n° 21663 | Fiche technique | 11886 caractères | 11886 2000 Temps de lecture estimé : 9 mn |
02/04/23 |
Résumé: L’amour en camping est une belle opportunité de tester de nouveaux jeux. | ||||
Critères: fhh vacances exhib jeu tutu -couplea3 | ||||
Auteur : Herve Dalegio Envoi mini-message |
Nous avions déjà quarante ans. Un âge où la pulsion et la passion étaient encore là et les inhibitions envolées. Toujours occupés, toujours en mouvement, nous voulions cette année nous reposer un peu du rythme de nos vies et avions choisi de partir durant une semaine pour des vacances en camping-car dans les Landes.
Le choix du camping ne fut pas un problème, car nous avions choisi la pleine forêt, isolée de tout. La chaleur du mois de juillet nous offrait l’opportunité de nous baigner chaque jour. De vraies vacances avec comme seul programme, la mer, le soleil, et nous aimer.
Des balades en ville, les journées à la plage, des soirées en forêt et les discussions avec les autres vacanciers remplissaient nos journées et nuits. Il faut dire que notre coin de forêt n’était pas si tranquille et que d’autres campeurs ou camping-car s’étaient installés dans les proches alentours.
Notre principale activité restait la plage où nous passions les matinées et après-midi en alternant baignade et lecture. Personnellement, j’agrémentais ces activités en prenant le temps de regarder les autres femmes sur cette plage, moitié textile et moitié naturiste, où tu aimais que l’on aille.
La totalité des femmes était seins à l’air pour la plus grande joie de tous les mâles qui fréquentaient cette plage. Invariablement, la matinée finie, nous retournions manger au camping-car pour y apprécier quelques grillades et légumes. Si le camping-car était signe de liberté, c’était par contre un vrai four sous le soleil du mois de juillet, et cela malgré l’ombre des arbres.
Le repas fini, nous allions faire notre petite sieste habituelle ou plutôt notre petite baise habituelle. Une fois dans le camping-car, tu prenais le temps de laisser tomber doucement le haut de ton maillot puis tu laissais glisser sensuellement le bas sur tes jambes bronzées. Je regardais tes seins qui avaient pris une belle couleur caramel. Tes jambes bronzées étaient splendides et ton abricot qui ne profitait pas souvent de la plage nudiste ne demandait qu’à être croqué. Comme à chaque vacance, tu pratiquais l’épilation intégrale. Ton sexe discret derrière sa toison devenait, le temps des vacances, indiscret et laissait apparaître ses grandes lèvres et ton clitoris. Cela montrait clairement la gourmandise qui sommeillait en nous et l’appétit sexuel que tu avais cet été.
Tu t’approchas de moi, tu m’embrassas goulûment, puis doucement tu baissas mon caleçon. J’adorais ce moment où tu allais saisir ma verge et en avaler l’extrémité. Je bandais dur, littéralement aspiré par ta bouche qui travaillait à rendre mon sexe aussi dur que possible. Une fois que tu atteignis cet objectif, je t’allongeai sur le lit et pris le temps qu’il fallait pour faire pointer tes seins avec mes baisers. J’adorais voir tes tétons se pointer fièrement. De gourmandise en gourmandise, je me dirigeai vers le dessert pour lécher, aspirer et caresser de ma langue ton clitoris. J’adorai entendre tes râles, te voir soulever tes fesses puis plaquer tes mains sur ma tête lorsque ton orgasme arrivait. On y était, tu jouissais, ton abricot coulait, tes jambes tremblaient et mes derniers coups de langue te faisaient soulever violemment ta tête.
De la classique missionnaire à la levrette sauvage, nous baisions et tu jouissais sans aucune discrétion. La levrette ou, prise par derrière, était ta position préférée, je tenais vigoureusement tes hanches et te donnais de vrais coups de boutoir. Toi de nature plutôt discrète, tu te laissais aller à crier sans aucun gène. Tes cris, tes râles s’échappaient par les fenêtres ouvertes de notre camping-car et profitaient à toute la forêt aux alentours. Après un ultime cri, tu jouissais et te laissais tomber sur le lit. C’était le moment du repos du guerrier ou seul le silence comptait, le moment où l’homme s’endormait et la femme ressentait la chaleur rayonnante entre leurs cuisses, encore toute prête à jouir.
