n° 21744 | Fiche technique | 32820 caractères | 32820 5876 Temps de lecture estimé : 24 mn |
01/05/23 |
Présentation: Un homme balade son chien et rencontre une voisine | ||||
Résumé: En temps normal, On ne croise pas grand monde dans la campagne portugaise, mais par un concours de circonstance et de manque, le contact se fait | ||||
Critères: fh voisins fellation pénétratio fsodo -occasion | ||||
Auteur : lamenacemax47 Envoi mini-message |
J’adore venir en vacances au Portugal. Depuis cinq ans, je loue une petite maison dans la campagne, je pars avec mon chien, et j’ai trois semaines de calme et de balades dans les forêts du coin. Il n’y a pas grand-chose, ni grand monde, aux alentours. Dans la zone de cinq kilomètres autour de ma résidence de villégiature, il n’y a que deux cafés, où tout le village se dispatche après le déjeuner et le dîner, une supérette et un Galp pour l’essence. Et c’est tout. Les voisins sont éloignés, il faut faire deux kilomètres pour tomber sur le premier lot de maisons.
J’essaye le plus possible de rester loin de tout, mais mon chien ayant besoin de compagnie, je me balade aléatoirement vers les 2/3 des voisins qui ont aussi un chien. Donc, selon les jours, je m’approche soit du couple de petits vieux avec leur labrador, soit du fermier et ses chiens de chasse, soit de la famille de ressortissants portugais en vacances, avec leur épagneul breton. Ils viennent avec leurs enfants chaque année, et avec les années, les enfants sont devenus plus grands, et ont fait des enfants, et la maison a dû s’agrandir. Les parents portugais sont assez drôles pour nommer leurs enfants, on se croirait dans Beverly Hills avec des Jason, Kelly, Dylan, Brandon, Brian, Steve, Jenny, Shannon… Il y a cinq couples dans la maison, les parents, ainsi que leurs deux garçons et deux filles, chacun avec leurs conjoints respectifs. Ils sont plutôt sympas. Les mecs m’ont déjà invité plusieurs fois à des parties de foot, je ne vois pas trop les filles, qui sont souvent avec les enfants à la plage. C’est assez marquant les transformations des gens à travers des ans. Les mecs avec enfants ont pris du poids, et sont de plus en plus lents sur un terrain. Ceux sans enfants sont sveltes et endurants. Les filles, cependant, n’ont pas trop changé. Les deux ayant eu des enfants ont juste un bassin un peu plus large qu’avant. Elles sont toutes les deux brunes aux yeux marron, cheveux mi-longs, et pas très grandes. Les deux autres, qui ne sont pas de la famille, sont totalement différentes. Grandes, l’une est blonde aux yeux bleus et trop maquillée, l’autre châtain, avec de très longs cheveux ondulés jusqu’aux fesses, et de magnifiques yeux verts.
L’avantage avec eux, c’est que lorsque tout le monde est parti en vadrouille, la chienne est laissée à l’ombre dans le jardin. Cela me permet de limiter au minimum les interactions quand je suis en vacances.
Généralement, je programme les balades de 8 à 10 quand il ne fait pas trop chaud, et le soir après 19 h. Aujourd’hui, c’est mercredi, j’ai décidé d’aller vers la maison des vacanciers. Normalement, le mercredi et le jeudi, ils vont au marché, donc il n’y aura que la chienne. Mon chien reconnaît le chemin et tire pas mal. Il apprécie vraiment cette épagneule. J’ai du mal à le retenir. Comme prévu, les voitures ne sont pas dans le garage qui est ouvert, la chienne est dehors. En revanche, la fenêtre de la cuisine et la porte d’entrée sont ouvertes, une personne a dû rester. Malade ? Pas envie de sortir ? La chienne arrive en courant vers le mien et ils font immédiatement la fête. Une des filles sort la tête par la cuisine en entendant les bruits. C’est Jenny, celle aux yeux verts et aux longs cheveux châtain.
Elle m’explique qu’elle est restée pour préparer les gâteaux de leur repas du midi, car ils ont invité des amis, dont une partie sont des voisins. Dans les campagnes, les amis sont souvent les voisins, difficile d’en rencontrer autre part. Restent les fêtes, mais elles sont de plus en plus rares. J’aurais bien voulu du gâteau, mais sans être invité au repas. J’irai faire des courses pour me faire un gâteau au chocolat.
