n° 21659 | Fiche technique | 14569 caractères | 14569 2491 Temps de lecture estimé : 10 mn |
01/04/23 |
Présentation: Tout est dans le titre et j’étais non consentant. | ||||
Résumé: Pendant des vacances, mon épouse a fait l’amour avec un danseur cubain. C’est peut-être moi, bien que non consentant, qui ai provoqué cela. Notre vie sexuelle est définitivement modifiée. | ||||
Critères: fh extracon cocus vacances hsoumis humilié(e) exhib noculotte hmast pénétratio init -candaul | ||||
Auteur : Larvapatte Envoi mini-message |
J’ai vingt-neuf ans et mon épouse, Lana, vingt-sept. Ma femme Lana et moi avons un charmant petit garçon de deux ans.
Avant de faire un petit second, nous avions réussi à programmer dix jours de vacances à Cuba en le confiant à mes beaux-parents.
Comme on dit, nous sommes plutôt bien de nos personnes.
Il faut aller à Cuba pour comprendre son ambiance. Dès l’arrivée à La Havane, on réalise que ce peuple qui n’a pas grand-chose trouve de vrais moments de bonheur entre la musique et les douces soirées de ce pays.
Les jolies jeunes femmes ne se cachent, pas loin de là, et les regarder est un vrai plaisir. On devine aussi que les touristes, ou du moins leur femme, éprouvent le besoin de se mettre au diapason, peut-être pour ne pas trop laisser ces jolies Cubaines occuper l’esprit de leur compagnon.
Dès la première soirée, nous avions acheté sur place une robe légère, à la fois plus courte et plus décolletée que ce que ma femme avait l’habitude de porter.
Pour notre seconde soirée à La Havane, Lana accepta de porter la petite robe, ce qui me ravit.
La nuit tombait, nous marchions bras dessus, bras dessous, et il devenait évident que nous (surtout elle) étions regardés discrètement par les hommes mûrs, et de façon plus pesante par les plus jeunes.
Pour mieux observer leurs regards, nous avions mis des lunettes de soleil malgré la pénombre, puis une idée me vint, je lui glissai à l’oreille :
Faussement ingénue, elle protesta sans conviction.
Mais elle s’exécuta. Hésitante, elle se mit alors à déambuler apparemment seule dans la rue. Excité, je lui décrivis au smartphone les hommes qui la mataient, et ils étaient plutôt nombreux. Cela la fit rire, et tout en marchant, elle se caressa lascivement les cheveux, dégageant un peu plus son petit décolleté. Au bout d’un moment, je lui demandai si son exhibition lui plaisait. Sa réponse :
C’est surtout à toi que ça plaît…
Ce petit jeu ne dura pas plus d’un quart d’heure. Elle se retourna en m’attendant. Sous sa robe et son fin soutien-gorge, on pouvait deviner ses tétons durcis. Nous n’en pûmes plus, oubliant le dîner, nous allâmes directement à l’hôtel pour une soirée d’amour inoubliable.
Les deux jours suivants se passèrent à Trinidad. Un petit paradis pour ceux qui la visitent. Il n’y avait qu’à se promener entre les pittoresques ruelles d’époque et, de plus, notre Casa Familia était superbe.
Le second soir, nous connaissions un peu la ville et nous nous installâmes sur de grands escaliers où des groupes musicaux se produisaient. Nous commandâmes un second mojito, ce qui ne manqua pas d’altérer notre lucidité. Peu importe, nous étions à pied.
Le groupe le plus proche de nous était constitué de bons musiciens et de deux danseurs. La danseuse, plutôt jeune, captait tous les regards, une vraie liane lascive, musclée comme il faut. Lui était plus âgé, mais ne manquait pas d’allure non plus. Ils enchaînèrent des danses de salsa des plus agréables et des plus sexy.
En contre bas, il y avait un groupe de jeunes cubains un peu agités qui consommaient comme nous.
