n° 21747 | Fiche technique | 30084 caractères | 30084 5209 Temps de lecture estimé : 21 mn |
02/05/23 |
Résumé: Une incroyable envie de vivre et de s’éclater, pour cette veuve rencontrée sur Internet. | ||||
Critères: fh fagée gros(ses) forêt campagne voir exhib fmast fellation cunnilingu pénétratio fdanus fsodo -rencontre | ||||
Auteur : Foretdorient Envoi mini-message |
1 – Sur Internet
Lucette, je l’avais alpaguée, comme tant d’autres, sur un de ces sites de rencontre…
Veuve, retraitée, donc au demeurant peu fortunée, profondément malheureuse et esseulée, avec une famille bien peu reconnaissante, après tout ce qu’elle avait fait pour ses proches, elle avait vraiment tout pour plaire, la Lulu.
118 kg pour 1 m 68, ainsi qu’indiqué sur sa fiche de présentation, un sacré beau morceau ! Quelques photos surannées, mais toujours très correctes, complétaient le tableau ; rien de dénudé ou d’aguicheur, elle ne mangeait pas de ce pain-là.
Malgré tous ses défauts, et plus vraisemblablement à cause d’eux, j’avais émis le souhait de la rencontrer. Elle n’était pas franchement enthousiaste, pas franchement hostile non plus.
Je dus faire preuve d’ingéniosité pour me présenter sous mon meilleur jour et la convaincre de me recevoir. Après tout, seuls dix ans nous séparaient, il n’y avait pas mort d’homme, pour moi aussi, la retraite approchait à grands pas ! En plus, j’étais gentil tout plein, la crème des crèmes. Je la laissais parler d’elle et abondais dans son sens, autant que faire se peut. Elle adorait la flore, la faune et les jolis paysages ; je lui en servais à toutes les sauces.
Au bout de moult palabres, rendez-vous fut donc pris. Sa voiture étant en panne (depuis quelques mois, elle ne bougeait pratiquement plus de chez elle), je dus donc faire le déplacement.
2 – Première entrevue
Elle habitait un coin perdu, une région en voie de désertification, il y avait presque une maison à vendre à chaque coin de rue. Qui plus est, elle habitait un hameau à l’écart, pas trop facile d’accès et difficile pour elle de faire ses courses, sans faire appel au bon vouloir du voisinage.
Au début, on fit copain-copain, bises chastes sur la joue et sourires enjôleurs. C’est vrai que son visage était très marqué et son corps pour le moins boudiné, les chairs flasques, les rides profondes, une femme usée par la vie et par les soucis. De plus, elle avait du mal à se mouvoir et était à moitié handicapée. En revanche, elle était éminemment sympathique et d’un abord très facile. Une bonne vivante qui ne dédaignait pas, en guise d’apéritif, se goinfrer de charcuterie bien grasse, accompagnée de quelques verres d’alcool. Jeune dans sa tête, elle avait envie de sortir, de rigoler, de s’amuser, de profiter un peu du temps qui passe. Coincée qu’elle était chez elle, elle avait tendance à se morfondre et à broyer du noir.
Au bout du troisième apéro, nous étions tous les deux un peu hilares. Je suis allé pisser et, quand je suis revenu, profitant que je passais derrière elle, j’ai tenté ma chance, j’ai plongé mes mains dans son giron pour palper son opulence. Mais elle m’a immédiatement saisi par les poignets et m’a fermement repoussé, sans animosité, cependant.
Je me suis confondu en plates excuses, espérant ne pas avoir définitivement gâché mes chances pour une seconde entrevue. Mais il n’en fut rien, on s’éternisa tout l’après-midi autour d’un déjeuner succulent, repas qu’elle avait pourtant concocté avec les moyens du bord, le tout arrosé d’un petit vin du coin. S’en suivit café, pousse-café et bonne humeur. On discuta de longues heures à bâtons rompus, en parlant de tout, de rien, de musique, de spectacles, de nature aussi, ses trois principaux centres d’intérêt, sujets sur lesquels elle était intarissable. En particulier, la nature était vitale pour elle et à préserver à tout prix ; elle adorait les plantes, les arbres, les animaux, les cours d’eau, les forêts. Du temps où elle pouvait encore se mouvoir, elle passait des journées entières dans la campagne environnante, à admirer les couleurs, à respirer les odeurs, à écouter le chant des oiseaux.
