n° 21751 | Fiche technique | 37954 caractères | 37954 6715 Temps de lecture estimé : 27 mn |
03/05/23 |
Présentation: Nous nous étions donné beaucoup de mal. Je sais que cela peut être difficile à croire, mais c’est pourtant la vérité. Pour commencer, il nous avait fallu chercher un endroit stratégique pour une bonne chasse et un bon coin pour une bonne pêche… | ||||
Résumé: Je m’appelle Eden. Sans accent sur le E. Du coup, mon prénom fait grave biblique. À cause de la majuscule. Le paradis c’est toujours écrit avec une majuscule. Le jardin d’Éden où une nana a bouffé une pomme… | ||||
Critères: #humour #exhibitionniste f ff ffh fbi fépilée plage forêt jardin amour hmast nopéné init | ||||
Auteur : EdenPlaisirs Envoi mini-message |
Collection : Les drôles d'histoires de Mme Patate Numéro 04 |
Il faut dire que nous nous étions donné beaucoup de mal. Je sais que cela peut être difficile à croire, mais c’est pourtant la vérité. Pour commencer, il nous avait fallu chercher un endroit stratégique pour une bonne chasse et un bon coin pour une bonne pêche. Et quand cela fut fait, il nous restait à nous dégoter une proie correcte, à attendre patiemment sa venue et à tendre nos filets et nos nasses. Après quoi, nous restions très attentives à surveiller nos pièges…
Je m’appelle Eden. Sans accent sur le E. Ni accent aigu, ni accent grave. Mais c’est pas très grave et je m’en fiche. Le fonctionnaire ne l’a pas collé dessus quand j’ai été déclarée. Déclarée un peu comme dans les douanes, quoi.
C’est important pour les taxes, je crois. Bref, du coup mon prénom fait grave biblique à cause de la majuscule. Parce que c’est du Paradis qu’on cause. Le jardin des exhibitionnistes avec des feuilles de vigne. Celui-là même où une nana a bouffé une pomme. C’est bizarre, non ? J’aurais pensé qu’elle mangerait plutôt du raisin moi. Un verger que ça s’appelle, mais il y avait certainement un potager aussi.
C’est sûr qu’il faut avoir une âme d’aventurière et être un peu coquine pour entreprendre ces sortes de chasses ou de pêches dont je vais vous parler, mais je pense que ça peut valoir le coup. Non ! C’est pas vraiment ça… En fait, autant être claire pour être sûre d’être bien comprise. Il faut être une sacrée salope pour se lancer dans ces petits jeux. C’est assez facile pour moi de le dire sans trop en avoir honte puisque cette idée n’est pas la mienne.
C’est une envie de ma chère et tendre. Remarquez que je comprends parfaitement sa démarche. C’est jamais facile d’être parfaitement heureux en couple. Nous, c’est un vrai petit bonheur de tous les jours même si parfois le regard des autres dérange un peu ma chérie. Ben ouais, elle n’est pas comme moi, Paulette. Ah oui… oui, c’est sûr que je préfère m’appeler Eden que Paulette. Encore que j’ai fini par appeler ma compagne Paule, parce que ça existe comme prénom de fille. J’ai trouvé l’idée sympa. Après tout, on est plus branchées tonte de gazon que binage de pommes de terre. Et c’est Paulette qui porte la culotte dans notre couple. Enfin, c’est juste au lit qu’elle la porte et pas dans notre vie de tous les jours. C’est juste une image en plus, parce qu’en vrai on dort à poil. C’est cool de l’appeler Paule. Ça fait comme si c’était mon mec. C’est un peu comme avec une Mauricette, quoi. Tu l’appelles Maurice si tu préfères. Ou Claudette, c’est bon aussi, mais pour Bernadette, Lisbeth et Elisabeth, ne cherchez pas, j’ai essayé, mais ça ne marche pas. Pour Juliette, ça marcherait super bien. Ce serait même un prénom top du top.
C’est très connu qu’on se parle comme ça entre brouteuses de minous. Qu’est-ce que ça ferait classieux que Paulette s’appelle Juliette. Mais elle s’appelle Paulette.
Moi je n’ai connu que deux quéquettes et il y a déjà quatorze ans de ça. Bon, comme il y avait deux mecs au bout des queues, on peut dire que j’ai connu deux types. C’est vrai que c’est plus simple de l’expliquer comme ça. Ma Paulette, elle, a connu quatre ou cinq types et surtout elle a été mariée. Pas la robe blanche et pas de curaille heureusement pour elle, sinon elle faisait vraiment dans la connerie totale. Enfin, c’est juste mon avis. Tout ça pour dire qu’elle aimait les hommes. Et sans moi, je sais qu’elle ne chercherait plus à séduire d’autres femmes et qu’elle tournerait casaque. Terminé, les pouliches, et elle enfourcherait allègrement un bel étalon. J’ai donc beaucoup de chance et tout est parfait. Mais dans un couple, on se doit d’être à l’écoute de l’autre et faire des efforts. C’est un peu pour ça que je pige au quart de tour quand ma chérie éprouve certains désirs. C’est pas qu’elle soit vraiment salope ou obsédée, c’est un besoin instinctif et presque viscéral qui la titille de temps en temps. J’ai compris ça très récemment. C’est venu d’une petite conversation de couple dans l’intimité de notre chambrette. Je ne vais pas décrire la chambre ici, mais je le ferai dans une autre histoire.
