprise de ce baiser, mais il n’est pas volé, plutôt inattendu et au fond de moi-même, souhaité, inconsciemment. J’ai été déroutée de pouvoir le goûter et surtout, de l’apprécier.

Je ne cherche pas une aventure. J’ai un mari qui m’aime, que j’aime et qui s’occupe bien de moi, y compris sexuellement. Simplement, à te voir toutes les semaines, tu es quelqu’un que j’aurais pu aimer si je t’avais rencontré, plutôt que mon mari.

C’est le hasard de la vie, c’est comme ça. Jean-Jacques Goldman a écrit une chanson à ce sujet : « Si je t’avais pas », si je me souviens bien.

Je compte bien pouvoir profiter de tes compétences informatiques jusqu’au bout. Pas de soucis pour tes prochaines interventions. Je ne dirais pas qu’on oublie tout. Au contraire, c’est un moment heureux, dont je me souviendrai.


Tendrement,


Laurence



Les trois journées de formation suivantes, des 10, 17 et 24 janvier sont studieuses. Laurence me sourit, agit comme si rien ne s’était passé. Elle est craquante et cela me désarme, car son attitude, que je dois mal interpréter sans doute, laisse à penser qu’elle a envie de plus. J’évite de m’asseoir à côté d’elle lorsque je m’occupe des ajustements sur les postes de travail de ses deux collègues et du sien.


J’ai le droit à quelques mails informels à l’issue de mes visites, quoique, puisque qu’elle me félicite à chaque fois sur ma faculté à m’adapter aux compétences de ses collègues et sur ma tenue qu’elle trouve à la fois « décontractée et soignée ».

J’évite de lui répondre qu’elle est craquante, charmante, attirante, même si c’est ce que je pense au fond de moi, me restreignant à la complimenter sur ses tenues qui mettent en avant sa jolie silhouette.


Le mardi 31 janvier, c’est une journée de grève.

Quand j’arrive dans l’entreprise de Laurence, c’est le désert. Transport compliqué et modes de garde à trouver ont poussé beaucoup de ces femmes à prendre une journée de congé forcé.

Personne n’a jugé bon de me prévenir de l’absence de mes stagiaires. La secrétaire de direction me dit juste que la plupart des employés administratifs sont restés chez eux. Seule Madame XXX a trouvé une solution pour venir. Mon cœur bat très fort. Il s’agit de Laurence.

J’indique à la secrétaire que je vais rentabiliser le déplacement en travaillant avec elle, au moins ce matin.


Quand j’entre dans son bureau, elle me gratifie d’un sourire désarmant. Ses yeux brillent-ils ? J’en ai l’impression. Elle me dit combien elle est ravie de me voir. Je lui fais part de ma surprise de constater qu’elle est présente malgré le contexte et les contingences dues à ses enfants. Elle me rétorque qu’ils sont grands et sont capables de se garder tout seuls et que son mari a prévu de rentrer un peu plus tôt.

Nous sommes studieux et c’est bientôt la fin de la matinée. L’attitude de Laurence me questionne pour autant. Elle ne fait rien pour préserver une distance salutaire à la tentation. Nos jambes se frôlent, elle ne fait rien pour rompre ce contact physique. Elle semble rechercher le contact physique et je ne sais comment réagir face aux contradictions entre ses écrits et son comportement. Je suis crispé et quand à 11 h 30, je lui déclare que pour aujourd’hui ce sera bien suffisant et que je lui souhaite une belle journée, elle passe une main sur ma nuque et plaque ma bouche contre la sienne pour m’embrasser avec fougue. C’est un baiser fabuleux et toutes les barrières tombent. Nos langues se mêlent et nous caressons nos visages. Les minutes passent et il est clair que j’ai envie d’elle, elle de moi. Je mets fin à son baiser. Son regard en dit long sur ses envies.


