n° 21704 | Fiche technique | 11919 caractères | 11919 1935 Temps de lecture estimé : 8 mn |
17/04/23 |
Résumé: Un couple uni dans la vie comme dans les fantasmes laisse s’exprimer ceux-ci lors d’un week-end très chaud dans le sud de la France. | ||||
Critères: fh couple forêt voiture exhib noculotte pénétratio -couple -exhib | ||||
Auteur : Etienne56 Envoi mini-message |
C’était il y a, déjà, quelques dizaines d’années, nous formions avec Marie un couple trentenaire. Elle était hôtesse de l’air, j’avais, pour ma part, repris l’exploitation agricole familiale. En ce début de mois d’août, accompagnée de son fils Olivier, alors adolescent, elle partit rejoindre son amie Laurence dans le Cantal où les parents de celle-ci avaient restauré, schéma classique, une vieille bâtisse.
Dès leur arrivée, en toute fin d’après-midi, elle m’appela, ravie, le temps était superbe, la piscine accueillante, le cadre idyllique ; les garçons, Louis, le fils de Laurence étaient là, heureux de se retrouver. Dans les jours qui suivirent, Marie insista tant et si bien pour que je la rejoigne, elle savait parfaitement se montrer convaincante et j’étais fou d’elle, que la décision fut prise pour le week-end suivant.
J’arrivai en toute fin d’après-midi et visitai les lieux après avoir salué nos hôtes. Tout était conforme à la description qui m’en avait été faite. La longère était superbe, et pouvait accueillir vu le nombre de chambres, pléthore d’invités. Celle qui nous était réservée bénéficiait d’une charpente magnifique, la salle de bains attenante acheva de me séduire. J’étais si bien auprès de ma chérie, de Laurence et de Gérard, son compagnon.
Le dîner en terrasse copieusement arrosé d’un petit vin de pays, nous discutâmes longuement dans la douceur de la nuit. La fatigue de mon voyage accentuée par ces petits excès gastronomiques écourta, du moins pour moi, cette délicieuse soirée. J’allai me coucher et dormais déjà quand Marie se lova tout contre moi.
Le lendemain, je la laissais dormir et, après une douche vivifiante, rejoignis Laurence pour le petit déjeuner. Ma tendre Marie se réveillait à peine alors que je regagnais notre chambre.
Quelque temps plus tard, ébloui par le soleil, je devinai sa silhouette, elle se posta devant moi, souriante, un brin provocante.
Elle était vêtue d’un débardeur, rouge vif à pois blancs, à fines bretelles et d’une jupe assortie ne laissant rien ignorer de sa morphologie tant elle épousait parfaitement celle-ci.
Un fruit rouge d’été à croquer. Je ne lui connaissais pas cette tenue qui mettait en valeur, le mot est faible, ses seins, ses fesses et la délicieuse cambrure de ses reins (45,5°, ni plus ni moins, je l’avais, tant elle me subjuguait, mesurée… L’angle idéal chez une femme, un standard de beauté, dit-on).
Marie connaissait bien la route, une petite départementale qui traversait prairies, zones boisées et charmants petits villages. Si le paysage était effectivement très beau, il en était un autre plus captivant, je dirais même envoûtant… celui que m’offraient ses cuisses largement découvertes.
Sa tête tournée vers moi, je pouvais voir l’éclat si particulier de ses yeux verts dans ces moments-là. Je la contemplais – épaules nues, jambes bronzées largement offertes –, je humais avec délice les effluves de son parfum. Elle était si belle. Je l’aimais comme je la désirais. Sans retenue. Je me penchai vers elle, embrassai son épaule, son cou.
Et ma main de reprendre son cheminement le long de sa cuisse – j’adorais son grain de peau pareil à de la soie –, plus haut, toujours plus haut jusqu’à s’insérer entre ses cuisses chaudes. Paroxysme du désir. Elle écarta sensiblement les jambes, sensible, furieusement sensible à mon exploration. J’effleurai la dentelle de sa culotte.
La voiture avait imperceptiblement ralenti, j’en demandais bien plus moi aussi. Glissant un doigt sous l’obstacle de l’élastique, j’atteignis le Graal, son bijou le plus intime. Les caressant, les écartant, je sentais ses lèvres s’humidifier. La raison l’emportant, elle s’arrêta s’offrant ainsi pleinement à mes caresses, jambe à l’appui sur le tableau de bord.
Elle obtempéra aussitôt et après quelques contorsions, jupe relevée, cuisses ouvertes, elle glissa sur l’avant du siège pour mieux s’offrir, s’ouvrir, dirais-je. L’impudeur de la situation me faisait perdre la tête, ivre de plaisir. Je me penchais alors vers elle, embrassant son minou trempé, léchant son clitoris, elle adorait cela, je le savais.