On discute vaguement de sujets sans intérêt. Sans intérêt, comparé à ma passion de regarder sa poitrine. Il faut que j’arrête, je suis certain que malgré mes lunettes de soleil on peut deviner ce que je regarde. Difficile de faire autrement aussi, son top est ultra-moulant et compresse ses seins. Je dirais bien que j’ai du mal à détourner le regard, mais mes yeux sont aussi captés par ses jolis yeux verts. Je n’avais jamais remarqué à quel point ils sont beaux. Je fais donc l’ascenseur entre les deux, en ayant peur de me faire capter à chaque fois que je regarde en bas.
Pfou, c’est encore plus sexy quand elle serre les bras contre son corps et que ses deux globes sont pressés l’un contre l’autre, j’ai une bouffée de chaleur, j’espère que mon short peut cacher ma demi-érection. Je crois que ses tétons sont levés. Je ne pense pas que je lui fais de l’effet, cette fille est bien trop jolie pour s’intéresser à moi et est en couple depuis que je la connais. Pourquoi mordille-t-elle ses lèvres ? Elle est vraiment superbe.
Je la suis dans la cuisine, elle a de longues jambes qui remontent jusqu’à un mini-short, qui moule ses jolies fesses en forme de cœur. Chaque pas est un délice de balancement de fesses de droite à gauche. Je suis hypnotisé par le spectacle.
Surpris par la question, pendant que je matais ses formes, je n’ai pas eu la présence d’esprit de demander un bout de gâteau. Cela dit, je ne sais même pas s’ils sont déjà faits, il n’y a pas d’odeur sucrée dans la cuisine.
Pfou encore, une autre poussée dans mon bas-ventre quand elle s’est penchée pour attraper le coca en bas du frigo. Ces fesses sont d’une perfection. Il faut que je dégage de là en vitesse. J’engloutis le coca en deux secondes et je pars, sinon mon érection sera visible et j’aurai la honte de ma vie, enfin, une des multiples hontes de ma vie.
Que vient-il de se passer ? Il faut que je me pince. Jenny vient de descendre son short et sa culotte sur ses chevilles et s’est penchée lascivement sur la table pour mettre en exergue ses fesses. Je peux voir son sexe, qui semble un peu humide, et son anus fripé et fermé. Je reste interdit, totalement bloqué, mes yeux sont focalisés sur ses lèvres trempées. Est-ce une invitation ? Un piège ? On ne se connaît pas assez, et même si on se connaissait mieux, ce n’est pas une situation qui peut arriver. On n’est pas dans un film X ? Je regarde autour s’il y a des caméras.
Je ne sais pas quoi répondre, elle verse le coca dans le verre, tend son corps pour reposer ses mains sur le bout de la table. Elle s’y agrippe.
Là, c’est certain, c’est une invitation. Je m’approche doucement, peur de la brusquer ou qu’elle change d’avis. Je dépose mes doigts sur le haut de ses fesses et caresse délicatement. C’est d’une douceur impressionnante, ferme, mais tendre. Je prends à pleine main ses hanches, enfonce mes doigts, masse les deux globes, en les écartant puis les resserrant, faisant tour à tour disparaître son petit trou et son sexe. Ses lèvres ne sont pas juste humides, elles sont trempées. Je me mets à genoux et regarde avec attention ce magnifique endroit. Je souffle sur ses lèvres, qui tremblent au contact de l’air frais. Je dépose ma langue dessus et parcours de bas en haut sur toute la longueur. Son corps frissonne. Je lèche dans tous les sens, je n’ai aucune stratégie, je veux juste me délecter de ce puits, tout aspirer. Je fais des tours avec la langue devant l’entrée et fais pénétrer le bout de ma langue. Sa respiration est plus intense, elle fait de petits bruits et son corps tremble au moment où ma langue se pose sur son clitoris. Je m’attarde plus longuement dessus, et pose mon index sur son entrée, qui se fait immédiatement happer. La première phalange disparaît d’un coup, mon doigt est totalement poisseux quand je le retire. J’ajoute mon majeur, et les deux phalanges disparaissent elles aussi dans son antre, alors je rentre entièrement mes doigts et entame un va-et-vient. Elle frémit, son bassin commence à osciller, et en quelques coups de langue sur son bouton, son corps se met à trembler, puis se raidit, et elle part dans un orgasme qui la fait rugir de plaisir. Elle vacille, et après quelques secondes, vient faire glisser sa main sur son sexe pour que je retire ma bouche engluée sur elle et mes doigts profondément ancrés dans sa fente.
