Préambule

Lui

Nous sommes assis sur la banquette et prenons possession des lieux le temps que l’on s’habitue à la semi-obscurité. L’odeur de sperme est présente, justifiée par une poubelle où plusieurs kleenex ont été jetés. Cela nous met tout de suite dans l’ambiance et contribue à l’atmosphère générale. En faisant le tour de la pièce du regard, nous constatons un trou à mi-hauteur dans la cloison qui sépare une autre cabine. On devine la lumière de l’écran télé de l’autre côté. Je me dis alors que nous risquons d’avoir de la visite… la température monte d’un cran. Tu es habillée d’une petite robe d’été qui t’arrive au-dessous du genou. Tu es assise et écartes les jambes sous la caresse de ma main baladeuse. Je récupère ta culotte que je glisse dans ma poche, non sans en avoir humé les délicats effluves… Je glisse alors ma langue sur cette fente déjà humide ! Ta curiosité attire ton regard vers ce fameux trou. Tu es intriguée par une ombre furtive, quelqu’un semble regarder au travers. Tu me fais remarquer cet intrus et décides de te lever. En me demandant mon approbation du regard, tu te baisses en m’ayant suggéré au préalable de m’asseoir sur la banquette. Négligemment, tu te tournes pour présenter ta croupe au regard de ce voyeur. Tu déplaces ta robe sur le côté pour bien dégager la vue de ton cul à notre voisin…

Elle

Je bascule doucement mon bassin à droite et à gauche comme pour indiquer que je m’adresse à l’inconnu.

Je rapproche ma chatte de la cloison afin de la mettre juste en face de ce trou. Je me colle à la paroi. Je ne sais pas ce qui pourrait se passer, mais je suis curieuse… Je dévore ta queue avec gourmandise, et gémis de cette situation.

Sa réponse à cette invitation ne se fait pas attendre, je sens deux doigts pénétrer ma chatte et me doigter vigoureusement.

Je réponds par des gémissements plus prononcés. Tu me regardes très excité pour voir dans mes yeux l’effet que cela me fait. Tu me demandes alors si j’aime ça. Je te réponds oui entre deux soupirs et gémissements. Tu passes l’une de tes mains sur les bords de ma chatte. Je suis trempée. Alors tu me demandes si j’en voudrais plus…

Je bascule doucement mon bassin à droite et à gauche comme pour indiquer que je m’adresse à l’inconnu.

Je découvre alors que l’inconnu a sorti son sexe et l’a fait passer à travers le trou. Une belle bite très raide et veinée et son gland imposant sont là. Mon cœur s’emballe…

Que vais-je faire ? Je l’ai bien cherché, maintenant.

Lui aussi voudrait que je m’occupe de lui. Je te regarde, et tu me réponds du regard en me guidant de nouveau vers la cloison. Sans un mot, je comprends que tu m’invites à m’occuper de lui.

Timidement, j’attrape cette queue, et en partant du bas je fais remonter ma langue jusqu’au gland, trois fois. Je sens des frémissements de l’autre côté. Je passe ma langue autour de son gland, puis le fais rentrer dans ma bouche… J’entends un râle de plaisir ou de soulagement, je ne sais pas… Cela m’excite énormément. Je l’enfonce encore plus profondément en moi, mon hésitation semble s’être dissipée. Je m’applique à sucer notre invité goulûment.

Je m’arrête un instant pour te regarder…

Lui

Tu vois mon regard et tu comprends mon accord. Je vois sa queue s’enfoncer dans ta bouche. Tu arrives à prendre plus de la moitié malgré ce gland turgescent et l’épaisseur de sa bite.

