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Temps de lecture estimé : 11 mn
01/04/23
Résumé:  Séjour sur une île paradisiaque, favorable à la réalisation des fantasmes d’un jeune couple.
Critères:  #aventure #candaulisme #couplea3 fhh cocus vacances plage voyage fsoumise voir exhib strip sandwich
Auteur : Etienne56      Envoi mini-message

Collection : Les aventures de Marie
Île paradisiaque

Tout juste trentenaires au mitan des années 80, avec Marie, nous étions mariés depuis quelques années déjà. Elle travaillait dans une compagnie aérienne, détail lui permettant de voyager à sa guise, et bien entendu à moindre coût. Marie adorait voyager, elle ne s’en privait donc pas. À cette époque, je dois le préciser, nous bénéficions de ces billets GP (gratis passengers, ou presque) à des prix totalement indécents, j’en conviens, et cela vers toutes les destinations. Seule contrepartie : découvrir à l’aéroport qu’il ne restait aucune place dans l’avion ! Une mésaventure que nous n’avons jamais, fort heureusement, connue. Marie m’a entraîné ainsi à Madagascar, véritable révélation pour moi qui n’avait que très peu bourlingué hors de France. Ce voyage à Nosy Be fut dès la sortie de l’avion un véritable festival, une bouffée d’air chaud et humide des tropiques en plein été, et surtout l’odeur intense de l’ylang-ylang que l’on pouvait respirer partout sur l’île.


Des collègues de Marie lui avaient recommandé la résidence Ambatoulouk à Ambatoulouk, l’un des trois hôtels de l’île à l’époque. Le propriétaire des lieux, un Italien, quarantenaire, prénommé Paolo, était venu nous chercher à l’aéroport avec une Mini Moke qui avait connu des jours meilleurs. La route relevait davantage du chemin de terre, ce fut un vrai parcours du combattant ! Nos dos s’en souviennent encore. Vingt-cinq kilomètres plus tard, le paysage coupa court à toute jérémiade. Un endroit de rêve, une carte postale des tropiques. L’hôtel donnait sur une plage bordée de palmiers. N’imaginez pas une construction moderne, mais plutôt l’œuvre d’un ingénieux Italien, une architecture en parfaite osmose avec le cadre. Paolo, en personne, l’avait imaginée et conçue dix ans plus tôt avec les seuls matériaux qu’offrait l’île. Un ensemble constitué d’une dizaine de bungalows.

Chose remarquable pour moi – peu habitué à ces pays –, une absence totale de fenêtres, de simples ouvertures en place et lieu.


Paolo nous présenta son épouse Christina, la quarantaine épanouie, très épanouie, me dis-je, ravissante. Après nous avoir offert le traditionnel verre de rhum, il nous emmena découvrir notre bungalow. Du béton partout jusqu’au cadre du lit, le sommier était constitué de planches épaisses résistantes à toutes les acrobaties à venir, cela ne nous avait pas échappé.

Étant les seuls clients – Nosy Be n’avait pas encore le vent en poupe – nous fûmes conviés à dîner avec nos hôtes comme nous le serions durant tout le séjour.

Un peu plus tard, nous rencontrâmes les cinq coopérants français vivant dans le village, deux couples et un célibataire, Christian, dont le sourire éclatant lui avait valu le surnom de Colgate, mais qui aurait mérité celui de Mike Brant (chanteur à minettes des années 70) tant la ressemblance était frappante. Son attirance le portait exclusivement vers les touristes. Celles-ci étant fort peu nombreuses, sa libido était le plus souvent en berne, mais l’animal était toujours à l’affût.


Quelques jours plus tard, après avoir dîné tous ensemble à l’hôtel, il nous proposa d’aller visiter sa maison, bâtisse circulaire, et ce dont il semblait le plus fier : dans le salon, il avait imaginé une cascade descendant du plafond jusqu’à un bassin au centre de la pièce, un système de pompes alimentait la chute.


Après quelques verres de rhum-coca – Christian avait davantage forcé sur le rhum que sur le coca –, il s’éclipsa pour revenir avec un joint que nous acceptâmes volontiers. Le mélange rhum-pétard eut pour effet de nous désinhiber totalement. Marie aimait séduire depuis toujours et en maîtrisait parfaitement les techniques, je l’observais avec amusement et intérêt. Notre hôte, depuis notre rencontre, n’avait manifesté que peu d’intérêt pour ma personne, en revanche, Marie avait droit à toutes les attentions.


Elle était ravissante, très appétissante, silhouette parfaite, très belles jambes, poitrine généreuse et accueillante, et ce regard vert insistant, dirais-je provoquant ? Ce soir-là, elle portait un sarouel des plus affriolants, largement ouvert de la cheville à la ceinture. Consciente de l’effet induit sur notre hôte, elle en usait et abusait, en modifiant avec une régularité de métronome la position de ses jambes. Le tissu glissait, s’écartait, laissait entrevoir une promesse de vertiges. Je ne disais rien, j’appréciais son show, attendant avec impatience la suite !