Je me relève et m’essuie la bouche avec le bras. Je la regarde, toujours les jambes droites et le corps allongé sur la table. Elle ne bouge pas et profite du moment. Je dois lui laisser combien de temps en profiter ? Et puis, peut-être qu’elle ne souhaitait qu’un cunnilingus, après tout, elle pouvait vouloir seulement du plaisir, et pas de pénétration. Je fais quoi ? Je pourrais aussi partir sans un bruit et la laisser là, si belle, le cul à l’air, repue de plaisir. Mais, imaginons, elle veut plus, je la décevrais, et même si je ne la connais pas bien, je trouve qu’on commence à bien s’entendre, au moins physiquement. Finalement, je sors de mon portefeuille mon préservatif de secours, et déchire le papier qui l’entoure. En plus, c’est super fin, plus agréable au contact. Au son du déchirement, elle retourne juste son visage avec un air d’effroi, rapidement remplacé par une expression rassurée. Qu’avait-elle imaginé ? Elle se remet à regarder devant elle, le message est clair, j’approche ma tige toujours tendue de son sexe qui se fait absorber. Sa fente est tellement glissante que les mouvements se font sans aucun frottement, et malgré ce fin préservatif, il va falloir en faire des allers-retours pour terminer. Je me concentre sur ses magnifiques douces fesses, et les écarte pour voir son œillet s’ouvrir et se fermer au rythme de mes caresses. Mes pouces effleurent le sillon de ces fesses, son corps frémit, lorsque je suis plus insistant. Son bassin ondule au rythme de mon bas-ventre, nous sommes en osmose. Quand mes pouces descendent vers son anus, elle a un peu la chair de poule et le duvet de ses fesses se dresse.
Quoi ? Je trouve que notre relation va un peu trop vite. Plus sérieusement, je suis bouche bée. Je reste interdit quelques secondes. Mais qui suis-je pour aller à l’encontre de ses envies ? Je reprends mes caresses pour descendre lentement mon pouce droit sur son endroit fripé, et dépose l’empreinte digitale de mon pouce sur ce petit trou entrouvert. Il me suffit d’appuyer un tout petit peu pour qu’ils rentrent avec tendresse dans cet antre sombre. Ma phalange rentre au même rythme que mon sexe dans son intimité. Je ne sais pas ce que ça lui fait, mais moi je suis beaucoup plus excité que tout à l’heure. Je ne sais pas si elle le fait souvent, mais je fais comme si elle ne se donnait de ce côté-ci qu’à moi, ma récompense pour l’avoir satisfaite, mon Graal.
Franchement ? Elle n’a même pas retenu mon prénom ? Moi, c’est Maxime, ça commence comme Machin. La confusion vient peut-être de là… N’empêche, c’est super excitant, je n’ai jamais fait ça, je ne sais pas si c’est facile, si ça fait du bien, y’a pas de risques de pets ou de traces marrons ? Et puis, peu importe, je lâche un peu de salive qui tombe pile dessus, je prends mon sexe dans la main pour le diriger et approche mon gland de son anus, puis tente de l’introduire. Plusieurs fois, je crois que ça va rentrer, et ça ressort pour glisser sur le sillon de ses fesses. Plusieurs fois, je me repositionne devant, avec la même réussite. J’utilise finalement mon pouce pour pousser sur mon gland, et doucement, vraiment doucement, j’appuie lentement, mais avec précision, pour faire rompre la dernière défense. Il y a presque un « pop » quand mon bout pénètre enfin sa grotte. Elle se relâche, et commence à se toucher. J’en profite pour relever son buste, remonte son top au-dessus de sa poitrine pour accéder à ses deux collines. Ses seins sont d’une douceur tellement agréable. Ils sont chauds et ses bouts sont déjà levés. Je les pince entre mon index et mon majeur. Mon gland ne fait que de petits mouvements pour ne pas la pénétrer totalement. Pendant ce temps, sa main accélère, elle masturbe frénétiquement son clitoris. Je n’ai même pas le temps de profiter du massage de son anus sur mon gland qu’elle part dans un nouvel orgasme qui fait tressauter son corps, et crier de bonheur. Mon sexe est expulsé d’elle quand elle s’étale sur la table totalement vaincue par ce traitement. Son anus fait la taille d’une pièce de deux euros, un joli petit trou noir, qui tressaille.
