Confidences en cascades 2/2
Cette collection est née d’une gageure : étaler au grand jour les confidences échangées entre deux complices, sans s’encombrer de retenue ou de pudeur. Une exhibition virtuelle en quelque sorte, qui satisferait les penchants de chacune.
Comme le précédent, le présent texte ne vise pratiquement qu’un seul sujet. S’il ne vous plaît pas, inutile de vous en infliger la lecture. « Si vous n’aimez pas Intervilles, vous n’avez qu’à tourner le bouton ! », disait ma grand-mère.
Un message osé envoyé hier soir, une réponse enflammée reçue au réveil, que faire ? Elle n’avait pas hésité longtemps. Téléphoner ce matin ? Trop tard. Attendre leur conversation du soir ? Trop frustrant. L’auteure était déjà au clavier.
Oui ma Puce, j’avais la chatte qui coulait en vous écrivant hier soir. Oui, je me suis branlée pendant et après vous avoir écrit.
Oui, je nettoierais votre craquette pleine de mouille et de pipi, eh oui, deux fois oui, je vous punirais au martinet sur votre clito nu. Et c’est vous qui me le présenteriez bien dégagé, tout gonflé, tout dur, et sorti au maximum du possible avec vos ongles…
Eh oui, aussi, oui, vous pourriez vous venger ensuite en m’infligeant la même punition.
Et oui, trois fois oui, nous nous consolerions en nous mangeant le minou pour nous consoler, avant de nous endormir enlacées seins à seins.
Mais tout de même, ma Puce, vous êtes une petite coquine ! Vous ne pouvez pas vous empêcher d’espérer que l’on s’occupe de votre craquette insatiable. N’est-ce pas ?
N’auriez-vous pas une tante obligeante pour inspecter votre petite culotte ? Et pour vous faire cette toilette intime que vous réclamez ? Sinon, je me dévouerais.
J’entrerais à pas de loup dans votre chambrette, pour vérifier en silence si votre lingerie est intacte. Si elle ne l’était pas, je vous pincerais durement le bouton pour vous punir de l’avoir mouillée. Vous seriez évidemment obligée de mettre la main sur votre bouche pour ne pas réveiller la maison par votre cri de douleur.
Je le tiendrais serré assez longtemps pour que vous en pleuriez, de souffrance et de plaisir, vilaine vicieuse. Et pour que vous vous rappeliez de ne plus pisser dans la culotte, je vous tordrais lentement vos jolis petits tétons…
Vous auriez droit ensuite à cette toilette, que vous désirez tant. Mais peut-être la ferais-je à l’alcool plutôt qu’au savon… Si votre chatte avait macéré toute la soirée dans votre pipi, elle aurait certainement besoin d’être désinfectée.
Une fois bien propre, alors je pourrais vous frotter le clito et les lèvres pour susciter votre mouille avant de vous doigter et de vous branler comme vous aimez. Voudriez-vous que je doigte aussi votre petit trou ? Je vous rendrais volontiers ce service. Sans doute seriez-vous à nouveau obligée de couvrir votre bouche pour étouffer vos cris de jouissance.
Enfin, tout cela, naturellement, n’aurait pas lieu, puisque vous aviez besoin de dormir…
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Une inquiétude, cependant, tourmentait l’auteure. Certes, c’était sa lectrice qui avait, la première, glissé des fantaisies d’urolagnie aux fantasmes de sadomasochisme. Entraînée par ses propres pulsions, elle avait répondu dans le même sens. Mais était-ce vraiment ce que souhaitait sa Puce ? S’ouvrir à la réciprocité, aussi sincère que puisse être sa proposition, n’était peut-être pas suffisant. Pour poursuivre sur le sujet, il fallait s’assurer de l’adhésion de sa partenaire et avoir avec elle une conversation sans détour.
Le plus tôt serait le mieux.
- — Non, ma Chérie, je n’ai pas été choquée par votre message où vous évoquiez les tourments de ma craquette, confirma immédiatement Marie.
- — Je craignais d’être allée plus loin que vous ne l’auriez voulu, ma Puce.
