n° 21749 | Fiche technique | 35307 caractères | 35307 6235 Temps de lecture estimé : 25 mn |
03/05/23 |
Présentation: La vie réserve parfois des surprises, surtout quand on ne s’y attend pas... | ||||
Résumé: Ce vendredi soir, je reçois quelques potes de foot à la maison. En bons machos que nous sommes, nous prenons l’apéritif dans le salon, tandis que ma femme s’active en cuisine. | ||||
Critères: fhhh vengeance -exhib | ||||
Auteur : Patrik (Carpe diem diemque) Envoi mini-message |
La vie réserve parfois des surprises, surtout quand on ne s’y attend pas…
Bonne lecture : )
Ce vendredi soir, je reçois quelques potes de foot à la maison. En bons machos que nous sommes, nous prenons l’apéritif dans le salon, tandis que ma femme s’active en cuisine. Je fais le compte des personnes présentes : cinq hommes et une seule femme. Si nous avions été quatre hommes, j’aurais pu parler d’une main, ma femme faisant le pouce et nous, les quatre autres doigts. Bah, je vais dire que ma femme fait la paume ou le poignet, et nous les cinq doigts.
Histoire de ne pas abandonner complètement ma douce et tendre, je me lève :
Enchaînant sur ce que vient de dire Richard, Pierre (dit Pierrot) renchérit :
Je sais que ma femme a un certain succès auprès de mon entourage. Elle a tout ce qu’il faut là où il faut, et même un peu plus du côté du buste. De plus, elle a de la conversation. Tandis que mes quatre copains continuent de plaisanter, je me dirige là où se trouve ma femme.
Chemin faisant, je passe à côté de la table de notre salle à manger, les deux pièces étant dans la continuité l’une de l’autre. Je vérifie si rien ne manque, tout est présent en six exemplaires. C’est un peu idiot d’avoir mis une nappe sur cette table en verre, mais contempler des pieds entre deux assiettes n’est pas toujours ragoûtant.
Quand je rentre dans la cuisine, j’ai un choc : ma femme est carrément nue, debout de profil, si on excepte un petit tablier de cuisine qui ne cache pas grand-chose de son anatomie, et encore moins de ses seins qu’elle a plantureux et qui attirent irrésistiblement les regards masculins.
Je suis épaté par son calme très serein, comme si tout était parfaitement naturel. Un peu dépassé par les événements, je réponds :
Je cligne des yeux, la situation me semble irréaliste, comme si j’étais en train de regarder un film :
Eh merde, grillé ! Je bafouille :
Elle se penche sur la gazinière, ses seins suivent le mouvement, leurs belles masses lourdes pendouillant de façon très lascive, ce qui a pour résultat de durcir quelque chose dans mon pantalon. Avant de me répondre, elle goûte avec sa cuillère en bois, si tout va bien.
Elle se redresse, ce qui fait impudiquement osciller ses seins, une torture à contempler :
Elle se tourne vers moi :
Je ne sais plus où me mettre, Vivianne s’amuse à énumérer :
Vaquant à ses occupations culinaires comme si de rien n’était, Vivianne continue sur sa lancée :
Elle agite sa cuillère en bois et ses beaux lolos sous mon nez :
Elle pose ses poings sur ses hanches :
Je le pense sincèrement, et je le pense d’autant plus que j’ai la belle poitrine (et le reste) de ma femme sous les yeux. Après mon aveu, Vivianne hoche la tête :
Vivianne me tourne le dos, je constate au passage qu’elle est cul nu, sans culotte, sans string. À nouveau, ça durcit un peu plus dans mon pantalon. Ma femme continue son petit discours :
Se retournant, Vivianne affiche un large sourire :
Sans me laisser le temps de répondre, elle désigne du doigt la porte :
Je soupire intérieurement, ma chère épouse a voulu me donner une petite leçon pour me punir d’avoir balancé certaines photos d’elle. Mais c’était risqué d’être nue comme elle l’est, un de mes potes aurait pu venir dans la cuisine ! Quoique… à bien y réfléchir, c’était peu probable. Ça me rappelle une blague classique dans laquelle une femme dit à son mari :
- — Pour les vacances, tu vas pouvoir visiter un endroit dans lequel tu n’as jamais mis les pieds !