Une idée me prit soudain : en lui parlant à l’oreille, je demandai à Lana d’écarter ses genoux, son entrejambe pouvant être vu par les jeunes plus bas. Bien sûr, je pensais que mon épouse serait incapable de cela. Elle rit en me traitant d’idiot, puis, une minute plus tard, elle serra ma main avec force et écarta ses genoux pendant quelques secondes. Cela la fit doucement rire :
J’étais stupéfait, elle l’avait fait !
Et elle recommença ! Elle devait être comme moi, sérieusement alcoolisée.
Quelques secondes après, je lui glissai :
Elle ne répondit pas et sembla se refermer, mécontente. Plusieurs minutes passèrent puis Lana se leva et partit vers le restaurant probablement pour un besoin naturel. Elle revint deux minutes après avec un drôle d’air, en me disant :
Elle me tendit une boule de tissu serrée dans sa main : sa culotte ! Culotte que je me pressais de cacher dans la poche de mon short.
Ce fut un choc, c’en était trop, il me fallut du temps pour comprendre que ma femme était prête à s’exhiber même si la probabilité d’être vue était faible. Cette fois-ci, je me gardai bien de la relancer.
Puis, toujours en riant, elle chercha à m’embrasser. En faisant cela, elle déplaça le haut de son corps, et pour garder ses appuis, elle écarta franchement ses jambes. C’était évidemment volontaire, elle pouvait être vue.
Elle était vraiment bourrée, et moi… pas vraiment mieux ! Cette fois-ci, elle ne recommença pas.
Puis le groupe arrêta de jouer et commença sa quête. Au bout de quelques instants, le danseur vint vers nous et, alors, me croyant spirituel, en même temps qu’un peu d’argent je lui remis la culotte de Lana avec ce commentaire :
Il prit le tout et, interdit, recula et disparut dans le public. Aussitôt, je sentis les ongles de Lana s’enfoncer avec force dans mon bras. Me retournant, je découvris son visage d’une dureté incroyable, sa lèvre inférieure tremblante – je n’oublierai jamais son expression.
Puis elle continua à voix basse ses propos haineux, elle était folle de rage, je ne savais plus quoi dire pour essayer de la calmer et je nous sentais observés. Cette scène insoutenable me parut durer une éternité.
Puis, d’un coup, son expression changea, elle regarda par-dessus mon épaule avec un sourire forcé. C’était le danseur qui était revenu et qui en quelque sorte me sauvait, mais cela ne se passa pas du tout comme je l’espérais.
Me lâchant, elle fit un petit bond et lui parla directement. Elle le félicita pour sa prestation et lui demanda avec son mauvais anglais s’il proposait des cours de salsa… Avant qu’il ne réponde, elle en rajouta en s’approchant encore de lui, elle voulait un cours de salsa tout de suite dans notre Casa Familia ! Sa demande, ou plutôt, ses intentions étaient explicites. Il hésita, me regarda, mais choqué, humilié, je fus incapable de réagir et de soutenir leurs regards.
Aussitôt, elle l’entraîna dans les escaliers en sautant de marche en marche comme une gamine. Elle se retourna et me rappela :
Cela me prit un temps fou, trouver de l’argent, aller payer avec une petite queue, tout ça sous le regard de certains qui devaient se poser pas mal de questions…
Enfin, je me lançai à leur poursuite avec pas mal de retard. Je pris le chemin de la Casa Familia. Première rue, personne ! Seconde rue, toujours personne alors que je courais ! Et s’ils avaient décidé d’aller ailleurs ou chez lui ? Je finis par les trouver dans la dernière rue, ils se tenaient comme deux amoureux. Pathétique, haletant, je les rattrapai un peu avant l’entrée. Ils m’ignorèrent.
Lana marqua un arrêt devant la porte et se sépara de lui au cas où la propriétaire nous ouvrirait la porte, mais elle était absente et nous rentrâmes discrètement dans la maison, puis dans notre chambre.