Paulette venait de me bouffer la motte comme une affamée et moi, je m’étais laissée grignoter sans trop me débattre. Il faut avouer qu’elle est vite devenue très douée pour me faire grimper aux rideaux de cette façon. Même quand il n’y a pas de rideaux, d’ailleurs, mais du coup, tu salopes un peu les carreaux avec ta mouille. Donc après son casse-croûte, j’ai voulu la becter moi aussi, ma chérie. Par politesse déjà et parce que j’aime ça bien sûr. Et là, j’ai vu qu’il y avait un truc qui n’allait pas. Les yeux bleus de Paulette un peu embarrassés, une moue bizarre et un peu embarrassée aussi. (Comme j’écris pas encore aussi bien que Paulette, je viens de voir que j’ai collé « embarrassée » deux fois de suite, alors faut remplacer le deuxième par « emmerdée ». Merci de votre compréhension).
C’est ça le plus important dans un couple. Le mien ou le vôtre, c’est pareil, c’est très important, et je dirais même primordial ! La communication ! Tout se dire sans tous ces chichis et fanfreluches hypocrites.
C’est vrai qu’elle parle toujours comme ça, ma Paulette. C’est un peu chiant des fois, mais il faut faire avec et je suis patiente. C’est un peu pénible parfois, tu bous de savoir des trucs et elle te sort des mots de bourgeoisie à rallonge qui te donnent envie de la secouer. Mais pas de la secouer trop fort, hein !
J’aime bien l’appeler Paulo aussi. Ça fait un peu routier viril en marcel. Du coup, avec Marcel, ça fait beaucoup de prénoms à gérer. Ça m’exciterait bien un routier en polo. Paulo en polo qui sent un peu la sueur et tout… Mais Paulette est une acharnée de l’hygiène, alors elle ne pue jamais.
C’était bien ça ! Je m’en doutais depuis longtemps, mais j’attendais qu’elle m’en parle. Il aura fallu sept ans et encore heureux que je sois d’un naturel attentif et de tempérament patient. Alors c’est sûr, c’est pas que ça lui manque terriblement et qu’elle bave en voyant de petites images sur Internet, non, c’est simplement une envie rare et un peu spéciale. Et moi, j’ai bien compris son besoin, et comme je ferais n’importe quoi pour lui faire plaisir… j’ai accepté de lui rendre un petit service.
C’est vrai que je ne m’attendais pas à ce qui allait se passer, mais finalement, je n’ai pas trouvé ça désagréable. Bon, en vrai j’ai adoré ces parties de chasse et de pêche. C’est ce que je vais vous raconter. C’est fou, mais je vais encore mouiller mon string en écrivant. Ça me fait toujours de l’effet d’écrire de l’érotisme. Et ça va m’exciter de vous le confier en plus. Du coup, c’est vraiment cool ! Il faudra juste me dire si ça vous fait quelque chose d’érotique dans vos caleçons ou boxers. Enfin, dans vos sous-vêtements de mecs que je ne vois jamais. Pour être franche, j’avoue volontiers que l’état des culottes, tangas ou strings des filles qui liront mon petit récit m’intéressera beaucoup plus. Je préfère être sincère et perdre des lecteurs, tant pis, mais c’est la vérité.
C’est une jolie grève avec des rochers moussus d’algues. C’est pas très folichon à l’œil, ces pierres noires badigeonnées de verdâtre, mais c’est pas vraiment pour le paysage qu’on est là. C’est un peu comme le ciel grisâtre qui donne pas vraiment envie de se dorer la pilule. C’est pas un bon jour pour la bronzette et même les mouettes rieuses ne rigolent pas. Enfin, il y en a toujours une pour avoir plus d’humour que les autres, mais ce n’est pas le sujet. Pour l’ornithologie, l’harmonie des couleurs et les paysages bucoliques, on a d’autres endroits où aller nous poser. Là on va pêcher !