Je réserve une chambre d’hôtel sur mon téléphone dans une chaîne bas de gamme, car la seule à accorder un accès dès 12 h. Laurence me voit faire, n’émet aucune objection. Bien au contraire, elle me caresse le dos. Juste quelques mots presque chuchotés. Nous sommes dévorés par l’envie de nos corps. Ma voix tremble. C’est inhabituel, mais cela va au-delà de l’envie sexuelle, c’est l’émotion qui m’étreint quand je lui fais part de l’organisation de cette escapade sensuelle impromptue et surtout secrète. Je vais d’abord quitter l’entreprise et elle devra me rejoindre sur le parking de l’hôtel.

L’employé de l’hôtel nous regarde d’un air entendu quand je retire la clé. Une chambre au rez-de-chaussée ! Rapide à nettoyer ! Laurence rougit. C’est charmant.


C’est une chambre basique. Dès la porte fermée, je serre Laurence contre moi et l’embrasse goulûment. Nos bras parcourent le corps de l’autre. Nous ne voulons pas aller trop vite : elle évite mon bas ventre et le renflement provoqué par mon sexe en érection. J’évite ses seins, ses fesses et sa vulve, me contentant de lui caresser la nuque et la taille.

Notre baiser ne semble pas finir. Seule pause : le fait de s’installer assis sur ce lit standard de chambre d’hôtel. J’ai très envie d’elle. J’imagine aussi qu’elle a très envie de moi, pourtant aucun de nous deux n’est impatient de retirer un vêtement. Nous continuons de nous embrasser. Peu à peu, nous commençons à nous caresser, sans vouloir aller trop vite, elle mon torse par-dessus ma chemise, moi, ses seins, par-dessus sa robe.

C’est la première fois que je touche sa poitrine. Elle est ferme, douce et chaude. Je déboutonne le haut de sa robe, lui embrasse les épaules fines et musclées, son dos est charmant et je l’imagine avec une robe « dos nu » qu’elle porterait à merveille. Ma bouche descend et je dégrafe son soutien-gorge. Elle a de très jolis seins, pointus, que je prends en coupe avec mes mains. J’aspire ses tétons dressés, les tire en les aspirant. Elle gémit tandis qu’elle retire ma chemise et me caresse le torse.

D’un geste délicat et lent, Laurence relève sa robe jusqu’à dévoiler sa culotte. Quelle belle invitation à accéder à son entrecuisse ! Je retire mon pantalon.

J’apprécie de caresser sa vulve par-dessus sa culotte et c’est inhabituel, mais je n’ai pas envie de rompre le charme de la douceur de notre étreinte en la lui retirant. Elle maintient ses cuisses entrouvertes et comme un adolescent, je suis hésitant à glisser ma main sous sa dentelle blanche. Comme par symétrie, elle passe sa main sur mon slip, caressant ma verge sans pour autant l’enserrer. Toujours assis côte à côte, nous nous embrassons en caressant l’entrejambe comme deux tourtereaux.

C’est Laurence qui accélère un peu les choses. Elle fait glisser sa culotte de dentelle blanche le long des délicieuses jambes. Ah ! ce moment délicieux où on fait connaissance avec l’intimité d’une femme, où elle fait confiance dans l’homme ou la femme de qui elle attend du plaisir. Le meilleur moment de la découverte physique, pour moi en tout cas. Elle a une jolie petite touffe de poils châtains sur le pubis. Je fais de même avec mon slip et libère ma verge tendue.

Je caresse l’intérieur de ses cuisses toutes chaudes et passe la main sur son pubis, fouillant sa pilosité pubienne, m’aventure sur sa vulve sans pour autant glisser dans sa fente. Je veux prendre mon temps et faire doucement monter son envie. Elle caresse mes testicules et ma verge dressée en évitant le gland.

Nous reprenons notre baiser tout en prenant le temps de nous caresser le sexe, sans aller trop loin, en prenant le temps de la douceur, plus tout à fait chaste, mais en retenant néanmoins notre désir.