Je reste là, mon membre levé, emballé dans son plastique, à regarder ce corps splendide échoué sur cette table qui vient de vivre un beau moment. On croirait que j’ai gagné une bataille, avec mon arme toujours tendue, mouillée du liquide de mon adversaire. Au bout de quelques secondes, elle se retourne, retire totalement son top, enlève short et culotte de ses chevilles, et se présente totalement nue devant moi. Elle est tout bonnement superbe. Ses seins s’exposent fièrement à mes yeux, généreux et fermes. Elle enroule ses cheveux en une sorte de tresse qu’elle fait retomber le long de son corps, et me pousse sur le canapé. Quand une femme attache ses cheveux, c’est que ça devient sérieux. Elle pose un coussin à mes pieds, pose ses genoux dessus, retire le préservatif, et vient prendre mon sexe en bouche. Je suis aux anges, le monde autour de moi disparaît, c’est trop bon, j’étais déjà pas loin de finir tout à l’heure, mais ça, ça va m’achever.
Je suis aspiré et masturbé simultanément. Ses yeux verts me supplient de me déverser dans sa bouche. Son regard est un appel à lui donner ce qu’elle désire. Je ne sais pas combien de temps ça a duré, mais c’est trop peu, alors que j’aurais souhaité que ce soit jusqu’à la fin de mes jours. La situation est intenable. Je me lâche sans me retenir, dans sa bouche, en plusieurs giclées. Elle maintient mon sexe en bouche et avale tout pour mon plus grand bonheur. Je ne sais plus où je suis, je sais jusque qu’une femme splendide vient d’avaler ma semence. Elle appuie sur mon sexe pour en récolter le plus possible, presse mon sexe du bas vers le gland et, délicatement, sa langue vient nettoyer mon membre qui s’avoue vaincu et perd de sa superbe. C’est un sexe un peu ramolli qu’elle retire de sa bouche en aspirant ce qui reste.
Elle se lève fièrement, avec, je trouve, une certaine classe, et se rhabille. Ses fesses reviennent se placer dans ce short moulant, ses seins dans ce top serré. Elle se dirige vers la fenêtre, et se met à rire. Je me lève, le sexe pointant vers le bas, me rapproche d’elle et je vois nos chiens en train de copuler.
Nous éclatons de rire.
Quand nous reprenons notre calme, je me rhabille, sans parler, prends la laisse du chien, sors et l’attache.
Je souris, je n’ai pas tout compris à ce qui vient de se passer, mais je hoche la tête. Évidemment que je veux bien revenir demain…
-------------------
Et voilà, encore une fois c’est à moi de rester seule.
Alors OK, j’ai un peu choisi de ne pas aller avec tout le monde au marché, j’irai demain, ce n’est pas un problème, mais mon mec aurait pu rester avec moi… Ou on aurait pu tout simplement aller en amoureux nous balader au bord de mer en profitant de la fraîcheur.
Mais non, comme d’habitude mon homme part avec les mecs et ne s’occupe pas de ce que je veux moi.
Je choisis donc de rester préparer les gâteaux et les tartes pour la réception des amis ce midi. Il fallait bien que quelqu’un le fasse de toute façon.
Ce que je voulais moi, c’était une balade romantique, des moments tous les deux. Depuis le début des vacances, on ne se voit limite que le soir pour aller se coucher, le reste c’est petit-déj’, déjeuner et dîner tous ensemble. Et, avant les vacances, c’était boulot-dodo. Il est où le couple là-dedans ?
Je parle même pas du sexe, je ne sais même plus la dernière fois qu’on a baisé. Il me semble que c’était un samedi soir, j’ai dû le sucer alors qu’il s’endormait et ça date de deux semaines avant le début des vacances. Il ne m’a pas prévenue et j’ai reçu son sperme dans la bouche, le temps d’aller le cracher au lavabo, il s’était endormi. Donc un mois complet sans se toucher, et on ne peut pas dire que le dernier moment d’intimité était extraordinaire. J’en ai été réduite à mater du porno. Mais bon, on tourne en rond, c’est toujours la même chose, ils s’embrassent, se déshabillent, une pipe, un cunni, une pénétration, une sodomie, et une éjac faciale. Comme si c’était la façon dont une femme souhaite un moment intime…
Il n’empêche que là, maintenant, je veux du sexe ! Je veux sentir un homme, je veux être caressée et désirée, c’est pas compliqué. Il me faut du concret, du physique, je veux toucher et être touchée. Je veux un mec, mon mec.