Une odeur de sexe commence à prendre possession de cet endroit confiné. Je sens l’odeur de ta mouille. Je me baisse pour regarder et je vois tes poils imbibés et suintants de ton plaisir. Ta chatte est ouverte tellement tu es excitée. Tu t’actives de plus en plus autour de cette bite. Tu la lèches, tu essaies de l’avaler complètement avec des bruits de succion qui couvrent les gémissements des films des autres cabines. Cette situation m’excite au plus haut point. Ma langue prend possession de ta chatte et remonte jusqu’à ton trou du cul. Tu plaques alors tes fesses sur mon visage afin de faire rentrer ma langue dans tes entrailles… Nous restons imbriqués comme ça plusieurs dizaines de secondes. Ta mouille me coule le long du visage. Je m’astique la queue. De ton côté, tu t’affaires toujours avec avidité sur ce membre. Ta salive coule par terre. Tout d’un coup, tu t’arrêtes. Je viens de t’enculer comme tu aimes. C’est rentré tout seul tellement tu es ouverte. Tu retires ta bouche de cette hampe et feules en me regardant. Tes yeux sont révulsés par le plaisir. Pendant ce temps, l’homme a retiré son sexe et s’affaire de son côté. Je me doute de ce qu’il fait. Sa queue réapparaît avec un préservatif !

Elle

Je suis surprise et impressionnée. Je n’avais pas imaginé, en franchissant le seuil de ce sex-shop à tes côtés, me retrouver dans cette situation. Cet homme dont je ne connais absolument rien hormis désormais sa bite en veut encore plus. Il veut me pénétrer.

Dans mon corps, une chaleur m’envahit, je sens que je ne le maîtrise plus totalement. J’ai envie de sentir cette grosse queue que j’ai sucée avec plaisir, désormais s’enfoncer au plus profond de moi. Tu es mon seul guide à présent, ma raison m’a quittée.

Je te regarde de nouveau, et tu lis tout ce que je ressens dans mes yeux. Tu ressors de moi, tu m’embrasses avec passion et m’invites à m’offrir à notre inconnu en me faisant me retourner.

Je me positionne de façon à mettre mon sexe au niveau de sa queue, je la caresse de ma main pour me guider. Et je recule d’un seul coup pour la faire rentrer profondément… Je pousse alors un cri que je n’ai pu retenir.

Ma chatte s’est écartée sur son passage et je me sens remplie au plus profond. Mes fesses sont maintenant collées à la cloison. Son sexe ressort alors pour mieux me reprendre par la suite. Je te regarde dans un état second, tu te caresses, tu es très excité de me voir ainsi. Je ressens le besoin de te sucer. Tu t’approches de moi et je te lèche et aspire tes couilles dans ma bouche…

Lui

Tout a été très vite, tu t’es empalée sur ce pieu fièrement tendu et ton regard reflète l’envie et le désir. Le doute m’envahit subitement malgré le travail de ta bouche sur mes couilles. Tu les aspires si fort que j’ai vraiment du mal à garder le contrôle. Tu continues à me regarder, tes mains accrochées à mes cuisses tellement il te prend au plus profond. Je vois à quel point tu aimes cette bite et je comprends toutes ces années où tu avais refoulé cette envie de te donner juste pour ton plaisir. Mais je vois aussi tout ton amour, cet accouplement bestial, tu le fais parce que je suis là et que tu as mon approbation. Tu m’excites encore plus. Je sais que tu mouilles abondamment parce que l’odeur de sexe est de plus en plus présente dans ce petit local. Je me demande de quoi tu as envie maintenant. Tu gémis de plus en plus fort et tu pousses tes fesses contre cette minuscule cloison qui tient encore debout, je me demande comment. Tu glisses une de tes mains entre tes cuisses. Je ne sais pas ce que tu fais, mais il s’est arrêté lui aussi de te pistonner…

Elle

Je ne sais plus où je suis. Je me livre à cet homme sans retenue et mon plaisir est immense. Tu es là, je ressens ton amour, tu me rassures et m’invites à lâcher prise. Sans toi, je ne vivrai rien de tout cela. Mon plaisir devient le tien et réciproquement. Alors que je suis là, à me faire prendre profondément et sans ménagement pendant que je m’occupe de toi, je passe ma main droite vers mon sexe. Il est dégoulinant de ma mouille, je sens ma propre odeur qui m’excite tellement. Je passe mon index sur mon clitoris qui est gonflé de toute cette excitation. Je fais tourner la pulpe de mon doigt tout autour, je me sens fébrile.

Soudain, l’invité s’arrête… Quelles sont ses intentions ? Que dois-je faire ? Qu’attend-il de moi ?

