n° 21686 | Fiche technique | 44634 caractères | 44634 7136 Temps de lecture estimé : 29 mn |
11/04/23 |
Résumé: Que pouvait bien être « Le jouet extraordinaire » de Clo-Clo. Sans doute rien de très… extraordinaire, vu l’époque. Mais avec les progrès de la technique… | ||||
Critères: #fantastique #occasion #couplea3 fh ff ffh asie nympho exhib noculotte fmast caresses intermast cunnilingu 69 pénétratio jeu | ||||
Auteur : Claude Pessac Envoi mini-message |
Comme beaucoup, je pense, je me suis souvent demandé ce que pouvait bien être « Le jouet extraordinaire » de Clo-Clo. Sans doute rien de très… extraordinaire, vu l’époque. Les jouets destinés à Kazumi pour ses dix-huit ans sont plutôt… originaux, mais sont-ils vraiment des cadeaux ? Par contre, le joujou que Sakura recevra pour ses vingt-cinq ans sera carrément stupéfiant !
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Le triplex en attique de la résidence Fujika constitue un appartement de très haut standing dont les pièces principales donnent sur le sentier pédestre Mukagawa : une situation exceptionnelle. Alors que les autres étudiants de l’Institut de Technologie de Kitami vivent dans les studios placards du campus, Kazumi profite du confort luxueux du logis d’Akiko, son patron. Bien sûr, il n’y a pas que des avantages à cette situation : chaque matin, elle doit se lever tôt pour effectuer dans les temps le trajet vers la Fac. Selon l’heure de son premier cours, elle s’y rend au volant de la BMW Série 4 Coupé, offerte par Akiko ou, pour mieux se faufiler dans les embouteillages, au guidon de sa Kawa Versi 1000 SE, cadeau de Sakura, l’associée d’Akiko.
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Akiko Minami est, avec sa compagne Sakura, à la tête de la HRD KK (Humanoïd Robotics Dev.), une startup florissante spécialisée dans les humanoïdes robotisés. À vingt-trois ans l’un et l’autre, le duo est déjà largement millionnaire depuis la vente de leur première entreprise, montée juste après leurs dix-huit ans. Après avoir réussi dans la robotique industrielle, le couple s’était orienté dans le domaine des robots au service de la personne.
Les dirigeants de la HRD ont fait la connaissance de Kazumi Koizumi un peu moins de deux ans plus tôt à l’occasion d’un concours qu’ils avaient lancé sur le Net. L’énoncé du problème soumis était si complexe que les associés annonçaient d’emblée qu’ils n’espéraient pas obtenir sa résolution totale, mais au moins des pistes d’exploration nouvelles. Dans ce concours, le plus important pour eux était avant tout de repérer des talents nouveaux, des petits génies intéressants à intégrer à leur équipe. La durée de la consultation avait été fixée à quatre mois.
À peine dix jours plus tard, ils recevaient une surprenante réponse. Non contente de résoudre le problème posé qui pour eux constituait pourtant un écueil insurmontable, l’auteure de la réponse avait également démonté le processus qui avait abouti à l’impasse rencontrée : elle avait défini une approche inédite et pas moins de deux autres solutions, industriellement rentables et ouvrant surtout des perspectives jusque-là insoupçonnées. Aussitôt invitée au siège de la société, Kazumi avait sidéré ces interlocuteurs par ses facultés hors norme. L’autodidacte d’un peu plus de seize ans, outre ses connaissances stupéfiantes dans de nombreux domaines, avait visiblement un petit grain de folie, des mécanismes logiques… irraisonnables qui, ils en étaient persuadés, la conduiraient à des découvertes révolutionnaires. Ils tenaient leur génie !
Un drôle de petit génie, cela dit, que celui qu’ils avaient découvert ce jour-là ! Une elfe bondissante, sorte de Pippi Långstrump aux yeux bridés, aussi poil de carotte que l’originale, même si on pouvait douter (à juste titre) du naturel de cette couleur, compte tenu du noir profond de ses sourcils. La donzelle, cherchant indubitablement à ressembler au modèle d’origine, avait revêtu un chemisier vert, une jupe jaune froufroutante et des grandes chaussettes remontant jusqu’à mi-cuisses : une chaussette vert pomme et la seconde jaune canari ! Une tenue qui, en soi, aurait déjà été fort singulière pour un entretien d’embauche, mais c’était sans compter sur la malice de la demoiselle : son chemisier vert était largement assez diaphane pour laisser entrapparaître ses tétons rosés et sa jupe était plus que scandaleusement courte. Sans qu’on l’y ait invitée, dès son entrée dans le bureau directorial, Kazumi s’était, d’un bond, assise en tailleur dans un fauteuil : un miracle que sa jupe soit en fin de compte suffisamment longue pour masquer son entrejambe ! Un miracle et une rouerie : pendant tout l’entretien, ses interlocuteurs n’avaient pu s’empêcher de zieuter entre ses cuisses à chaque fois qu’elle avait fait tournoyer son fauteuil ! Ce qui arriva bien souvent : et hop, tournez manège ! Détourner, fixer ou parasiter l’attention de ses interlocuteurs, quel but était le sien alors ? Toujours est-il que ses patrons ne l’avaient pas quittée des yeux une seconde !