- — Pas du tout ! Je vous l’ai dit, je vous l’ai même écrit à propos de vos récits, les passages alternant tendresse et dureté m’électrisent particulièrement !
- — C’est qu’il y a loin entre humiliation morale et punition physique, même en rêve.
- — Je vous le répète, j’ai été réellement accro à l’histoire de Colette et Chantal, attachée à ces personnages au point de croire en être amoureuse. J’aurais aimé que vous n’arrêtiez jamais !
- — C’est gentil, mais il faut bien qu’un récit se finisse. Quitte à lui donner une suite !
- — J’espère bien que vous l’écrirez, ma Chérie. Il me semble vous l’avoir demandé lorsque vous m’avez invitée à vous parler dans la librairie où vous dédicaciez vos œuvres.
- — Oh, œuvres ! Non, dites « vos petites histoires », ce sera plus juste. Mais c’est vrai, vous m’avez soumis plein d’idées et je vous ai conseillé d’écrire vous-même.
- — J’étais encore sous le charme de la dernière de vos petites histoires. La partie confessions de Chantal en terminant est si réaliste… que je l’ai aimée d’autant plus ! En fait, je vous aimais avant de vous connaître, ma Chérie.
- — J’ai éprouvé le même sentiment en vous rencontrant, ma Puce. Donc, nous pouvons continuer à délirer ensemble sur la domination, la soumission, les punitions sévères, etc., partagées, évidemment ?
- — Oui ! Bien sûr que oui ! Mais aussi, je ne suis pas contre une petite touche d’uro… ou plutôt une grosse touche !
- — Comme nous l’avons commencé ? Je suis d’accord. On peut faire les deux, ensemble ou séparément. Que préférez-vous, ma Puce ?
- — J’ai envie de parler de pipi, ma Chérie. J’ai honte mais ça m’excite de vous le dire.
- — Mais, je vous en prie. Je ne suis pas contre, moi non plus… Auriez-vous quelque chose à m’avouer ?
- — Ben, c’est à propos de pipi au lit… j’aurais bien aimé garder ça pour Marie la danseuse, mais le problème c’est que ça m’arrive aussi ! Il suffit d’une période stressante et… voilà ! Ce n’est pas super, mais c’est vrai.
- — Mais c’est terrible, ma Puce ! Il va falloir vous mettre une alèse sous votre drap, comme pour les bébés et les mémés !
- — Oh, mais ça ne m’arrive pas toutes les nuits ! Vraiment, une alèse, vous croyez ?
- — Non, ce serait trop humiliant pour vous et pas assez amusant pour les autres…
- — J’ai lu une histoire qui parle de ce problème : Énurésie , de Lorette. Elle m’a rendue toute chose.
- — Moi aussi. Très joli récit. Le passage du pipi commun dans le sac de couchage est l’un des plus beaux témoignages d’amour que j’ai lus.
- — Peut-être que si je jouissais avec une fille, j’arrêterais aussi de faire pipi la nuit !
- — Je pense plutôt que vous devriez en parler à la si gentille dame qui inspecterait votre culotte tous les soirs. Lorsque vous vous sentiriez stressée, vous le lui avoueriez pendant qu’elle récurerait votre craquette, et votre troufignon aussi, tant qu’à faire. Dans ce cas, pour éviter que vous inondiez le lit – par simple précaution, croyez-moi – elle vous glisserait une petite tige annelée dans l’urètre. Ce serait un peu douloureux, mais avec cette aide vous ne risqueriez pas de laisser inconsidérément votre vessie se vider. Qu’en dites-vous, ma puce ?
- — S’il vous plaît, ma Chérie, laissez mon urètre tranquille ! Vous êtes vraiment un petit démon pour penser à ce genre de choses !
- — Hi, hi ! Une amie m’a fait découvrir ça. Il ne faut pas en abuser, je suppose. C’est une douleur étrange qui vous traverse le ventre et quand on retire la tige, même si vous n’en aviez pas envie, vous pissez !
- — Faites attention à vous, tout de même. Vous me manqueriez trop !