Perdue, je te regarde, ayant besoin de toi… À nouveau, ton regard m’ôte mes doutes et mes peurs… Et j’ose… J’ose me déplacer légèrement et proposer mon cul…

Et son œil qui était réapparu a bien compris le message…

Lui

Ton regard est profond et je lis de la défiance, serai-je capable de te laisser te donner complètement. Ai-je vraiment envie, malgré toute cette excitation, que tu offres ta dernière intimité à cet inconnu ? J’ai du mal à soutenir ton regard. Je sais que tu attends mon approbation. Tes yeux me supplient, car déjà je sens que notre sex-boy a commencé à caresser ton petit orifice. Avec la langue ou un doigt, je ne sais pas. Tout se bouscule dans ma tête, j’ai peur qu’il te fasse mal… j’ai peur de te perdre aussi… ce jeu peut être dangereux… Tu comprends cette ambiguïté, tu ne me regardes plus. Ta main droite s’active toujours sur ton bouton, l’autre me serre très fort la mienne. Tu as pris ta décision, j’attends fébrilement. Accepteras-tu cette grosse queue au plus profond de tes entrailles ou capituleras-tu ???

Elle

Le sexe de notre invité est réapparu, il me semblerait même qu’il est plus gros encore. Où est-ce le doute qui m’envahit quant à sa destination ? Mon cul est souple et ouvert, par mon envie et ta présence en moi il y a peu. Mais vais-je pouvoir tout prendre ? Est-ce que cela va te plaire ?! Ces questions sont là, mais l’envie et ta confiance me poussent à agir… Je cesse de me caresser afin d’attraper sa queue et de pouvoir me l’introduire doucement dans mes fesses. Je sens qu’elle commence à s’introduire en moi, mon petit trou se dilate pour lui laisser le passage. Ces frémissements me laissent à penser que l’homme apprécie tout particulièrement que je m’abandonne totalement…

Elle continue sa progression, je me sens déjà très pleine de lui… Je te tiens toujours fermement la main, je la sers. J’ai besoin de te sentir. Tu me regardes intensément dans les yeux comme pour ressentir avec moi. Soudain, la progression de sa bite en moi s’arrête, et il ressort presque entièrement… Quand tout à coup, il s’introduit totalement d’un coup sec ! Je suis stupéfaite et pousse un cri mêlé de surprise, de douleur et de plaisir qui a dû s’entendre dans tout le magasin. Je lis dans ton regard de l’inquiétude, mais j’essaie de te rassurer en te montrant que ça va.

Lui

Je comprends que ta décision est prise. L’état second dans lequel ton plaisir t’a emmené a pris le dessus. Tu te fais chienne, ton regard est plongé dans le mien et je lis le plaisir et une forme d’inquiétude au moment où ta main le guide vers ton orifice. Ta bouche s’arrondit au fur et à mesure que sa queue s’introduit… il prend son temps pour bien te dilater. Même si j’étais passé avant, le passage est encore étroit au vu de l’épaisseur de sa tige…

Tu pousses ce cri quand il te reprend de façon brutale cette fois-ci, j’ai peur qu’il t’ait déchiré, mais à la façon dont tu te plaques contre la paroi, je me doute que le plaisir est immense !

Je t’entends gémir et ta voix devient plus rauque… « Oui, vas-y, prends-moi le cul » sont les premiers mots que j’entends !

• — Vas-y, oui, plus fort ! Défonce-moi le cul, salaud ! Je veux ta grosse queue au fond de mon cul, putain !

Ces mots sont comme une décharge électrique pour moi. Je me branle frénétiquement en t’écoutant. Je ne vois malheureusement pas cette bite t’écarter le cul et te limer avec force….

Peut-être, sens-tu cette frustration et aimerait-il aussi te prendre mieux, toujours est-il qu’il se retire d’un coup !?

Tu te retournes incrédule et frustrée ; tu t’enfonces trois doigts dans la chatte pour maintenir ton excitation. Tu dégoulines de partout. Je me penche pour regarder et ton trou est ouvert ? Béant en attente du chibre qui l’a possédé.