Tu semblais t’être endormie, allongée sur le ventre. Je plongeais dans un demi-sommeil, les yeux à moitié ouverts, regardant tes fesses. Je ne sais pas combien de minutes s’étaient écoulées, mais peut-être deux ou trois minutes après quelques bruits, une main apparut sur le rebord de la fenêtre du camping-car. Cette main certainement masculine descendit en silence vers ta jambe. Elle caressa ta cuisse jusqu’à remonter à tes fesses. Elle se galba à la forme de tes fesses. Je vis tes fesses se soulever doucement à chaque caresse. Tes fesses accompagnaient ou plutôt s’offraient à cette main. La main devint plus envahissante, moins timide. L’index prenait plaisir à glisser entre tes fesses offertes et titillait ton petit trou. Tu ne disais rien, dormais-tu ? Savais-tu à qui était cette main ?
Doucement, mais sans aucun doute, tu étais en train d’écarter tes jambes en soulevant tes fesses le plus haut possible. Je pouvais voir ton sexe entrouvert offert à cette main et à cet index explorateur. En quelques secondes, l’index prit possession de ton clitoris et de ton sexe. Il te caressait et branlait ton clitoris de plus en plus fort. Tu respirais plus lourdement. Ce doigt plongeait dans ton sexe et en ressortait aussi vite que trempé puis retournait branler ton clitoris. Soudainement, tes fesses se mirent à trembler, à se soulever, ton sexe coula et se transforma en grotte de plaisir. Ton clitoris était tendu puis, lentement, tes jambes se tendirent, tu soufflais fort et jouissais de ce doigt qui accaparait ton clitoris. L’orgasme passé, tes fesses redescendirent, mais tu écartas tes jambes encore un peu plus. L’index aidé du majeur avait pris possession de ton sexe pour des aller-retour que tu semblais apprécier. Ces doigts trempés, dégoulinants, rentraient et sortaient en appuyant fortement sur ton point G. Puis ils firent leur dernier aller-retour et sortirent tout trempés de ta chatte ouverte et coulante de mouillure. La main avait disparu, tu semblais t’être endormie, pour de vrai, cette fois-ci.
J’étais sur cette plage à ta droite, je regardais tes seins qui prenaient le soleil. L’après-midi nous avions pris l’habitude d’aller sur la plage naturiste. Tu étais nue sur ta serviette, je repensais à ce qui s’était passé lors de notre sieste. Tu avais joui avec moi puis avec la main d’un parfait inconnu. L’avais-tu voulu ? Avais-tu déjà fait cela avant ? Je ne savais que penser. Je me prenais à imaginer que, les jours précédents où je m’endormais en général très rapidement après notre partie de jambes en l’air, cela devait avoir déjà eu lieu.
Je regardais les hommes autour de nous pour essayer de deviner à qui appartenait cette main, ce doigt à qui tu avais offert cet orgasme. Mais impossible, il m’était impossible de deviner. Le pire, ou peut-être le meilleur était que lorsque tu t’offrais à ce doigt et que tu jouissais, moi je bandais dur comme un âne.
Le soir, ce fut une partie de baise extrême où, les yeux fermés, je voyais ce doigt et cette main te faire jouir. La nuit, je recomptais le nombre d’orgasmes, le nombre de fois lors desquelles tu avais joui cette semaine. Certainement deux à trois fois par jour, pas moins, mais combien d’orgasmes avec ce doigt, cette main, cet inconnu.
Le retour de cette matinée de plage au camping-car me rendait fébrile. Le repas englouti, je prenais le café dehors en te regardant lire. Tes jambes, ta jupe courte et ce débardeur me donnaient envie de te croquer. Tu posas ton livre et rentras dans le camping-car pour donner le signal à notre activité du début d’après-midi. Le programme n’était pas établi, mais la séance de déshabillage était impérative. Il était surprenant de voir comment le déroulement de la sieste de la veille avait pimenté le début de cet après-midi.