Si encore j’avais quelques jouets, j’en aurais profité ce matin pendant leur absence, mais j’ai que mes doigts et mon imagination. Et cela ne remplace pas mon homme.
En attendant, j’ai deux tartes aux pommes, un cheesecake et un gâteau au chocolat à faire. Et aussi surveiller la chienne, puisqu’on ne l’emmène pas au marché. J’irai faire une sieste crapuleuse toute seule, pendant que le cheesecake cuira.
Tiens, revoilà le voisin qui balade son chien. Il est louche, ce type, partir en vacances tout seul avec son chien, c’est pas net. Au moins, ça fait de la compagnie pour Rubis. Il est mignon son chien, et ils s’amusent bien ensemble. Mais j’arrive pas à comprendre ce gars, et j’ai toujours l’impression qu’il nous mate, comme s’il essayait de nous deviner nues. Les filles sont d’accord avec moi, mais ça les fait rire. Certaines femmes aiment bien être matées, moi, cela me met mal à l’aise. Je pense que la majorité est comme moi, mais par défi mes amies disent le contraire.
Rubis fait une fête à son chien, j’aurais dû la rentrer, maintenant je vais devoir lui dire bonjour…
Je déteste les échanges de banalités, en plus il risque de mettre à mal mon planning : ce matin, je me masturbe, c’est acté, je vais le mettre à la porte rapidement. Il est au courant qu’on voit ses yeux à travers ses lunettes de soleil ? On voit bien qu’il est en train de mater mes seins au travers de mon top. Mais bizarrement, là maintenant cela ne me dérange pas. J’ai l’impression que son regard me fait pointer, tout ça parce que je suis déjà excitée à l’idée de me masturber. Il ne faut pas qu’il voie ça comme une invitation, je vais croiser les bras sur ma poitrine.
Ou alors… ou alors je serre mes bras contre mon corps pour presser mes seins l’un contre l’autre. Ça pourrait être marrant de l’exciter, ça me chaufferait encore plus et j’atteindrais l’orgasme plus rapidement. C’est décidé, je le chauffe. Je continue à discuter avec lui, mais en sortant ma langue de temps en temps et en mordillant mes lèvres. Mes tétons sont bien dressés maintenant, et il en profite bien, c’est marrant. Il essaye de ne rien montrer, mais ses yeux n’en perdent pas une miette. Ça chauffe en bas, j’aime beaucoup l’effet de son regard finalement. Et il est pas mal en fait, sportif, svelte, s’il savait qu’il est bien mieux sans ses lunettes, avec ses beaux yeux bleus. Allez, on va s’arrêter là, je suis assez chaude pour prendre du bon temps avec mes doigts, je lui dis au revoir et je file me caresser.
Ou alors…
Il me suit dans la cuisine, je ne sais pas trop ce que je fais, en fait, je suis un peu trop excitée, j’ai l’impression que ma culotte est trempée. Heureusement que cela ne se voit pas avec mon short en jean. Quel est mon but, l’amener dans ma cuisine, le chauffer, puis lui dire de dégager une fois que je suis à deux doigts de l’orgasme ? Je suis complément folle. Imagine s’il me viole. Je ne sais plus ce que je fais, j’ai l’impression d’être dans un état second, incapable de prendre une décision cohérente. Il ne me chauffe même pas, en plus. Je ne crois pas qu’il me fasse envie, je suis juste bouillante de désir de me caresser et d’hurler de plaisir. Finalement, c’est toi qui es bizarre ma pauvre fille. Ou alors, tu ne sais pas ce que tu veux. En fait, si, je sais ce que je veux, je veux du sexe, je suis en manque, je veux être pénétrée, je veux être comblée. Je vais me le faire, je ne sais pas s’il veut de moi, mais je vais me le faire. Mais qu’est-ce que je raconte ? T’es en couple, ma vieille, tu vas pas te faire le premier venu, juste parce que tu es en manque ? Reprends-toi, ne te laisse pas dicter ta conduite par ton corps. Ton corps qui est bouillant, tes seins qui réclament des caresses, lentes et précises, sur toute ta peau douce, tes tétons veulent être pincés, et ton sexe léché, puis doucement pénétré. Oh oui, une bite dans ton sexe, c’est ce que tu désires au plus haut point. Mais tu vas te taire, espèce de voix vicieuse dans ma tête !