Tout d’un coup ; on entend toquer à la porte ! Tout se bouscule dans ma tête. Tu me regardes, incrédule, et me serres de nouveau très fort la main… Je sais que j’ai déjà capitulé…

Elle

Après m’avoir profondément pénétré le cul sans sommation, notre invité a continué ses allées et venues énergiques. Un peu douloureux au départ, je sens que mon corps se détend pour lui donner tout le loisir de profiter de moi. L’excitation est à son comble, je suis hors de contrôle, je m’entends le supplier de me prendre encore plus fort, de me défoncer totalement.

Je gémis comme un animal, j’ai l’impression de ne plus être moi-même.

Je sens que mon appel est entendu, mais cette cloison le bride dans les coups de reins qu’il souhaiterait m’assener… Moi-même voudrais me cambrer davantage et accompagner ses mouvements, mais cela m’est impossible. Maintenant qu’il est bien planté en moi, ma main droite à nouveau libre retourne très vite me caresser le clitoris. Je suis tellement mouillée que mon doigt glisse sur lui, il est tellement gonflé… La chaleur m’envahit à nouveau, je ralentis mes caresses sans quoi je crains d’être proche de l’explosion… Je te vois te branler, ton regard rempli de plaisir et d’envie… j’entends aussi ton plaisir. Cela me comble encore plus.

Notre invité cesse de me prendre et ressort de moi… Je me sens soudainement si vide, comment se peut-il que cela s’arrête comme cela ? J’enfonce mes doigts dans ma chatte pour combler ce vide… et me doigte frénétiquement.

Soudain, on toque à la porte, mon cœur s’emballe à nouveau… N’ayant jamais lâché ta main, je te sers à nouveau très fort. J’ai très peur, nous avions un jouet à notre disposition. Chacun profitant de la situation qui se présentait alors à nous. Mais sommes-nous prêts à accueillir vraiment quelqu’un entièrement ? À quoi ressemble cet homme ?

À vrai dire, je ne me suis pas posé la question une seule seconde. Je voyais surtout son membre. Et c’est de lui que j’avais envie, pas forcément de cet homme. Je crains que cela ne vienne tout gâcher… Ai-je envie de croiser son regard à lui ? Ai-je envie de le voir me considérer comme un vulgaire objet, une vulgaire proie ? Suis-je prête à cela ? As-tu envie de cela toi aussi ? N’as-tu pas peur de me perdre ? À quel moment cessons-nous d’être fidèles l’un à l’autre ?

Ton regard m’indique que toi aussi, tu es envahi par des tas de questions.

Je te serre très fort à nouveau, j’ai tellement besoin de toi, j’ai toute ma confiance en toi. Je te suivrai, quelle que soit ta décision. On se regarde intensément, on s’embrasse langoureusement, je sens la douceur de notre Amour m’entourer. Cela me rassure tellement.

Tu t’éloignes et attrapes le foulard avec lequel je suis venue, je comprends ce que tu as alors en tête. Nos questionnements se sont rejoints… Nous échangeons un dernier regard amoureux et tu me bandes alors les yeux…

Cela toque à nouveau à la porte… J’entends alors que la porte s’ouvre…

Lui

Tu t’es réfugié dans mes bras, j’entends ton cœur qui bat fort, à l’unisson avec le mien comme notre amour, si fort…

Je ne veux surtout pas te perdre, je ne veux pas te jeter dans les bras d’un autre, je sais que ce jeu peut être très dangereux, j’en ai vraiment trop peur !

Tu devines tout ce que je ressens et tu me serres encore plus fort… je prends alors la décision de te bander les yeux avec le foulard que tu avais en arrivant…

La porte s’est entrouverte, l’homme rentre doucement avec mon assentiment. Il est grand et costaud, une quarantaine d’années, de type caucasien. Ses traits sont marqués par un travail dur à l’extérieur. Ses mains le prouvent aussi.

Il te regarde, mais je lui fais comprendre qu’il ne peut pas te toucher sans mon accord qui sera aussi le tien. Je vois la bosse que forme son survêtement au niveau de son bas ventre. S’il a débandé, cela reste déjà impressionnant.

Je te murmure à l’oreille que notre invité est derrière toi en t-shirt et survêtement. Tu m’embrasses fougueusement et me dis que tu m’aimes éperdument… ton souffle est court, mais je ressens ton excitation.

