n° 21632 | Fiche technique | 14871 caractères | 14871 2528 Temps de lecture estimé : 11 mn |
24/03/23 |
Présentation: L’histoire se passe avant la création d’un certain bon sketch musical des Inconnus. Donc, aucun rapport. Bonne lecture :) | ||||
Résumé: Il y a quelque temps, ma femme et moi étions à Katendrecht, un quartier plutôt chaud, plus précisément une presqu’île jouxtant Rotterdam. | ||||
Critères: fh fhh extracon voyage fellation préservati pénétratio -candaul -exhib | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
L’histoire se passe avant la création d’un certain bon sketch musical des Inconnus. Donc aucun rapport.
Bonne lecture : )
Il y a quelque temps, ma femme et moi étions à Katendrecht, un quartier plutôt chaud, plus précisément une presqu’île jouxtant Rotterdam. Avant la dernière guerre mondiale, en plus d’une grosse population de marins, la plus grande communauté chinoise d’Europe y résidait à cause du port, mais il ne faut pas y voir fatalement une relation de cause à effet entre Asiatiques et chaleur nocturne.
Maintenant, Katendrecht est devenu nettement plus sage, surtout la nuit. Trop, même, diront certaines personnes très larges d’esprit…
Revenons à cette glorieuse époque où nous étions jeunes, fous et royalement inconscients…
En cette soirée agitée de juin, sans avoir bien compris comment, Rose et moi atterrissons dans un club de strip-tease. Dans cette boîte, nous ayant repérés (enfin, plutôt ma brune épouse que moi), un francophone nous offre à boire. Maxime est plutôt mignon de sa personne (dixit ma femme), ayant au maximum dix ans de plus que nous. Il est dans le coin pour affaires et il se détend des difficiles pourparlers de la journée à sa façon.
Nous discutons d’un peu de tout et de rien, il drague éhontément Rose sous mon nez, et moi, ça m’amuse. Conquérant, il la serre de près. Ma femme (Marie-Rose de son vrai prénom, mais elle préfère Rose tout court) aime beaucoup faire de l’effet aux hommes, surtout quand ceux-ci ne sont pas moches. En clair, elle est bien chauffée, par l’ambiance et par son dragueur.
À prime vue, Maxime semble bien s’y prendre puisqu’aucune épine ne s’est plantée dans ses doigts qu’il a fort baladeurs. Au bout d’un certain temps, sans but bien précis, nous sortons. À deux pas, comme à Amsterdam, il y a quelques vitrines dotées de rideaux rouges, le tout éclairé par un néon tout aussi rouge.
Amusé, je lance à ma chère épouse :
Je ne suis pas du genre à me dégonfler pour si peu. Avisant une vitrine dont le rideau est propre, mais fermé, bien qu’il y ait de la lumière derrière, je sonne à la porte juste à côté. Peu après, une femme lourdement maquillée en déshabillé et ensemble rouge et noir s’encadre. De mon meilleur anglais, je lui demande si nous pouvons louer son local avec vitrine pour quelques minutes.
Pour faciliter la lecture, le dialogue qui suit est traduit.
Nous nous mettons d’accord sur un prix.
Durant ces palabres, Maxime s’occupe toujours de ma femme, il est en train d’embrasser Rose dans le cou et de la peloter partout. Je m’adresse à lui :
Ne se gênant pas d’enlacer sensuellement ma femme, levant le nez, il se met à rire :
Il affiche un large sourire :
Durant ce temps, la loueuse ouvre à moitié le rideau pour dévoiler à ma demande l’intérieur à travers la vitrine. Mon intuition était bonne, le lieu est très propre.
Toujours dans la rue, ma femme regarde la chambre qu’elle va bientôt investir. Tout est rouge, même les tapis sur le sol. Quant aux murs, le plancher et le plafond, ils sont d’une couleur sombre indéfinissable, peut-être un grenat très foncé.