- — On s’en remet très bien, ma Puce. Soyez tranquille ! Mais avouez que mon remède vous a titillé la vessie, non ?
- — Est-ce que vous me trouveriez vilaine, si je vous disais qu’en vous écoutant j’ai eu une idée pour ce soir ? Il faudrait que je réussisse à me retenir pour pouvoir frotter ma craquette en rentrant ! Je pense que je jouirais très vite…
- — Ou trop vite !
- — Mais ça serait vraiment très excitant de me retenir toute la soirée en pensant au plaisir que cela m’apporterait plus tard.
- — Surtout si vous passiez la soirée avec des amies…
- — Ma seule crainte est de ne pas tenir ! Et de tremper ma culotte devant la porte d’entrée. Ou dans la rue juste avant d’arriver. L’idée d’être presque rentrée… ça active ma vessie en général ! Et je perds des gouttes.
- — Hum… Dans ce cas, la meilleure des punitions serait de vous obliger à vider votre vilaine vessie dans un seau, toute nue dans la rue. Cela vous conviendrait-il ?
- — Arrêtez, ma Chérie ! J’ai déjà trop envie !
- — De vous caresser, ou de faire pipi ?
- — Les deux !
- — Alors, caressons-nous, ma Puce. Votre voix et vos paroles m’excitent moi aussi. Et me masturber avec vous, même sans nous voir, c’est vous offrir mon plaisir.
- — Oui, ma Chérie ! Frottons notre craquette ensemble comme deux petites cochonnes. Je vous aime !
- — Oui, ma Puce. Tant pis pour votre fauteuil !
Rires
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Quelque temps plus tard, une voix familière résonnait dans le téléphone de l’auteure sur un ton mi-figue mi-raisin.
- — Bonsoir, ma Chérie. Vous allez rire : ce soir, j’ai failli me trouver dans la situation que vous me promettiez l’autre jour !
- — Bisous, ma Puce. Quoi donc ? Que vous est-il arrivé ?
- — En résumé, j’étais chez un autre étudiant mais ses toilettes étaient inaccessibles – un appartement ancien, passons – alors je me suis dit que j’allais sûrement devoir faire pipi dans le jardin.
- — Ah. Et il y avait du monde.
- — Non : il n’y avait pas de jardin ! Seulement la rue, entourée d’autres habitations. Il vit hors de la ville, je n’avais aucun moyen de rentrer : coincée !
- — Adorable petite sotte ! Vous n’avez pas osé faire pipi entre deux voitures ? Je vous avais pourtant dit que c’était plus pratique d’être en jupe et sans culotte !
- — Je ne me voyais pas trop demander aux autres de me ramener en avance pour faire pipi…
- — Donc, vous avez mouillé votre culotte. Elle devait être dans un bel état quand vous êtes rentrée ! Trempée et odorante, bravo !
- — Oh, je l’ai enlevée dès que j’ai passé la porte d’entrée.
- — Si je comprends bien, vous avez traversé votre appartement de colocation cul nu sous votre tee ? J’espère qu’il était ras la foune. Hi, hi !
- — Pas très long, non…
- — N’espériez-vous pas croiser votre chère coloc en osant ce début d’exhibition ? Même pas un tout petit espoir inconscient ? Soyez franche avec moi, et avec vous, ma Puce.
- — Oui, vous avez deviné : j’avais un peu espoir de la croiser, et j’avais peur de trop bouger mes bras ou mes jambes.
- — Confuse à l’idée qu’un simple mouvement du bras révèle vos fesses ou votre craquette, ou les deux, mouillées ?
- — Il faut que je dise le pire : je me suis réveillée le lendemain avec la craquette trempée !
- — Bravo ! Mais la prochaine fois que cela vous arrivera, je vous conseillerais de vous coucher avec cette culotte comme taie d’oreiller.
- — Je ne peux pas dormir avec, je pense… ce n’est pas bon !
- — Ou bien, de la déposer devant la porte de votre chère coloc. Que préféreriez-vous ?