Tu te retournes en te mettant à genoux. Tu poses les mains sur l’homme et essaies de te repérer en tâtonnant. Tu poses alors les mains sur cette bosse… tu mets tes mains de chaque côté de son bas et tu le descends doucement. Ta bouche est très proche. Tu essaies de sentir cette odeur de sexe que tu aimes. Sa bite commence à apparaître et je me demande quand est-ce qu’elle va sortir complètement tellement cela prend du temps.

Et, tout d’un coup, je découvre cette queue épaisse avec ce gland encore plus gros qui est resté décalotté. Ses couilles sont aussi imposantes et pendent largement sous cette hampe qui commence à se redresser sous l’effet de ton souffle.

Tu poses une de tes mains autour de cette bite qui gonfle encore et avec l’autre tu soupèses cette paire de couilles. Je ressens ton excitation et je me caresse de nouveau…

Tu te jettes alors sur cette gourmandise que tu engloutis comme tu peux. Tu le suces de nouveau avec avidité et lui presses les couilles.

La réaction ne se fait pas attendre et il reprend sa taille impressionnante. Il est prêt !

Tu te relèves et te retournes contre moi. Tu as le goût de son sexe dans la bouche et cela m’excite. L’homme s’est placé derrière toi et est rentré d’un coup tout au fond. Tu t’agrippes à mes épaules ; ta bouche s’est ouverte d’un coup et tu as lâché un grand râle de plaisir. Je me pose juste une question : où est-il ?

Elle

La porte vient de s’ouvrir, et j’entends des pas derrière moi. Avec le foulard, je ne peux plus me plonger dans tes yeux, mais je sens ta présence près de moi.

Tu me murmures qu’il est là derrière moi… L’excitation m’envahit à nouveau, j’ai un peu d’appréhension, mais tellement envie.

Je t’embrasse avec tout l’Amour que je ressens même et surtout en cet instant… En la confiance que nous avons l’un pour l’autre qui nous permet d’aller bien au-delà de ce que nous aurions pu imaginer.

Je me retourne pour lui faire face, et me mets à genoux. Je pose mes mains sur lui à la recherche de son sexe, que je sens imposant sous son pantalon.

Je le déshabille alors afin de déballer cette queue offerte pour que je puisse en prendre possession. Je caresse son anatomie, j’approche ma bouche de sa queue et tout en passant mes mains sur ses couilles, elles aussi impressionnantes.

Je prends son membre dans ma bouche que je sens se raffermir en moi, je la dévore. Sa main droite se pose à l’arrière de ma tête pour accompagner mes mouvements… J’aimerais la prendre en entière, mais cela m’est difficile, je l’enfonce au fond de ma gorge. Je bave abondamment… Mes mains lui maintiennent les couilles et les pressent d’abord doucement puis plus durement. Je sens la fermeté de sa queue bien raide, j’ai très envie qu’il me baise à nouveau.

Je me relève et me retourne, et je t’embrasse.

Je sens alors deux mains puissantes et légèrement rugueuses me saisir par la taille… Je t’attrape par les épaules. J’écarte légèrement mes cuisses, et me cambre pour me donner à lui… Il s’enfonce alors profondément dans ma chatte dégoulinante de ma mouille. Je pousse un cri de plaisir et presque de soulagement. Je le sens au plus profond, et j’ai envie qu’il me malmène en me donnant d’énormes coups de reins. La réalité est au-delà de mes espérances, je sens notre invité emporté par son plaisir et déployant une énergie folle me démonter sans ménagement. J’entends ses râles liés aux sensations que mon corps lui procure et le claquement de son bassin contre mes fesses.

J’aimerais au même instant te sucer et te lécher… Mes mains viennent te caresser et te branler. Tu es très dur, cette situation t’excite énormément… Il semblerait que tu ressentes beaucoup de plaisir à me voir me faire prendre sauvagement.