C’est toujours pareil. Chaque fois, ça me retombe dessus ! C’est son cheval de bataille à Paulette. Des destriers qu’on appelle ces bourrins de combats. Comme on n’est pas chevalerie moyenâgeuse sur ce coup-là, je vais le dire autrement. Si on est en pêche, je suis l’appât qui se trémousse en bout de ligne. Une gravette qui se tortille ou une petite vieille accrochée à une palanque. Ce sont des exemples de pêche en mer, hein ! Si on est en chasse, on va dire que je vais toujours faire la chèvre. Celle qu’on accroche au piquet et qui sert d’appât. C’est pour du gros prédateur bien sûr. Et vous savez pourquoi c’est toujours moi qui joue ce rôle ? Ben non, vous ne pouvez pas le savoir. Il faut que j’explique un peu les choses…
La génétique, le coup de bol, le fait que j’ai toujours fait beaucoup de sport ou va savoir pourquoi… Bref ! J’ai un corps de bombasse. C’est comme ça et je n’y peux rien. Je ne me plains pas, remarquez, et c’est plutôt cool à vivre la plupart du temps. J’aime bien plaire à ma Paulette, et c’est pas désagréable non plus de voir qu’on te regarde de temps à autre. Bon, sauf des fois quand t’es de mauvais poil et qu’un gros lourd vient te baver sur les nibards en bégayant un compliment dithyrambique à la con. Là, bombasse ou pas, t’as plus envie de coller des beignes que de montrer ta chatte. Ou ton cul quoi… Paulette c’est vraiment une belle plante. Elle a du pot elle aussi. Mais elle ne fait pas badass salope, alors c’est moi qui m’y colle.
Bon, je raconte la partie de pêche…
Qu’est-ce qu’il ne faut pas faire des fois ! Déjà, tu dois te baigner même si tu n’en as pas envie. Ensuite, tu sors de la baille et tu déballes un peu de marchandise en marchant. Tu te tortilles et tu te dandines en ouvrant ta combinaison néoprène 8 mm rouge et grise. C’est très important le dandinement, hein ! Bon, écrit comme ça, on ne le penserait pas, mais je vais essayer de faire mieux. En plus, il y a peut-être des lectrices et lecteurs qui ne connaissent pas bien les néoprènes. Déjà, faut savoir que n’importe quelle gonzesse ou presque peut être bandante moulée dans du caoutchouc. Ensuite, quand je dis « dandiner », il faut voir ça comme une nana qui marche en ondulant des hanches. Des hanches qui ondulent lascivement. Et donc, sauf une déformation de morphologie, le cul suit le mouvement de la taille et ondule lascivement lui aussi. Enfin, normalement ça doit le faire, et c’est grave bandant à reluquer. Ma Paulette dit toujours que j’ai une démarche de reine de bal et que je ne m’en rends même pas compte. Ben si, je le sais, sauf que moi j’appelle ça une démarche de salope en chasse. Ce n’est pas de ma faute, mais c’est très pénible à vivre ça aussi. Bref…
Ensuite, tu descends ton néoprène jusqu’à la taille et là, tu essores tes cheveux. Alors avant, je tordais ma longue chevelure noire en une sorte de queue de cheval, je la lissais des doigts avant de lâcher mes cheveux, puis je secouais longuement ma tête baissée avant de me redresser et de faire voler ma lourde tignasse dans les embruns. Aujourd’hui, j’ai les cheveux plus courts et c’est vachement moins facile de jouer les sirènes qui secouent ses tifs tout mouillés. Mais ce n’est pas ça qui appâte vraiment le chaland. Le plus important c’est surtout de lever les bras en l’air. Vous n’avez pas idée de l’effet que ce geste peut déclencher et de ce que ça peut provoquer chez une proie. Même des petits nichons sont excitants à regarder dans ces moments-là, alors les miens, je ne vous raconte pas. J’ai vu du néoprène de surfer gonfler quand je fais ça. C’est dû à ma plastique de bombasse, quoi. Et plastique et néoprène, faut avouer que ça cartonne grave. Enfin, carton, je ne parle pas de mes seins, ce serait plutôt type poitrine siliconée, mes nichons. Mais c’est du naturel et je n’aurai pas de fric à dilapider en conneries de ce genre-là.
Donc là, la gravette a retiré complètement sa combinaison 8 mm rouge et grise, après s’être baignée un petit moment. Paulette, elle, est venue se baquer avec moi, mais elle est restée en combi. C’est une stratégie de pêche qu’elle a dit. Deux gonzesses à poil, ça ferait trop. Vous y croyez vous ? Bon, en tout cas je suis à poil sur cette grève et même la mouette rieuse a fini par fermer son clapet. Il est devenu taiseux le volatile et je pense que ça doit être un mâle. Remarquez que je n’en suis pas certaine parce que je ne le vois pas. En plus, j’ai d’autres préoccupations. Parce que ça y est ! Le prédateur est là ! Tout proche ! Une dizaine de mètres à peine nous séparent.
