n° 21728 | Fiche technique | 12037 caractères | 12037 2152 Temps de lecture estimé : 9 mn |
26/04/23 |
Présentation: Un peu d’humour au bureau, beaucoup de plaisir. | ||||
Résumé: Un pari entre un patron et sa secrétaire, quand c’est l’orthographe qui gagne. | ||||
Critères: fh fplusag collègues travail caresses cunnilingu anulingus pénétratio fdanus fsodo humour -humour -occasion | ||||
Auteur : Samroong (Homme mur aimant les femmes mures et coquines) Envoi mini-message |
Lui
Ma secrétaire n’est pas une championne de l’informatique, mais elle a d’autres qualités, elle est discrète. « Dans le mot secrétaire, il y a secret », me dit-elle et c’est vrai, c’est une tombe ! Grosse qualité, c’est une championne de l’orthographe aussi, enfin ça nous en reparlerons et puis, elle connaît la région par cœur, ses arcanes politiques, les bleds et leurs histoires, les industriels, les entreprises. De plus, elle connaît la boîte – que moi je découvre – depuis près de quarante ans. Comme elle le dit souvent : « vous êtes mon septième patron alors vous n’allez pas me la faire, hein ! »
À part ça, elle a près de soixante ans, mais elle est toujours impeccable, petit tailleur, jupe droite serrée qui lui fait un joli derrière, escarpins toujours soignés pour rehausser son mètre cinquante, maquillée sans excès, un buste généreux dans un chemisier blanc qui souligne la dentelle de ses soutiens-gorges et légèrement transparent ce qui, quand on peut le contempler sans se faire prendre, laisse entrevoir des seins opulents aux pointes que l’on devine très sensibles - à voir comment elles peuvent durcir.
Elle m’adore, allez savoir pourquoi, quoique d’après ce qu’on m’a dit, sur les sept patrons qu’elle a connus avant moi. Il faut dire qu’il y avait des ordures, des vicieux, des méchants, des tordus, ce n’est pas moi qui le dis, mais la rumeur et la rumeur ce n’est jamais totalement dénué de vraisemblable.
Elle
Imbécillité, imbécile, j’en fais une belle, moi, d’imbécile, qu’est-ce qui m’a pris de parier? « Tout ce que vous voudrez », je lui ai dit. C’était pas tombé dans l’oreille d’un sourd et on a parié qu’imbécillité s’écrivait avec un l pour moi et deux l pour lui. Lui, c’est mon patron. Moi, c’est Danielle, sa secrétaire, férue en orthographe. Férue ? Je t’en ficherais moi, parce que c’est plutôt ferrée que tu es, ma petite Danielle ! Courbée sur le bureau avec ton patron chéri, enfoncé en toi jusqu’à la garde et qui te prend comme ça faisait bien longtemps que ça t’était pas arrivé.
Moi, Danielle, cinquante-huit ans, grand-mère, la jupe troussée jusqu’à la taille, les seins à l’air qui ballottent sous moi pour le plus grand plaisir de mon patron qui me les caresse divinement. Oui, moi, je suis arc-boutée sur mes talons et il me baise, moi.
C’est par ce pari idiot que je me suis fait avoir et maintenant prendre. Après lui avoir dit :
Il m’a regardée et m’a dit :
Et bien sûr, j’ai perdu ! Ce qui veut dire que ça fait des années que je me trompe, et des années qu’on ne m’a pas prise comme ça. Mon Dieu, il va me faire venir ! Oh oui ! S’il continue comme ça, je vais crier ! Oui, oui, des grands coups longs, de toute sa longueur.
Donc, après ce jeu stupide, j’ai couru sur mon Robert et, Oh mes roberts! il les pétrit, que c’est bon ! Ils sont gonflés et je n’ai qu’une envie, c’est qu’il me pince légèrement les bouts. Oui, ce n’est pas possible, il l’a deviné ! Il vient de se pencher sur mon dos, ses deux mains sous moi, et il me chuchote à l’oreille :
Évidemment imbécillité s’écrit avec deux l, j’avais perdu. Et dans l’après-midi, ça a commencé par un mail :
Bon, ce pari est perdu : « Tout ce que je veux ».
Alors, allez retirer vos sous-vêtements, je vous veux nue sous votre sweat et votre jupe.
Il est fou ! Jamais ! Bon, ma petite Danielle, ce n’est pas bien méchant ! Allons, et puis ça m’excite un peu. Je file aux toilettes et retire mon soutien. Mon Dieu, j’ai encore de beaux seins un peu tombants, la gravité, mais ils sont encore fermes. Les bouts sont tous mignons et pendent légèrement, mais ils sont attendrissants. Maintenant, mon string, eh oui! on peut être grand-mère et aimer la lingerie ! Je passe un doigt dans ma vulve, humide je suis, zut il m’excite avec ses bêtises ! Bon, je vais finir ce que je suis en train de faire et au moment où j’arrive à mon bureau, le téléphone sonne :
Il veut vérifier si j’ai obéi. Va être surpris, le biquet ! Je ne suis pas du genre à me défiler, un gage est un gage et je tiendrai.
