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n° 21748Fiche technique12425 caractères12425
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Temps de lecture estimé : 9 mn
02/05/23
Résumé:  Le premier texte de la collection était le fantasme. Voici comment ce fantasme s’est concrétisé la toute première fois.
Critères:  fhh hplusag inconnu fépilée vacances campagne exhib cunnilingu pénétratio yeuxbandés init -couplea3
Auteur : LittleGabrielle      Envoi mini-message

Série : Le parking

Chapitre 02 / 02
2 - La réalité

La première partie de cette histoire était le fantasme tel que nous l’avions écrit. Voici comment, dans ce second chapitre, ce fantasme est devenu réalité quelques jours plus tard au cours d’une chaude soirée d’été.



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Depuis quelques jours qu’ils avaient stationné leur petit camion sur le parking de la plage nudiste, le manège de l’homme ne leur avait pas échappé. Sa voiture apparaissait tous les soirs à peu près à la même heure. Il parcourait l’aire de stationnement en long et en large, repassait, se garait près des autres véhicules. Il attendait quelques minutes, puis son manège reprenait Gabrielle et Antoine avait laissé courir leur imagination. Il cherchait une rencontre avec un homme ? Une femme ? Un couple peut-être ?


Ce soir-là ils avaient décidé d’en avoir le cœur net. L’apéro avait déjà échauffé leur imaginaire.



Elle adorait que son homme assure ce rôle, Gabrielle avait une confiance absolue en Antoine.



Gabrielle enfila sa petite robe bleue. Une jolie petite tenue à froufrous, assez courte, entièrement boutonnée sur le devant, qui offrait une vue dégagée sur ses épaules et la naissance de ses seins, et qui laissait entrevoir son entrecuisse et sa culotte à la moindre brise. Gabrielle avait complété la tenue d’un large chapeau de paille noir qui lui donnait un petit air de ravissante des années 70.



Gabrielle cacha son intimité sous un petit dessous tout candide de coton blanc, du genre de ceux qu’elle savait faire craquer son amant à chaque fois.



La porte latérale de leur van permettait de déployer une table de bois haute sur laquelle ils aimaient attendre la nuit en sirotant un petit verre et en regardant la mer. Antoine positionna Gabrielle face au chemin, exposée aux regards de quiconque passerait par-là, puis il lui écarta les cuisses en remontant bien haut la frange de sa petite robe.



Gabrielle était toute rouge. Gênée. Mais Antoine savait bien que le trouble de la situation n’était pas pour déplaire à sa petite amie. Ils se servirent un petit verre d’alcool en attendant l’apparition de l’inconnu.


Celui-ci ne tarda pas. La voiture noire fit son entrée à l’autre bout du parking, descendant lentement l’allée étroite. La voiture ralentit en passant à la hauteur du couple. Antoine empêcha sa compagne de se dérober aux yeux de l’inconnu. Il lui écarta grand les cuisses, exhibant le blanc de sa petite culotte au regard du chauffeur. La voiture ralentit un peu plus, manqua de s’arrêter, puis elle accéléra pour disparaître par l’autre extrémité du chemin.



Antoine embrassa sa petite amie tout en défaisant les premiers boutons du haut de sa robe et en écartant le tissu soyeux jusqu’à presque dévoiler la pointe de ses petits seins. Puis il glissa une main entre les cuisses de la jeune femme.



La main masculine se glissa sous le coton de la culotte de Gabrielle.



Le jeune homme écarta le coton blanc afin de dégager la fente lisse et humide de sa chatte.

C’est le moment que choisit l’inconnu pour réapparaître au volant de son automobile. Le véhicule passa très lentement au niveau du couple. Antoine écarta encore plus les jambes de Gabrielle, puis il glissa un doigt entre ses lèvres gorgées de miels crémeux.



La voiture marqua une pause à leur hauteur. Antoine continuait à caresser les cuisses offertes de sa petite amie en lui imposant une position, mains dans le dos, dont l’impudeur ne pouvait laisser planer aucun doute sur le petit jeu d’exhibition auquel se livraient les deux amants. La jeune femme paraissait simplement offerte !