Mon corps ne me respecte plus. Je me penche lentement pour prendre le coca en bas du frigo, je pousse mes fesses vers l’arrière pour les mettre en valeur. Je sais que mon short est court et qu’il doit avoir une belle vue. Mais ce n’est pas suffisant pour qu’il comprenne, ce n’est pas un animal, et je n’ai pas de temps à perdre maintenant, je veux être prise. Je suis dans un état pas possible, je ne me souviens pas avoir déjà été autant excitée, mais je ne me souviens pas non plus avoir déjà été aussi entreprenante. Je vais tenter un truc fou.
Je vais prendre un verre dans le placard pour le déposer de l’autre côté de la table, encore une fois en me penchant les fesses en arrière, je pose le coca à côté du verre. Je me relève, défais mon bouton de short, descends lentement ma culotte et mon short à mes chevilles, puis me repenche vers l’autre bout de la table pour attraper le verre et la canette. Mes seins sont appuyés sur la table, mes tétons tendus.
Mes fesses nues sont sous son nez. Je ne bouge pas, fais couler le coca dans le verre, et une fois terminé, je tiens le bord opposé de la table avec mes doigts. Je ne le vois pas, mais il doit être pétrifié.
Si avec ça il ne comprend pas. Vas-y, mon gars, enfourne ta bite dans mon sexe, tu ne vois pas que je suis trempée ? T’attends quoi ? Prends-moi. Je sens enfin ses mains sur mes hanches, il caresse doucement mes fesses, cela chatouille un peu. Il les agrippe maintenant, il va me pénétrer, enfin, ça va être bon, je vais crier de plaisir, ça va glisser. Oh que cette attente est délicieuse. Un courant d’air frais vient rafraîchir mon sexe mouillé. L’effet chaud/froid est étonnamment agréable. Tiens, ce n’est pas une bite, ça, c’est une langue, et elle parcourt tout mon sexe, c’est bien aussi, j’aime ! Un frisson secoue mon corps, sa langue furète sur mes lèvres, en lèche chaque partie, lape de plusieurs coups de langue, fais de petits ronds devant l’entrée, et vient finalement titiller mon clito. Il se débrouille plutôt pas mal, la chaleur est folle dans mon bas ventre. Il rentre une phalange dans mon sexe, mais va falloir faire plus, ça glisse tellement qu’il ne rencontre aucune résistance. Heureusement, il s’en rend compte et ajoute un autre doigt, c’est tellement bon. Une seconde phalange rentre, j’ai l’impression qu’il pourrait mettre le poing entier tellement c’est ouvert et glissant. Sa langue se concentre enfin à l’objectif principal, me donner du plaisir. Et pendant que ses doigts entament un va-et-vient rapide, je sens monter rapidement un orgasme foudroyant, qui met tout mon corps en transe, je prends enfin mon pied ! C’est bien mieux que ce que j’avais prévu, finalement, cette matinée est intéressante. Mon corps se raidit, mes ongles pénètrent le bois de la table, ma bouche laisse sensuellement sortir un chant de soulagement. Je me laisse aller, mes jambes chancellent et j’appuie ma main sur mon sexe pour qu’il en décolle ses lèvres.
C’était tellement bon, je me calme un peu, et reprends le contrôle de la situation. En résumé, je suis cul nu, short et culotte sur les chevilles, étalée sur la table, le sexe trempé, et un presque inconnu vient de me faire un cunni qui m’a donné un excellent orgasme. Je le remercie et lui dis de partir ? Alors que j’ai enfin l’occasion d’avoir une bite en moi ? Je suis complètement conne, moi, je serais prête à laisser un inconnu me prendre sans même me protéger ? Il faut stopper ça tout de suite, et reprendre mes esprits.
