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Temps de lecture estimé : 29 mn
29/03/23
Présentation:  Retour sur une époque révolue...
Résumé:  En ce début d’année 1957, l’économie a enfin vraiment redémarré, la dernière guerre est derrière nous, et après une décennie de restrictions, nous pouvons nous étourdir pour oublier le grand massacre et croire en un avenir meilleur.
Critères:  fh collègues hotel caresses fellation cunnilingu pénétratio -occasion
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
My blue swedish shoes


Retour sur une époque révolue.

Bonne lecture : )




Rouen



En ce début d’année 1957, l’économie a enfin vraiment redémarré depuis quelque temps, la dernière guerre est derrière nous, et après une décennie de restrictions, nous pouvons nous étourdir pour oublier le grand massacre et croire en un avenir meilleur, même si les deux grands blocs Est et Ouest s’opposent férocement.


Je suis actuellement le directeur d’une petite filiale, située à Rouen, d’un grand groupe suédois. Non, il ne s’agit pas d’un groupe qui vend des meubles en bois. Une à deux fois par an, je dois me rendre à Stockholm. D’habitude, c’est ma secrétaire personnelle qui m’accompagne, mais comme elle va bientôt accoucher de son premier enfant, ce n’est pas possible. De ce fait, mon choix s’est porté sur Rachel, une autre secrétaire sachant bien parler anglais, allemand, espagnol. De plus, elle est maintenant capable de s’exprimer un peu en suédois, c’est souvent elle qui prend les appels de la maison-mère.



Elle ne répond rien. Je sais que ça ne va pas très fort entre elle et son mari. C’est moche à dire, mais il est presque heureux qu’elle ait fait une fausse couche, il y a quelques mois. J’ai rarement vu un enfant raccommoder ses deux parents, c’est utopique. De plus, cet enfant devient souvent malheureux.


Comment décrire Rachel ? Elle est assez proche de la Parisienne typique dont la silhouette a été exportée dans les pays voisins. Certains optimistes parleront de Martine Caroll version brune, d’autres, plus réalistes, de Dany Robin (surnommée la petite fiancée de la France). Je dirais que c’est entre les deux que cette brune se situe. Avec moins de beauté, il faut l’avouer, mais avec des appas néanmoins intéressants.


Je m’arrache à ma rêverie :



Je lui adresse un large sourire :



Notre avion décolle de l’aéroport d’Orly. C’est plus sage et rapide d’y aller par les airs que par la route ou le chemin de fer. Il y a quelques années, j’ai testé ces autres solutions, elles sont plus longues et on arrive fourbu à destination. Depuis, même si ça coûte plus cher, je préfère l’avion. De plus, on y est chouchouté comme un coq en pâte !



Jeudi matin, nous partons tous les deux vers Orly. Chemin faisant, nous discutons d’un peu de tous et de rien. Je constate que ma passagère se décrispe lentement mais sûrement. Je finis par en savoir un peu plus sur elle.


Tout en visitant l’aéroport, Rachel s’extasie :



Rachel est étonnée du luxe régnant dans l’avion. Oui, ce mode de transport est élitiste, surtout pour ce genre de destination, c’est-à-dire un pays nordique peu touristique et fréquenté par des hommes d’affaires. Peut-être que si nous étions en direction du soleil, le confort serait un peu moindre…



Durant le voyage, j’en sais un peu plus sur ma nouvelle collaboratrice. Comme il y a peu de monde dans l’avion, il n’y a pas d’oreille indiscrète à proximité. De plus, j’ai la faculté d’inspirer confiance et il n’est pas rare qu’on se confie à moi. J’ai la réputation d’écouter et surtout de garder pour moi ce qu’on m’a révélé. C’est une fois de plus le cas avec Rachel.


Bien qu’elle n’ait pas encore trente ans, elle en est à son second mariage. Le premier n’a pas duré deux ans, violemment interrompu par un accident de voiture, son défunt mari étant commercial et circulait beaucoup. Son second mari est un fonctionnaire pantouflard qui ne risque pas ce genre de mésaventure. Mais on ne peut pas dire que ce soit la joie dans le ménage.


Rachel soupire :



Elle devient nostalgique :



Soudain, elle s’interrompt :



Je soupire :



Je souris cyniquement :



Sa main sous son menton, Rachel demande :



Elle hoche la tête :



Soudain, Rachel bâille :



Peu après, Rachel s’assoupit un peu. Tandis qu’elle a les yeux fermés, j’en profite pour contempler le spectacle qu’elle m’offre, Rachel est habillée de façon classique : une robe noire à pois blancs, dont la taille est soulignée par une ceinture rouge. Le bas de sa robe est ourlé de bandes alternativement blanches et rouges. Idem pour l’échancrure de ses manches et de son décolleté un peu trop sage à mon goût.