Rose repousse son pot de colle :
Il la libère assez à regret. Rose regarde une dernière fois la vaste vitre, comme pour mieux s’imprégner du lieu. Devant le regard étonné de Maxime, elle ôte sa petite culotte qu’elle fait tourner autour de son doigt, puis elle la lui lance au visage avant de disparaître :
Notre comparse du soir hume le morceau de tissu avec délectation.
Peu après, le rideau s’ouvre sur ma femme restée en robe courte. Elle ondule lascivement sur une musique imaginaire, s’ingéniant à exciter le public resté de l’autre côté de la vitre. Je dois reconnaître que sa prestation est efficace, et ce n’est pas mon voisin qui dira le contraire !
Libidineuse, elle commence lentement à déboutonner le haut, les bretelles glissent sur son absence de soutien-gorge, révélant deux seins que je connais très bien. Il est évident qu’elle est excitée, ses tétons sont saillants ! Elle danse sensuellement, tournant sur elle-même, tandis que la robe descend doucement.
Puis le reste tombe à ses pieds, Rose est intégralement nue ! Notre comparse est bouche bée, comme le loup de Tex Avery devant la danseuse pin-up. Ma femme s’assied sur le tabouret, écartant largement les jambes, puis elle commence à se masturber.
Deux quidams passent et s’arrêtent, incrédules, devant le spectacle qu’offre Rose derrière sa vitrine. S’approchant de moi, ils demandent spontanément dans un anglais teinté d’un accent particulier :
Néanmoins, ils restent quelques instants à contempler la scène, puis s’en vont visiblement à regret, discutant entre eux. Je crois reconnaître une langue slave dans leurs échanges. Je parierai sur deux Polonais, mais sans grande conviction.
Excité à mort, Maxime entre pour rejoindre ma femme qui vient de lui faire signe. Je suis le mouvement. Le rideau rouge est tiré, masquant la chambre pour les éventuels passants. Rose s’assied au bord du lit puis elle déboutonne le pantalon de son nouveau jouet grandeur nature. Le caleçon de l’homme est déjà tendu à mort. Ma femme sourit, elle aime qu’on lui démontre de façon claire et nette qu’elle plaît.
Puis elle révèle au grand jour, pardon, en pleine liberté, un engin bien proportionné émergeant d’un bosquet blond et doté plus bas de fort lourdes réserves pendouillantes assez impressionnantes. Assez intriguée par ce qu’elle découvre, Rose s’offre le luxe de soupeser les deux réservoirs pour apprécier la quantité qui en jaillira bientôt.
Ma femme se met à rire :
Elle regarde à nouveau, soupesant encore les deux sacs bien gonflés :
Tout en malaxant les deux boules, Rose commence à le branler, donnant des petits coups de langue furtifs sur le sommet du gland. Maxime apprécie beaucoup. Puis elle se met à le laper de façon plus intense avant d’engloutir la verge entre ses lèvres. À présent, elle le suce intensément, avec une vigueur très efficace.
Trop efficace, car Maxime annonce d’une voix altérée :
Ayant l’esprit pratique, ma femme capuchonne la tige frémissante avec un préservatif qui l’attendait sur la table de chevet avec ses collègues. Ceci fait, n’y tenant plus, Maxime couche sa nouvelle partenaire pour s’allonger ensuite illico sur elle.
Réduisant les préliminaires à zéro, il s’introduit en un seul grand coup, bien décidé à plonger jusqu’au fin fond de l’antre offert.
Tout en commençant à la pistonner, il répond :
Déchaîné, Maxime va et vient à fond à coups puissants et véloces, faisant claquer ses énormes testicules contre le haut des cuisses de sa partenaire du soir. Ma femme est secouée comme un prunier, ce qui ne l’empêche pas de mettre ses mains sur les épaules de son fougueux amant pour mieux l’attirer vers elle, en elle.
Un peu trop vite, l’homme jouit puissamment. Après quelques tremblements, il reste plaqué sur ma femme pour mieux en profiter. Puis il se redresse, lui permettant de mieux respirer :
Il se retire pour enlever une capote remplie et souillée qu’il tend à Rose :
Ma femme pose le présent sur le chevet. En attendant de reprendre la pleine forme, son nouvel amant lutine joyeusement ma femme. Il ne lui faut pas un temps fou pour être à nouveau d’attaque. Il se capuchonne prestement, puis joue à nouveau au TGV entrant dans un tunnel.
