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n° 21699Fiche technique11145 caractères11145
1961
Temps de lecture estimé : 8 mn
15/04/23
Résumé:  Un enseignant succombe au charme d’une étudiante entreprenante.
Critères:  fh hplusag jeunes profélève groscul école toilettes anulingus préservati -prof
Auteur : Simon L.      
L'étudiante entreprenante

Ce matin-là, je revenais enseigner au Cégep pour la première fois depuis presque un mois. J’avais eu du boulot, la covid, plein d’engagements qui m’avaient obligé à remettre mes cours, ou à les faire en individuels, sur Zoom. En mettant les pieds dans l’école, j’ai eu un petit choc de croiser à nouveau une foule de belles jeunes femmes entre dix-huit et vingt-cinq ans. Il me semblait avoir oublié que ces murs étaient remplis de jeunes femmes toutes plus plantureuses les unes que les autres. Du haut de mes trente-huit ans, je commençais à devenir un bon vieux cliché de préquarantenaire en crise qui fantasmait sur les jeunes femmes.


Je donnais un cours de littérature à un groupe d’une quinzaine d’étudiant·e·s. Mon groupe semblait heureux de me retrouver et je l’étais tout autant. J’avais aussi un peu oublié le magnétisme de certaines de mes étudiantes. L’opulente poitrine de Juliette, malgré sa petite taille et son petit gabarit, l’énergie séductrice dévastatrice de Léa, les lèvres pulpeuses de Kate, derrière ses lunettes rondes, mais surtout les jambes interminables d’Alexa. Elles n’étaient pas particulièrement fines, c’étaient deux jambes bien galbées, un peu charnues sans être grosses. Des cuisses d’une rondeur parfaite. Le summum aujourd’hui, c’est qu’elles étaient enveloppées d’un collant noir recouvert d’une très élégante jupe noire qui arrivait au quart de la cuisse.


J’ai aperçu au loin cette couleur qui m’a toujours chaviré ; l’esquisse de la peau nue sous un filtre noir semi-transparent. Des jambes en collants… un fétiche qui m’avait fait faire plus d’une connerie dans ma vie. Ce qui m’avait fait flancher pour l’adultère une première fois il y avait maintenant plusieurs années.


Je bénissais ces nouvelles tables dans l’école, constituées d’une seule petite tablette accrochée aux chaises, ce qui permettait de ne rien rater du spectacle, une fois l’étudiante assise. Alexa s’est assise juste en face de moi, et malgré tout ses efforts, c’était impossible de cacher son entrejambe avec une jupe aussi courte. Je n’y voyais qu’un triangle noir, le collant recouvrant probablement une culotte noire elle aussi, mais c’était déjà beaucoup pour me faire trépigner.


Ce jour-là, je commençais la journée en lançant le groupe dans une longue période d’écriture.


J’essayais de penser à autre chose, mais j’étais incapable d’imaginer autre chose que du sexe avec cette belle Alexa. Tout le monde s’isolait dans leur coin pour écrire et Alexa, au bout d’un moment, s’est levée de son siège et a quitté la classe, probablement pour aller écrire ailleurs, en paix.


Mon sexe n’arrivait pas à se calmer dans mon pantalon. Il faut dire que depuis l’été dernier, j’avais ouvert grand la porte à l’adultère, ce qui fait que lorsque j’imaginais une situation de sexe, je la trouvais tout de suite plus facilement possible qu’avant. Je savais pourtant bien que je n’irais pas jusqu’à franchir le pas avec une de mes étudiantes. Le risque était beaucoup trop gros, je pourrais perdre ma charge de cours, le respect de mes pairs, le respect des autres étudiants. Non, c’était vraiment une mauvaise idée.


Au bout d’un moment, je me suis dit que je ferais mieux de sortir me chercher un café pour me changer un peu les idées. Je sortis et l’air frais me ramena un peu à moi. Je marchai jusqu’au café du coin… et qui vis-je en y pénétrant ? Alexa.



Je commandai mon café en discutant avec elle, puis je réussis à la convaincre de revenir avec moi au Cégep pour essayer d’écrire.


Nous marchons sur la rue. Je zieute un peu ses jambes, mais j’essaie surtout d’être professionnel et de l’écouter, ça m’aide à mettre de côté mes pensées sexuelles du moment.


Nous entrons par une porte discrète sur le côté du bâtiment. Nous longeons un couloir désert qui donne sur des toilettes.



Je me glisse dans la toilette et je suis un peu à cran de la discussion avec elle. Ce qui vient jouer dans ma tête c’est qu’elle ressemble étrangement physiquement à deux anciennes amantes. Elle a le visage de cette première femme en collant qui m’avait fait tromper une ancienne conjointe et le corps d’une autre, avec qui j’avais aussi inconsciemment mis la hache dans une autre relation. Ce genre de jambes, interminables et fortes, sises sur un cul rond bien rebondi. Le tout en collant. C’était trop pour moi. Je m’enferme dans une cabine et j’entreprends une caresse manuelle pour faire descendre la pression. Je libère mon sexe dur et commence à le masser doucement.