J’adorais la voir ainsi. Ma langue et mes papilles se délectaient de sa liqueur, sentaient son petit haricot gonfler, durcir. Je prenais du plaisir à la faire autant mouiller.
Elle gémissait, haletait, de plus en plus fort, de plus en plus vite. Son corps agité de tremblements se raidit soudain.
Je la regardais se détendre, la tête rejetée en arrière, bouche entrouverte. Elle se tourna vers moi, m’embrassa tendrement puis, féline, me lécha les doigts.
Elle reprit sa culotte.
Aussitôt dit, aussitôt fait ! nous reprîmes la route, il nous fallut peu de temps pour déambuler sur le marché absolument bondé… Que de regards sur Marie ! S’ils avaient deviné la nudité que cachait sa robe ! Je frissonnais de ce plaisir coquin partagé avec elle.
Elle allait et venait, fromages, fruits et légumes, puis de quoi prévoir chez le boucher un barbecue pour le déjeuner. La tentation était trop grande pour le brave homme que la vue appétissante de Marie désinhiba sur le champ.
Marie fit mine de réfléchir, et sans se démonter, un sourire charmant aux lèvres, elle répondit que seul le goût comptait. Je la connaissais bien, et sa réponse m’était destinée, j’appréciais, je savourais cette complicité.
J’avisais, près de nous, une table libre, Marie s’éclipsa, le temps de se laver les mains, me dit-elle. Les cafés tout juste servis, elle était déjà de retour, se faufilant avec élégance entre les tables.
Cette fois, le regard des hommes présents avait nettement évolué vers un désir palpable presque indécent sous le regard nettement désapprobateur et courroucé de leurs compagnes respectives. L’objet du délit me sauta immédiatement aux yeux : la poitrine de mon épouse, qu’elle avait fort généreuse, avait perdu tout soutien, libérée du carcan qu’impose la pudeur de notre société. La courbure des seins, leur balancement et surtout leurs pointes offertes, acheva d’attiser la part animale de chaque étalon présent. Si seulement… lisait-on dans leurs regards…
Exciter mon désir en présence d’inconnus était le but que recherchait bien souvent Marie. Au diable leur présence ! Incapable de demeurer plus longtemps impassible, je caressais ses jambes partiellement dénudées me délectant des regards lubriques de ces spectateurs à deux doigts de l’apoplexie.
La voiture avala les kilomètres sur cette départementale, freina subitement alors que nous traversions un petit bois des plus inspirants pour ce que nous allions y faire.
Sous le fin débardeur, je saisis un sein et répondis aux attentes de Marie qui défit les boutons de mon jean et saisit sans plus attendre mon sexe.
Elle plongea jusqu’à saisir entre ses lèvres tièdes mon sexe. Comble du plaisir.
Sa jupe relevée, sa chatte, ses fesses me laissaient sur ma faim, j’en voulais davantage ou plutôt autrement.
Elle se retrouva debout devant le capot, poitrine découverte, pointes des seins dressées, j’étais au paroxysme du désir, me collant contre elle, lui remontant sa jupe, je glissais une main sur ses fesses, l’autre sur sa chatte trempée.
Je la fis s’allonger, ventre sur le capot, et d’un brusque mouvement du pied, lui écartai la jambe. Cette position eut pour effet de décupler ma furieuse envie d’elle. Ma queue pénétra d’un coup, un seul dans sa chatte brûlante et humide.
Le bruit des voitures si près de nous attisait notre excitation.
J’attendais depuis si longtemps ce moment, la voir ainsi au comble de l’excitation, me retenir était de plus en plus difficile, ses gémissements de plaisir allaient crescendo, suivant en cela le rythme de plus en plus fou de mes aller-retour au plus profond de sa chatte. Je sentis son fourreau se resserrer sur ma queue, son corps tout entier se contractant soudainement, je me lâchais, inondant sa chatte de ma semence alors qu’un long cri de jouissance s’échappait d’elle.
Toujours en elle, les mains agrippées à ses hanches, je me laissais aller contre son corps lui saisissant les seins dans une dernière étreinte.
Je l’embrassai, lui déclarai une fois de plus ma flamme et le plaisir sans cesse renouvelé de lui faire l’amour. Nous restâmes ainsi, savourant ce délicieux moment.
Marie jugea préférable de remettre ses dessous avant de rejoindre nos amis.
À notre retour, Laurence nous accueillit, s’étonnant du temps que nous avions mis pour ces quelques courses.