Il était de plus en plus difficile à Christian de maintenir le débit de paroles auquel il nous avait habitués. Rien des gestes de Marie ne lui échappait, le bruit de la cascade rajoutait si besoin une sensualité presque palpable au moment. Lorsqu’elle dégrafa les deux-trois boutons de son corsage, laissant plus que deviner l’irrésistible arrogance de ses seins, et entreprit à l’aide de l’éventail qui la suivait en tout lieu d’apporter un peu de fraîcheur à sa peau, Christian cessa de parler, se leva brusquement et nous proposa un bain de minuit. Nous y voilà ! me dis-je.


L’endroit tout désigné se trouvait à quelques minutes de là, devant nos bungalows. Nous nous tînmes parfaitement serrés à l’avant du véhicule, Marie au milieu. Ma main gauche tout comme la main droite du conducteur cheminait à tâtons sous l’étoffe et sur ce délicat et toujours très réceptif grain de peau des cuisses de mon épouse. Marie semblait s’ouvrir, ou mieux, s’offrir sans retenue. Le trajet fut court heureusement, ou malheureusement. Il y a des épisodes de notre vie que l’on aimerait voir s’étirer bien davantage dans le temps.


Arrivés sur la plage par cette nuit de pleine lune, Christian, tout comme moi, se débarrassa de tout vêtement et nous plongeâmes dans cette eau à 27°. Ne voyant pas Marie à nos côtés, un peu surpris, nous la repérâmes encore toute habillée sur la plage. Elle attendait notre attention, notre regard, notre désir.


Délicatement, sans empressement – surtout pas –, tout en regardant dans notre direction, l’effeuillage commença. Le sarouel tomba au sol, découvrant ses longues jambes. Un puis deux boutons, trois, quatre… la blouse connut le même sort. Le soutien-gorge, une bretelle, puis la seconde. Nous étions tétanisés par ce désir qu’il nous fallait contenir.


Elle se pencha délicatement, les deux mains dans le dos libérèrent cette poitrine, l’objet de tous mes fantasmes. Elle le savait parfaitement. Elle s’interrompit, se campa, les jambes légèrement écartées, les mains sur les hanches, cambrée comme pour mettre encore plus en valeur ses seins, menton levé. Elle nous défiait. Il restait ce détail terriblement excitant, une petite culotte blanche en coton à laquelle elle n’avait pas touché… Cette petite tache blanche qui tranchait tant avec sa peau déjà cuivrée. Elle attendait.

Christian me regarda :



L’animal ne se le fit pas répéter, en trois bonds il était au côté de Marie, s’agenouilla et avec toute la délicatesse dont je ne l’imaginais pas capable, retira ce petit morceau de coton. J’avais pu la voir lever docilement une jambe après l’autre pour se libérer du dernier rempart de sa nudité enfin révélée.


Marie se présenta à nous intégralement nue, provocante, ses seins magnifiques dont je pouvais deviner les tétons dressés, cuisses écartées, son mont de Vénus enfin découvert, elle me rendit fou de désir ! Christian, dont je ne voyais que le dos, avait en face de lui à hauteur des yeux les lèvres de sa chatte au bas d’une pilosité taillée très court. Celle-ci continua à se laisser détailler, y prenant, j’en étais certain, un grand plaisir, mais se déplaça un peu, sans doute afin que je puisse profiter au mieux de ce qui allait suivre.

Notre ami s’empara de ses fesses, les caressa tout d’abord, les malaxa avec vigueur, puis leur infligea des petites claques sonores



Il approcha sa bouche de la chatte et l’embrassa, je pouvais voir une de ses mains s’insinuer entre ses fesses et j’imaginais aisément leur objectif. Marie cambrée au maximum pour s’offrir aux caresses, les mains posées sur la tête de Christian, se laissa ainsi lécher, caresser, pénétrer, elle avait la bouche entrouverte et j’entendais les gémissements de son plaisir. Elle le fit se lever, saisit son sexe, fièrement dressé, à pleines mains, s’agenouilla devant lui, une main lui massant les joyeuses, sa bouche léchant le gland turgescent pour finir par l’emboucher très lentement et de plus en plus profondément.


Je les regardais, ivre de désir, j’appréciais tellement ce qu’elle lui prodiguait. Christian lui tenait la tête des deux mains, lui imposant le rythme et la profondeur qu’il souhaitait. N’en pouvant plus, je saisis mon sexe, me masturbant en les regardant. Ma tête remplie de ce qui se passait devant mes yeux, le plaisir de mon épouse s’ajoutait au mien, j’appréciais ces instants.


Par moments, elle l’engloutissait presque entièrement, par contrainte autant que par plaisir. Par expérience, je connaissais le genre de traitement qu’elle lui administrait et la jouissance qu’elle en retirait, et très vite, quand ne pouvant plus retarder l’échéance, il prit son plaisir et déchargea dans sa bouche. Je pouvais la voir avaler avec gourmandise, se lécher le pourtour de ses lèvres, la tête tournée vers moi, à la fois en signe de provocation, mais aussi par fierté. Puis elle se releva et lui prit la main.



Ils me rejoignirent et aussitôt elle se rinça la bouche avec un peu d’eau de mer, puis elle m’embrassa.