Plus bas, des bas sombres et des chaussures rouges à talons aiguilles. La mode actuelle y va de bon cœur avec la hauteur des talons, mais c’est une mode que je ne déteste pas ! En s’étendant, ma voisine a fait remonter le bas de sa robe. Me laissant mieux admirer ses jolies jambes dévoilées jusqu’à la limite opaque de ses bas. Beau spectacle ! Et quelle bénédiction que la mode impose ce genre de lingerie aux femmes. Il y a cinquante ans de cela, le sexe faible en dévoilait nettement moins, et c’était regrettable, même si je n’ai pas connu cette époque d’avant la Grande Guerre.


Rachel se met un peu plus sur le côté, dévoilant un peu plus ses gambettes. À présent, j’ai le grand plaisir de découvrir sa chair au-delà du bas, ainsi qu’une attache. Ça me fait un certain effet ! Rachel n’est pas précisément un mannequin, son visage est assez classique, mais je constate que sous les vêtements, son corps n’est pas négligeable !


J’ai un mal de chien à résister à l’envie de caresser du bout des doigts cette peau nue ! J’essaye de penser à autre chose, mais c’est difficile. Voyant qu’elle dort, je laisse glisser délicatement mes doigts sur sa chair blanche. Rachel se met à gémir un peu. Je retire précipitamment ma main. Une étrange expression s’affiche sur le visage assoupi de ma voisine, comme celle d’un enfant à qui on vient de retirer son jouet. Alors, je retente ma chance. Elle gémit à nouveau puis laisse échapper :



Ça me refroidit un peu. Dommage pour elle qu’il soit mort dans un accident. Mais quelque chose me dit que cet Augustin ne devait pas être un grand ascète et qu’il devait avoir une inclination pour les plaisirs de la chair. Chose qui me semble moins probable avec l’actuel Roger.


Je la caresse délicatement une dernière fois, puis je réajuste sa robe afin de ne plus être tenté. Cette Rachel est particulièrement sexy, vue ainsi. Aurais-je le plaisir de la croquer durant notre séjour ?




Välkommen till Sverige



Un peu avant l’atterrissage, Rachel se réveille. Nous récupérons vite nos bagages. Un chauffeur mandaté par la maison-mère vient nous chercher et nous dépose à l’hôtel où deux chambres ont été réservées pour nous. C’est vrai que, pour un mois de mars, il ne fait pas froid, le printemps est visiblement présent.


L’heure du repas arrive vite. Nous dînons ensemble :



Ma voisine hausse les sourcils :



Je deviens un peu plus sérieux, puisque je vais parler boulot :



Elle fronce un peu des sourcils :



Elle ouvre de grands yeux :



Je passe à la suite :



Portant un verre à ses lèvres, elle se moque de moi :



Elle repose son verre :



Posant son verre, elle se proteste de façon amusée :



L’arrivée inopinée du serveur met fin momentanément à cette discussion. Après avoir dégusté ma première bouchée, je confie :



Elle semble soulagée. Je continue :



Elle se met à rougir :



J’essaye d’en savoir plus :



Je comprends que je n’en saurai pas plus, donc je change de sujet. Environ une heure plus tard, nous regagnons nos chambres. J’aurais aimé avoir une petite bise comme bonsoir, mais ce ne fut pas le cas. Quelque chose me dit que Rachel est plus ou moins en manque, ayant été habituée à être très sollicitée par son ex-mari qui devait être un joyeux luron.


Mais quelle idée d’aller ensuite se jeter ensuite dans les bras qu’un homme aussi routinier ? Pour mieux oublier son premier mari ? C’est une solution comme une autre, mais pas très efficace, si j’en crois ce que je constate chez Rachel.


Je m’endors dans mon grand lit, tout seul. J’aurais bien aimé avoir un peu de compagnie…




Stockholm



Le lendemain matin, après le petit-déjeuner, comme je l’avais annoncé la veille, sous les mains expertes d’une coiffeuse, Rachel change légèrement de look, ce qui la met encore plus en valeur. Elle-même est étonnée du résultat qu’elle contemple dans le miroir. La robe qu’elle vient de choisir complète très bien le tableau final.


