n° 21667 | Fiche technique | 13799 caractères | 13799 2387 Temps de lecture estimé : 10 mn |
03/04/23 |
Résumé: Ma femme, son amant mystérieux et moi. | ||||
Critères: fh voiture hsoumis fdomine vengeance exhib pénétratio portrait -extraconj | ||||
Auteur : Xuodid Envoi mini-message |
Ma femme sort ce soir. Elle est superbe. Elle a mis sa petite robe noire, des bas avec porte-jarretelles, son « eau de Guerlain », un collier de perles ras du cou, un couvre-épaule angora (clin d’œil pour moi) et a glissé un petit plug anal dans son sac, ça va être chaud ce soir. Un petit baiser sur la bouche, elle me dit :
Et elle rejoint monsieur X qui l’attend…
Je l’appelle monsieur X, car je ne connais rien de lui, malgré les années, pas même son prénom. Juste un petit signe de la main de loin quand il vient la chercher. X également, car ce qu’ils font ensemble ce n’est pas de la série B. (Quoique !)
Ma femme est plus que charmante. Si comme Brel elle avait un cousin Gaspard, ce dernier dirait qu’elle est trop bien pour moi. Moi, contrairement à elle, personne ne se retourne à mon passage. Rien de grave, mais rien d’exceptionnel non plus en ma personne. Je sais que je la perdrai un jour. Je l’ai connue accidentellement un été. J’avais loué un vélo, elle m’avait grillé la priorité. Je m’étais retrouvé sur le capot de sa voiture. J’étais à deux doigts de l’agonir de mots réprouvés du Larousse, mais elle était sortie si rapidement me demandant si j’étais blessé, si j’avais mal quelque part, que c’était sa faute, qu’elle s’excusait, etc. avec un air si sincère sur son beau visage affolé que je ne sus rien dire. Elle m’aida à descendre du capot. Je n’avais que de légères contusions. On regarda le vélo dont une roue tournait encore en signe d’agonie. Je lui dis tel Bourvil à De Funes : « forcément, il va marcher beaucoup moins bien ». Elle avait souri. Un sourire merveilleux qui illuminait tout son visage et ses beaux yeux. Je lui rendis son sourire et on chargea le vélo dans le coffre de la voiture, et direction le loueur. C’était il y a quinze ans. J’aime chez elle son côté chatte (felis catus). Sa souple élégance, son indépendance, sa manière de profiter des bons moments et de fuir les mauvais et surtout son côté câlin appelant les caresses. J’aime qu’elle soit heureuse et je ne suis pas jaloux de son bonheur même si c’est avec un autre. Je confesse même que l’imaginer avec un autre m’excite. J’ai juste peur qu’elle le préfère à moi. Je lui ai dit cela un jour, et aussi que je n’aimais pas les cachotteries. Elle m’a entendu. Cela fait quelques années que Monsieur X est entré dans nos vies, enfin dans la sienne… Nous sommes différents lui et moi. Lui est plus athlétique et on sent qu’il a réussi. Il aime les dessous chics, les tailleurs serrés, le cuir. Moi je suis un dilettante. Avec un associé, on retape des maisons ou des appartements que l’on revend en essayant de ne pas trop se faire mal au travail. Concernant ma femme, j’aime qu’elle porte de douces laines direct sur sa peau satinée, associées à un parfum léger. L’angora, c’est une laine-caresse. C’est incroyablement léger. Aussi, lorsque vous l’enfilez, c’est une grande sensation de douceur. Essayez, vous verrez. Bon, sur un homme c’est esthétiquement ridicule, mais vous, mesdames, vous devriez essayer au moins une fois, c’est voluptueux. Ma femme s’y est convertie. Pour revenir au sujet de nos relations, je crois qu’elle nous aime tous les deux en raison sans doute de nos différences. J’aurais aimé toutefois qu’elle prenne plutôt une amante, mais même si elle se dit ouverte au principe cela ne s’est pas fait. Il y a bien eu ce baiser intense et prolongé avec une collègue, mais cette dernière n’a pas assumé plus loin, cela la perturbait trop. En Amour (dans la sexualité, cela intervient aussi parfois), il n’est pas toujours facile de trouver la ou le bon partenaire.
Elle est rentrée le lendemain de bonne heure, m’a tendrement embrassé, et nous sommes partis travailler. Le soir venu, elle me raconte tout cela en me masturbant doucement :
Il l’a amenée à un charmant petit resto italien où avant le dessert elle alla aux toilettes. Sortant de son sac le plug et une dosette de lubrifiant, elle souleva sa robe et puisqu’elle n’avait qu’un porte-jarretelles, elle glissa facilement, mais avec précaution, le plug qui petit à petit fit son passage dans son portillon de derrière. Elle ne put retenir un léger gémissement et resta un moment à s’assurer du bon positionnement. Passant un doigt sur son clitoris, elle fut parcourue d’un frisson d’excitation avant de rejoindre la table où l’attendait monsieur X. Je connais ma chérie, elle devait être touchante avec les joues un peu rouges, un sourire entendu, à la fois stimulée et gênée. À la sortie dans l’obscurité du parking, elle souleva sa robe jusqu’à la taille, dévoilant un objet brillant judicieusement implanté en son fessier que caressa Monsieur X.