La discussion avait été un peu surréaliste : enflammée et véhémente pour expliquer ses solutions au concours, visiblement agacée lorsque ses interlocuteurs l’obligeaient à reprendre un de ses raisonnements, franchement énervée, voire manifestement anéantie s’ils ne tiltaient pas dans la seconde à ses explications. Kazumi avait aussi été capable, à plusieurs reprises, de s’arrêter en plein milieu d’un développement compliqué pour passer du coq-à-l’âne, bondir vers une commode pour se saisir d’un gadget ou tout à coup, tancer ses patrons au sujet des « antiques » claviers de sécurité qu’elle avait repérés dans les couloirs de l’entreprise pour contrôler les accès aux différentes parties des locaux :
Kazumi est cash, sans fard. En fait, la jeune fille ignore totalement les conventions et interactions sociales et se montre souvent exubérante et excessive. Son petit côté Asperger sans doute. Elle tutoie tout le monde, sans distinction d’âge ou de rang, préfère le namasté indien ou le gong shou chinois aux « trop longues » salutations rituelles japonaises ! La jeune fille livre ses jugements sans détour, sans se soucier de peiner, d’irriter ou de choquer. Et pour ce qui est de choquer, la demoiselle est championne ! Ainsi, à la fin de son premier entretien, Kazumi avait sidéré la blonde et sculpturale Sakura. Très fashion, sa nouvelle patronne portait ce jour-là un tailleur gris, strict certes, longue jupe crayon et veste croisée à bouton unique qu’elle portait à même la peau, sans chemisier ni soutien-gorge. L’encolure de la veste révélait donc le profond sillon de ses seins libres dont les rondeurs étaient largement visibles. À l’instant de prendre congé, Katsumi avait détaillé sa patronne de la tête aux pieds :
Interloquée, et considérant la tenue de l’effrontée, Sakura avait rétorqué :
Ni une ni deux, la gamine avait, le temps d’un éclair, relevé ses froufrous, dévoilant un charmant minou ouvert aux courants d’air !
Embauchée à prix d’or, soit un salaire somme toute raisonnable au vu de ce que ses réponses au concours avaient déjà apporté à la société, Kazumi s’était jetée dans le travail, passant bien souvent, après ses journées à la fac, ses nuits et week-ends au bureau.
La jeune fille avait été installée à demeure dans un petit appartement de l’entreprise : depuis Kitami-Shi, siège de HRD KK sur l’île d’Hokkaidō, il était en effet impensable que la demoiselle puisse rentrer, si ce n’est qu’une fois par semaine, chez sa mère à Kyoto à 1 200 kilomètres de là. Même en avion, le transfert total dure plus de six heures – aucun vol direct ! Passionnée par ses études et surtout son travail, Kazumi n’éprouvait nullement en fait le besoin réel de rentrer chez elle. Cependant, une fois par mois, Sakura la mettait, manu militari, dans un avion pour Kyoto où elle avait obligation de rester trois jours minimum !
Chez HRD, Kazumi avait d’abord travaillé au perfectionnement de robots assistants personnels : surveillance active et aide aux personnes âgées isolées, robots de ménage humanoïdes pouvant répondre aux questions et demandes les plus variées, capables de jouer aux échecs ou à la Play ou de gérer la maison connectée… Si certains rappelaient encore les droïdes de Star Wars, d’autres, plus nombreux désormais, avaient des visages assez réalistes, des physionomies humaines assez bluffantes, seulement trahies par leurs gestes et déplacements trop saccadés. Kazumi avait cherché précisément à fluidifier leurs mouvements.