- — C’est une bonne idée, mais je ne sais pas trop comment je pourrais expliquer comment ma culotte s’est retrouvée devant sa porte ! Il faudrait qu’elle la retrouve autrement, peut-être la salle de bain…
- — Vous avez raison, c’est mieux qu’elle la découvre dans la salle de bain. Quoi de plus banal qu’une culotte, mouillée de pipi ou de jus de craquette, oubliée là ?
- — Ma Chérie, en vous écoutant, je sens mon petit clitoris me picoter. Il doit sûrement gonfler.
- — Et vous avez envie de vous tripoter, petite coquine !
- — Je rêve que je trouve vos doigts au lieu des miens et qu’ils se faufilent en moi. Laissant encore moins de place à ma vessie distendue dans mon ventre !
- — Vous préféreriez que je vous doigte plutôt que vous vous masturbiez, hein, ma Puce ? Rassurez-vous, je ne vous en voudrais pas si votre vessie s’oubliait un peu…
- — Ma chérie, je ne serais pas capable de me retenir si je commençais à perdre quelques gouttes. Vous seriez obligée de me nettoyer comme la gentille dame de la dernière fois.
- — Pourquoi pas ? Votre craquette n’en serait que plus onctueuse et je me délecterais de la nettoyer après votre orgasme.
- — Avec votre bouche ?
- — Oui.
- — Vous êtes encore plus cochonne que moi, ma Chérie !
- — Normal, ma Puce : je suis plus vieille !
Rires
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Elles avaient ouvert l’une à l’autre leur cœur et leurs pensées intimes, sans limite de décence ou d’obscénité. Pourquoi se seraient-elles privées de continuer à échanger leurs fantasmes ou leurs confidences d’ondinisme ? L’auteure s’intéressa un jour à l’emploi du temps récent de sa Puce.
- — Je suis sortie hier soir, ma Chérie, répondit celle-ci. Je suis allée traîner en boîte ! Et j’ai fini par faire pipi dehors…
- — Mais c’est très bien de faire pipi dehors… Encore mieux si une copine vous observe !
- — Si ça vous fait plaisir de le savoir, oui, j’étais plus ou moins observée par une copine. C’était derrière la boîte de nuit. Je ne pouvais pas attendre et je n’avais aucune autre solution.
- — Hi, hi ! Vous avait été troublée, ma Puce ? Excitée ?
- — Embarrassée, oui. Au point de mouiller maladroitement ma culotte…
- — Si vous n’en aviez pas mis pour sortir, ç’aurait été plus facile, non ?
- — Oui, c’est sûrement plus pratique sans culotte mais il faisait trop froid ! Soyez contente, j’ai pensé à vous, ma Chérie.
- — En pissant ? C’est bien aimable à vous !
- — Vous m’avez tellement dit de ne pas m’oublier dans ma petite culotte, en me traitant de vilaine fille !
- — C’est très bien ça, ma Puce, de vous souvenir de mes conseils.
- — Eh oui, si vous aviez été là, si je m’étais présentée à ma Chérie avec la culotte trempée, oui, j’aurais eu peur de sa colère.
- — Ah, il n’y aurait pas eu de gentille dame pour vous débarbouiller la craquette, ma jolie pucette !
- — Vous m’auriez emmenée cul nu, ma culotte mouillée sur la tête, jusqu’à la boîte de nuit ?
- — Là où vous vous dévergondiez, oui !
- — Et vous m’auriez mise nue au milieu de la piste de danse. Devant tout le monde ?
- — Exactement !
- — Et j’aurais dû m’agenouiller, mettre les épaules au sol et le cul en l’air, en tenant mes jambes ouvertes avec mes mains, comme vous, heu… comme Chantal chez Colette ?
- — Oui ! J’espère que vous êtes souple… Hi, hi !
- — Ce serait très humiliant, ça ! Tout le monde viendrait voir ma craquette et ma rosette imbibées de pisse…
- — En effet. Et même les toucher ou les ouvrir, pour mieux se rendre compte de votre turpitude.
- — Mais ma Chérie, j’en pleurerais de honte !
- — Vous auriez le droit de pleurer, ma Puce, lorsque vous seriez lavée à l’alcool ! Whisky ou Vodka, je ne sais…
- — Vous êtes horrible ! Ça me ferait crier !