Dans la voiture, Monsieur X dégrafa son pantalon exposant son quinze centimètres au garde-à-vous et démarra l’automobile. Le long du trajet, elle le masturba lentement en se caressant elle aussi, sa robe étant toujours relevée. Le faible éclairage urbain protégeait leur intimité jusqu’à un feu rouge en double file avec un camion où elle vit le chauffeur se pencher vers leur pare-brise. Joueuse, elle alluma le plafonnier pour qu’il profite d’un spectacle qu’il apprécia d’un léger coup de klaxon. Le feu passa au vert et le camion disparut dans le rétroviseur. Arrivé à destination, monsieur X la serra contre elle et l’embrassa longuement en lui caressant la joue d’une main et de l’autre main, il appuya légèrement sur le plug. Ils entrèrent, se dirigèrent vers la salle de bain. Il se baissa, fit tourner le plug puis le retira doucement du cul ondulant de ma chérie. Il l’embrassa sur la fesse et ils prirent une douche soignée. Enfin, ils rejoignirent la chambre où dans un beau remue-ménage ils s’enlacèrent, se caressèrent, se léchèrent intimement jusqu’à l’anus où, après leurs langues, s’immisça un doigt explorateur, puis vint le plug pour ma femme qui le conserva pendant la sauvage levrette qui s’ensuivit où elle grimpa au septième ciel sans prendre de fusée. Il éjacula abondamment sur ses reins et s’allongea sur elle, la couvrant de baisers jusqu’à ce que, lui pesant trop, il s’étendit à côté d’elle. Elle posa sa tête sur son épaule. Ils bavardèrent ensuite un bon moment en se touchant, se laissant gagner peu à peu par un sommeil apaisant.
Certains soirs, elle raconte en me laissant me finir à la main. D’autres soirs, après son récit, elle me suce, à moins qu’à nouveau, excitée, elle ne me chevauche.
Comme tous les ans, nous passons quelques jours à Paris. La Ville lumière le vaut bien. Après un spectacle ou un restaurant, nous allons à un parking bien connu des voyeurs et des couples exhibitionnistes. Depuis des années, nous prenons la précaution de louer la voiture et de mettre des masques empêchant notre identification, il y a trop de portables en mode vidéo. Ma femme aime bien s’exhiber en ce lieu, moi un peu moins. Aussi, pour rétablir l’équilibre, elle met pour moi sa courte moulante et voluptueuse robe bleu nuit en angora très doux avec un boutonnage dans le dos. J’adore cette robe, douce comme une caresse, elle peut la mettre devant derrière et dans ce cas ouvrir les boutons pour libérer sa poitrine audacieuse. Arrivés sur place, nous reculons les sièges, elle ouvre les premiers boutons de la petite robe et sort ses beaux seins de satin dont les tétons pointent déjà. Je dégrafe mon pantalon, elle remonte le bas de sa robe. La vitre légèrement baissée, je commence à la peloter pendant qu’elle se doigte. Une petite dizaine de voyeurs se rassemblent. Parmi eux cette année, un petit groupe de quatre jeunes hommes avec deux filles. Ils ont l’air joyeux. Elle les interpelle :
Ils se rapprochent. Un en particulier, beau gosse de surcroît, s’approche très près et elle baisse complètement sa vitre, l’autorisant à toucher sa poitrine.
Il ne se fait pas prier. Une voix demande qu’elle le suce, ce qu’elle préfère ignorer. Un autre gars met une fille en appui sur l’aile de la voiture et commence à la pénétrer. L’autre fille se met en place pour pomper les deux autres. Ça s’attroupe, le beau gosse est à fond et sans prévenir éjacule par la fenêtre, en partie sur les seins de ma femme. C’est le moment de repartir, ça devient chaud. Nous nous arrêtons bien plus loin, mettons les sièges en couchette et entreprenons un 69 d’anthologie.