Kazumi a trois passions dans la vie. Occupant la majeure partie de son temps, l’informatique et tout ce qui tourne autour (robotique, intelligence artificielle, automatisation, domotique…). Et comme dérivatifs, les sports mécaniques (vite, plus vite, toujours plus vite est son leitmotiv). Et enfin, le sexe. Enfin et surtout ! Kazumi avoue sans rougir être une droguée du sexe ! Comme dans tout ce qu’elle fait, elle est furieusement excessive. Bi, ouverte à tous et à tout (ou presque), elle expérimente tous les champs du possible. Dernièrement, elle a passé d’agréables et très instructifs moments avec une petite troupe d’artistes trans, shemales et ladyboys indonésiens : Kazumi aime varier les plaisirs…
Si elle vadrouille à droite à gauche, Kazumi n’en est pas moins frustrée : Akiko et Sakura n’ont jamais cédé à ses invites pourtant largement explicites, voire carrément énoncées sans détour. Elle est terriblement attirée par le couple. Par Akiko, japonais pur souche, cheveux noir de jais et teint asiate, l’homme est le parfait représentant des nouvelles générations nipponnes qui sont largement plus longilignes que leurs ancêtres : Akiko culmine à 1,75 m. Le charisme, la gentillesse, l’humour et la décontraction de son patron la charment. Sa compagne, elle, l’intrigue terriblement : Sakura diffère totalement de ses compatriotes. Née d’une mère japonaise et d’un père finlandais, elle n’a hérité que des traits délicats de sa mère. De ses origines nordiques, elle a les yeux bleus des Vikings, la haute stature de son père (elle dépasse Akiko de cinq centimètres au moins) et l’arrogante poitrine de ses grand-mères et tantes paternelles. Plus surprenant encore chez cette mi-Nipponne : des cheveux frisottés naturellement blonds. Naturellement ? Voilà une bizarrerie que Kazumi brûlerait de vérifier en plongeant dans l’entrecuisse de sa patronne. Mais toutes ses tentatives, ses provocations indécentes n’ont jamais abouti : Sakura sourit de ces appels, hausse les épaules et se détourne toujours. Peu habituée à ce qu’on lui résiste, Kazumi enrage, s’en trouve presque blessée. Le couple garde une distance quasi insultante : jamais, au cours de deux années écoulées, ils ne l’ont invitée chez eux par exemple. Au restaurant, souvent, mais jamais chez eux. Pourtant, elle le sait, certains autres collaborateurs ont eu l’honneur de fouler les épaisses moquettes de leur triplex. Avant, elle en est presque totalement persuadée, de batifoler dessus. Akiko et Sakura ne sont assurément pas des anges !
Si c’est bien là la raison de cette insupportable distance, les choses pourraient bien changer rapidement…
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Cet après-midi, Kazumi est d’humeur morose. Elle fête aujourd’hui ses dix-huit ans, mais la fête prévue en son honneur a été annulée. Enfin, reportée à demain, quand les liaisons aériennes auront été rétablies, quand le typhon qui dévaste les deux tiers de l’île Honshu et bloque ses patrons à Osaka se sera éloigné. Pour chasser son ennui, Kazumi aurait aimé enfourcher sa moto, quitter la ville et foncer sur les routes secondaires. Se griser de vitesse et, chatoune nue ventousée à la selle sous sa jupette, s’enivrer des trépidations de sa machine lui aurait apporté grand réconfort ! Mais bien que l’œil du typhon soit actuellement centré à plus de huit cents kilomètres au sud d’Hokkaidō, les vents soufflent fort et il fait un temps à ne pas mettre un minou dehors !
Si la fête a été reportée, Kazumi a tout de même eu un premier cadeau d’anniversaire. Premier, car elle ne doute pas une seule seconde que d’autres suivront ! Ce matin, en passant à la conciergerie de son immeuble, un petit paquet l’attendait, contenant une carte RFID, accompagnée d’un mot de Sakura qui l’invitait à prendre sa journée pour visiter son nouveau chez-soi : une chambre rien que pour elle dans le triplex de ses patrons.
En débarquant dans le penthouse, la jeune fille, peu matérialiste, n’avait porté qu’un regard indifférent sur le luxe un peu clinquant des lieux. Par contre, tous les gadgets électroniques et notamment des prototypes plus ou moins aboutis de la société avaient attiré son intérêt. Un petit moment…
Seule dans le triplex, désœuvrée, elle a tout visité, repéré sa chambre (charmante, mais dotée d’un pauvre lit de 90 !), puis erré d’une pièce à l’autre, sans rien trouver à faire, rien qui puisse l’intéresser. Seul bémol à cette visite : une porte de l’appartement lui reste obstinément fermée, ce qui l’agace prodigieusement.
Un SMS de Sakura lui redonne un semblant de sourire : sa patronne lui propose un jeu de piste dont les énigmes successives l’amèneront à dénicher un autre de ses cadeaux d’anniversaire. Sakura a bien tenté de corser les énigmes, mais peine perdue, le petit génie arrive à bout de ses rébus en moins de temps qu’il ne faut pour le dire. Lorsqu’elle déniche finalement une carte RFID sous le plastron d’un mannequin samouraï, Kazumi sait immédiatement ce que ce sésame va ouvrir. Excitée, elle se demande ce qu’elle va découvrir derrière la porte verte.
N’importe qui d’autre qu’elle aurait sursauté en ouvrant la porte. Mais pas elle : qu’est-ce qui pourrait l’effrayer ? Devant elle pourtant, de dos, assis sur un canapé, un homme et une femme. Immobiles. Miss Percute-à-la-s’conde a déjà compris : des poupées humanoïdes !
En contournant le divan, Kazumi esquisse un léger sourire : la fille est son portrait craché. Y compris la coupe de ses cheveux noir de jais (Kazumi a depuis longtemps abandonné le roux flashy).