J’arrive devant son bureau et il lève les yeux sur moi.
Eh oui, mes bouts de seins pointent sous mon pull, évidemment qu’il les a repérés, le coquin, je crois que je rougis jusqu’aux oreilles.
Je passe derrière son bureau et me tiens à côté de lui. Son bras gauche entoure ma taille et sa main droite descend sur ma jupe frôle ma croupe.
Il passe sa main droite sous ma jupe et caresse mes cuisses gainées de bas-jarretière.
Sa main est posée sur la bande de dentelle qui m’enserre les cuisses et maintient mes bas.
J’ai gémi quand il a effleuré ma peau nue au-dessus des bas, mais son ascension continue et il glisse sa main entre mes cuisses. Il caresse là où la peau est si douce. Moi, idiote, j’écarte les cuisses. Il effleure ma vulve, puis sa main caresse légèrement mon pubis.
Son autre main est dans mon dos, enserrant doucement ma taille. Je vais hurler, je n’ai plus l’habitude ! Ses mains sont partout, sa main droite est maintenant sur ma vulve et je sens ses doigts fins épouser les lèvres de mon sexe. Son index et son majeur les écartent et s’insinuent, me frôlent. Il vient de trouver mon clitoris, mes jambes flageolent, je vais jouir là sur place debout à côté de lui. Je fixe la bosse de son pantalon avec hébétude. Sa main gauche s’est glissée entre mes fesses et les masse doucement. Il me titille le clitoris, ça c’est irrésistible, mon Dieu ! Je sens les ondes du plaisir monter en moi.
Danielle, tu te rends compte, ma vieille, ton patron, dans son bureau est en train de te fouiller !
Oh, ça monte… ouiii, j’ai joui ! je jouis encore ! Je me mords les lèvres pour ne pas hurler et je dois m’appuyer sur son bureau. Mes seins me brûlent, j’ai envie de plus maintenant quand cette saloperie de téléphone me tire de mon état extatique !
Je décroche et, oh zut ! Encore cette emmerdeuse qui me relance pour une sombre histoire de garage endommagé par un de nos camions.
Tu parles qu’il les a en mains, il se lève et me pousse en avant sur son bureau. Je suis obligée de me pencher en avant et de m’appuyer sur les coudes, tout en écoutant cette bonne femme me raconter ses salades.
Il relève ma jupe et me voici maintenant les fesses à l’air, et ses mains qui remontent mon sweat au-dessus de mes seins, il les pétrit doucement en pinçant mes bouts.
Mais qu’est-ce qu’il fait ? c’est sa langue qui me lèche les fesses. Il les écarte et sa langue… Oh non, il ne va pas me lécher quand même ! Ben si, ma vieille, c’est sa langue qui vient te lécher les lèvres, qui te lèche le petit trou. Oh, le cochon ! et sa langue qui perce mon petit trou et vient écarter les lèvres, rhoooo! mon clitoris ! Il vient de s’arrêter dessus et le titille… Oh Non… Non… rhooo! Maman !
Oh oui, ça oui, je sens le bien le plaisir qui monte comme une énorme houle.
Rhooo! il est sur le mien en tout cas ! Le nez contre mon petit trou, les lèvres plaquées sur ma vulve et la langue qui fouille ma chatte trempée. Je vais venir, je vais jouir… Maman, ça y est ! Je viens, je sens que je coule et il lape tout. Oh, le sale gamin ! Il boit littéralement mon jus de chatte.
Mais qu’est-ce que je sens maintenant ? Cette chose dure entre mes fesses ? Il a dû sortir sa queue et pousse gentiment son gland.
Tant pis, le téléphone toujours à l’oreille, j’entends cette vieille bique qui râle, et moi aussi, je râle de plaisir…
Oh oui, je le sens me la mettre, il vient buter sur ma vulve trempée et s’insère doucement puis me pénètre doucement, tout doucement. Centimètre après centimètre, sa bite rentre profondément et ses couilles viennent buter. Oh, mon Dieu, mon Dieu, elle est dure et longue… Il me fouille partout ! J’ai l’impression qu’il fait tous les coins de mon ventre et que je vais la voir gonfler, la paroi de mon ventre. Il se retire.
Il se penche vers mon oreille et susurre:
Il me pénètre à nouveau, tout doucement, puis d’un grand coup, il vient buter contre mes fesses. Oh, le cochon !
Ça y est, j’ai raccroché, et lui, il a les mains accrochées à ma taille.
Je sens une main qui descend vers mon bas-ventre et son doigt qui vient titiller mon petit bouton.
Oh ouiii, on dirait qu’il joue de la guitare sur mon petit bouton, OuiiiIIII !
Il ressort son sexe et vient frotter mon petit trou pour bien le lubrifier de ma mouille.
Le gland est maintenant au bord et il pousse gentiment.
Ça y est, je sens ses giclées dans mes reins. Il m’envoie une, puis deux, puis trois giclées.
Je suis écroulée sur le bureau, mes seins écrasent ses papiers. Il caresse mes fesses doucement, plonge ses doigts dans ma vulve et vient étaler ma cyprine sur mes fesses
Saloperie d’orthographe, je m’en souviendrai !