Ce n’est pas le menu fretin timide qui se glisse en catimini de rochers en bouquets d’algues. C’est un traqueur audacieux du genre requin en maraude. En plus, des rochers où se planquer, y en a pas des masses et c’est un peu compromis. Et surtout, il se sent peinard notre Prédator. Pour la simple raison qu’il n’est pas si con et a vite remarqué que j’écartais les cuisses dès son arrivée. Du coup, une bombasse aux jolies guiboles qui se comporte de cette façon, il n’y a pas vraiment besoin de consulter un guide du voyeurisme. Mais ça existe, c’est sûr. « Le voyeurisme pour les Nuls » ou un bouquin dans le genre.
Oh oui ! Je sais que c’est vrai. Paulette ne ment jamais. Enfin avec moi, alors elle ne doit le faire avec d’autres.
Donc évidemment, le fait qu’elle dise ça, ça me fait me dandiner encore sur ma serviette. Notre poisson a sorti son sexe de son short de mer, mais ça ne me fait ni chaud ni froid. Mais elle… J’ai beau être écartée comme une moule, la chatte mouillée par l’excitation à l’air et les nichons durs comme du granit, je ne peux m’empêcher de la regarder. C’est clair que ma Paulette est en plein fantasme là. J’en serais presque jalouse. Voir ses yeux azur plantés sur la bite dure de ce type, c’est pas si facile à vivre dans le moment. Surtout qu’il est canon le gars, et j’ai pas de bol, il est grave le type d’homme de ma chérie. Il doit avoir dans la trentaine d’années, mais ça elle s’en fiche. Grand et costaud, brun et beau mec, il me semble un peu typé, mais avec les Bretons pur-beurre on ne peut jamais être sûre de rien, surtout avec les habitués des plages aux teints hâlés. Encore heureux que ce ne soit pas un noir. Parce que là, je ne sais pas si ma chérie ne lui sauterait pas direct au paf. C’est son grand truc les noirs. J’aime pas parler de « black », ça fait hypocrite, je trouve. C’est pas qu’elle en ait eu un comme amant, et justement, c’est ça qui est encore pire. Elle fantasme grave sur les noirs parce qu’elle aimerait bien s’en mettre un sous la dent. Ou sous la langue, disons, c’est moins agressif. C’est simplement de la curiosité pour elle, mais elle m’énerve quand elle parle de ça !
Évidemment, notre poisson carnassier a poussé son avantage. Il est vraiment proche de nous maintenant et tandis que nous papotons innocemment, il est venu s’asseoir sur le rocher posé à deux pas de nos serviettes. Il faut dire que notre petite conversation entre filles a fait beaucoup pour qu’il se rassure sur le fait que nous serons des proies faciles. Et en maraudant dans nos eaux, ou plutôt sur notre banc de sable, il peut constater une certaine qualité chez ses proies. Parce que ma Paulette est vraiment dans tous ses états maintenant. C’est clair qu’elle est hypnotisée par le rostre qu’elle a pratiquement sous le nez. Enfin à deux pas de son nez. En parlant de ça, j’adore le nez de Paulo. C’est le plus beau nez du monde pour moi. Va savoir pourquoi je craque pour un nez moi ? Mais de toute façon, j’aime tout chez elle…
Et quand ma Paule ouvre son néoprène 8 mm violet et blanc, je ne peux pas m’empêcher de lâcher un soupir. Ses jolis nichons nus bandent très fort et Paulette ne s’en tient pas là pour autant. Une fois Paulo à poil, notre prédateur a le choix entre une petite moule lisse, humide et ouverte gracieusement, ou une huître garnie de poils noirs, brillants de mouille épaisse. C’est sûr que maintenant, l’autre mouette rieuse ne rigole plus et doit crever d’envie de venir picorer nos fruits de mer.
Il n’y a personne d’autre dans le coin et notre grand blanc est très proche de lancer son attaque. Si les seins aux petites pointes rosées et la petite chatte toute douce de Paulette semblent contents d’être à l’air libre, c’est carrément la fête chez moi. Mes tétons bruns et épais peuvent éclater d’un instant à l’autre et il y a des chances que mon clitoris finisse par gueuler qu’il a envie qu’on s’occupe de lui. Parce que mon clito n’est pas du genre discret dans ces cas-là. C’est un peu comme une perle dans une huître et pour ne pas le voir, faut vraiment être miro. En plus, depuis que Paulette est à poil, je me suis mise à mouiller comme une palourde qui recrache son eau. J’en ai plein les cuisses et le drap de bain sert d’éponge.
C’est marrant qu’il dise ça. J’avais vu un reportage sur les grands requins blancs qui se gavaient du lard de baleine. Nous, on n’est pas vraiment épaisses. Ou alors c’est du squale plus délicat et moins gourmand.
Non, mais c’est pas possible ! Ce n’est pas Shark Attack ! C’est le Némo du dessin animé ! C’est un poisson-clown ce gars-là. Ou alors, c’est un requin qui a bouffé un poisson-clown. Et quand je vois ma Paulette qui s’ouvre comme une praire pour répondre à cette vanne bidon… En même temps, c’est sûr qu’elle doit avoir chaud au ventre et qu’elle est prête à les ouvrir ses vannes. Non, mais quelle salope, ma chérie, tout de même !