Réalisées en thermoplastique élastomère, ces poupées humanoïdes grandeur nature sont d’un réalisme stupéfiant : leur peau a l’exacte apparence et la finesse de la carnation humaine. Pas tombée de la dernière pluie, la jeune fille a compris immédiatement l’usage de ces mannequins. Leurs tenues d’ailleurs sont sans équivoque ! L’homme, de type européen, porte un marcel-maillot de corps à résille style camionneur année 50 et un pantalon en toile grège dont l’entrejambe est nettement marqué d’un relief sans ambiguïté. Si elle en avait la référence, Kazumi aurait inévitablement pensé aux héros du classique de Clouzot, « Le salaire de la peur ». La fille, Japonaise puisque son sosie, représenterait la parfaite et sage petite étudiante nipponne si son chemisier blanc diaphane ne révélait clairement ses petits seins coquins et si sa jupe plissée à carreau n’était aussi scandaleusement courte.
« Des poupées sexuelles, des Sex-Dolls », réalise Kazumi qui confirme son intuition en s’accroupissant face à la lycéenne : la madeleine feuilletée très réaliste visible entre les cuisses légèrement ouvertes ne laisse aucun doute sur la destination des mannequins.
Sans mode d’emploi, sans télécommande aux alentours, la jeune fille ne veut pas pousser trop loin l’exploration. Elle se doute que ces mannequins ne sont pas des robots à proprement parler. Ils possèdent sûrement quelques fonctions intéressantes, on peut certainement les mettre dans des positions des plus croquignolesques, mais elle subodore qu’ils ne peuvent ni se tenir debout sans soutien, ni évidemment bouger ou se mouvoir comme des humains. Kazumi a déjà vu ce genre de Sex-Dolls sur le net, des modèles « Femme », en TPE et silicone. Elle avait d’ailleurs failli s’en acheter une ! Ce n’est pas le prix qui l’avait arrêté, mais elle avait réalisé que ces mannequins, passifs, ne l’amuseraient pas très longtemps.
Là, elle serait tentée de découvrir par elle-même quelques-unes de leurs qualités, mais son cerveau carbure à plein régime. Sa première interrogation porte sur la signification de ce cadeau. Akiko et Sakura savent pertinemment que leur délicieuse employée très délurée n’a aucun besoin de gadgets de substitution pour satisfaire ses appétits ; que ces mannequins, si magnifiques qu’ils soient, ne pourraient l’amuser que quelques instants. Quelques instants à peine, pense-t-elle, amusée. Peut-être juste le temps de mettre le feu aux pétards : un amuse-bouche avant des ébats plus épicés à… trois ?
« Alors donc, le cadeau a une autre destination, pense-t-elle. Exactement celle que j’ai en tête. Pigé : me mettre au travail ! D’accord ! Banco ! Allez hop, au boulot, ma fille ! »
Avant toute chose, Kazumi rapatrie les poupées dans le salon. Elle les transporte une à une sur un siège à roulettes afin de les placer sur un des canapés du salon, dos à la baie vitrée principale. Elle profite de ces transports pour soupeser les mannequins, constate que son sosie doit peser presque le même poids qu’elle, à peine plus léger. Placées face à l’entrée du salon, les baby-dolls sont en position parfaite pour engager la party qu’elle envisage au retour de ses patrons.
Kazumi s’assied en tailleur sur l’épaisse moquette, face à la baie vitrée et ouvre son grand cahier noir. En fait de cahier, il s’agit plutôt d’un livre, style grand livre comptable : épaisse couverture cartonnée contrecollée d’un tissu noir indéchirable, pages blanches margées et lignées à l’horizontale. Sur une double page blanche, la jeune fille écrit un premier mot au crayon à papier et l’encadre d’une double bordure : POIDS.
Petite bizarrerie de la demoiselle (une de plus !), lorsqu’elle entame une réflexion sur un projet, Kazumi oublie ses ordinateurs et commence toujours par son grand cahier noir où elle liste tous éléments, paramètres et contraintes qui émailleront le projet. Pour celui-là, les problèmes à résoudre sont nombreux, énormes et a priori insurmontables ! À commencer par le poids des robots lorsqu’elle aura motorisé les articulations. L’inventaire de toutes les contraintes lui prend toute la nuit, jusqu’au petit matin. Ce n’est qu’à l’heure du petit-déjeuner qu’elle referme son grand livre et décide de tester le moelleux de son nouveau lit.
C’est le bip-bip de son téléphone qui la réveille à 14 h 30 : un message de Sakura lui annonce l’arrivée du couple pour 16 h 30. Petit tour dans la salle de bain pour une douche revigorante, Kazumi se rhabille en cinq sec (il ne faut pas trois heures pour juste enfiler une jupe et un caraco !) et elle file s’installer dans le salon, en tailleur sur la moquette, face aux poupées.
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Après un temps d’arrêt, la blonde platine demande :
Kazumi s’était tournée vivement vers elle, les yeux écarquillés, comme si elle tombait des nues :
Pourquoi ? Ben non, évidemment ! Qu’est-ce qui pourrait bien choquer cette obsédée sexuelle ? Sakura préfère éluder la question !