Sur les coups de 18 h, je me suis affalé sur le canapé et ai piqué un petit roupillon. J’avais les yeux embués d’alcool et il aurait été déraisonnable de reprendre la route dans cet état. Le soir venu, elle me proposa de rester dormir chez elle et de ne repartir qu’au petit matin.
Malheureusement, j’avais des réunions importantes le lendemain matin et préférais rouler de nuit, plutôt que de repartir à la fraîche.
Une accolade un peu trop appuyée, pleine d’envie et de sentiments partagés, un long baiser qui n’en finit plus et je repris la route en pensant à ma nouvelle conquête.
3 – L’envie d’approfondir
Cette longue journée passée ensemble nous avait rapprochés. Cette femme, par ailleurs avenante et facile à vivre, était en plus intelligente et intéressante dans ses propos. Militante écologiste convaincue, mais pas du genre de celles qui hantent les salons parisiens, elle avait toujours vécu en pleine cambrousse, et chichement avec les bouseux du coin.
Nos échanges devinrent par conséquent beaucoup plus fluides et décontractés. C’était un vrai plaisir de la retrouver plusieurs fois par jour, pour tchatter avec elle, et je crois que le plaisir était partagé et que le désir se faisait sentir.
Mais mon agenda était très chargé et je n’avais pas trop le loisir de retourner dans son coin perdu, d’autant plus que je devais m’occuper de mon équipe de foot la plupart des week-ends.
Au bout d’un certain temps, elle commença à s’impatienter, preuve que notre rencontre lui avait vraiment plu, et qu’elle avait une forte envie de me revoir.
À partir de cette confidence, nos conversations devinrent nettement moins chastes, au fur et à mesure que l’envie de sexe se faisait sentir.
Je l’inondais de questions vis-à-vis des hommes qu’elle avait accueillis chez elle, combien étaient-ils, qui étaient-ils, et surtout qu’avaient-ils fait ensemble ? Elle était tombée sur une poignée de malades et alignait une collection impressionnante d’anecdotes pittoresques, mais pas toujours très drôles. Entre celui qui n’arrivait pas à bander et qui l’avait copieusement insultée dans la rue, devant tous les voisins, en la traitant de noms d’oiseau et en rejetant la faute sur elle, et celui qui l’avait violemment fistée à lui en faire mal, et j’en passe et des meilleures. Sans compter le lot de ceux qui avaient juste envie de se taper une grosse mamie, un petit coup vite fait pour essayer, et on ne les revoit jamais !
J’avais lancé cette proposition un peu à la va-vite, sur un coup de tête. J’avais envie de la baiser et j’avais peur de me faire piquer la place, car je savais qu’elle discutait aussi avec d’autres hommes.
Par la suite, j’ai pas mal ramé pour obtenir cette semaine de congés. Certes, j’avais pas mal de vacances en retard, mais nous étions en pleine période de démarrage, un gros projet qui battait de l’aile, et ma cheffe de service me fit comprendre que ce ne serait pas bien, pour ma promotion, de me défiler en pareil instant. Il me fallut négocier âprement et je n’obtins finalement que trois jours, vendredi, lundi et mardi, mais surtout pas le mercredi, car nombre de nos collaborateurs étaient en 4/5 et avaient de la marmaille à s’occuper, ce jour-là.
Lucette sauta de joie, elle comptait maintenant les jours avant mon arrivée, et avait manifestement la moule en feu.
On trouve de tout sur Internet, et cette fois-là, elle était tombée sur le style autoentrepreneur touche-à-tout, mal rasé et bien vicelard. L’homme s’était proposé pour lui refaire sa cabine de douche, moyennant une somme modique. Mais, de fait, c’était un bricoleur du dimanche, qui bricolait surtout les chattes de ses clientes, qui plus est, avec maladresse. L’énergumène était resté trois jours, durée qui lui avait suffi pour saboter le travail, résultat des courses, désormais il y avait des fuites partout ; et pour saboter la baise, il l’avait obligée par les trois trous et, suite à cet enculage sauvage, elle avait eu du mal à s’asseoir pendant plus d’une semaine.