Christian saisit Marie sous les bras, comme pour mieux me l’offrir. La voir ainsi offerte accrut mon désir si cela était encore possible, je saisis ses jambes, la forçant à s’allonger, ses cuisses entourèrent mes hanches, et j’approchai mon sexe de son minou offert. Je m’enfonçai en elle, si chaude, humide et accueillante. Mes mains crispées autour de sa taille, je la pistonnai violemment, talonnant le fond de sa grotte sous le regard de Christian qui d’une main lui tenait la tête hors de l’eau.



Il profita de sa main libre pour lui pincer les tétons, Marie adorait ça. Le sexe de notre ami avait repris de la vigueur, il réussit à le frotter contre la joue de mon épouse délurée, le sentant elle réussit à en lécher le bout. Quelles sensations merveilleuses de la voir ainsi : flottant sur l’eau tenue et caressée par un presque inconnu, la voir lui lécher sa queue pendant que je la pénétrais ! Elle haletait de plus en plus rapidement, gémissait de plaisir de plus en plus fort.


La première, elle se laissa aller pour prendre son plaisir, je sentis les spasmes du plaisir traverser son corps, puis son fourreau se contracta sur mon sexe, son corps s’arqua sous la jouissance, ses gémissements de plaisir se transformèrent en cris et immédiatement je me vidai au fond d’elle. Elle émit un dernier long râle orgasmique, et aussitôt son corps se relâcha.

Sa respiration redevenue normale, Marie se remit debout, nous deux serrés contre elle, la couvrant de baisers. Nous restâmes silencieux, tout au plaisir que nous avions partagé. Quelques instants après, nous fîmes quelques brasses puis sortîmes ensemble de l’eau, Marie au milieu nous tenant par la main.


Après avoir récupéré nos affaires, elle nous mena jusqu’au muret devant notre bungalow.



Dociles, nous nous assîmes face à la mer. À l’exception des vagues qui venaient mourir sur la plage, le silence était total, nous étions dans la douce lumière de la lune ainsi que le faible halo de l’applique extérieure du bungalow.



Il n’eut pas le temps de répondre, car Marie réapparut devant nous, sèche, mais toujours nue ! Elle nous tendit deux serviettes, puis, nous fixant :



Sans rien ajouter, elle recula de quelques mètres et entama une danse sensuelle : ses mains commencèrent un ballet sur tout son corps, des hanches jusqu’à ses seins qu’elle nous présenta en offrande, en effleurant les pointes, passant ses bras au-dessus de sa tête, faisant saillir sa poitrine. Elle glissa ses mains jusqu’à sa vulve, en effleura les lèvres tout en ondulant au rythme d’une musique lascive imaginaire, telle une danseuse orientale. Et pour finir, elle se tourna pour nous présenter ses fesses, les malaxant, les écartant, se penchant en avant pour mieux nous les faire apprécier, et aussi sans doute pour nous dévoiler son dernier trésor enfoui. Ce show torride eut tôt fait de stimuler notre vigueur et notre désir. Elle s’arrêta.



Elle s’approcha de nous – de nos sexes, plus précisément –, les effleura délicatement jusqu’à les faire se dresser fièrement.



On la trouva, allongée, une jambe repliée, les bras au-dessus de sa tête, offerte et soumise à nos désirs.



Nous nous allongeâmes de part et d’autre, Christian l’embrassa sur la bouche, mais n’insista pas, se replia sur sa joue, son cou, ses mains avaient repris possession de ses seins, les caressant et en agaça les tétons. Pour ma part, mes mains effleuraient la partie la plus douce et sensible de ma chérie, l’intérieur de ses cuisses à la limite de sa vulve, j’en écartai les lèvres humides, décapuchonnai son petit haricot, afin de le lécher.


Mes doigts mouillés prirent ensuite le chemin de l’exquise liaison entre le minou et son dernier trésor. Une fois atteint, très lentement et délicatement, je le titillai suffisamment pour y introduire un doigt. Marie, adorant cela, se tourna légèrement sur le côté pour me faciliter la pénétration. Je la regardai avec amour, la bouche ouverte, les yeux fermés, haletant et gémissant sous l’effet conjugué des multiples attouchements.

Quand j’enfonçai un second doigt, elle se raidit, émit un faible cri de plaisir et de douleur mélangés. Sa chatte ruisselait comme rarement. Je compris alors que je devais me retirer, et dis à Christian :



Ce qui suivit ne nécessite aucune description. Marie prit du plaisir plusieurs fois, elle avait été pénétrée devant, derrière, dans différentes positions, alternativement par l’un ou l’autre, et nous finîmes par lui offrir son fantasme ultime : être prise des deux côtés à la fois !

Après cette longue séance où tous les trois nous nous étions laissé aller à la réalisation de nos pulsions et désirs les plus fous, Marie semblait sur un nuage, tout alanguie, les yeux fermés, sourire aux lèvres.

La soirée inattendue s’achevait, il nous quitta après un dernier baiser, Marie et moi nous nous couchâmes rapidement, étroitement enlacés