Voilà ! La partie de pêche est bien partie…
Vous avez bien compris évidemment que nos chasses et pêches sont des activités un peu dangereuses. Parce que si je parle de proies, il s’agit tout de même de prédateurs. Ça peut aller du grand requin blanc au tigre du Bengale. Il faut un certain courage pour se lancer dans ces aventures, non ? Ou il faut être sacrément salope. Ce serait plutôt ça. C’est selon les opinions de chacun…
Nous avions décidé de commencer par une partie de pêche. D’abord parce que nous aimons la mer et les dunes et ensuite parce que ça nous paraissait plus facile. Il y a plein de prédateurs à l’affût dans ces paysages marins. Là, j’arrête de raconter notre pêche, mais j’y reviendrai plus tard. Enfin, j’arrête, c’est une façon de faire un jeu de mots facile et surtout de vous tenir en haleine. Je n’ai rien d’une égoïste ou d’une allumeuse. Et surtout, je n’ai pas envie de perdre des lecteurs en cours de route.
Mais là, maintenant je vais causer des techniques de chasse…
Les parcs c’est bien, mais il y a souvent du monde. Les forêts ce serait mieux bien sûr, mais il n’y a jamais personne. Nous avons vite pigé que la chasse ce serait beaucoup plus compliqué à gérer que la pêche. Pour trouver le bon endroit où tendre un piège en tout cas. Et puis finalement, on a choisi notre terrain de chasse sans trop réfléchir. Paulette était devenue très pressée. Depuis notre partie de pêche de la semaine précédente, j’avais vraiment l’impression que mon Paulo mouillait du matin au soir. Mais merde, c’est pas trop mon truc d’aller chasser après une journée de travail ! Elle était également très excitée parce que j’avais accepté de l’aider. Alors il avait fallu se magner le popotin…
C’est un petit bois plus qu’un parc. C’est juste à la sortie de la ville, mais je ne peux pas vous dire le nom de cet endroit. C’est un peu comme un coin à champignons quoi, ça ne se dit pas ce genre de chose. Il paraît qu’il y a beaucoup de champignons dans ce bois. Certains Brestois disent qu’il y a beaucoup de cueillettes entre copains sympas, surtout les nuits. Bon, nous on n’en sait rien, puisqu’on n’y va qu’en journées. Pour courir surtout ! Mais là… On est en chasse !
Ce qui est sûr, c’est que chasser du gros gibier ou du prédateur n’est pas une mince affaire. D’abord parce c’est du gros, ensuite parce qu’il faut être bien organisé. Mais quand tu vises une traque au grand fauve, ça devient encore plus complexe à mettre sur pied. Évidemment, il n’est pas question de creuser une fosse au détour d’un sentier ou en plein bois. Ce serait beaucoup de boulot et ça se verrait trop parce que des bouleaux il n’y en a pas. C’est pas con un fauve et il comprendrait vite l’arnaque. Et pour le coup, il faut bien admettre que la chèvre attachée au piquet est plus dans nos cordes. C’est plus facile pour l’attacher, déjà, et moins long à mettre en place. Et bien sûr, vous avez compris qui sera la chevrette livrée en pâture aux éventuels prédateurs. La chèvre à l’attache est une technique ancestrale très connue. Les chasseurs de ces pays lointains où cette chasse était pratiquée avaient d’autres ruses encore plus efficaces. Ils aspergeaient l’appât cornu de sang frais et ils en répandaient un peu plus loin pour attirer leurs proies. Nous, on ne fait pas la fête en période de menstrues. C’est pas par principe, mais simplement parce qu’on n’a rien de commun avec des Vampirella excitées. Alors il nous a fallu chercher d’autres méthodes.
Cinq kilomètres à peu près pour faire le tour de ce bois. Paulette et moi avons décidé de commencer de cette manière et nous courons côte à côte tout en guettant nos alentours avec attention. Il faut être à l’affût du moindre mouvement suspect dans les bosquets hors sentiers. C’est là que les prédateurs se sont embusqués. Car eux aussi, bien évidemment, guettent des proies faciles et sans défense.
Débardeurs larges, shorts échancrés en coton et rien dessous. Paulette et moi possédons également des tenues de jogging très modernes, mais là il faut appâter et on n’est pas venues pour jouer les sportives. Nos poitrines sortent presque de leurs cachettes à chaque mouvement et les shorts relevés haut tout exprès cachent à peine nos fesses. Paulette vêtue ainsi, c’est de l’érotisme torride et un prédateur se léchera aussitôt les babines. Mais moi… C’est du lourd. C’est plus proche du pornographique. C’est ça qui est pénible à gérer quand tu fais dans la bombasse. Là, le grand fauve ne doit plus être capable de penser correctement. Enfin, si c’est capable de cogiter ces bestiaux. Il ne se pourlèche plus les babines là, il bavasse comme une limace. La blondasse aux gros nichons qui courait sur la plage dans « Alerte à Malibu » c’est de la rigolote. C’est quand même dingue, non ! Ça doit être très excitant de s’amuser à deviner ce qu’un mec éprouve en te regardant. Paulette me l’a souvent dit. C’est un petit jeu de séduction et tout… Moi, j’ai jamais le temps de jouer. Ça me pète à la gueule d’entrée ce que l’autre en face pense de moi. Je n’ai jamais vu de boutons de braguettes péter tout seuls, mais je ne serais pas surprise si un jour ça arrivait.