- — Même en sachant que si vous subissiez votre toilette sans crier, les filles – elles seules, pas les garçons, soyez tranquille – qui le voudraient pourraient vous gougnotter ?
- — Le scénario que vous me proposez est aussi cruel qu’excitant, ma Chérie ! Mon seul réconfort est de savoir que VOUS me puniriez si je ne le réussissais pas.
- — Et comment vous punirais-je, à votre avis ?
- — En corrigeant mon derrière mouillé ! Ça fait encore plus mal…
- — Une fessée à cul nu ? Hum… Je crois que je n’y résisterais pas !
- — Mais si vous le caressez ensuite, alors pourquoi pas ? Je vous embrasse ma Chérie. Ma craquette me brûle, j’aimerais que vous puissiez l’apaiser avec votre langue.
- — Je vous lèche partout, ma Puce, des orteils à la bouche, sans oublier votre craquette ni de faire un détour par votre petit trou, votre Sainte Rosette toujours Vierge.
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Un autre soir, l’auteure prit en catastrophe l’appel téléphonique de sa Puce et, à la question étonnée de celle-ci sur la voix troublée qu’elle entendait, eu l’innocence d’expliquer avoir froid et les cuisses mouillées.
- — Oh, froid et jambes mouillées, comment ça ? Que vous arrive-t-il ma Chérie ? Voulez-vous que je vous réchauffe ?
- — Merci de me le proposer, ma Puce, mais je suis un peu confuse de répondre à votre question… J’en ai même honte.
- — Vous, avoir honte ? Ne me dites rien, si ça vous gêne tant !
- — Non… enfin, si… Je vous ai promis d’être sincère avec vous, alors il faut que j’honore ma promesse, fut-ce en rougissant !
- — Ha, ha ! Vous avez vraiment honte, si vous rougissez !
- — Le froid et ma vessie m’ont piégée, ma Puce. J’ai fait un long déplacement en voiture aujourd’hui et j’avais une, très, grosse envie de pipi en arrivant chez moi. Déjà, en refermant le portail, j’avais senti les effets accélérateurs du froid. J’aurais dû me précipiter pour rentrer et courir au petit coin.
- — Vous ne l’avez pas fait ?
- — Mais non ! J’ai voulu ranger la voiture et la débarrasser des bagages. Je croyais pouvoir tenir. Et, j’ai vraiment honte de vous l’avouer : je n’ai pas pu !
- — Ce n’est pas grave, ça arrive de ne pas réussir à se retenir ou de ne pas mesurer combien de temps on peut tenir ! Je suis bien votre petite pisseuse, moi. Et je crois que vous m’appréciez quand même comme ça.
- — Et, je dois vous le dire aussi, je n’ai pas mouillé ma culotte, je l’ai trempée ! Le pantalon aussi… Votre chérie est penaude, ma puce. Elle vous embrasse si vous le voulez encore. Mais elle vous aime toujours !
- — Mais oui ! Franchement, vous savez mon petit secret, vous n’avez pas de raison d’être trop embarrassée.
- — Oui, mais c’est très désolant pour une dame comme moi de s’être pissée dessus après avoir fait si souvent la leçon à une fille comme vous !
- — Je vous comprends, ça m’arrive aussi de me sentir un peu chamboulée et triste quand ça m’arrive ! Surtout la nuit dans mon sommeil…
- — Je sais bien que ça arrive : j’avais déjà un peu imbibé ma culotte, quelques fois. Bien sûr, ce n’était pas grave, et même ça ajoutait une peu plus d’odeurs érotiques pour celle qui la respirait. Mais je ne l’avais jamais inondée comme ça, ma culotte ! Sauf une fois, quand j’étais gamine…
- — Si j’avais été là, j’aurais pu jouer la gentille dame pour vous. Je vous aurais un peu consolée et réchauffée avec mes caresses, avant de vous aider. Je vous aurais retiré vos chaussures et vêtements dans l’entrée, puis emmenée prendre une douche, chaude !