- — Ah oui ? Et, où ça ? L’Égypte ? La Thaïlande ? Le Brésil ?
- — Non plus près que ça : la cuisine !
Nettement soulagé, je lâche :
Je sors illico de la cuisine, un peu inquiet pour la suite de la soirée.
De retour auprès de mes potes de foot, j’essaye de conserver une bonne figure, bien qu’une sourde appréhension monte en moi. Je m’assieds sur le canapé à côté d’Antoine en annonçant :
Pierrot se met à rire :
Antoine tapote amicalement sur mon épaule :
À son tour, Richard se glisse dans la conversation :
Je suis étonné de cette réflexion. Richard semblerait-il avoir lui aussi un petit penchant pour Vivianne ? Pierrot et Antoine aimeraient bien la baiser, je suis au courant. Martial fait une fixette sur ses seins entre lesquels il adorerait mettre son nez et toute sa tête. Je pensais que Richard était moins impliqué. À moins que ce ne soit que purement rhétorique, ce qui ne m’étonnerait pas du bonhomme.
Je me souviens alors de ce que ma femme m’a demandé de dire :
Antoine devance Pierrot :
Heureusement pour moi, la discussion est interrompue par ma femme qui crie de la cuisine :
Comme un seul homme, obéissant à l’injonction, tout le monde se lève, puis tous les regards convergent vers la porte de la salle à manger.
Un grand cri du cœur retentit spontanément :
Oui, c’est le moins qu’on puisse dire ! Les cinq hommes sont cloués sur place, moi y compris.
Non, en effet, ma chère épouse ne s’est pas pointée toute nue avec son petit tablier de cuisine, c’est pire encore ! Cette salope (je ne vois pas d’autre substantif pour l’instant) a ôté le tablier puis elle a ajouté des bas noirs et un porte-jarretelles assorti qui encadrent tous les trois un petit buisson bien taillé. Plus bas, je constate qu’elle est perchée sur des talons aiguilles ébène plutôt élevés qui chaloupent sensuellement sa démarche.
Au-dessus du porte-jarretelles, aucun morceau de tissu, sa belle poitrine plantureuse est totalement révélée.
Plus haut, Viviane a ramené ses cheveux en un haut chignon artistiquement désordonné, avec une longue mèche qui tombe érotiquement sur un œil, et cerise sur le gâteau, un petit nœud papillon rouge entoure son cou.
En parlant de cou, ma femme semble très fière de son coup !
Oui, elle peut l’être, ma femme est vraiment splendide, je dirais même, en étant macho, qu’elle est un magnifique bibelot pour mâles en rut !
Le temps semble suspendu, les aiguilles des horloges comme figées sur place, les hommes tels des statues de sel. Visiblement très satisfaite de son effet, Viviane pose le plat au milieu de la table. Le premier à reprendre ses esprits est Richard, le plus pragmatique et calme de nous tous, bien qu’une certaine bosse soit visible dans son pantalon :
Tout le monde la regarde, bouche ouverte, sans rien dire. Vivianne s’en amuse :
Elle pose le plat sur la table puis elle s’adresse à Antoine :
Contournant la table tout en bombant le torse, elle se tourne vers Martial qui hésite entre zieuter les seins bien ronds ou le bosquet taillé en triangle :
Enfin, elle se tourne vers moi :
À ce dernier mot, je proteste :
Vivianne se met à sourire :
Puis elle s’adresse à tous les hommes :
Sortant de sa torpeur, Pierrot demande :
Antoine intervient :
Redevenu flegmatique, Richard sourit légèrement :
Grinçant des dents, Pierrot le rabroue :
Vivianne calme le jeu :
Puis elle pivote sur elle-même, révélant à présent un popotin bien fessu et très convoité.