Bien sûr que j’ai vu. C’est un beau mâle.
C’est là que nous devons la jouer fine. Cette fois, ma Paulette chassera elle aussi et ce sera un grand moment pour moi. On s’est arrêtées quelques pas plus loin. Ma chérie et moi transpirons toujours très vite et malgré la fraîcheur de l’air, on est en nage. Je ne sais pas pour vous, mais regarder un corps en sueur m’a toujours beaucoup excitée. Alors, le toucher, c’est juste terriblement jouissif. Et le corps de mon Paulo qui bouge sous mes yeux c’est…
On joue aux joggeuses qui détendent leurs muscles après l’effort. Et coup de chance, on s’est arrêtées pile devant un banc. Un coup d’œil de ma Paulette et j’ai vite compris que le banc serait pour moi. On est parties pour des exercices de totale détente des muscles. Tu parles ! On n’était même pas essoufflées. Non, mais qu’est-ce qu’il ne faut pas faire, je vous jure… Grands mouvements de bras amples en cercles, jambes très écartées ou fléchies pour se baisser et faire pivoter nos corps… Je n’ose même pas imaginer ce que je montre. Parce que si les jolis nibards, le mignon petit cul et la chatte toute lisse de Paulette passent le temps à l’air libre… moi, ça doit être quelque chose ! C’est sûr que notre fauve doit transpirer grave pour le coup.
Déjà que ma chérie a la voix naturellement un peu grave, elle doit porter loin dans le calme du bois. C’est vrai qu’à part les oiseaux qui se causent, c’est plutôt silencieux.
Et voilà ! C’est l’heure d’attacher la biquette à son piquet. Maintenant, le fauve va se sentir plus tranquille.
Regarder Paulette pratiquer ses petits mouvements assouplissants m’a collée dans un drôle d’état et je mouille comme une fontaine publique. Remarquez, c’est de bon aloi puisqu’on me regarde. Tu parles d’une bonne idée. Le pied sur le haut du dossier du banc, un nibard hors du débardeur, je n’ai même pas le temps de m’exciter à observer ma chatte trempée sortie pour prendre le frais. J’ai de la cyprine plein la fente et les poils qui la bordent sont à tordre. Enfin, c’est façon de parler, hein, même si j’adore que ma chérie les tire un peu quand elle joue les domina. Je serai bien restée à me regarder mouiller, mais c’est trop tard…
Le prédateur a lancé son attaque et je reste clouée à mon banc avec une patte en l’air et un nichon trop curieux sorti pour assister à l’attaque.
Ah ben lui, alors… C’est le grand prédateur tranquille et sûr de lui. Le dos contre son chêne, il s’est à peine décalé pour se montrer et nous saluer. Le moins que l’on puisse dire c’est qu’il a la politesse chaleureuse. Il est tranquille et souriant, la bite à l’air et le regard attentif braqué sur ma chatte. C’est un coup à jouir sur pied ce genre de regard. Même si je ne cours pas après les hommages masculins de ce genre-là, il faut avouer que ça me remue le bide.
Et allez, donc ! La voilà devenue très polie, ma Paulette…
Paulette n’a pas cessé ses mouvements et a pratiquement le cul à l’air quand elle se baisse en avant. C’est assez facile d’imaginer que notre proie peut reluquer ses seins épris de liberté sous un débardeur trop large pour les cacher. Du coup, la chèvre que je suis a bien du mal à se retenir pour ne pas bêler de plaisir en fantasmant sur une telle image.
Paulette s’est redressée et s’est aussitôt avancée d’un pas en direction du fauve.
Non, mais c’est fou ça ! Je me croirais presque à Hyde Park en plein papotage avec des joggeurs que je croisais de temps en temps. Paulette a l’air ravie et c’est une chasse bien emmanchée. Le manche du gars est vraiment balaise en plus. Si l’autre type de la partie de pêche avait une petite corne de narval, notre homme des bois fait dans la cognée de bûcheron.
Tu parles qu’il n’y a rien. J’ai failli jouir en remarquant que le haut des cuisses de mon Paulo n’était pas uniquement humide de sueur…
En tout cas, nous avons réussi à débusquer notre proie…
Pour en terminer, il est bon de préciser certains points de détails. Paulette et moi avions d’un commun accord décidé que s’il s’agissait bien de trouver du plaisir dans ces parties de pêche et de chasse, il était hors de question de faire le moindre mal à nos proies. Je peux donc vous promettre qu’aucune bestiole n’a été malmenée ou blessée pendant nos traques.