Nous nous rendons en taxi au siège de la société, où nous sommes accueillis par le Président que Rachel n’avait jamais vu. Celui-ci s’exclame (en anglais) :



Il s’incline pour lui baiser la main :



Ma collaboratrice est un peu étonnée, elle s’imaginait rencontrer un vieux plutôt bedonnant, et voilà qu’elle se trouve nez à nez avec un bel homme cinquantenaire, bien bâti, grand comme la plupart des Scandinaves, sportif, dont les yeux bleus s’attardent sans complexe sur sa silhouette.


Je suis prêt à parier plusieurs mois de salaire que mon cher Président ne dirait pas non à une petite aventure avec cette jeune Française…


La matinée est consacrée au travail, même si je constate que Rachel est souvent le point de mire des personnes présentes dans la grande salle de réunion. Le déjeuner qui suit est décontracté, même si je suis encore étonné de ce que je peux trouver dans mon assiette. Rachel découvre pour la première fois la cuisine suédoise qui n’est pas précisément celle de notre pays. Elle comprend mieux pourquoi la plupart des hommes ont une silhouette peu bedonnante.


Comme souvent, en début d’après-midi, vers quatorze ou quinze heures, la journée professionnelle est finie. Avant de nous quitter, le Président nous invite à un dîner-dansant en soirée. Nous nous saluons, puis Rachel et moi sortons.


Une fois dehors, je demande à ma collaboratrice :



Après un détour par l’hôtel pour nous renseigner, nous nous rendons ensuite dans un magasin de vêtements réputé. En effet, j’ai presque l’impression de mettre les pieds dans une boutique de Haute-Couture !


Rachel explique la situation, elle se débrouille mieux que moi en anglais et en suédois. La vendeuse nous propose plusieurs modèles assez échancrés, ce qui n’est pas pour me déplaire. Rachel grimace un peu :



Après quelques essais, Rachel se décide pour une robe rouge, dotée d’une large ceinture, fendue des deux côtés jusqu’à la hanche, retenue par deux bretelles étroites qui s’attachent dans le cou. Il va être difficile de porter un soutien-gorge dans de telles conditions !




Dîner-dansant



Un peu plus tard, lors de notre arrivée au club, le Président complimente chaleureusement Rachel :



Elle rougit sous le compliment, devenant la cible de bien des regards. L’image d’un tendre agneau jeté en pâture à une meute de loups me traverse l’esprit.


Diverses tables sont disposées en cercle autour de ce qui semble être une piste de danse, on peut s’asseoir où on veut. Contre un mur, le buffet proposé est copieux, bien que je me demande parfois ce que peuvent être exactement certains plats proposés. De plus, les vins sont bien bien choisis.


Les deux premières fois que Rachel se rend au buffet, elle est aussitôt entourée par des hommes. La troisième fois, elle se penche sur moi :



Je l’accompagne. Je comprends très vite le succès qu’elle a : quand elle se penche pour choisir des mets, les bretelles de sa robe se détendent un peu, et latéralement, on pouvait voir assez distinctement ses seins, voire ses tétons si on est dans le bon axe. Ce qui offre une très belle vision, je découvre d’autres charmes à ma collaboratrice. Je me dis en moi-même que son mari est décidément un crétin…


Je ne sais pas si je dois le lui dire, d’autant qu’elle ne peut pas s’en apercevoir d’elle-même. Car si je lui dis, elle risque de ne plus vouloir bouger de sa chaise. Mais si je ne lui dis pas, ce n’est pas charitable de ma part.


Lâchement, je préfère ne rien dire. Non seulement ça simplifie les choses, mais en plus, je profite aussi du spectacle…


Elle accepte de danser avec quelques collaborateurs du Président. Comme ceux-ci sont accompagnés par leurs épouses, ils se tiennent bien. C’est un peu moins vrai avec le Président qui danse plusieurs fois avec elle, prenant souvent quelques libertés, comme caresser son dos dénudé, surtout quand il est à l’autre bout de la salle, loin de son épouse et masqué par les autres couples sur la piste.


Quelque chose me dit que mon cher supérieur hiérarchique aimerait bien mettre cette petite Française dans son lit, mais que la proximité de sa légitime épouse l’empêche de vraiment tenter sa chance. Lui aussi a découvert les joies des bretelles qui se détendent, et il n’est pas le dernier à en profiter. Mais pour l’instant, Rachel ne se doute de rien, mettant les regards insistants sur le fait qu’elle est exotique pour un homme suédois.