Un peu abattu, je lâche :
Se retournant avant de disparaître hors de la salle à manger, ma femme le réprimande :
Tous les hommes se mettent à rire. Pierrot, qui perd rarement le nord, propose :
Goguenard, Pierrot fait remarquer :
À ma grande surprise et celle de ma femme, quatre mâles cris synchronisés se font entendre simultanément :
Antoine se tourne vers Pierrot qu’il rabroue :
Toujours encadrée dans le bâti de la porte, ma femme s’amuse beaucoup :
De mon côté, je ne dis rien, assez surpris de la tournure des événements. Dommage que je n’aie pas pu filmer tout ceci ! Mais ça restera assurément gravé dans ma mémoire et aussi dans celle de mes potes de foot, c’est certain.
C’est en riant que ma femme nous quitte.
Ma femme disparue, Richard se tourne aussitôt vers moi :
Soupçonneux, il insiste :
Je ne vais certainement pas expliquer que ma femme était déjà quasiment à poil dans la cuisine ! Afin de nous concerter comme nous le faisons souvent sur le terrain, nous formons à présent un cercle. Antoine prend la parole :
Je me tourne vers Pierrot :
Martial rigole :
Interpellé par mon voisin, je lâche :
Tout le monde se tait. Nous nous regardons, c’est bien la première fois que nous sommes tous plongés dans une grosse expectative, une sorte de carrefour donc nous ne savons pas quel chemin il nous faut emprunter ensuite.
Claquant deux fois dans ses mains, Richard rompt le silence :
Comme frappé par le Saint-Esprit, Martial s’exclame :
Fébrile, Martial se tourne vers moi :
Reprenant la main, Pierrot tend les bras :
Puis le silence retombe dans la salle à manger.
Quand Vivianne revient dans la salle à manger avec un plateau garni, elle marque un temps d’arrêt. Le temps est à nouveau suspendu. Nous sommes un peu inquiets, j’ignore franchement quelle sera la réaction de ma femme au fait qu’elle fait face à cinq hommes nus, dont certains ne sont pas précisément au repos !
Ma femme pose son plateau sur la table, afin de rire de tout son saoul. Quelque chose me dit que c’est parti sur la bonne voie. Mes voisins respirent mieux.
Vivianne essuie ses yeux du revers de la main, puis elle soupire abondamment :
Elle en profite pour admirer les cinq anatomies masculines qui lui font face, elle ne se gêne pas de bien scruter la marchandise. Vivianne s’offre même le luxe de proférer quelques commentaires :
Puis elle se tourne vers moi :
Eh bé, ma femme se dévergonde ! Je ne suis pas le seul à avoir compris l’objectif final de cette manœuvre. Pour preuve, Martial qui s’exclame :
Ma femme rigole doucement :
Une fois de plus, elle s’éloigne, ondulante sur ses talons aiguilles, son fessier bien mis en valeur, accrochant tous les regards masculins. Une fois le cul aguicheur disparu, les autres hommes m’aident à refaire la table. Pierrot jubile :
Vivianne revient avec un autre plat. Entre-temps, en plus du nœud papillon qu’elle a toujours autour du cou, elle a attaché un ruban dans ses cheveux, ce qui accentue l’effet bibelot. En revanche, pour notre plus grande joie, elle est toujours seins nus, en bas et porte-jarretelles, dévoilant sans complexe le côté pile comme le côté face, le tout magnifié par sa démarche ondulante et chaloupée !
Je suis en train de vivre un moment très spécial, un de ceux qui me marqueront jusqu’à la fin de ma vie : une femme, ma femme, nue ou presque, accompagnée de cinq hommes totalement nus, le tout autour d’une table en verre, en train de dîner ensemble, comme si de rien n’était.
Vivianne semble adorer être le centre d’attention de tous ces hommes. Il faut dire que comme elle dévoile tout, les regards sont magnétiquement rivés sur elle, aussi bien sur ses appas poitrinaires largement dévoilés que vers son entrejambe au triangle buissonneux, mais pas trop. La plupart des hommes lui prouvent leur intérêt envers elle en ayant le chapiteau bien pointé.