C’est quoi ce bruit ? Je retourne doucement ma tête sur le côté pour le voir mettre un préservatif sur son sexe. Ses mains se repositionnent sur mes hanches et je sens un gland se frotter sur mon sexe qui l’avale d’un coup, sans le retenir une seule seconde. Il n’a même pas poussé, sa bite est venue se nicher immédiatement à l’intérieur et est maintenant au fond de mon sexe. Je pousse un long soupir de satisfaction. Je l’ai attendue, cette bite, que ça fait du bien ! Il entame un doux va-et-vient en moi, sans se précipiter, et caresse tendrement mes fesses. Il remonte de temps en temps ses mains sur mon dos et en profite pour remonter mon top. On dirait un massage de dos sensuel, puis il redescend vers mes hanches pour les agripper. Soit il est vraiment doué, soit je prendrais du plaisir avec n’importe quoi, tellement je suis excitée. À chaque caresse de mon derrière, ses pouces passent sur le sillon de mes fesses, et je ne sais pas pourquoi, je n’en ai jamais vraiment eu envie, mais j’aimerais bien un doigt dans le cul. Rien que le dire dans ma tête, ça fait vulgaire, mais c’est ce que je veux. C’est ça, je désire ardemment qu’un doigt fureteur vienne me caresser mon petit trou. Appuyer tout doucement sur cette entrée interdite et la pénétrer d’une phalange inquisitrice, que mon anus s’ouvre doucement et laisse un doigt inconnu gagner la chaleur de cette intimité.
Mais qu’est-ce que je viens de dire ? Je suis vraiment tarée, c’est sorti tout seul, sans réfléchir. Quelques secondes passent, il doit me prendre pour une folle. Il reprend son massage des fesses pour finalement lentement gagner du terrain avec son pouce, qui maintenant est placé juste sur ma petite caverne. Il appuie tout doucement et soudain, il le rentre ! Oooooh, il l’a fait. C’est étrange. Excepté la surprise de la pénétration, ça n’apporte pas grand-chose en fait. Ah si, il joue tout doucement avec l’entrée, ça chatouille un peu, et il continue à me limer. Mais qu’est-ce que c’est que ce vocabulaire, ma tête, ou mon corps, sont vraiment obscènes. Qui domine ? Qui suis-je ? Et si je me faisais enculer ? Mais tu vas te calmer, oui ? Tu te crois dans un film de cul ? On n’encule pas comme ça, faut s’y préparer, et je n’en ai jamais vraiment eu envie, malgré les propositions de mon homme. Homme qui est absent et qui n’est pas celui actuellement en moi. Et il n’aurait pas ma virginité de ce côté-là si je l’offre à mon inconnu. Il me fait tellement de bien avec sa bite en moi et son pouce… aussi en moi, mais dans l’autre trou.
J’ai encore parlé sans réfléchir, c’est quoi ce bordel ? Je ne connais même pas son nom, je dois passer pour une conne en chaleur. Il va le faire en plus. Il a doucement retiré son sexe, et a placé le gland sur mon petit trou. Je sens un liquide dessus. Cela dit, au point où j’en suis, il peut me cracher sur l’anus, ça change pas grand-chose. Il pousse tout doucement, mais ça ne rentre pas, mon trou fait de la résistance, son pouce avait facilement trouvé l’entrée, mais son gland est bien plus gros que mon anus. Je sens qu’il appuie, je pousse aussi pour m’ouvrir, et j’en profite pour me caresser. Son gland pousse, puis glisse et ressort sans vraiment être rentré. Son sexe glisse sur le sillon de mes fesses, et vient se repositionner devant. Plusieurs tentatives sont infructueuses, jusqu’à ce que la poussée semble un peu plus précise et forte. Humpffffff, il est rentré. Mon petit trou est pénétré pour la première fois par une bite, une bite inconnue. C’est assez surprenant, pas vraiment descriptible. Je n’ai aucun plaisir physique, j’ai par contre un grand plaisir coupable mentalement. Je suis perversement excitée d’être envahie par ce trou qui n’est pas destiné au plaisir habituel.