Moi aussi, je danse avec elle, tout en restant gentleman. Elle apprécie.


Les Suédois sont très branchés anglo-saxons et depuis la fin de la guerre, très américanisés, surtout dans les chansons et les films qu’ils ne se donnent même pas la peine de traduire. C’est ainsi que j’ai découvert ici les futures nouveautés qui débarqueront six mois ou un an plus tard dans l’Hexagone, quand ce ne sera pas dans deux ans.


Actuellement, une chanson retentit : Blue Suede Shoes, d’après l’annonce qui en a été faite auparavant. C’est assez éloigné de la variété française et du jazz, c’est certain. Si ça débarque en France, les plus anciens vont se mettre à hurler à la décadence, tandis que les plus jeunes vont hurler au génie. Même topo à chaque génération…


Une fois la musique terminée, je demande à ma voisine :



Rachel se met à rire :



Moi et mon anglais !



L’aquavit (ou akvavit en version locale) est une boisson forte, dont l’effet se réveille plus tard. Celui qui est proposé lors du dîner est aromatisé aux fruits des bois, ce qui masque sa dangerosité.


Je suis en train de danser avec elle. Rachel se coule carrément contre moi, c’est assez torride, mais je ne pense pas qu’elle le fait exprès. Soudain, elle murmure quelque chose que je ne comprends pas. Tout ce que j’ai saisi, c’est deux fois la même syllabe. Je lui demande confirmation :



Elle met un peu de temps avant de répondre :



Je commence à comprendre certaines choses. Je continue ma valse avec elle, puis à la musique suivante, le Président vient me l’enlever. Elle lui adresse un beau sourire, et se laisse à nouveau griser par la danse.


Soyons réalistes, Rachel est légèrement pompette. Elle continue de danser avec diverses personnes, sans toutefois chanceler. Disons qu’elle est gaie, et plus libérée. Je parie qu’elle a oublié qu’elle est mariée. Elle a envie de s’amuser, c’est ce qu’elle est en train de faire, tout en restant class.


Une grosse heure plus tard, voyant qu’une bonne partie des invités sont repartis, nous prenons congé à notre tour. Nous retournons à l’hôtel.




Abandon



Nos chambres étant voisines, j’accompagne Rachel jusqu’à sa porte, lui souhaitant une bonne nuit. J’en profite coquinement pour déposer un baiser sur sa joue, à l’orée de sa bouche. Sa réaction n’est pas négative :



Elle fouille son sac à main :



Je préfère l’aider en lui ôtant le sac de ses mains. C’est vrai qu’on trouve plein de choses dans cet accessoire féminin. J’ouvre la porte, puis je l’accompagne jusqu’au lit, dans lequel elle s’effondre sur dos en pleurnichant :



M’asseyant à côté d’elle, la redressant un peu, je la prends dans mes bras pour la consoler. Elle renifle un bon coup, puis elle dit :



Je suis assez embêté, je ne sais pas à qui s’adresse exactement ce tutoiement inopiné. Est-ce vraiment à moi qu’elle s’adresse ? Est-ce une confusion avec son défunt mari ? Autre chose ? Je tente une avancée :



Je bascule moi aussi au tutoiement, elle ne proteste pas, se laissant câliner par mes bons soins. La chaleur monte en moi, son parfum m’étourdit un peu, sans parler de sa peau, de son corps si proche. Elle renifle une fois de plus :



Voici un aveu surprenant, mais qui est loin de me déplaire ! Je la couche délicatement sur le lit, puis je l’embrasse tout aussi délicatement. Elle ne se dérobe pas, ouvrant ses lèvres. Ma main se glisse sous une bretelle de sa robe pour venir cueillir son sein, puis titiller son téton. Elle se laisse patiner, gémissant doucement sous mes doigts voraces.


Oui, elle a de beaux seins, surtout quand on a le plaisir de les avoir en main pour les caresser, les palper. Juste comme je les aime, ni trop ni pas assez.


Peu après, je décroche la fermeture pour faire glisser sa robe, révélant sa poitrine pointant fièrement. Ses aréoles sont assez larges, ainsi que ses pointes, de quoi nourrir de gros bébés comme moi ! Ma bouche avide s’empare d’un téton déjà érigé, le suçant voluptueusement, tandis que ma main caresse sensuellement l’autre sein, que je lèche et que je suce ensuite. Rachel halète, ses seins se soulèvent, ses pointes durcissent.