Et comme la table est transparente, ce détail n’échappe pas à ma femme…
Ma femme sourit mystérieusement :
Impassible, Viviane conserve son sourire :
Très intéressé, Pierrot se mêle à la conversation :
Le repas continue, toujours dans cette atmosphère étrange, avec cinq hommes qui ont du mal à regarder leur assiette. De plus, il n’est pas rare que Vivianne s’amuse à croiser et décroiser les gambettes, à l’instar d’une scène célèbre avec une Miss de Pierre plus habillée. Antoine n’en peut plus de pouvoir contempler cette petite toison qui surmonte une fente que je devine humide, car je vois bien que ma femme est excitée, même si elle évite de le montrer.
Mais comme je la connais fort bien sur ce plan, je sais lire en elle. Enfin, pas toujours, car je reconnais qu’elle est en train de m’étonner royalement depuis l’épisode de la cuisine. Jamais je n’aurais imaginé en arriver là où nous en sommes tous. Mais je ne me plains pas…
Une fois de plus, ma femme retourne en cuisine, ondulant ostensiblement du bassin, avec dix yeux rivés sur elle. Antoine pose une main fébrile sur son torse :
Je souris :
Sadiquement, Richard commente d’un air détaché :
La conversation est interrompue par le retour de notre hôtesse. Cette fois-ci, c’est le côté face qui est la mire de tous les hommes, avec un bosquet qui tangue de gauche à droite, et des seins qui ballottent très agréablement. Tout bouge en elle !
Volontairement, tarte en main, Vivianne fait lentement le tour de la table, soi-disant pour faire admirer le dessert, mais personne n’est dupe et tout le monde se rince copieusement l’œil !
Puis elle pose le plat final au milieu de la table :
Richard intervient, lui, pourtant si réservé :
Son voisin lui demande :
Pierrot s’en mêle :
Antoine reste muet, trop absorbé par la contemplation d’un triangle soyeux, le narguant posément, là à portée de main. Je présume qu’il adorerait le vénérer à genoux avec passion de la bouche et la langue, puis avec son cinquième membre très en forme. Je le comprends : moi aussi, j’ai une furieuse envie de sauter ma femme et de lui faire subir bien des choses très cochonnes ! Mais voilà, je suis en plein supplice de Tantale : je contemple, mais je ne déguste pas.
La tarte est à présent coupée en six parts :
Tout le monde mange son morceau de tarte, tout en devisant de tout et de rien, avec parfois des allusions pas très innocentes. Ma femme peut être fière de son coup et de sa punition qu’elle nous inflige depuis le début du repas.
Puisque nous nous sommes entendus pour être nus face à ma femme, qu’est-ce qui nous empêcherait de lui sauter tous dessus en même temps ? Comment Vivianne réagirait-elle à ce quintuple assaut ? Le souhaiterait-elle ? se laisserait-elle faire ? crierait-elle au viol ?
C’est très risqué, et je ne souhaite pas foutre en l’air mon mariage à cause d’un moment d’égarement, même si Vivianne n’est pas tout innocente dans l’histoire.
C’est alors que me vient à l’esprit une comparaison géopolitique : chacun d’entre nous possède un missile atomique, mais personne n’ose faire le premier pas. Une sorte d’équilibre. Oui, je sais, la comparaison est osée, voire biscornue, mais il y a de ça.
À la stupéfaction de tous les hommes (moi y compris), Vivianne dépose sereinement une noisette de Chantilly sur chacun de ses tétons. Inutile de dire que nous la regardons faire avec une attention accrue !
Ceci fait, avec un naturel désarmant, ma femme se tourne sur sa droite :
Pas besoin de le lui dire deux fois ! En un temps record, ayant fondu sur ma femme tel un aigle avide sur un innocent agneau, Martiel est déjà en train de suçoter un premier téton, et il est flagrant qu’il s’applique ! Comme il est tout aussi flagrant qu’il bande à fond, ce que je comprends fort bien. Après le premier téton, il s’empare du second avec le même empressement. Je me demande si Vivianne ne joue pas avec le feu.