Si je ne suis pas très admirative de la culture et des modèles de sociétés « Made in USA », il faut reconnaître que les ricains ont produit quelques bonnes choses. Comme les jeans et les baskets, ou le hamburger et le ketchup. Ah ! Le cola aussi et je préfère Pepsi. Les descendants de Bowie (pas le chanteur, hein, James Bowie et son célèbre couteau) et de Davy Crockett ont donc mis à la mode le procédé « No Kill ». Pour la pêche d’abord et la chasse ensuite. Ce n’est pas parfait, mais les trophées que nous recherchions pouvaient être obtenus sans violence.
Sur cette grève, ma Paulette, encore un peu effarouchée et hésitante, s’était contentée d’observer notre proie. Certainement parce que j’étais là et qu’elle ne voulait pas me rendre jalouse. Et puis je l’avais sentie un peu anxieuse quand le prédateur avait parlé de goûter nos moulasses ouvertes. Ce n’était pas tant que l’idée devait lui déplaire, mais tout ce temps passé en couple avec moi, ça devait la bloquer. Heureusement pour moi ! Du coup, ma chérie était restée sans réaction et n’avait plus quitté des yeux la jolie queue exhibée par notre grand brun de voyeur, ou notre grand blanc de requin. Et moi, je ne pouvais pas détacher mon regard de la délicieuse petite chatte de ma compagne, qui s’était mise à couler toute seule. Alors en fait, si la suite des événements avait fini par virer à une fiesta des sens, c’était un peu de ma faute. Il faut dire que voir ma chérie aussi excitée m’avait un peu tourneboulé l’esprit. Il m’avait été impossible de résister et je n’avais pas pu empêcher mes doigts de bouger. Je me souviens très bien de cette impression étrange. C’était comme si mes mains agissaient d’elles-mêmes. Je m’étais très vite doigtée sans réfléchir, et quand je finissais par piger que je me comportais en véritable salope, il était trop tard pour faire machine arrière. Ceci dit, sans vouloir causer bateau, quoi. C’était trop tard pour la honte ou les scrupules. Du coup, ma Paulette, complètement effarée, ne savait plus où poser ses yeux et paraissait avoir le plus grand mal à respirer.
C’est là que tout était parti en vrille. La voix du type et ses yeux marron fixés à ma chatte m’excitaient d’un coup et à mon plus grand étonnement. Je me souviens parfaitement de mon ahurissement soudain.
Et là, les mots de ma Paulette et ses yeux bleus accrochés à ma chatte détrempée ben… Là aussi, je me souviens ! Je pourrais même dire que je n’oublierais jamais ça. Oui, c’est plutôt ça que je devrais dire ! J’ai vraiment eu l’impression que mon clitoris tout dressé allait causer. Ou plutôt qu’il allait hurler. Bref, qu’il allait gueuler un truc du genre « Woualavache, j’en peux plus moi ». Toujours est-il que j’ai joui illico presto. Un orgasme italien quoi. J’ai giclé sur le drap de bain en couinant comme une truie devant une patate et un bol de lait. Des petits jets pas vraiment discrets et du coup, notre squale, qui avait l’œil aux aguets, a sorti sa nageoire de l’eau en vitesse. Un signe d’attaque ! Ou on pourrait dire aussi que le voyeur s’était collé à la rame. Et pour bien godiller, il godillait bien le gars. Un vrai marin pêcheur dans sa barque.
Mon orgasme impromptu autant qu’italien faisait aussitôt se gondoler ma Paulette. C’était plus vraiment une grève bretonne et avec l’autre gondolier et sa rame, je me voyais à Venise, alors que je n’y avais jamais foutu les pieds. Après tout ça, les doigts toujours plantés dans ma fente et mon pouce calmant la frénésie de mon clitoris trop bavard, je regardais notre poisson lâcher sa laitance comme un saumon d’Irlande dans sa frayère.
Une drôle de partie de pêche, mais un sacré voyage en tout cas…
Un pied toujours sur le dossier du banc, les bras tendus à l’horizontale pour bien montrer mes gros nichons à notre tigre du Bengale et la foufoune en goguette, je restais plantée bêtement comme une sorte d’éolienne attendant un coup de vent. Il faut dire que je n’en avais pas cru mes yeux quand Paulette s’était avancée sous le couvert des arbres. Du coup, je me remuai fissa le popotin pour rejoindre ma chérie devenue un peu trop aventureuse à mon goût.
Non, mais… Paulette ! Oh la vache ! C’était terrible d’entendre la voix brusquement voilée de Paulette et ça m’avait fait aussitôt monter une bouffée de jalousie à la gorge.
