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n° 21729Fiche technique28252 caractères28252
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Temps de lecture estimé : 20 mn
27/04/23
Résumé:  L’auteure et sa lectrice se sont confiées sans tabou leurs pensées intimes. Leur échange d’aveux les pousse à s’épancher en toute liberté d’esprit dans un commun péché mignon.
Critères:  ff fplusag humilié(e) cérébral revede exhib fmast uro confession -lesbos
Auteur : Dyonisia  (Souvenirs et confidences…)      Envoi mini-message

Collection : Marie-Chantal
Confidences en cascades 2/2

Confidences en cascades 2/2




Cette collection est née d’une gageure : étaler au grand jour les confidences échangées entre deux complices, sans s’encombrer de retenue ou de pudeur. Une exhibition virtuelle en quelque sorte, qui satisferait les penchants de chacune.

Comme le précédent, le présent texte ne vise pratiquement qu’un seul sujet. S’il ne vous plaît pas, inutile de vous en infliger la lecture. « Si vous n’aimez pas Intervilles, vous n’avez qu’à tourner le bouton ! », disait ma grand-mère.




Un message osé envoyé hier soir, une réponse enflammée reçue au réveil, que faire ? Elle n’avait pas hésité longtemps. Téléphoner ce matin ? Trop tard. Attendre leur conversation du soir ? Trop frustrant. L’auteure était déjà au clavier.


Oui ma Puce, j’avais la chatte qui coulait en vous écrivant hier soir. Oui, je me suis branlée pendant et après vous avoir écrit.


Oui, je nettoierais votre craquette pleine de mouille et de pipi, eh oui, deux fois oui, je vous punirais au martinet sur votre clito nu. Et c’est vous qui me le présenteriez bien dégagé, tout gonflé, tout dur, et sorti au maximum du possible avec vos ongles…


Eh oui, aussi, oui, vous pourriez vous venger ensuite en m’infligeant la même punition.


Et oui, trois fois oui, nous nous consolerions en nous mangeant le minou pour nous consoler, avant de nous endormir enlacées seins à seins.


Mais tout de même, ma Puce, vous êtes une petite coquine ! Vous ne pouvez pas vous empêcher d’espérer que l’on s’occupe de votre craquette insatiable. N’est-ce pas ?


N’auriez-vous pas une tante obligeante pour inspecter votre petite culotte ? Et pour vous faire cette toilette intime que vous réclamez ? Sinon, je me dévouerais.


J’entrerais à pas de loup dans votre chambrette, pour vérifier en silence si votre lingerie est intacte. Si elle ne l’était pas, je vous pincerais durement le bouton pour vous punir de l’avoir mouillée. Vous seriez évidemment obligée de mettre la main sur votre bouche pour ne pas réveiller la maison par votre cri de douleur.


Je le tiendrais serré assez longtemps pour que vous en pleuriez, de souffrance et de plaisir, vilaine vicieuse. Et pour que vous vous rappeliez de ne plus pisser dans la culotte, je vous tordrais lentement vos jolis petits tétons…


Vous auriez droit ensuite à cette toilette, que vous désirez tant. Mais peut-être la ferais-je à l’alcool plutôt qu’au savon… Si votre chatte avait macéré toute la soirée dans votre pipi, elle aurait certainement besoin d’être désinfectée.


Une fois bien propre, alors je pourrais vous frotter le clito et les lèvres pour susciter votre mouille avant de vous doigter et de vous branler comme vous aimez. Voudriez-vous que je doigte aussi votre petit trou ? Je vous rendrais volontiers ce service. Sans doute seriez-vous à nouveau obligée de couvrir votre bouche pour étouffer vos cris de jouissance.


Enfin, tout cela, naturellement, n’aurait pas lieu, puisque vous aviez besoin de dormir…



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Une inquiétude, cependant, tourmentait l’auteure. Certes, c’était sa lectrice qui avait, la première, glissé des fantaisies d’urolagnie aux fantasmes de sadomasochisme. Entraînée par ses propres pulsions, elle avait répondu dans le même sens. Mais était-ce vraiment ce que souhaitait sa Puce ? S’ouvrir à la réciprocité, aussi sincère que puisse être sa proposition, n’était peut-être pas suffisant. Pour poursuivre sur le sujet, il fallait s’assurer de l’adhésion de sa partenaire et avoir avec elle une conversation sans détour.


Le plus tôt serait le mieux.



Rires



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Quelque temps plus tard, une voix familière résonnait dans le téléphone de l’auteure sur un ton mi-figue mi-raisin.



Rires



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Elles avaient ouvert l’une à l’autre leur cœur et leurs pensées intimes, sans limite de décence ou d’obscénité. Pourquoi se seraient-elles privées de continuer à échanger leurs fantasmes ou leurs confidences d’ondinisme ? L’auteure s’intéressa un jour à l’emploi du temps récent de sa Puce.




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Un autre soir, l’auteure prit en catastrophe l’appel téléphonique de sa Puce et, à la question étonnée de celle-ci sur la voix troublée qu’elle entendait, eu l’innocence d’expliquer avoir froid et les cuisses mouillées.




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Une question de la plus jeune bouscula récemment le train-train des échanges entre les deux complices.



Ainsi fut fait.