Après quelques instants, la porte des toilettes s’ouvre, m’obligeant à interrompre mon manège, car je sais bien que le moindre bruit est suspect en ce moment.



Je fige, cache mon sexe de la main. Je reconnais la voix d’Alexa. Je remonte mon pantalon vite fait, camouflant tant bien que mal ma queue encore toute dure.



Je referme ma braguette et fais comme si de rien n’était. J’ouvre la porte de ma cabine et essaie de camoufler mon érection avec le verre à café.



Elle recule un peu et verrouille la porte de la toilette.



Alexa s’avance soudainement vers moi, elle me repousse contre la porte de la cabine et je sens sa main empoigner mon sexe à travers mon jean.



Mon sexe est en effet encore très dur, sa main le masse adroitement et pendant un instant je cède à ses caresses.



Elle se recule un peu, lâche mon sexe et fait remonter un peu sa jupe le long de ses cuisses. Elle lui arrive désormais juste en dessous du sexe, lui donnant un air très coquine.



Elle continue de remonter sa jupe jusqu’au-dessus de la taille.



Elle s’assied sur le comptoir derrière elle, la jupe remontée, et touche doucement ses cuisses et le contour de son sexe à travers sa culotte et son collant en me regardant.



Je m’approche d’elle, je dépose mon verre à café et masse mon propre sexe en marchant vers elle, sans même m’en rendre compte. L’animal en moi a le dessus sur l’homme et je me permets l’impensable. Je m’agenouille devant elle. Elle me fixe du regard. Je prends ses cuisses à pleine main et plaque mon visage entre ses deux jambes. Je sens la chaleur de son sexe contre mon nez, son odeur de jasmin envahir ma tête. Je la regarde dans les yeux et empoigne ses fesses en ouvrant la bouche, comme pour sentir son sexe dans ma bouche, malgré les couches de tissu. Mes mains remontent sur ses jambes et d’un coup sec je déchire son collant au niveau de la culotte. Mes mains ont pu sentir qu’elle ne portait qu’un string en dessous du collant. Le collant déchire sur le sens de la hauteur, libérant son string. Je glisse immédiatement ma langue dans le trou et lèche les rebords de son string, tournant autour de sa chatte déjà très humide.


Elle se cambre et pousse son sexe sur mon visage. J’écarte son string et glisse ma langue en elle. Elle gémit et pose sa main sur ma tête. Je la lèche un moment, goûtant sa mouille avec délectation. Sa chatte est toute rasée et sent la rose. Mes mains tapotent ses grosses fesses bien rondes. Je remonte en m’agrippant à son corps et nos bouches se trouvent enfin.


Sa mouille glisse de ma bouche à la sienne. Ses mains s’activent sur ma braguette, la défaisant de mouvements raides et rapides. Elle extirpe rapidement ma queue en dehors de mes pantalons et glisse une main dans la poche de sa blouse.


Elle ressort un préservatif, en arrache l’emballage avec ses dents et me le tend. Je recule un peu, enfile le préservatif sur ma queue dure. Je la prends par le bras et la retourne violemment contre le comptoir. Elle me regarde par le miroir avec un air de chienne qui en veut encore plus. Je tire sur son collant pour dévoiler ses miches rondes. Je me réagenouille et lui mange le cul un instant avant de me relever et la pénétrer par-derrière d’un grand coup dur. Elle presse ses fesses contre ma verge et se fait aller d’un mouvement de va-et-vient très rapide. Je pose mes mains sur ses petits seins durs, elle prend une des mains et la guide à sa bouche. Elle me suce un doigt en me regardant dans les yeux dans le miroir. J’empoigne sa taille de l’autre main et lui pilonne la chatte. Je jouis rapidement au fond de sa chatte sous ce mouvement rapide et cet effet de surprise. Je suis accolé à elle, le bassin en sueur contre ses fesses et un doigt toujours dans sa bouche, elle se retire doucement. Je m’assieds au sol un instant puis elle vient sur moi, me poussant à m’étendre sur le plancher. Elle assied son sexe sur ma bouche, me forçant à la lécher à nouveau. Ses fesses se frottent sur mon visage, son anus dans ma bouche, sa mouille se mélangeant à ma salive. Elle doigte son clitoris avec ses doigts et mon nez. Elle bouge de plus en plus rapidement et soudainement elle tremble de plaisir, serre les fesses sur moi et jouit dans ma bouche. Elle coule de plaisir et j’avale tout son jus.


Elle se relève, nous nous embrassons, encore tremblants. Elle enfile sa jupe rapidement tandis que je rattache mon pantalon. Elle m’embrasse une dernière fois, je profite de son corps splendide contre le mien. Elle me dit en déverrouillant la porte :