- — Vous avez raison de penser à me retirer mes chaussures. Elles aussi étaient mouillées, c’est vrai. Mais… Si m’avez aussi retiré tous mes vêtements, je suis nue devant vous, alors ? Mon dieu, ma Puce, c’est la première fois !
- — Voyons, ma Chérie, c’est pour pouvoir nettoyer votre craquette, vos jambes et vous réchauffer. Est-ce que vous vous sentez mieux si je vous dis ça ?
- — Non. Je suis là, nue, toute mouillée et toute honteuse, quand je rêvais d’être votre maîtresse sévère pour vous gronder quand cela vous arrive ! Surtout quand je vous trouverais le matin baignant dans votre pipi dans votre lit… Moi qui voulais vous séduire par une anatomie sans reproche sur l’hygiène !
- — Ha, ha ! Mais avant de vous laver, je vous aurais demandé de terminer votre pipi. Il en reste souvent un peu, et je pense à votre confort, ma Chérie.
- — Enfin, vous êtes bien indulgente de faire en sorte de n’être que nous deux, seules, pour me nettoyer…
- — Parce que je vous aime bien aussi en petite pisseuse, je vous avoue…
- — Bien sûr, c’est un peu gênant de vous voir observer la sortie du reste de mon pipi en appuyant sur mon bas ventre pour bien comprimer ma vessie afin de la vider complètement.
- — Pensez que je m’aiderais de ma langue pour nettoyer votre craquette qui pleure, et consoler votre trou à pipi malmené pour l’apaiser…
- — Je l’accepterais parce que vous êtes si attentionnée pour moi, ma Puce.
- — Et même si c’est un peu troublant pour vous parce que vous n’inondez pas souvent votre culotte, ce genre de situation peut servir de point de départ d’autres jeux, non ? Comme une petite punition par exemple…
- — Comment pourrais-je vous refuser de me plier à vos souhaits, après ça ?
- — J’ai honte moi aussi de vous le dire, ma Chérie : j’aimerais parfois vous tenir en laisse pour vous emmener soulager votre vessie dans le jardin quand vous en avez besoin. Un peu comme une petite chienne ou une petite chatte peut-être.
- — Je suis prête à vous suivre comme une petite chatte obéissante et reconnaissante pour me tenir à quatre pattes en pissant devant vous.
- — Vous n’auriez pas besoin de réfléchir, juste manifester votre envie et espérer que je daigne vous promener pour votre petit pipi.
- — Votre Chérie accepte tout ce que vous voudrez, ma Puce !
- — Et si vous aviez été une assez bonne fille capable d’attendre la promenade pour pisser, en échange vous recevriez une branlette de la craquette, vous à quatre pattes et ma main qui passe sous vos fesses !
- — Vous auriez tout à fait le droit de branler ma grosse vilaine mounine avec vos doigts entre mes fesses. Je vous en remercierais en léchant votre main couverte de mouille et de pisse.
- — Ha, ha ! Vous rentrez bien dans le rôle de la petite chienne, ma Chérie !
- — Parce que je vous aime, ma Puce ! Je suis capable de tout quand je suis seule avec vous.
- — Je n’ai pas envie de vous laisser en plan, ma Chérie, mais je m’endors vraiment… Bonne nuit ma Chérie, toute propre grâce à ma langue !
- — Vous m’avez bien changé les idées, ma Puce. Bonne nuit à vous aussi. Je vous embrasse partout où vous avez envie d’être cajolée…
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Une question de la plus jeune bouscula récemment le train-train des échanges entre les deux complices.
- — Où en êtes-vous de nos exhibitions honteuses dans Marie-Chantal, ma Chérie ?
- — J’y travaille, ma Puce, j’y travaille. Choisir dans nos échanges et les mettre en forme est assez fastidieux. C’est en relisant et en pensant que nous allons nous exhiber aux lectrices que ça devient excitant. Et vous, où en êtes-vous avec votre coloc ?
- — Elle m’a emmenée en balade avec son – toujours « ex », apparemment – copain, aujourd’hui.
- — Elle a des attentions pour vous, c’est gentil.