Ce soir-là, avec Monsieur X, ils prirent leur temps, discutant de choses et d’autres en dégustant un cognac. Puis ils s’enlacèrent, s’enflammèrent tant qu’il finit par la prendre en levrette appuyée sur la table basse. Dans ce genre de plan je connais ma belle, elle est très excitée, se caresse le clitoris et invite son partenaire à un assaut de plus en plus fort en le motivant d’un vocabulaire de plus en plus appuyé. Jusqu’au moment où Monsieur X s’arrêta net, le regard fixé vers l’entrée de la pièce. Ma femme se retourna, eut un petit cri de surprise, car dans l’encadrement de la porte se tenait Madame X (car il s’avère qu’il y a une Madame X), bras croisés, mâchoires serrées avec un regard foudroyant. Sans un mot, cette dernière fit demi-tour et s’en alla en claquant la porte. L’heure n’était plus à la bagatelle. Madame X avait eu quelques doutes et les avait soigneusement pistés. Elle avait rongé son frein pour intervenir, ménageant son effet, précisément juste avant qu’ils ne jouissent. Monsieur X ne savait plus que dire, montrant ainsi qu’il tenait encore à sa femme, et celle-ci avait très mal pris de se savoir trompée. Pas question désormais de le revoir de quelque temps.
Ma femme en est un peu triste. Elle n’avait jamais demandé à Monsieur X s’il était marié.
La vie reprend son cours. Avec mon associé, nous vendons un appartement que nous venons de finir. Nous avons quelques visites dont une belle femme, très class qui demande beaucoup de renseignements, tout particulièrement à moi en ignorant quasiment mon associé. Je ne m’emballe pas, le coup du charme est un classique pour obtenir une vente au meilleur prix. Et du charme, elle en a. Elle a une maturité épanouie. Une poitrine opulente bien en place, un fessier admirable, des cheveux courts dévoilant un cou à la peau, sans doute possible, douce et sensible. Sans parler de son sourire et son regard ravageur. Au bout de dix jours de visites quasi quotidiennes, de coups de téléphone à tergiverser, elle finit par insister pour que je vienne chez elle pour me montrer ses plans. J’en parle à ma femme :
Je sens en elle une pointe de tristesse. Monsieur X lui manque. J’accepte donc le rendez-vous. À dix-huit heures, a précisé mon hôtesse. J’arrive donc à dix-huit heures devant un portail automatique à l’adresse indiquée. Un coup de téléphone et elle m’ouvre. Je me gare devant une maison du 19e avec petit parc et dépendances. Ma cliente m’accueille sur le perron. Tenue décontractée, jean et confortable pull en mohair mélangé avec une large encolure glissant sur une épaule nue, ou bien sur l’autre. D’un geste de pudeur, elle le remet en place à chaque mouvement, mais laisse toutefois le temps de constater qu’elle ne porte rien d’autre dessous. Nous allons dans le salon à l’arrière de la demeure. Elle m’installe sur le sofa, me propose un cognac et s’assied dans un fauteuil. La conversation coule gentiment sur la décoration du lieu, puis elle se lève, s’assoit sans plus de façons à côté de moi, me prend la main et la porte sur son cœur, enfin, en l’occurrence sur ses seins. Alors nos lèvres se rencontrent, nos mains s’égarent. Après de délicieux préliminaires, elle se déshabille et j’en fais de même. Elle s’assoit sur moi à califourchon et s’empale sur mon désir ardent, sa poitrine rebondissant sous mes yeux à portée de succions. Passent ainsi de savoureuses minutes lorsque, inquiet, j’entends une voiture arriver :
Elle se dégage rapidement pour s’accroupir maintenant sur l’épais tapis devant la table basse et m’invite rapidement à la prendre ainsi par-derrière en ondulant ses hanches. Jusqu’à présent muette dans nos ébats, la voilà gémissant de plus en plus fort tout en m’encourageant avec les mêmes mots qu’aurait employés ma femme dans cette circonstance. Décidément, me dis-je, sans bouder la sensation sans pareille procurée par son vagin en pâmoison et la vue sur sa chute de reins. Elle est à fond, sa chair encaisse en vibrant mes coups de boutoir qu’elle veut encore plus brutaux, elle va jouir. Je ne sais pourquoi à ce moment précis une étrange sensation me saisit. Je me retourne vers l’entrée du salon et là, je vois Monsieur X qui se tient là avec un air sidéré. Elle aussi s’est retournée.
J’obéis sans plus penser à grand-chose. Le sang qui gorge mon pénis n’irrigue plus tellement mon cerveau, mais pas au point de ne pas sentir un changement en elle. En effet, je sens dans l’amplification de son déhanché et de ses cris que, comme dans la plupart des pornos, désormais elle simule et exagère. Ne sachant pas trop comment je dois réagir et au bord de l’éjaculation, je continue toutefois à la pilonner et je me lâche en elle. Monsieur X est toujours là. Aussitôt que j’ai fini, les cuisses ruisselantes, elle se relève et l’air en colère me dit :
Puis elle va chercher sur une étagère en désordre une mini caméra qui y était dissimulée, en sort la carte SD qu’elle me tend, et à présent, avec quelques trémolos dans la voix et les yeux qui se brouillent, elle me lance :
Et elle sort précipitamment de la pièce, retenant ses larmes en claquant la porte. On l’entend monter à l’étage où une autre porte claque.