La jeune nipponne considère les mannequins avant de livrer ses conclusions, ce qu’elle fait sans détour ni précautions oratoires : comme à son habitude !
Sakura sait Kazumi vraiment directe et cash, mais pas trash ! Car enfin, demander à sa patronne si elle s’est déjà amusée avec ces mannequins… Kazumi n’a décidément aucune limite ! Du coup, la blonde décide de tester justement ces limites, réalisant au passage que l’étudiante pourrait finalement prendre bien plus de place que prévu à l’origine dans cet appartement.
À cette dernière précision, Kazumi plisse ses yeux et la tête légèrement inclinée, elle adresse à sa patronne un regard amusé avant de reprendre la discussion.
Kazumi réfléchit une seconde :
La jeune fille n’a pas fini sa question qu’elle a déjà remonté son caraco, découvert sa poitrine et se titille les tétons.
Un peu éberluée par la liberté spontanée de Kazumi, la maîtresse de maison acquiesce silencieusement. D’autant qu’il était inutile d’apporter une réponse à l’interrogation, le résultat des manœuvres lascives de l’effrontée sur Marcel saute rapidement aux yeux : la braguette a cédé et un magnifique braquemart s’est déployé !
Consciencieuse, Kazumi a à cœur de tester la réactivité des poupées et si elle continue à se peloter les nichons, elle a également troussé sa jupe et, la main droite entre les cuisses, elle se branle allègrement, écartant généreusement ses cuisses pour offrir meilleur accès à ses doigts habiles.
L’interjection enthousiaste se rapporte-t-elle à l’intelligence sensible de la poupée ou aux caresses de plus en plus ouvertement appuyées de la blonde ? Sûrement plus à la seconde hypothèse. D’ailleurs, son regard a abandonné les mannequins pour fixer ostensiblement l’entrejambe de Sakura.
Sakura connaît bien le jeu de dominos triangulaires. Un instant désarçonnée, elle traduit vite la proposition :
Sakura a plongé sans hésiter, la petite l’a largement chauffée. De plus, elle rit intérieurement en pensant à la tête que fera son compagnon qui ne va certainement plus tarder…
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Surpris, Akiko l’a été en découvrant sur l’épais tapis du salon trois affamées en pleine triangulation eucli (tori) dienne.
Surpris, car bien que connaissant parfaitement le tempérament ardent de sa compagne, il n’aurait jamais imaginé la retrouver en une telle situation, du moins pas si rapidement. D’autant que lorsqu’il avait proposé d’héberger à demeure leur employée, Sakura s’était montrée plus que réservée et il avait dû la convaincre de la moindre gêne que Kazumi représenterait… Alors, pour que les événements se précipitent ainsi, il avait fallu qu’elle tombe sur largement plus dévergondée qu’elle ! Stupéfiante Kazumi, toujours aussi inattendue !
Évidemment, loin d’en être fâché, il s’était déshabillé vite fait, tout en réalisant que l’ardente étudiante risquait de ne pas dormir bien souvent dans sa chambre et qu’il était donc urgent de faire livrer un lit super king size pour pouvoir espérer dormir un minimum et confortablement entre les deux démones. Pas envahissante, la gamine, avait-il dit pour convaincre sa compagne ? Tu parles, c’était mal parti !
Le temps pour lui de quitter ses chaussettes, Katzu a été expulsée du triumvirat de base, la petite a plaqué la grande au sol pour s’installer au-dessus d’elle, tête-bêche. Akiko est resté quelques minutes à observer les deux excitées se gloutonner la chatte, observant particulièrement les manœuvres de Kazumi : il est évident que la nymphette a une sérieuse expertise en la matière, alternant d’un instant à l’autre, lapping légers et succions forcenées, caresses aériennes et intrusions presque violentes de doigts dans la craquette de sa partenaire… À ce régime, l’étudiante a, somme toute, expédié rapidement Sakura dans l’extase.
Pour laisser à sa compagne le temps de savourer pleinement son bonheur, Akiko s’est agenouillé près de Kazumi et, pour la distraire, lui a présenté son membre raidi. Abandonnant sa victime extasiée, la gourmande a relevé sa frimousse vaguement engluée de miellat pour s’occuper du mandrin si aimablement offert à ses lèvres. Akiko avait vite compris qu’il allait bénéficier d’un traitement similaire à celui qu’il venait d’observer : Kazumi s’était montrée délicate et attentionnée avec la queue turgide, longtemps, patiemment, poussant quelques incursions sporadiques, vives, mais brèves sur le gland, suçotant avec une grande délicatesse les couilles resserrées par le désir… avant de lancer l’assaut final et d’engouffrer le bolet rouge jusqu’au fond de sa gorge.