Lana s’assit sur le lit et une sorte de gêne nous gagna tous. Quelques secondes de silence, et je me mis à espérer que Lana commençait à retrouver ses esprits.
De façon anodine, elle se dirigea et entra dans la salle de bain. Rien d’alarmant, sauf qu’elle appela d’un signe du doigt Arturo, puisqu’il s’appelait ainsi, et lui aussi entra rapidement dans la salle de bain, avant que je ne fasse quoi que ce soit, la porte fut verrouillée !
Aussitôt, on entendit comme deux rires étouffés ; hors de tout contrôle, ils étaient seuls, livrés l’un à l’autre. Mon état de choc monta encore d’un cran, la situation m’était insupportable et je collais mon oreille sur la porte pour épier. Deviner ce qui devait s’y passer n’était pas évident, et surtout, mon imagination prenait le dessus sur toutes mes capacités. Il y eut des moments de silence, des chuchotements, puis la douche coula longtemps, couvrant la plupart des bruits.
N’en pouvant plus, je libérai mon sexe contraint dans mon short depuis les exhibitions de mon épouse. Je ne voulais qu’une chose : me masturber pour me soulager un peu. Je pris une serviette dans la valise et me fis plaisir une première fois tout en écoutant à la porte de la salle de bains. Même après mon éjaculation, mon sexe se raidit à nouveau et je continuai à me caresser…
Tout d’un coup, les bruits d’eau s’arrêtèrent. Puis, on aurait dit des bruits de corps qui se frottaient, des voix très étouffées, et même des petits gémissements. Cela dura une éternité. Soudain, comme des efforts plus importants… Et le verrou commença à être actionné ! Je me jetai en arrière sur un fauteuil, refermant mon short au plus vite.
La porte s’ouvrit, ils sortirent, elle était empalée sur lui, accrochée à son cou, ses jambes autour de ses hanches, il la tenait puissamment par les fesses en effectuant de légers mouvements verticaux ! Elle étouffait son rire et remuant, elle essayait sans doute d’améliorer leur position.
Arturo était tout en muscle. Je vis son sexe, sans capote ! Il était luisant sur une bonne longueur et semblait bien épais avec sa couleur marron.
La position devait être fatigante, car ils butèrent sur le mur, puis, rapidement, Arturo la déposa sur le lit. Tout ceci sans que Lana ne me regarde une seule fois…
Quant à moi, mon état était indescriptible, le feu dévorait tout mon bas-ventre, j’en avais mal à la tête et je trouvais sans force. N’en pouvant plus, je rebaissai mon short pour me caresser avec frénésie bien que la peau de mon sexe commençait à me brûler. Malgré la serviette, ils purent le deviner.
Chaque moment fut gravé dans ma mémoire, chaque position, chaque attitude. Ils firent parfois l’amour avec tendresse, leurs doux baisés me firent souffrir, ils baisèrent parfois presque avec bestialité… lui derrière, la pilonnant profondément, et elle ne pensant plus qu’au plaisir !
Leur coït avec tous les changements de position dura une bonne demi-heure. Elle se mit même à califourchon sur lui, prenant son sexe en entier.
Puis, j’eus le sentiment qu’il allait exploser et déposer son sperme en elle. Je pris peur… Si elle avait mal pris ses pilules ? C’était très peu probable, mais cette éventualité m’apparut insoutenable sur le moment.
Je me levai pour intervenir, mais mes jambes ne me portaient plus. Je recommençai une seconde fois et parvins près du couple. D’une petite voix, je dis à Arturo qui était sur elle :
Mais dans son élan, il entendit mal ; je répétai plus fort :
Il s’arrêta aussitôt, interloqué, mais au bout de quelques secondes, Lana réagit :
C’est elle qui le relança avec de puissants mouvements de bassin, et au bout de quelques secondes, lui aussi redémarra.