- — J’avais un peu peur d’avoir envie de faire pipi et de ne pas oser le leur dire. Aussi loin de la maison, je ne pouvais rien que le faire dehors avec eux.
- — Hi, hi ! Piégée par votre timidité, ma Puce !
- — Heureusement, elle a très vite eu envie et est partie soulager sa vessie dans un coin.
- — Ah ben, pipi commun, alors ?
- — Eh non ! J’ai eu envie aussi, mais après. Je lui ai demandé où elle était allée. Elle m’a répondu que je n’allais pas réussir à trouver l’endroit, et qu’il valait mieux que je fasse pipi à côté de la voiture…
- — Donc, à côté d’eux aussi. La coquine !
- — Elle m’a rassurée en disant qu’ils ne me regarderaient pas. Mais bon, on discutait, alors, par réflexe, elle a tourné la tête vers moi.
- — Oui, c’est normal…
- — Mais j’étais déjà déshabillée et à moitié accroupie. Et le tout face à elle, puisqu’on discutait.
- — Ainsi donc, vous avez joué à la petite Marie devant Ginette en pissant devant votre coloc.
- — Oui, j’ai bien vu son regard quitter mes yeux. Ben oui, pour voir où j’en étais, c’est un réflexe.
- — Bien sûr… normal, encore une fois ! Elle a dû se rincer l’œil en vous regardant, les yeux dans la foune, ha, ha, ha !
- — Un peu comme la fois où mon peignoir s’est ouvert sur mes seins.
- — Vous deviez être ravie, hein, ma coquine Puce, de lui montrer votre intimité ?
- — Après ce pipi, j’avais un peu honte qu’ils puissent voir ma flaque en remontant dans la voiture. Je n’y avais pas du tout pensé avant !
- — Oh, vous avez eu honte de votre flaque, je veux bien vous croire. Mais je suis sûre que vos lèvres n’étaient pas mouillées que de pipi… Croyez-vous qu’elle s’en soit aperçue ?
- — Vous êtes une vicieuse, ma Chérie ! Heureusement, ce n’était une petite flaque… Enfin, c’est quand même un peu humiliant aussi ! Je n’aurais pas pu me retenir pour une si petite quantité ? On aurait pu croire que ça venait d’un petit animal, non, c’était une grande fille !
- — Entre nous, c’est bien dommage de ne pas lui avoir demandé de vous accompagner pour vous montrer l’endroit de son pipi à elle. Vous auriez pu vous satisfaire à loisir, elle de vous voir et vous de vous montrer, sans la présence proche et inopportune de son ex.
- — Oui, ma Chérie, le mieux, aurait été que nous allions faire pipi ensemble. Mais bon, j’apprécie aussi qu’elle m’ait « ordonné » de faire pipi là où j’étais !
- — Je vois que la domination de votre coloc vous excite autant que l’exhibitionnisme, petite cochonne. De là à ce qu’elle vous propose une bassine pour votre pipi à la coloc…
- — Je préférerais qu’on se lèche mutuellement nos craquettes pisseuses, comme vous avec Andréa.
- — J’apprécie que vous mêliez mon amie à vos fantasmes, ma Puce. Voulez-vous que je lui demande sur quel site elle a trouvé ces instruments que l’on enfile dans l’urètre des vilaines pisseuses ?
- — Nooon ! Laissez mon urètre tranquille ma chérie !! Même si ce n’est pas faux, que je suis une vilaine pisseuse ! J’avais oublié que j’appréciais que vous m’appeliez comme ça.
- — Oui, vous avez aimé ce surnom tout de suite. Je m’en suis souvenu en relisant nos messages échangés. Ce qui d’ailleurs me donne aussitôt envie de me trifouiller la mounine…
- — Vous ne pouvez donc pas vous concentrer sur votre tâche sans glisser la main dans la culotte ? Bravo, grosse cochonne ! C’est à vous que ma coloc devrait donner un seau pour le pipi, pour vous punir.
- — En plus, quand vous me promettez que je vais pisser devant votre chère coloc, je ne peux plus tenir !