4 – De courtes vacances
Je suis arrivé tard chez elle, dans la nuit de jeudi à vendredi. Mais Lulu m’attendait encore, en chemise de nuit, sagement assise devant sa télé, sur la banquette du grand salon. Elle m’avait prévenu que la porte resterait ouverte. Une fois débarrassé de mes affaires, il ne me fallut pas bien longtemps pour la rejoindre et pour que nous roulions des pelles à n’en plus finir. Les mains baladeuses ne se firent pas attendre, les miennes plongèrent vers sa gorge XXL que je me mis à palper comme un sagouin, les siennes libèrent ma queue avant de la saisir et de la branler avec envie. La fièvre s’était emparée de nous. Quelques instants plus tard, j’avais la main entre ses cuisses et doigtait sa chatte poilue avec fébrilité. Elle avait raison, elle était vraiment trempée et devait en mouiller la banquette. J’aurais bien voulu la renverser et la prendre de suite, tellement nous avions envie, elle comme moi.
Mais elle tint, avant ça, à me sucer la bite. Debout sur le canapé, je présentai ma queue raide à hauteur de sa bouche. Elle l’avala sans plus attendre et entreprit de me pomper avec conviction. Putain, elle faisait ça bien, une vraie pro de la fellation. Quand je sentis mon jus monter, je la prévins :
Mais, au lieu de se calmer, elle redoubla d’intensité en me palpant les couilles avec dextérité. Je crois que je n’ai jamais autant pris mon pied dans une bouche humaine. Elle m’a vidé, complètement vidé et s’est délectée de ma semence qu’elle a avalée. Puis, elle a continué à lécher mon gland un bon moment pour recueillir les dernières gouttes.
Épuisé par le voyage, ce remède de choc m’avait achevé. Je me souviens vaguement que nous nous sommes dirigés vers sa chambre et que nous nous sommes péniblement déshabillés. Mais, à peine affalé tout contre elle, je suis tombé dans les bras de Morphée, très loin donc de cette longue nuit de baise que je lui avais promise, et que nous évoquions souvent dans nos échanges.
Il devait être bientôt midi quand je me suis réveillé. Elle était toujours entièrement nue à mes côtés et elle me regardait.
Mes doigts, qui étaient en train de pincer les bouts de ses mamelons, glissèrent lentement le long de son ventre rond, à la recherche de son pubis velu. Sa chatte était noyée dans la mouille, preuve, s’il en est, de son excitation. Je plongeai bientôt le visage entre ses grosses cuisses. Puis, écartant ses bourrelets, je me mis à dévorer sa vulve. Les lèvres étaient épaisses et charnues et le clito gros et saillant. Je la fis jouir à plusieurs reprises en lui suçant la chatte, son corps était agité de soubresauts, tandis qu’un râle bestial s’échappait de sa bouche. Je la léchai à nouveau, glissant mes doigts dans son con, en hasardant un autre dans son cul, tandis que le frôlement de ma langue sur son clito turgescent lui arrachait un feulement guttural.
Je bandais comme un malade, j’avais envie de la ramoner. Mais elle tint absolument à me reprendre en bouche. Manifestement, la sucette, c’était vraiment son truc.
Elle me lécha avec appétit, mais se montra plus raisonnable, de petits coups de langue précautionneux, elle goba aussi mes couilles. Puis elle consentit enfin à ce que je la prenne. On s’en donna à cœur joie en grognant comme des bêtes et en alternant les positions. Missionnaire, jambes en l’air, levrette ou sur le côté, je jouis plusieurs fois en elle et les draps se retrouvèrent bientôt souillés de nos jus respectifs. Quel pied ! Nous étions tous les deux satisfaits et repus, nous nous endormîmes à nouveau dans les bras l’un de l’autre.
À mon réveil, il faisait nuit, elle n’était plus là, j’entendis un bruit de casseroles dans la cuisine, elle devait être en train de préparer le repas.
5 – Soirée musicale
Le lendemain, donc samedi soir, il y avait un petit spectacle dans la ville d’à côté, des groupes locaux, moitié folk, moitié blues, un peu de rock aussi. Rien de bien folichon, mais Lucette était enthousiaste à l’idée de pouvoir sortir un peu. Nous passâmes une agréable soirée à siroter des bières en écoutant de la zique zarbi. Une de ses connaissances, un zonard avec des bagouses, vague ami d’un de ses neveux, nous offrit même un pétard.