Cette fois-ci, Maxime attend un peu plus avant de se laisser aller complètement, ce qui permet à ma femme de jouir à son tour. Au premier râle qu’elle pousse, il se laisse aller à son tour, mélangeant leurs cris, remplissant la pièce en de multiples échos de jouissance.
Après quelques instants de repos, Maxime se retire à nouveau, et, faisant comme la première fois, il tend vers sa compagne de jeu un nouveau sachet :
Puis arrive la troisième salve, dans laquelle ils jouissent à nouveau ensemble.
Je m’invite au bal quand commence la quatrième ronde. Je ne vais pas tout détailler, car comme je le dis souvent, en parler c’est bien, mais le faire c’est mieux ! Toujours est-il que ma chère femme a été doublement entreprise par plusieurs fois et qu’elle ne s’est nullement plainte !
Le summum est sans doute quand, prise en sandwich entre les mâles à sa disposition, elle pousse un long hululement de satisfaction, étant ainsi complètement enfichée, comblée puis inondée !
Après toute cette agitation, allongés sur le lit, nous parlons de tout et de n’importe quoi. Ma femme demande à son amant du soir :
Ouvrant de grands yeux, ma femme s’exclame aussitôt :
D’un ton très détaché, son amant annonce :
D’un large geste, il désigne la chambre :
Se redressant à moitié, d’un air inspiré, il clame :
En ces vains temps de sinistrose
Où tout le monde est fort morose
Je peux vous affirmer une chose
Le meilleur remède s’appelle Rose
Son égérie se met à battre des mains :
Maxime esquisse une sorte de révérence pour saluer et remercie ma femme. Puis il se relève lentement, assez fatigué :
Saisissant la carte, ma femme sourit :
Lutine comme elle sait si bien l’être, ma femme ne se contente pas de lui faire un seul bisou, pour la plus grande satisfaction de son amant. Avec un certain regret visible sur son visage, il quitte la chambre et disparaît, je ne sais où. Est-ce que nos routes se croiseront à nouveau dans l’avenir ? Qui peut le prédire ?
Comme l’a si bien dit Maxime, il y a quelques instants : toute bonne chose possède une fin. Il est temps pour nous de quitter les lieux. De ce fait, j’appelle ma loueuse qui descend. Avant d’ouvrir la porte sur la rue, la titulaire me dit (je traduis à nouveau de l’anglais) :
Je traduis cette proposition à ma femme qui se met à rire. C’est elle qui répond en rassemblant ses souvenirs anglo-saxons :
Comme elle le sait déjà, nous sommes tous les deux Français de France, et ça fait un peu loin pour venir travailler. Tentant visiblement sa chance, la professionnelle nous propose une solution (je traduis toujours) :
À nouveau, je traduis. Mi-figue mi-raisin, ma femme cogite quelques instants puis répond :
En clair, ma femme n’a pas dit totalement non, mais pas vraiment dit oui non plus. Je traduis scrupuleusement sa réponse. Se tournant délibérément vers moi, la professionnelle fait la moue :
Ça, je n’en doutais point, ma femme a assurément plein de talents. Mais de là à en faire son métier, j’ai des doutes, des gros doutes. Et puis, même si je suis assez partageur, je ne le suis pas tant que ça ! Oh non !
Mais comme ma femme l’a si bien dit : peut-être pour une prochaine fois…
Puis l’eau a coulé sous les ponts, lors des jours et des semaines qui ont suivi ce trio…
Parfois, je surprends ma femme qui contemple, rêveuse, la petite boîte en plastique dans laquelle elle a enfermé toutes les capotes remplies lors de ce fameux soir. Boîte qui trône dans un coin du congélateur pour mieux conserver son étrange contenu…
Alors je me dis qu’il risque d’y avoir une prochaine fois…