Je joue longtemps avec cette belle poitrine dont j’ai pu avoir un aperçu durant toute la soirée. Oui, Rachel est une femme très intéressante, pas trop farouche, aux courbes affriolantes.


Sans cesser d’embrasser ses seins, je glisse ma main le long de sa cuisse. Elle proteste faiblement :



Elle ne répond pas, à moitié inerte, dépassée par la tournure des événements.


Je relève un peu le bas de sa robe, révélant ses cuisses gainées de soie noire, ainsi qu’un peu les attaches du porte-jarretelles. Je remonte un peu plus haut, dévoilant à présent sa petite culotte assortie aux bas. Comme celle-ci est assez translucide, son petit buisson est apparent, il est même possible de deviner une fente. Je m’accroupis pour embrasser ses cuisses, remontant petit à petit vers son entrejambe. Puis j’appuie mes lèvres sur sa petite culotte, sur sa fente déjà odorante et humectée.


Rachel émet un petit cri, gémissant, tentant de me repousser :



Mettant mes mains sur l’élastique de sa petite culotte, je la tracte vers moi, la faisant descendre le long de ses hanches. À ma grande satisfaction, Rachel soulève ses fesses pour me faciliter la tâche, signe évident de sa capitulation. Peu après, elle m’offre son mignon buisson sans protection. Je dépose plein de baisers brûlants dessus, elle soupire d’aise.


Il ne convient pas d’en rester là. Je dégrafe sa robe afin de l’ôter. Elle se révèle nue, à l’exception de ses bas et de son porte-jarretelles qui la rend encore plus désirable. Je caresse son corps, puis mes lèvres descendent à nouveau vers son buisson. Ma langue plonge dans sa fente afin de dénicher son clitoris. J’entame alors une succession de léchouilles autour de cette mini-colonne, ce qui fait gémir ma collaboratrice bien au-delà de la décence. Quelques coups de langue plus tard, elle se raidit, la bouche ouverte, terrassée par un premier orgasme.


Je la laisse se reposer un peu. Quelques secondes plus tard, j’entends sa voix :



J’abaisse mon pantalon puis mon slip, révélant ma verge bien raide et arquée



Je capture sa main, puis je la pose sur ma tige toute chaude :



Mais ce n’est pas pour autant qu’elle retire sa main. Rachel est visiblement partagée entre deux options : rester fidèle à son triste mari ou jouir pleinement avec moi.



Sans s’en rendre compte, elle est déjà en train de caresser ma colonne. Je la laisse faire, une femme qui branle spontanément sans qu’on le lui demande, ça ne court pas les rues. Soudain, elle réalise ce qu’elle est en train de faire, elle lâche ma verge en rougissant :



D’un bond, je m’installe entre ses jambes, frottant ma verge contre ses cuisses. Son regard est à la fois apeuré et fasciné. Je remonte doucement, lentement vers son buisson. Elle murmure :



Je frotte mon gland contre son buisson, le contact est si soyeux, si voluptueux que je suis à deux doigts d’éjaculer ! Maintenant, je me frotte contre son clitoris resté enfiévré. Puis je suis l’ourlet de sa fente déjà détrempée. Petit à petit, je m’enfonce légèrement plus loin. Elle gémit :



Mon gland disparaît presque :



Je continue ma balade à l’orée de sa fente.



Puis elle capitule complètement, en murmurant d’une voix très basse :



Ce qui ouvre le champ à diverses possibilités. Je reste volontairement à l’entrée, lui susurrant :



Elle se décide :



Je donne un coup de reins pour m’enfoncer dans son antre dégoulinant. Elle explose :



Je commence mes va-et-vient, ce qui lui fait beaucoup d’effets, si j’en crois son expression et ses tremblements de plaisir. Ses jambes gainées de soie se referment férocement sur mes lombes. J’ai la nette impression qu’elle est en train de rattraper un sérieux retard en matière de sexe !



Maintenant, les choses sérieuses commencent. C’est à moi de résister tant qu’elle n’a pas joui, ce qui ne va pas être évident, car cette femme me fait trop d’effets, surtout en bas et porte-jarretelles, la lingerie étant un catalyseur pour la libido ! Ses ongles commencent à laisser des marques sur mes bras. Rachel est en train de se laisser glisser :



C’est bien la première fois que je l’entends dire de telles choses. Elle est en train de lâcher prise, comme elle le faisait sans doute avec son premier mari, ce qui est une bonne nouvelle. Je serre les dents, car c’est trop excitant d’écouter une femme se lâcher à ce point.