L’inconnu se gara près d’eux, puis il coupa le moteur. Antoine fit pivoter Gabrielle d’un quart de tour afin que l’homme puisse continuer à profiter du spectacle. Il pencha son amie en arrière puis s’agenouilla devant elle, glissa sa tête entre les cuisses ouvertes, et se mit à promener doucement sa langue sur la fente mouillée de la jeune femme.


Il entendit le bruit d’une portière se refermer. L’homme s’approchait d’eux à pas feutrés.



Antoine se redressa puis, un sourire au coin des lèvres :



La jeune femme, honteuse, rabaissa les froufrous de sa robe et referma les cuisses. Antoine servit un verre à l’homme puis, s’adressant à Gabrielle en souriant :



Antoine, assis sur le tabouret derrière elle, lui écarta les jambes et repoussa de nouveau le tissu de sa petite culotte afin d’exhiber sa minette toute lisse et de glisser un doigt impudique entre les lèvres gonflées de son sexe.



Gabrielle rougit. L’homme, grand, sec, les cheveux bien gris qui lui donnaient une bonne cinquantaine, la dévorait des yeux.



Antoine finit de déboutonner la robe de sa petite amie dévoilant son ventre et ses petits seins fermes, deux petites poires resplendissantes dans la lumière rasante et chaude du soleil couchant. Gabrielle se laissa faire, elle sentait ses tétons pointer et se gonfler de désir tant la situation l’excitait. Elle comprit qu’Antoine venait de déclarer le début du jeu et qu’elle ne pouvait maintenant plus reculer.


Elle pencha la tête en arrière, ferma les yeux, et poussa un gémissement de plaisir lorsqu’elle sentit les mains de Claude s’aventurer tout contre la peau frémissante de sa poitrine. Les mains de l’homme dessinaient de douces arabesques, ondulant dans la petite vallée qui fermait le sternum entre les deux petites collines de ses seins avant de remonter presque timidement jusqu’aux pointes dures et dressées. Elle poussa un petit cri lorsqu’il lui tenailla les tétons.


Antoine s’était agenouillé entre ses jambes. Sa langue se promenait sur toute son intimité, remontant les cuisses, effleurant la naissance de ses grandes lèvres, puis remontant jusqu’au petit bouton rose et luisant de son clitoris que le jeune homme prenait grand soin d’éviter afin de faire languir son amie. Antoine glissa un doigt ferme dans son vagin. Gabrielle ne put retenir un grognement de plaisir. Claude lui mordillait ses seins, Antoine faisait aller et venir son doigt dans sa chatte béante.


Gabrielle glissa une main entre les jambes de Claude. Le tissu de son pantalon y dessinait une bosse qui ne laissait aucun doute sur l’état dans lequel se trouvait l’homme. Il défit sa braguette. Gabrielle y plongea la main afin de libérer le sexe dur et tendu. La verge était de dimensions honorables. La jeune femme décalotta le membre de l’homme, puis elle entreprit de le branler tout en douceur, faisant faire à ses mains de lents mouvements d’avant en arrière autour du gland humide. La respiration de Gabrielle s’accélérait.


Antoine fit mettre Gabrielle debout, se tenant derrière elle, presque nu, frottant sa verge dressée entre ses fesses tendres et fermes. Il finit de la déshabiller. La petite robe bleue tomba au sol dans un bruissement de soie. Antoine lui banda les yeux. Claude s’agenouilla devant elle, il arracha sa petite culotte de coton puis, après lui avoir de nouveau écarté les cuisses, il huma son petit con tout trempé d’où perlaient les petits filaments luisants de ses liqueurs d’excitation.



Gabrielle était rouge de honte. N’importe qui pouvait passer par là et les surprendre, la surprendre, elle, offerte toute nue et les yeux bandés aux deux hommes. Elle protesta une dernière fois, plus pour la forme qu’autre chose prête à fondre dans ce plaisir nouveau qui lui brûlait le bas du ventre et faisait presque trembler ses jambes.