Une fois Martial assis, Vivianne se lève puis elle dépose à présent un trait horizontal de Chantilly au-dessus de son triangle. De loin, on pourrait y voir un cornet surmonté de glace à la vanille. Tout le monde se demande qui sera le nouvel élu.
Agenouillé devant ma femme, Antoine se fait un plaisir de faire disparaître petit à petit la mousse blanche, et il prend son temps. Le sourire qu’affiche Vivianne indique clairement que la situation lui plaît. Une fois la Chantilly disparue, Antoine recule un peu la tête :
Puis il dépose un long baiser appuyé en plein beau milieu de la toison bouclée. Vivianne le gronde à sa façon :
Ma femme continue à faire le tour de la table, toujours suivi par tous les regards masculins. Puis nous tournant le dos, elle dépose une noisette de Chantilly sur le haut de son sillon fessier.
En effet, Pierrot a dit vrai, si j’en crois l’ardeur qu’il met à laper la Chantilly. Je crois même qu’il s’est offert le luxe de glisser sa langue un peu plus vers le bas, mais je n’en suis pas certain. De plus, ma femme n’a rien dit, mais elle n’a pas beaucoup protesté quand Antoine a déposé son bisou en plein dans son triangle.
Maintenant, Vivianne s’approche de Richard. Je me demande bien avec quelle partie de son corps ma femme va maintenant jouer. À ma grande surprise, elle couvre ses lèvres de Chantilly, puis approche son visage de celui de Richard. Celui-ci comprend cinq sur cinq le message, et se fait un plaisir de déguster la crème offerte, ainsi que les lèvres en dessous.
Je fronce un peu des sourcils : les tétons, OK, c’est gentil. Le pubis, ça va encore. Les fesses, ça passe. Mais les lèvres, je trouve ça intime !
Quand Richard a fini de débarbouiller à sa façon et avec application la bouche rosée de ma femme, Pierrot demande en rigolant :
Surpris par cette riposte, Pierrot grimace. Antoine en profite pour enfoncer le clou :
Tout le monde se met à rire.
Altière, Vivianne fait à nouveau le tour de la table, suivie par cinq paires d’yeux, et visiblement, ça lui plaît d’être depuis le début du repas et le centre du monde, voire de l’univers, il n’y a qu’à voir l’expression de contentement qui s’affiche sur son visage, sans oublier ses yeux qui brillent. Ce n’est pas tous les jours qu’une femme se fait désirer par cinq mâles qui ne demandent qu’à lui rendre hommage !
Avec deux hommes en plus, nous aurions pu jouer à Blanche-Neige et les sept footeux ! Sachant que ce dernier mot peut revêtir deux significations selon qu’on l’écrit avec deux O ou OU…
De retour à sa place, toujours debout et assurément aguichante, mon aguichante femme se lance dans un petit discours :
Une fois de plus, Pierrot répond le premier :
La réponse fuse aussitôt :
Mains sur les hanches, ma femme fait remarquer :
Martial prend à son tour la parole :
Coquine et sadique, ma femme réplique en soupesant ostensiblement ses seins et en les faisant légèrement osciller de haut en bas :
Intrigué, Martial demande :
Ce n’est pas faux…
Après quelques palabres, la soirée s’est terminée, nos invités ayant compris qu’il était sage de ne pas s’attarder. Quant à moi, ma punition fut de dormir auprès d’une femme qui ne voulut pas que je lui fasse l’amour alors que j’en mourais d’envie.
C’est partie remise pour demain, je l’espère.
Nous verrons comment les choses se passeront les prochains jours, chaque chose en son temps. Je tourne et je retourne ce qui s’est passé lors de ce fameux soir. Peut-être que ce repas fut une exception. Peut-être qu’il marquera un début. Peut-être que…
Je ne sais pas…
Nous étions et nous sommes toujours potes de foot.
Nous sommes devenus potes de fun, et peut-être un jour serons-nous potes de fuck…