Elle écarte davantage les jambes, comme pour favoriser l’ouverture de sa rose. Je réponds à son invitation en caressant l’intérieur de ses grandes lèvres, évitant son vestibule et son clitoris. Son premier gémissement. Elle est adorable.

Je change de place, quittant sa bouche pulpeuse, pour m’installer la tête entre ses cuisses. On n’a pas besoin de parler pour se comprendre. Elle retire sa robe, place un coussin derrière son dos, avance son bassin et ouvre largement ses cuisses pour offrir son intimité. Je pose mes mains sur ses cuisses. Sa peau est douce et je vois perler un peu de cyprine entre les poils châtains de sa vulve.

Je lèche avec gourmandise ses grandes lèvres et goûte à sa cyprine. Laurence s’abandonne totalement à son plaisir et son bassin ondule quand ma langue s’insinue dans sa fente. Un petit coup d’œil pour constater qu’elle ferme les yeux pour s’abandonner totalement au plaisir de ma bouche sur son sexe.


Elle atteint presque l’orgasme quand elle me susurre :



Je prends un préservatif dans ma poche de pantalon, puis je la pénètre comme si c’était une première fois, introduisant ma verge centimètre par centimètre jusqu’aux trois quarts, jusqu’à parvenir au fond d’elle. Je m’allonge sur elle sans bouger. Peau contre peau, nous partageons avec tendresse notre chaleur. Nous nous embrassons longuement. Je sens ses caresses sur le dos, mon cou. C’est délicieux et je parcours ses seins, sa taille et son doux visage.

Nous restons longuement, emboîtés, me contentant de bouger lentement mon bassin pour glisser en elle. Je pourrais rester des heures à peloter ses seins et à l’embrasser et c’est encore elle qui prend l’initiative en ondulant du bassin. Toujours collé à elle, j’entreprends de lents et profonds va-et-vient dans son vagin, en maintenant le même rythme. Ses gémissements font bientôt place à des petits cris. Elle me serre et enfonce ses ongles soignés dans mon dos avant que je n’aie eu le temps d’éjaculer. C’est très bon de sentir son extase, son relâchement et sa respiration profonde et intense.

Je reste sur elle, en elle, durant tout ce temps, toujours en érection. Je n’ai pas envie de me retirer d’elle. Ce corps à corps est si bon, si chaud et si doux !


Je me retire et elle ôte ma capote. Sans mot dire, elle s’allonge contre moi tête-bêche et saisit ma verge, s’applique à passer sa langue de mes testicules jusqu’au gland. Elle me tient la verge et embouche mon gland.

La magnifique vue sur sa vulve trempée, ses jolies fesses fermes et sa caresse buccale me mettent au supplice. J’ai juste le temps de prononcer un « Je viens… », elle de cesser de me sucer, et des jets puissants de sperme maculent son doux visage et ses cheveux. Elle s’essuie en utilisant le drap.


Nous nous blottissons l’un contre l’autre. Je l’entoure de mes bras et il me semble que nous pourrions rester ainsi tout l’après-midi à sommeiller et à refaire l’amour, plus comme un couple que comme deux amants. Hélas, il est déjà plus de 14 h et si je n’ai à rendre compte qu’à moi-même de mon après-midi, Laurence devrait être à son poste déjà depuis plus d’une demi-heure.


Elle va prendre une douche rapidement, se parfume à l’aide du petit flacon pris dans son sac à main et se rhabille. Elle ne me regarde pas. Regrette-t-elle ce moment ? Elle semble triste, atteinte. Avant de sortir de la chambre, elle m’embrasse longuement avec douceur – passion presque – et s’en va sans se retourner.

Je suis triste moi aussi. Son baiser langoureux me laisse à penser qu’elle a apprécié ce moment. Son mutisme prouve qu’elle est affectée. Mais par quoi ? Il me faut vraiment en savoir plus.