Lui

Les bruits de succion de ton sexe inondé par le plaisir que te procure cette queue qui te pistonne sans ménagement m’excitent de plus en plus. Tu as du mal à garder l’équilibre accroché à moi tel un pantin secoué par les coups de boutoir de notre invité. Je vois ressortir sa bite recouverte de traces blanches et disparaître presque immédiatement dans ta grotte qui ne demande qu’à l’accueillir. Ces images procurent en moi une vague de plaisir. Oui, j’aime te voir te faire prendre par un chibre épais et long qui te remplit complètement, parce que je sais aussi maintenant que tu aimes ça. Je n’ai plus peur de te perdre, car tu n’y vois qu’un objet de plaisir et rien d’autre. Le paroxysme du désir partagé, sans aucun doute sur la finalité de cet acte.

Tes seins ballottent dans tous les sens et tu râles de plaisir. Le bandeau ne résiste pas à ce déchaînement et se retrouve autour de ton cou. Je croise de nouveau ton regard mêlé de plaisir et de tout l’amour que tu me portes. Je t’encourage à t’abandonner encore plus et les mots sortent de ta bouche…

• — Oui, vas-y, baise-moi comme une grosse salope ! Plus fort encore ! C’est bon ! Continue… encore !! Défonce-moi ! Mets-la-moi dans le cul, je veux la sentir dans mon cul !

Il ne faut pas deux secondes pour que sa bite se positionne à l’entrée de ton petit trou. Et c’est toi qui vas t’empaler d’un seul coup. La porte s’est ouverte d’un seul coup et ton cul a englouti cette queue très facilement, entièrement… Ton plaisir s’est décuplé d’un seul coup. Tu ne peux t’empêcher de dire ce que tu ressens.

• — Oh oui… ! Encule-moi fort… Je veux la sentir au fond de mon cul… ! Vas-y, encule-moi !

Je n’en peux plus. Tu me branles maintenant en me suçant entre deux mots. Tu m’attrapes les couilles et me tires dessus. Je ne peux me retenir et éjacule de grands jets de sperme qui viennent s’épandre sur ton visage. Tu entends l’homme râler au même moment et tu te doutes qu’il va jouir aussi. Tu te retournes, lui enlèves le préservatif et le suces avec mon sperme qui te dégouline sur la bouche. Tu lui tends la langue et il te crache dessus… Au même moment, alors que tes doigts te besognaient la chatte, tu jouis à ton tour…

Nous restons quelques instants en silence. Je fais signe à cet inconnu de repartir. Je veux que ce moment soit le nôtre, tout simplement.

Elle

Je me fais démonter de plus en plus fort, je m’accroche à toi pour ne pas perdre l’équilibre. Mon foulard finit par glisser et je peux de nouveau plonger mon regard dans le tien. Je sens que je peux me laisser totalement aller à mes désirs. Je demande alors à notre invité de me baiser comme une grosse salope, comme une grosse chienne qui prend son pied avec sa grosse bite. J’ai envie qu’il me reprenne le cul maintenant qu’il m’achève…

Notre inconnu s’exécute en ressortant de ma chatte et en se positionnant à l’entrée de mon cul qui n’attend plus que d’être pénétré. Je ne peux plus attendre davantage, je recule pour m’empaler sur lui ! Humm, je ne suis plus qu’une boule de chaleur, partout dans mon corps, je sens la température monter. Tu vois dans quel état je suis… Tu es terriblement excité. Je te branle vigoureusement et te suce en même temps, je veux te faire atteindre le sommet du plaisir. Je veux te combler. Je te tire sur les couilles fermement… Tu cèdes et me gicles sur le visage. Je sens l’odeur de ton sperme sur moi. Je me sens tellement fière de te satisfaire… L’homme qui s’affaire toujours à me démontrer le cul pousse des râles m’indiquant que sa jouissance à lui approche également… Je veux aussi voir son sperme, alors je lui retire son préservatif et le suce avidement. Je suis terriblement excitée, je me caresse le clitoris, il est ultra-sensible sous mon doigt, je sens que je suis proche d’exploser… Je sens que la bite que je suce va cracher son jus alors j’ouvre ma bouche et tire ma langue prête à le recueillir. Sous cette excitation ultime, je jouis au même moment, je sens le plaisir m’irradier le corps tout entier.

Je n’ai plus qu’une seule envie maintenant : me blottir nue contre toi…