Mais ce n’était que le début. Quand je la regardais remonter son débardeur sur ses seins et baisser son short… Je me rappelle avoir été proche de l’attaque cardiaque et c’était comme si mon cœur s’arrêtait. Ensuite…
Eh bien, ensuite, le petit bois devenait un petit coin de Far West et je ne comprenais plus rien à rien. J’étais plongée dans une sorte de brouillard nébuleux. J’étais aussi perdue que Pocahontas avait dû l’être devant les verroteries des autres salopards qu’elle voyait pour la première fois.
Ce n’était plus ma Paulette qui s’était retournée vers moi, souriante, les tétines au vent et la chatte courant la pampa. C’était Calamity Jane qui me faisait face. Sa longue main était restée en arrière et son index me désignait le gros chibre tout dur de son Davy Crockett. Calamité Paulette me demandait l’autorisation de toucher notre proie.
Je n’avais pas répondu, mais ma chérie avait compris que ma jalousie fondrait aussi vite que de la neige sous un soleil de plomb. Nous en avions parlé et je lui avais avoué que la voir avec une queue dans la main m’exciterait certainement beaucoup. Je n’avais pourtant pas osé aller jusqu’à lui dire que la regarder sucer une bite dure et tendue me ferait sûrement mouiller comme une folle.
Et puis je m’étais comme laissé emporter par la scène que j’avais sous les yeux. Je m’étais approchée et avait imité Paulette en deux gestes lents, exhibant à notre cowboy mes seins bandés comme des arcs et ma chatte ouverte comme le Grand Canyon.
Mon Paulo branlait doucement la longue carabine. Ou elle caressait la grosse queue du tigre du Bengale qu’elle apprivoisait. J’en étais à avoir les idées qui s’embrouillaient quand je remarquais que l’autre trappeur s’était enhardi et caressait un sein de ma chérie d’une main et la doigtait de l’autre.
Paulette ne tarderait plus à jouir et moi, comme une squaw plantée devant un totem, je m’en remettais à la grâce d’un Grand Manitou. Les doigts de ma main gauche sur un téton dur et les autres pinçant mon gros tomahawk sorti de son tipi, je me branlais comme une sauvageonne de la plaine. Le grand fauve avait feulé sourdement en éclaboussant les doigts de Paulette et ma chérie avait aussitôt joui en lâchant un cri de guerrière sur le sentier de la guerre que je n’avais pas compris. Certainement du Comanche ou du Cheyenne.
Il faut bien dire que la voir jouir accrochée à cette grosse queue tendue lui collait une image de Cheyenne idéale…
Voilà pour mon petit manuel technique pour chasses et pêches coquines.
Mesdames.
Bien évidemment, il s’agit ici d’un petit ouvrage écrit en toute simplicité. Il n’y a aucune intention de ma part de jouer les cadors dans des domaines où je ne suis qu’une amatrice. C’est tout simplement des petits trucs gribouillés à la va-vite, pour aider celles qui parmi vous auraient ce genre de petites envies coquines. Oh, c’est sûr, il y en a bien deux ou trois qui se feraient un plaisir de nous accompagner Paulette et moi dans nos escapades aventureuses. Ces pages pourraient aussi donner quelques jolis fantasmes à quelques-unes des lectrices qui ont l’esprit batifoleur. Et puis même bredouille, c’est toujours agréable de prendre du plaisir en pleine nature. Le simple plaisir d’une promenade en campagne, ou en bords de mer, tout en admirant le paysage est déjà très sympathique. Quant à le faire avec les fesses à l’air, c’est juste une option qui peut être encore plus… jouissive !
Messieurs.
Ce manuel tente également d’expliquer aux lecteurs qu’il arrive que les proies ne sont pas toujours celles que l’on croit. C’est vrai, quoi ! On parle beaucoup des vilains voyeurs prédateurs. Il est certain qu’ils existent, même si je n’en ai jamais croisé, personnellement. Pour ceux-là, on pourrait employer nos chasseurs franchouillards à s’occuper d’eux, plutôt que de tirer sur du gibier à plumes ou à poil. Paulette et moi on ne risquerait plus de prendre du plomb dans l’aile, ou dans le cul, en nous baladant à poil en forêt. Ce serait déjà très cool ça. Mais il y a des voyeurs plutôt serviables. Et la vie n’est pas toujours facile pour eux. Du coup, ce ne serait pas une si mauvaise idée que les municipalités se bougent les miches. On pourrait créer des zones protégées pour les voyeurs gentils en détresse. Ils pourraient être fichés dans les mairies. C’est une espèce devenue rare. Alors, pourquoi ne pas en faire une espèce protégée ? Et nous, en bonnes proies faciles et innocentes, on pourrait les laisser s’imaginer qu’ils nous traquent, tout en les pêchant ou en les chassant tranquillement.
Enfin, ce ne sont que des idées, bien sûr…