Akiko avait alors rué, s’était écarté de la vorace : il ne voulait pas exploser tout de suite ! Il comptait goûter aux appas de sa nouvelle locataire. Par gestes, il propose alors de reformer le triangle isocèle qui, du fait de la différence de tailles des participants, devient carrément triangle rectangle. Dans cette géométrie ardente, il glisse son mandrin dans la bouche de Sakura avant de s’en aller goûter l’abricot velouté de l’irrésistible Kazumi. Ce petit con serré, écrin dodu renfermant de tendres babines délicates, l’a immédiatement conquis et il lèche consciencieusement la figue nacrée, avec application et détermination, se trouve même tout proche de satelliser la femme enfant. Mais Sakura, la traîtresse, s’est ardemment employée à finir le travail de sape largement entamé par Kazumi sur son manche ! Alors qu’il tourneboule dans les charivaris de son orgasme, il pense déjà à la suite, au petit bijou délicat de la Lolita dans lequel sans nul doute, il enfilera sous peu son pieu.
Quelques tendres baisers, agaceries et perversités plus tard, allongée sur le dos, Kazumi quémande :
Depuis deux ans qu’elle attend ce moment, la pauvrette en tremble d’émotion.
« Une queue est une queue, pense-t-elle, et celle d’Akiko n’est sûrement ni différente ni meilleure qu’une autre. Mais j’ai tellement rêvé d’elle… »
Kazumi sait parfaitement qu’au-delà de l’acte sexuel se cache bien autre chose que le sexe. Elle a tant d’amour et de passion pour ce couple. Elle est bien contente en fait que ces deux monstres l’aient fait patienter si longtemps : s’ils avaient cédé plus tôt, ils n’auraient sans doute été que des petits coups en passant, des partenaires ludiques sans grande importance, vite oubliés et remplacés par d’autres. Aujourd’hui, elle le sait, ils représentent bien davantage et quand la queue d’Akiko pénètre doucement son petit trésor, elle frémit d’aise, gémit et déjà, court allègrement sur le chemin du plaisir. Les mouvements du mandrin l’affolent joyeusement, sublimés qu’ils sont par les caresses, suçons et petits coups de dents que sa divine compagne inflige à ses tétons érigés.
L’explosion est sidérante, sidérale, époustouflante, extraormidable !
Kazumi l’a compris, bien plus que des partenaires sexuels, elle a trouvé ses âmes sœurs !
Ainsi est né ce soir-là le triangle amoureux qui perdure à ce jour.
(Il avait décidément beaucoup été question de triangulations ce soir-là !)
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Lorsqu’elle avait intégré l’entreprise, Kazumi avait annoncé son désir de monter une équipe rapprochée qui travaillerait directement avec elle, dans une aile hyper sécurisée du bâtiment. Ces collaborateurs élaboreraient avec elle les grandes lignes des projets et répartiraient ensuite les tâches aux divers services. Pendant une quinzaine de jours, la jeune fille avait approché les employés, les regardant travailler, leur soumettant de petites énigmes, les confrontant à des bugs ou leur demandant de trouver des approches plus directes aux problèmes qui les occupaient. Après avoir compulsé en détail les dossiers, chaque employé présélectionné avait été reçu pour un entretien individuel : des nouvelles énigmes, de nouveaux casse-têtes leur avaient été soumis. Des problèmes d’autant plus difficiles à résoudre que Kazumi s’ingéniait alors à les perturber : revêtue de tenues affolantes, elle tournait autour du candidat, prenait des poses extravagantes, dévoilait furtivement son anatomie, ses appas les plus intimes. Certains candidats ou candidates n’avaient pas résisté à ce supplice de tantale, perdu pied et le fil de leurs raisonnements. Sept d’entre eux, imperturbables, avaient brillamment réussi les divers exercices. Sur les sept, quatre étaient restés parfaitement stoïques jusqu’au bout, un homme et deux femmes avaient, cerise sur le gâteau, couronné leur réussite par des travaux pratiques très appliqués qui avaient fini de convaincre leur nouvelle responsable de secteur.
Trois années se sont écoulées depuis son entrée dans l’entreprise. Depuis qu’elle vit dans le triplex de ses patrons, côté gaudriole, Kazumi s’est très légèrement assagie, elle vadrouille moins de droite à gauche. Ses partenaires sexuels favoris (mais non exclusifs : ce serait oublier les insatiables appétits de la donzelle !), ses favoris donc sont bel et bien Akiko et Sakura. Leur relation tripartite a cependant quelque peu évolué : les trios échevelés, qui bien souvent laissent plus ou moins sur la touche un des participants, se font plus rares désormais. Le couple se relaye en fait pour satisfaire les appétits exigeants de la donzelle, ce qui permet à chacun d’entre eux de souffler un peu à tour de rôle. Mais surtout, leur relation s’est nettement teintée de romantisme. Un amour sincère les réunit, les soude, les corps à corps se sont faits plus câlins, plus tendres. Il arrive même (ce n’est certes pas hyper fréquent !), que Kazumi passe tranquillement la nuit simplement pelotonnée contre son ou sa partenaire. L’amour adoucit les mœurs, semble-t-il, le romantisme assagit les sens. Mais bon, tout est relatif, Kazumi reste bien une droguée du sexe !