Ton corps de plus en plus bronzé devenait un vrai appel au sexe. Je te voyais pleine de plaisir et prête à en recevoir quotidiennement. Lentement, je m’approchai de tes lèvres pour un doux et langoureux baiser. Chacun de tes seins avait subi les assauts de ma langue et pointait maintenant comme deux pics de plaisir. Je baisai ton ventre, tes cuisses et ton pubis. La chaleur rendait ta peau suave et le goût salé de la mer la rendait appétissante. Te baiser était un délice sans fin. Tu pris mon sexe dans ta bouche et me suças divinement durant de longues minutes. Je finis par me retirer de peur de ne pas pouvoir me retenir d’éjaculer.
Tout doucement en glissant encore quelques caresses sur ton corps, je t’allongeai sur le lit. Tu étais nue, quel homme pourrait résister en te voyant là ? Il y a des moments dans la vie où les choses s’enchaînent à merveille. À peine tes yeux s’étaient fermés que les mains de notre partenaire étaient apparues. Sans rien te dire, je tournai tes jambes et tout le corps vers la fenêtre ouverte où patientaient ces mains. C’était comme leur offrir un accès direct à tes pieds, tes jambes, et l’ensemble de ton corps.
Je caressai ton cou et la rondeur de tes seins alors que notre partenaire avait déjà commencé à caresser tes pieds. Le contact de ses mains t’avait fait ouvrir les yeux. Tu me fixas du regard puis refermas à nouveau tes yeux doucement. Je compris que tu assumais et désirais t’offrir à cette nouvelle aventure. Mes mains caressèrent tes seins alors que les siennes parcoururent chaque millimètre carré de tes pieds. Quelques minutes avaient suffi à te mettre dans un sacré état. Tes seins pointaient et, depuis peu, tu écartais tes cuisses tout en remontant tes jambes. Tu nous invitais à prendre l’initiative et la possession de ton corps.
Mes mains glissèrent insensiblement vers ton pubis tout en caressant la douce rondeur de ton ventre. Les siennes glissaient sur tes cuisses bronzées. Tu étais entrée dans un monde de douceur. Je scrutai ton sexe et remarquai que tes petites lèvres avaient commencé à se gonfler et à se colorer. Mes doigts exhibèrent ton clitoris, les siens caressèrent tes lèvres tout en les écartant. Tu coulais de plaisir. Nos mains parcoururent ton sexe. Quatre mains s’emparèrent de lui. Sans être vulgaire, tu offrais ta chatte à quatre mains d’hommes qui allaient se l’approprier. Depuis quelques instants, il avait en charge ton clitoris. Une de ses mains tenait tes lèvres ouvertes et l’exhibait. L’autre main, avec son index, le masturbait de plus en vite. J’avais également pris possession de ton sexe, mon index et mon majeur allaient et venaient dans ton sexe qui coulait abondamment. Tu mouillais et ça coulait entre tes fesses. Mes doigts étaient trempés et sortaient de ton sexe pour offrir à ceux de notre partenaire un peu de ta mouillure afin qu’il continue à te masturber. Tu soufflais bruyamment et écartais tes jambes pour t’offrir sans limite. Ton ventre se contracta soudainement, nos mains te menaient tout droit à l’orgasme. Soudainement, tu te mis à crier, tu jouissais devant moi, tu jouissais avec nous.
Je pris place entre tes cuisses et glissai littéralement mon sexe en toi. Je te prenais et tu te laissais prendre. Notre partenaire prit aussi possession de ton corps et caressa l’intérieur de tes cuisses. Tu pris un plaisir fou sous le coup de ses caresses et de mes pénétrations. Tu jouis. Soudainement, il prit la décision de guider son index vers ton sexe. Il l’inséra à la faveur d’une de mes pénétrations. Tu ouvris tes yeux comme hypnotisé par le plaisir de sentir ses doigts et mon sexe te pénétrer en même temps. Je sentais ses doigts dans ton sexe qui accompagnait le mien. Ton sexe s’écartait et s’ouvrait pour nous laisser te pénétrer tous les deux à notre manière. Puis tu jouis durant de longues secondes. Je vis sortir ses doigts tous mouillés de ton plaisir.
Il fit disparaître ses mains rapidement, je contemplai ton sexe qui, ouvert, finissait de couler de plaisir. Un léger bruit de broussaille nous confirma le départ de notre partenaire. Tu t’endormis et j’en fis de même en restant surpris du plaisir que tu m’avais donné et du lâcher-prise dont tu avais fait preuve.