C’est vaguement éméchés, que nous sommes revenus à la maison sur le coup de minuit. En la voyant se déshabiller et en matant son gros cul, l’envie me prit de la prendre par là également. Nous en avions tellement parlé, et l’idée de l’enculer m’excitait bougrement. Ma bite était dure et dressée, je m’approchai d’elle et lui glissai un doigt mouillé dans l’anus. Puis, m’agenouillant derrière elle et écartant ses grosses fesses, j’entrepris de lui lécher le cul et d’y enfoncer ma langue.
Je pris toutes mes précautions pour bien enduire son anus de gel et pour bien le préparer avec mes doigts. Elle gémissait à chaque allée et venue. Quand je la sentis enfin prête, j’enfonçai mon gland dans son sphincter, poussai un peu et bientôt son cul avide engloutit toute ma queue avec un appétit féroce.
Je ne me fis pas prier. Cela dura un bon moment à aller et venir lentement entre ses reins, puis elle me donna le feu vert pour accélérer le rythme, et je me mis à la ramoner avec entrain, ahanant derrière elle et profitant de ses grognements en retour. Nous jouîmes presque de concert tandis que je m’épanchais copieusement dans son ventre.
Nous éclatâmes d’un fou rire irrépressible en nous couchant.
Elle bredouilla quelque chose d’incompréhensible en sombrant dans le sommeil.
6 – Au bord de l’étang
Le lendemain dimanche, le temps était radieux, le ciel d’un bleu intense que n’obscurcissaient que quelques rares nuages, une première depuis des semaines. Le printemps montrait enfin son museau. Nous décidâmes de préparer un pique-nique et d’aller nous balader en forêt. Mais les chemins, encore boueux, ne nous permirent pas de nous enfoncer trop loin dans le bois, j’avais trop peur de rester embourbé dans les ornières. Nous nous retrouvâmes au bord d’un étang entouré de roseaux.
Elle voulut faire quelques pas autour du plan d’eau. Je l’y rejoignis et, arrivant derrière elle, commençai à lui peloter la poitrine.
Malgré ses protestations, elle se retrouva bien vite dépoitraillée, et j’entrepris de lui téter les nichons en les pétrissant sans vergogne. Elle se mordilla la lèvre pour ne pas gémir.
L’instant d’après, mes doigts glissaient dans sa chatte qui était trempée d’envie.
J’accélérai les mouvements dans sa chatte tandis que mon autre main malaxait sa poitrine, avec une telle vigueur que je sentis bientôt la jouissance s’emparer de son corps. Elle dut se mordre au sang pour ne pas gémir. Je sentis son corps vaciller et elle s’écroula soudain sur le sol boueux parmi les roseaux.
Nous avions installé une couverture sur le sol pour le repas. Protégée par la végétation et les hautes herbes environnantes, elle se sentait plus à l’aise. Elle consentit à ce que je la déshabille entièrement, dans le but officiel de faire sécher ses vêtements que j’étendis sur un buisson. Mais, quand je la vis nue, offerte au beau milieu des herbes, mon sang ne fit qu’un tour et ma bite, déjà bien dure, se redressa encore. Je m’approchai d’elle et lui présentai ma queue qu’elle emboucha sans plus attendre. Pour ça, elle était toujours prête ! Puis je vins entre ses cuisses épaisses et m’enfonçai dans son antre, qui n’attendait visiblement que ça.
Je pense que la situation l’excitait presque autant que moi et, après s’être bien fait limer, elle ne put retenir ses cris de jouissance qui s’égaillèrent dans la nature et firent s’envoler quelques oiseaux. Et ma jouissance ne fut guère plus discrète.
Après l’amour, le réconfort, et il y avait de quoi faire dans le panier. Assise sur la couverture, poitrine et fesses à l’air, elle ne faisait même plus attention à qui aurait pu la découvrir en tenue d’Ève. Elle était bien, elle était belle, elle me donnait envie, et je ne me suis pas gêné pour la baiser à nouveau après le repas, en espérant secrètement que quelqu’un pourrait nous découvrir ainsi.
7 – Plus loin dans la forêt
La journée de lundi fut pluvieuse, mais le soleil revint le mardi matin. Nous nous décidâmes pour un nouveau pique-nique.
Ainsi fut fait, on se retrouva dans un sous-bois au bord d’un petit chemin et je commençai par la dépoitrailler, par l’embrasser partout, et sa jupe ne mit pas longtemps à être dégrafée et à rejoindre le sol. Me débarrassant à mon tour de mon pantalon, je la fis pencher contre une souche d’arbre et la pris de suite, sans préambule. Il faut dire que nous étions tous les deux fins prêts, elle trempée, comme à son habitude, et moi dur et dressé. Une copulation dans l’urgence qui lui arracha de nombreux cris de jouissance. C’était un coin paumé et nous étions convaincus qu’il n’y aurait personne. Elle s’en donna à cœur joie.