Antoine pencha Gabrielle en avant, il lui fit prendre appui des mains contre la carrosserie du fourgon puis, joignant des petites claques sonores à la parole, il lui fit écarter encore plus les cuisses. La position était totalement indécente.


Gabrielle, excitée, ne put contenir les ondulations de son bassin lorsqu’elle sentit le souffle chaud de leur inconnu glisser le long de la raie de ses fesses. L’homme écarta fermement les deux melons fermes puis commença à lécher la petite fleur dorée de son anus. Elle ne se sentait plus capable de la moindre résistance. Antoine s’était accroupi sous elle. Elle savait reconnaître sans faillir la caresse de sa bouche tout au creux de son sexe trempé : Antoine embrassait ses lèvres intimes comme lui seul savait le faire.


Claude se redressa, et il commença à caresser et branler son membre viril et dressé entre les fesses de la jeune femme. Sa queue se promenait de haut en bas, puis de bas en haut, lubrifiée des liqueurs intimes du sexe féminin, en insistant en douceur sur l’entrée serrée du petit trou interdit de son cul. Gabrielle gémissait de plus en plus fort.


Antoine, toujours accroupi sous elle, caressa le sexe de l’inconnu puis, le guidant de ses mains, il le présenta à l’entrée de la grotte béante de la jeune femme d’où coulaient des miels liquoreux et poivrés. Comprenant ce à quoi l’invitait le jeune homme, Claude posa ses mains fermes sur les hanches de Gabrielle comme pour lui empêcher tout mouvement, il cambra son corps musclé en arrière et poussa sa verge en avant pénétrant Gabrielle en douceur. Le membre dressé et gonflé ne rencontra aucune résistance à se frayer un passage entre les muqueuses glissantes des parois du vagin trempé et il n’arrêta sa course que lorsque les bourses de l’homme caressèrent la peau lisse du sexe de la jeune femme.


Les jambes de Gabrielle peinaient à la maintenir debout tant l’excitation était grande. Les gémissements avaient cédé la place à des grognements de plaisir de plus en plus forts que l’on devait certainement entendre depuis l’autre bout du parking. L’homme la besognait de plus en plus rapidement poussant de plus en plus profond en elle son dard gonflé et dressé. Il faisait varier l’angle de ses pénétrations à chacun de ses assauts, son gland explorant et caressant les moindres recoins du sexe de la jeune femme et se cognant de plus en plus sauvagement au fond de son ventre. Elle se sentait parcourue de décharges électriques de plus en plus puissantes qui, naissant dans les muscles de ses cuisses, faisaient trembler toutes ses entrailles dans une danse lubrique. Antoine lapait le petit bouton luisant en érection de son clitoris du bout de la langue, le suçant ou le pinçant de temps à autre entre les lèvres.


Gabrielle se sentait au bord de l’explosion. Claude lui serra plus fermement les hanches puis il planta sa queue sauvagement au fond d’elle. Il s’immobilisa, le phallus gonflé, tendu telle une épée au fond de sa minette en feu, se saisissant de ses cheveux d’une main, il lui tira la tête en arrière, la gratifia d’un « petite salope » d’affection, et la jeune femme hurla sa jouissance lorsqu’elle sentit le sexe épais se dresser encore plus en elle et la remplir d’une semence chaude et abondante. Les râles de l’inconnu se joignirent aux gémissements de Gabrielle en proie à un orgasme d’une rare intensité, puis le silence reprit ses droits sur le petit parking de la plage nudiste maintenant bercé dans la lueur de la pleine lune qui venait d’assister à la fin du spectacle.


Claude étreignit Gabrielle nue dans ses bras. Il lui embrassa la bouche en lui caressant les fesses puis, d’une voix gênée, il prit congé du couple :




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La seule chose dans ce petit récit qui ne soit pas conforme à la réalité est que, précautions obligent, notre inconnu d’un soir a dû mettre une capote avant de me pénétrer : )