Ses appétits charnels sont en partie comblés par sa passion pour la programmation binaire. Depuis quelques mois, la jeune fille se trouve (derrière un homme de paille) à la tête d’une très anonyme société, l’ADR KK (Active Dolls Robotic), société dont l’objet est le développement et la distribution de poupées sexuelles actives. Des poupées de plus en plus perfectionnées dont Kazumi teste régulièrement et avec beaucoup, beaucoup d’abnégation, les progrès avant qu’elles ne passent au catalogue de vente. Une tâche qui serait en fait peu exaltante, voire frustrante, pour elle si elle ne lui donnait l’occasion de s’exhiber outrageusement devant l’un ou l’autre de ses proches collaborateurs, masculin ou féminin selon son humeur, et ne se terminait régulièrement en rodéo échevelé… Quoiqu’il en soit, l’activité de la société est déjà très rentable, chaque nouveau modèle boostant formidablement les ventes.
Kazumi travaille donc à l’humanisation des robots X. Les derniers exemplaires sont désormais capables de se lever, d’adopter, sur commande préprogrammée ou à la voix, diverses positions, mais aussi de marcher, d’effectuer des mouvements des bras, des doigts. Il reste cependant encore un bout de chemin à parcourir pour fluidifier totalement et accélérer leurs gestes et déplacements. Tous ces développements bénéficient évidemment aux androïdes domestiques de HRD. Ainsi, sont communs aux productions des deux entreprises, les bouches dont les lèvres remuent désormais en synchronisation parfaite avec les paroles prononcées, et ce, quelle que soit la langue choisie par les utilisateurs ; leurs carnations sont capables de s’empourprer, en cas d’excitation pour les poupées, ou sur les droïdes HRD, afin de prévenir d’une température excessive des locaux et de pousser alors leurs propriétaires à s’hydrater… D’autres améliorations par contre sont plus spécifiquement réservées aux assistantes sexuelles (gonflement des lèvres vaginales, constrictions du vagin et de la bouche, tremblements du corps pour simuler l’orgasme…), mais ces progrès, d’une manière ou d’une autre, améliorent le réalisme des productions HRD.
En secret, Kazumi travaille sur un autre projet, une création toute particulière qu’elle destine à Sakura, pour son vingt-cinquième anniversaire. Mais cet après-midi, la jeune femme est tombée sur un os : un problème de transmission vidéo qu’elle n’arrive pas à résoudre. Il va lui falloir trouver une autre solution, un matériel encore plus miniaturisé, mais là, à ce moment précis, Kazumi cale, ne sachant par quel bout prendre le problème.
Pour se changer les idées, elle pense à Marcel et Katzu. Les mannequins d’origine ont été mis à la retraite depuis belle lurette et remplacés plusieurs fois déjà par des modèles plus performants. S’ils ont changé de physionomie et de vêtements, leurs remplaçants continuent à porter les mêmes prénoms. Kazumi a pensé tester les capacités du tout dernier Marcel, capable, en missionnaire ou en levrette, d’enfiler proprement et crescendo l’orifice présenté, quel qu’il soit, mais elle a rapidement renoncé au test, sachant qu’elle serait de toute façon agacée et déconcentrée par les quelques insuffisances à améliorer encore : ce test la laisserait insatisfaite. Sale journée, décidément ! Il ne lui reste que quelques jours pour achever la mise au point du cadeau d’anniversaire !
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Sakura se réveille doucement. Elle est seule : Akiko est parti tôt ce matin. C’est qu’il a bien des détails à régler pour que la fête d’anniversaire de Sakuru soit une pleine et entière réussite.
Kazumi a également déserté la couche commune, « pour aller faire quelques courses », imagine Sakura. La jeune femme passe sous la douche avant d’aller prendre son petit-déjeuner. Elle traverse l’appartement, simplement vêtue d’un slip et soutien-gorge en fines dentelles. Passant par le salon, elle aperçoit sur un des divans un paquet rectangulaire avec un mot signé de Kazumi :
« Un p’tit birthday to you ! Kiss ! »
Ravie, elle ouvre le paquet, mais ce qu’elle découvre la surprend : c’est une poupée, de presque cinquante centimètres, banale, même pas vêtue d’une tenue originale. Simplement nue et… totalement asexuée.
La jeune femme manipule la poupée, caresse vaguement la chevelure du jouet : elle s’effraye et manque de lâcher le jouet : les yeux de la figurine viennent de s’ouvrir et sa bouche dessine un sourire avant de s’animer.
Nouvelle frayeur pour Sakura : la poupée paraît décidément réellement vivante ! Quel prodige !