Ouvrant de grands yeux, Rachel s’étonne de ses propres paroles.



Ses yeux luisants me regardent étrangement. Je continue mon petit manège tout en embrassant, en mordillant un téton. Elle vibre complètement. Elle éructe :



Je tente quelque chose, advienne que pourra…



Et elle se met à jouir d’une façon très intense, comme si son corps était parcouru par du courant alternatif. Elle vibre complètement, totalement ! C’est assez impressionnant !


Mais moi aussi, je ne résiste plus, alors je me vide en elle, j’explose en elle, complètement, totalement !


Ça, c’est du double orgasme !


Des tas d’étoiles défilent sous mes yeux, tandis que je me sens emporté ailleurs, très loin ! Je me sens à la fois si minuscule et si gigantesque. Puis arrive le voile blanc qui m’enveloppe entièrement, corps et âme…


Corps et âme…




Retour sur terre, en Suède



Alors que nous sommes étendus l’un à côté de l’autre sur le lit défait, Rachel se met carrément à caresser du bout des doigts mon sexe avachi :



Tout en poursuivant sa caresse sur ma tige, elle se lance :



Elle approche ses lèvres de ma queue avachie, elle en embrasse délicatement le bout, ce qui me fait frémir. Puis elle capture ma verge entre ses lèvres, gobant ma tige qui reprend déjà un peu du poil de la bête. Peu après, mon sexe disparaît à moitié dans sa bouche, commençant à durcir. Rachel active le mouvement autour du pieu de chair qui redevient majestueux.


Délaissant ma colonne bien dressée, elle constate :



Je me remets en position, puis avec délectation, j’enfonce posément mon pieu dans son antre détrempé. Rachel halète, nouant férocement ses jambes autour de mon dos, bien décidée à jouir une fois de plus. Après quelques pistonnages et barattages, ma compagne ne tarde pas à se tétaniser, à trembler, avant de déflagrer !


Tandis que je la contemple en train de jouir, je me dis qu’elle a actuellement un gros retard à rattraper. Je me demande jusqu’à quel point, Augustin et elle se laissaient joyeusement aller dans l’intimité. Je me dis que, de mon côté, j’ai peut-être une bonne carte à jouer !


Peu après, Rachel se confie, lovée contre moi :



Sous doute à l’évocation de ce surnom, elle sourit :



Je plaisante :



Elle me regarde un peu en biais, je me demande si je n’ai pas dit une grosse imbécillité, même si je l’ai dite sur le ton de la plaisanterie. Elle finit par dire :



Je continue de la caresser :



Elle me regarde en haussant les sourcils :



Je plaisante à nouveau :



Gros lapin, moi ? Le respect se perd ! Je vais me faire un plaisir de lui expliquer qui est l’homme, le mâle qui se doit de faire jouir la femme qui est dans ses bras !




Samedi au petit matin



Après plusieurs jouissances, avant de nous endormir, nous avons continué à faire quelques agaceries. Puis, la journée ayant été rude, nous nous sommes endormis dans les bras l’un de l’autre. Avant de sombrer, Rachel murmure :



Elle se blottit un peu plus contre moi :



Je l’embrasse sur le front, puis la nuit nous engloutit.


Au petit matin, j’ouvre un œil le premier. Rachel dort toujours paisiblement, elle est adorable dans son sommeil. Peu après, elle se réveille, puis elle rougit. Je la capture dans mes bras pour la couvrir de baisers. Elle se laisse faire, en murmurant :



Je continue de l’embrasser tout en la caressant. Puis je me fige, mon visage par-dessus le sien, je lui dis simplement :



Sa bouche se crispe un peu :



Puis je recommence à la couvrir de baisers et de la caresser de la tête aux pieds, ce qui l’amuse beaucoup. Elle se retourne de sa propre initiative afin que son côté pile puisse bénéficier de mon ardeur.


Un peu plus tard, nous prenons le petit-déjeuner au lit. Incidemment, je lui demande :



Sept enfants ? Soit une famille de neuf personnes. Je m’exclame :



Elle explique d’une façon amusée :



Rien que ça ? Je module :



J’explique l’idée que j’ai en tête :



Je pose le plateau par terre :



Elle se met à rire, parfaitement offerte à mes débordements.


Je sais que, bientôt, il nous faudra revenir en France, qu’elle retournera auprès de son mari. Je ne sais pas encore quelle attitude prendre alors avec Rachel, mais pour l’instant, j’ai trop faim d’elle pour me lancer dans des plans sur la comète…