Elle jouit donc, avant lui, elle fit tout pour étouffer ses gémissements, mais son orgasme fut incroyablement profond, puissant et long. Il lui secoua tout le corps. Cet orgasme provoqua presque aussitôt celui d’Arturo. Lana qui sortait à peine de son orgasme le regarda jouir, captivée et pleine de reconnaissance, et, scène incroyable, à la fin de son orgasme, le va-et-vient d’Arturo devint plus lent, mais très profond, comme s’il cherchait à pousser sa semence au plus profond des entrailles de Lana.
C’en était trop, à ce moment, je tombai dans une espèce de trou noir, sans force, nauséeux, saturé en émotions ultimes et en souffrances psychologiques. Si je me souviens très bien des événements jusqu’alors, la suite de leurs ébats est presque entièrement effacée de ma mémoire à part quelques flashs.
Car le couple après une courte récupération recommença, cela dura beaucoup plus longtemps et il fallut des masturbations, des cunnilingus et même des fellations pour que le second orgasme de mon épouse arrive. Ils arrêtèrent rincés.
Lana alla se doucher directement et une conversation commença avec Arturo comme si de rien n’était.
Il eut la « courtoisie » de me remercier pour Lana. Apparemment, la possibilité d’engrosser la femme d’un autre n’avait pas l’air de beaucoup le gêner ! Puis il pensa à me demander quand nous allions quitter Trinidad. Heureusement, c’était le lendemain en matinée.
À part cela, je fis un peu sa connaissance, il était effectivement professeur de danse dans un institut municipal. Il avait quarante-neuf ans, mais en faisait beaucoup moins. J’obtins sans difficulté son numéro de téléphone et celui de son institut sans donner le mien.
Lana sortie, il se doucha à son tour et, pendant ce temps, Lana et moi étions incapables d’échanger le moindre mot. Arturo partit sobrement, non sans avoir échangé un long baiser avec Lana.
Elle se coucha et, probablement épuisée, s’endormit immédiatement. Quant à moi, hyper stressé, j’en profitai pour vérifier sa prise de contraceptif. Je mis bien du temps pour trouver sa plaquette. Angoissé, après moult vérifications, ouf ! tout semblait normal. À mon tour, je pus me coucher.
Le lendemain et les jours qui suivirent, nous fîmes comme si rien ne s’était passé.
Cela est arrivé il y a maintenant un peu plus de six mois, mais j’y pense continuellement… elle aussi, sûrement.
Après deux mois d’abstinence, nous avons repris nos relations en douceur, moi essayant de lui faire plaisir en me plaçant sous elle, elle sur le dos. En la pénétrant légèrement, je la caresse jusqu’à son orgasme et parfois nous arrivons même à nous synchroniser. Nous utilisons cette position, car je n’arrive plus à la faire jouir autrement.
Pendant nos petits jeux, je l’oblige à me répondre pendant que je la caresse. Si elle ne répond pas, je m’arrête et donc elle finit par répondre. Et « Il » est revenu dans nos échanges intimes, on l’appelle comme ça maintenant, Arturo : « Il ». Évidemment, ça lui plaît. Une nuit, je lui ai avoué que j’avais noté son numéro sur un papier, mais que j’avais du mal à le retrouver. Ça l’a rendue folle.
Maintenant, dans ses phantasmes, elle me demande ce numéro, sinon… elle parle de prendre un amant qui lui ressemblerait. En vérité, je la tiens vraiment avec ce numéro. Il y a quelques nuits, je lui ai dit que j’aimerais la punir à ma façon, à savoir qu’un soir, elle devra s’offrir à un homme que je choisirai pour qu’il n’y ait pas qu’Arturo. Après, seulement, elle aura le téléphone d’Arturo. Cette nuit-là, nous avons rapidement joui ensemble comme jamais.
En vérité, je pense de plus en plus que nous allons retourner à Cuba cet été. Elle ne le sait pas encore.