Et mon sexe est toujours aussi chaud. Je mets immédiatement mon majeur sur mon clitoris et commence à le masser. Mes caresses sont précises, je ne peux pas me retenir de sortir un feulement de ma bouche. Il me redresse doucement, et remonte mon top pour pouvoir caresser mes seins pendant que son gland fait de tout petits mouvements dans mon cul. Il ressort presque totalement pour ensuite mieux rentrer jusqu’à la démarcation du gland. Comme s’il me sodomisait pour la première fois, à chaque entrée. Le mouvement de ma main est de plus en plus rapide. J’imagine qu’il la rentre un peu plus. Je pourrais lui demander de m’enculer pour de vrai. Mais qu’est-ce que je raconte. Je suis déjà tellement excité, que je n’ai même pas besoin qu’il me ramone le cul. Mais bordel, c’est quoi ce vocabulaire ? Mes caresses sont tellement précises, et mon excitation tellement forte qu’au bout de seulement trois pincements de mes tétons, je hurle mon plaisir, je crie de bonheur, je jouis, encore, mais plus fort. Je ne saurais quantifier, mais largement plus fort que le premier, qui était déjà exceptionnel.
Je m’étale sur la table, vaincue par cet orgasme, toujours les fesses nues, libérée du gland qui était dans mon cul. Derrière moi, un mec presque inconnu, la bite dressée, qui doit regarder ce corps échoué, terrassé par un plaisir qu’il ne sait imaginer. Il doit avoir une vue superbe sur un petit trou qui vient de s’ouvrir pour la première fois à un sexe. Il n’a pas terminé, il doit être excité à mort. Mince, il attend peut-être quelque chose. Ce n’est pas un vibromasseur, je ne peux pas juste l’éteindre. Comme tout bon porno qui se respecte, je sais ce que je dois faire, mais ai-je envie de le faire ? J’ai eu ce que je voulais.
Je me relève, retire mon top, mes seins pointent vers lui, je le pousse sur le canapé, et retire short et culotte de mes chevilles. Je suis totalement nue devant lui, mes cheveux lâchés cachent une partie de mon corps, mais il a déjà pu regarder en détail, et même des parties que moi je n’ai jamais vues. Je réunis mes cheveux en une longue tresse qui pend sur le côté gauche de mon corps. Il est assis sur le canapé et me regarde, ses yeux dévorent mon corps comme il a dévoré mon sexe tout à l’heure. Je prends un coussin, le pose devant lui et me mets à genoux. Finalement, c’est validé, je vais le remercier. Son sexe est au garde-à-vous, il donne la direction de ma bouche. J’aurais préféré qu’il soit mou pour le gober délicatement et le sentir grandir à la chaleur de ma bouche, le sentir me remplir et taper sur mon palais. Mais il est bien dur, impossible à plier. Je retire le préservatif, enroule ma langue autour de son gland. Sa bite tressaute entre mes joues. Elle palpite rapidement, j’ai l’impression de sentir tous les nerfs de son membre. Je ne me souviens pas avoir eu autant envie de sucer une bite. J’en profite pour descendre ma main gauche sur mon sexe et reprendre les caresses, mon clitoris est sensible, mais toujours réceptif.
Il est prévenant. Mais j’ai déjà décidé, j’enfourne sa bite dans ma bouche, et j’aspire le plus possible son sexe tout en le branlant rapidement. Il halète, à mon avis, mettre son sexe dans mon cul a dû l’amener au bord de la jouissance, il ne va pas tarder à inonder ma bouche. Son sexe tressaute, il éjacule presque immédiatement, après un petit cri, et plusieurs jets viennent taper sur mon palais pour ensuite couler vers ma gorge. J’avale pour ne pas avoir à le goûter, pour que le goût ne reste pas sur mon palais, mais aussi parce que je veux sentir son sperme me nourrir. Le liquide se déverse au fond de ma gorge, j’arrive à tout avaler, puis presse son sexe pour tout sortir. Il ne restera rien, les gouttes tombent lentement sur ma langue. Je bois ce liquide poisseux et amer jusqu’à la lie, pendant que ma main continue de me donner du plaisir, mais je n’atteindrai pas un nouvel orgasme. Sa bite ramollit doucement pendant que ses boules commencent à recharger. C’est très drôle à voir, surtout de près. Elles font des sortes de vagues.
Je me lève un peu chancelante et me rhabille. Je vais à la fenêtre, et ce que je vois me fait tellement rire. Il s’approche de moi, étonné, nos chiens sont en train de copuler.
Nous éclatons de rire.
Je le regarde s’habiller, sans parler, il prend la laisse du chien, sort et l’attache. Encore une fois, je parle sans réfléchir.
Il me lance un sourire timide et un signe de tête positif, puis part, certainement interloqué par ce qui vient de se passer.
Finalement, ne pas réfléchir, ça peut être bien.