- — Puisque vous êtes une cochonne sans manières, ce sera sans rien. N’espérez pas qu’elle vous laisse faire votre pipi dans un seau !
- — Tiens, je ne nous vois très bien, vous et moi, comme filleule et marraine, obligées de vider notre vessie sous ses yeux…
- — Moi, c’est bien une bassine qu’elle va me donner. Une petite, sinon mon petit pipi serait vraiment ridicule dans une grande !
- — Comment nous imaginez-nous, ma Puce, au milieu du salon de votre appart ? Debout, la jupe retroussée et les jambes écartées, vous au-dessus de cette petite bassine, moi sur les carreaux ? Toutes nues, peut-être ? Ou bien, la culotte aux chevilles, accroupies, les genoux ouverts pour lui exposer notre chatte pisseuse ?
- — Avec une toute petite bassine, si elle déborde, elle pourra se rendre compte si j’ai triché et si je me suis retenue pour repousser ce moment humiliant.
- — Voilà ! Je visualise mieux : nous aurions été obligées de nous déshabiller mais en gardant notre culotte. Vos colocs auraient ri en comparant vos jolis seins tendus et ma poitrine lourde.
- — Elles nous auraient traitées de dévergondées à cause de nos tétons bandés par la honte et l’excitation.
- — Nous aurions dû nous baisser réciproquement la culotte et là encore nous aurions subi des moqueries sur nos fesses, sur les vôtres, serrées par la timidité, et sur les miennes, trop grosses.
- — Eh oui, pour descendre ma culotte sur mes chevilles, vous auriez dû vous courber, le cul en l’air, ma Chérie, et moi aussi, pour descendre la vôtre.
- — Bien sûr, la culotte sur les chevilles et accroupies, nous n’aurions pu empêcher notre pisse trop longtemps retenue de se répandre sur le tissu…
- — J’aurais tellement honte de vous voir aussi humiliée que je ne pourrais rien retenir … ce qui me ferait encore plus inonder ma culotte.
- — En punition, nous aurions été forcées de sucer les culottes mouillées, mais chacune celle de l’autre. J’aurais dû aspirer votre pipi, ma Puce. Vous auriez dû aspirer le mien…
- — Et nous y aurions trouvé tant de plaisir que mes colocs auraient été scandalisées et nous auraient condamnées à nous donner la fessée.
- — J’aurais claqué votre joli cul jusqu’à ce qu’il devienne tout rouge, pour m’avoir attirée dans ce traquenard. Vous auriez cinglé le mien de toutes vos forces, faisant trembler ma cellulite et me faisant crier, pour vous venger.
- — Nous n’aurions pas été quittes pour autant, ma Chérie : vous auriez dû vous allonger sur le dos, dans mon pipi débordé de la bassine, et dans le vôtre et je serais venue sur vous en 69.
- — Vous auriez replié mes jambes sous vos bras pour montrer mon trou du cul à votre coloc, vous lui auriez exhibé aussi mon haricot, et nous nous serions nettoyé mutuellement la cramouille toute pisseuse et poisseuse de cyprine.
- — Ma coloc vous aurait ordonné de me mettre un doigt dans le cul, et je vous aurais doigté l’anus moi aussi pour vous faire jouir d’être enculée devant elle…
- — Oh mon dieu, ma Puce, je viens de jouir !
- — Moi aussi, ma Chérie ! Merci ! Oui, vous m’aidez beaucoup. Même si ce fantasme fait intervenir ma coloc comme personnage, il est centré sur vous et moi. Ça me fait du bien de jouir avec vous.
- — Je vous embrasse au plus creux de vous, ma pucette. Mais est-ce bien raisonnable pour une marraine d’embrasser la craquette de sa filleule ?
- — Je veux bien que vous soyez ma marraine, ma Chérie. Je suis votre filleule que vous éduquez…
- — Alors, nous pouvons publier nos délires uro pour que les lectrices nous regardent et que les plus futées nous reconnaissent ?
- — Oui Marraine ! Je crois que c’est ce que je trouve de plus intime que l’on puisse exposer.
Ainsi fut fait.