La voix qui sort de sa bouche est sans nul doute celle de Kazumi ! Médusée, la jeune femme observe le jouet qui bouge sa tête et ses membres, semble se moquer gentiment d’elle.
Se remettant doucement de ses frayeurs, Sakura obéit à la demande, fait tournicoter son index sur la poitrine : des tétons apparaissent ! De jolis mamelons, sombres et grenus, qui pointent de plus en plus sous ses caresses. Ébahie par ce prodige, Sakura s’interroge : si elle allait caresser entre les cuisses, est-ce qu’une chatte apparaîtrait ? L’idée est bonne : lorsqu’elle effleure l’entrejambe, un abricot se dessine en effet, parfaitement ourlé, surmonté d’une délicate touffe soyeuse en forme de feuille de cerisier inversée, identique au buisson de Kazumi.
Sakura porte la poupée à son cou et la berce un instant avant de la porter vers son sein gauche. La poupée s’anime, comme si elle était vivante et capable d’agir selon son gré : son bras s’étend et une petite main vient caresser son mamelon. De douces caresses qui excitent rapidement le téton à travers les dentelles : Sakura se défait rapidement de son soutien-gorge et reporte la poupée sur son sein. Miako s’anime à nouveau, caresse encore avant de plaquer sa bouche sur le téton. Les sensations de cette bouche et de sa langue miniature sont parfaitement irrésistibles.
Sakura s’allonge confortablement sur le divan pour bien profiter de l’instant. La poupée lèche et suce le mamelon, puis sa jambe gauche s’étend, son pied repousse l’élastique du slip de Sakura. De toute évidence, la poupée l’invite à enlever son slip. La jeune femme obéit à nouveau, curieuse et excitée à l’idée de ce qui va suivre : elle écarte ses cuisses où elle installe l’incroyable poupée.
Miako se penche et sa main droite caresse les lèvres du sexe où perle déjà une fine rosée. Les caresses sont douces, précises, délicieuses. Puis, posant son pied droit relevé sur la cuisse de la jeune femme, Miako se branle joyeusement à son tour un moment avant de reprendre ses cajoleries sur le sexe de sa partenaire ! À une main, à deux mains, la poupée perverse doigte, paluche habilement le sexe qui s’épanouit doucement, laissant apparaître les replis nacrés des petites lèvres.
Le souffle court, Sakura s’abandonne : entre ses cuisses écartelées, Miako s’est accroupie et lèche ses babines emmiellées. Les sensations sont bouleversifiantes, les tétons dressés et durs de Sakura témoignent du plaisir donné par cette irrésistible marionnette diabolique qui, tout à coup, plonge carrément sa tête dans la fente entrebâillée. Délicieusement surprise par cette intrusion inattendue, Sakura gémit de plaisir en se caressant les mamelons, malaxe vigoureusement ses seins. Miako plonge carrément toute sa tête, s’enfonce jusqu’aux épaules dans la foune inondée.
N’y tenant plus, Sakura abandonne ses seins et vient branler son clitoris. Entre ses caresses sur son bouton et les mouvements accélérés de la poupée dans sa grotte, Sakura est au bord du précipice. Avide, elle abandonne sa perle et glisse un doigt entre les cuisses de Miako. Elle lui branle vigoureusement la chatte qu’elle sent brûlante, les pressions brutales de ses doigts poussent toujours plus la poupée dans son sexe brûlant, Miako s’enfonce dans la chatte jusqu’à buter au fond de son vagin. La poupée est alors prise de tremblements, comme si elle jouissait !
C’en est trop pour Sakura : empoignant le corps de la poupée, elle la fait entrer et sortir de son sexe à toute allure, s’en sert comme d’un gode vibrant : elle est prête à basculer dans l’orgasme. Mais Sakura n’est pas au bout de ses surprises : devant elle, la télé vient de s’allumer et sur l’écran géant, elle découvre Kazumi, assise dans un fauteuil, nue, écartelée, cuisses relevées sur les accoudoirs, une poupée identique à la sienne plongée dans son sexe. Comme elle, la jeune informaticienne est au bord du plaisir :
Prodigieusement attendrie, Sakura plonge alors, heureuse et stupéfiée, dans un orgasme sidérant qui la projette dans les plaines vallonnées des éthers lumineux. Ses transes sont à l’unisson de celles de sa délicieuse amie, sur l’écran. Les deux jeunes femmes jouissent intensément, les yeux dans les yeux, du moins quand leurs transes indicibles ne leur ferment pas les paupières. Elles explosent, heureuses et complices, transcendées et comblées.
Quand leurs corps sont apaisés, Sakura, encore cotonneuse, voit arriver son amie qui s’allonge contre elle et l’embrasse passionnément.
Amusée, Kazumi avoue en riant :
La jeune informaticienne explique, en montrant son exemplaire :
Kazumi fait la grimace.
La jeune fille marque un temps avant de continuer ;
Les deux femmes se câlinent tendrement.
Le trouble sourire de Sakura est explicite :