C’est donc en toute décontraction que nous avons ensuite pique-niqué, dans le plus simple appareil. Et nous étions en train de discuter, de musique, cela va de soi, en dévorant du rôti de porc arrosé d’un verre de vin, quand les cyclistes sont arrivés. Ils ne nous ont pas vus au premier abord. Ils ont posé leurs VTT contre un arbre et l’un s’est enfoncé sous la futaie pour pisser. Ce n’est qu’à ce moment-là que l’autre nous a remarqués. Il en est resté bouche bée. Vous vous rendez compte, deux vieux à poil autour d’un casse-croûte. Quand l’autre est revenu, il lui a fait signe de la tête dans notre direction. Lucette était livide et s’est mise à paniquer, elle a regardé vers ses vêtements, décidément trop loin pour qu’elle les attrape, et s’est contentée de poser ses mains sur ses mamelles pour essayer de les camoufler, des yeux implorants tournés vers moi.
Ils avaient l’air, eux aussi, complètement stressés. Pas bien méchants, et même inoffensifs.
Ils préférèrent jouer aux jeunes désabusés, qui en avaient vu bien d’autres et qui n’en avaient rien à foutre. Et ils ne tardèrent pas à reprendre leurs montures et à s’éclipser.
Une fois seuls, Lucette me fit presque une scène :
J’essayai de la convaincre que la probabilité était faible, mais elle ne semblait pas convaincue et insista pour se rhabiller. Et c’en fut fini ce jour-là, cela gâcha un peu la fin de ce long week-end, car l’intermède était terminé et je devais rentrer chez moi.
8 – En guise d’épilogue
Malgré ce contretemps, nos aventures bucoliques ne s’arrêtèrent pas là, bien au contraire. Il ne fallut pas 48 h à la belle, pour faire amende honorable.
J’ai vraiment été très bête, j’avais encore envie de toi et t’ai privé d’un dernier moment de plaisir avec moi. Si tu savais comme je regrette… En plus, nous ne faisions rien de mal, nous étions juste nus à discuter et les deux jeunes n’avaient pas l’air bien méchants… J’espère que tu vas revenir très vite, car le festival de plaisir que tu m’as offert, durant ces quelques jours, a été trop court et… j’ai à nouveau envie de toi.
Je ne vois plus du tout la nature de la même façon, depuis ce que nous y avons fait. J’avais la trouille, mais j’étais aussi passablement excitée, cela a décuplé ma jouissance. J’ai très envie de recommencer, que tu me déshabilles à nouveau au milieu des herbes et que tu me prennes comme un animal parmi les bêtes sauvages. Je dois reconnaître que c’est très excitant de faire l’amour dans les bois, même en risquant de se faire prendre. Quel pied de faire l’amour avec dame Nature !
Bises sur ton gros sexe noueux.
Ta Lulu
Voici ce qu’elle m’écrivit dans son tchat du jeudi matin.
À chaque fois que je retournais chez elle, ce que je parvenais à faire quatre ou cinq fois par an, nous retournions nous balader ou pique-niquer dans la nature. C’était devenu un fantasme commun et je crois que Lulu était encore plus acharnée que moi. Elle était devenue accro à cette prise de risque et, lors de nos échanges par tchat, elle m’en parlait souvent.
Quand je venais la voir, nous allions baiser dans la nature, parfois même par temps de pluie. Et, quand elle était seule, il lui arrivait aussi d’aller se masturber au bord de l’étang. Elle m’avoua même qu’elle avait converti un autre de ses amants à ces amours champêtres, ce qui me rendait d’ailleurs incroyablement jaloux, car l’homme en question habitait beaucoup plus près de chez elle et semblait particulièrement tordu et pervers. Enfin, bon, c’était comme ça, j’étais trop loin pour formuler des exigences, et ne pouvais guère en demander plus.
Nos rencontres durèrent ainsi encore six bonnes années avant que la maladie ne l’emporte, une crise cardiaque qui la faucha dans son sommeil. Son toubib l’avait pourtant prévenue, elle picolait un peu trop, la Lulu !