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n° 21759Fiche technique44272 caractères44272
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Temps de lecture estimé : 32 mn
07/05/23
Présentation:  Plus de cul, moins de morale, certains s’en réjouiront, d’autres moins.
Résumé:  Une nièce vient perturber la vie d’un couple.
Critères:  ffh couple extracon oncletante jardin caresses fellation cunnilingu pénétratio fsodo
Auteur : Roy Suffer  (Vieil épicurien)            Envoi mini-message
Nièce



« On ne choisit pas ses parents, on ne choisit pas sa famille » chante Le Forestier. Mais si l’on choisit son épouse, on ne choisit pas la famille de sa femme, et c’est inclus dans le cadeau de mariage ! C’est vrai que Roxane est charmante, même si elle est un peu triste depuis qu’elle a divorcé. Ce n’est pas le problème. Le problème est que nous finissons par ne plus nous voir avec Daphné. D’abord, il y a nos penchants naturels : moi je suis un couche-tard, donc lève-tard, et elle est pleinement opérationnelle dès sept heures du matin. Et puis ensuite il y a nos boulots, surtout le sien, car en milieu hospitalier c’est souvent des gardes de nuit ou de week-end. Il nous reste les post-it, les mails et le téléphone… C’est moyen pour la communication du couple. Nous avons donc convenu de « sanctuariser » les week-end où elle ne travaille pas, quitte à perdre de vue quelques copains, pour éviter de nous perdre de vue nous-mêmes. Certes, Daphné travaille tout le dimanche, nuit incluse, mais il nous reste quand même une partie du samedi pour un gros câlin. Bien sûr elle va aller se coucher à vingt heures pour essayer de préserver son capital sommeil et elle va passer le lundi, férié aussi, à dormir pour récupérer ; mais en faisant l’effort de me lever vers neuf heures le samedi, nous aurions eu malgré tout une dizaine d’heures à partager… Mais si Roxane vient, c’est fichu ! Je les connais, elles vont se caler dans un coin de la cuisine et papoter toutes les deux du matin au soir. Il me restera la télé et Internet, super week-end !


Roxane débarque dans sa petite voiture vers vingt heures ce vendredi soir, toute souriante. Elle est contente d’être là et de revoir sa tantine. Toutes les deux sont de petits gabarits, cheveux noirs de geai pour Roxane, plus châtains pour Daphné qui a des yeux verts alors que sa nièce les a très noirs. Peaux mates, type méditerranéen très prononcé chez Roxane, dont les joues se sont un peu remplies. C’est vrai qu’un an et demi d’un divorce difficile l’avait mise dans un sale état d’extrême maigreur, et ma femme était très inquiète à son sujet. Certes, elle n’a pas repris les hanches galbées de ses vingt ans, ses membres sont encore très fins, surtout dans ce débardeur et collant noir avec une petite jupette bordeaux, mais elle semble en bonne voie. Je leur sers quelques bulles pour l’apéro, j’ai profité de mon après-midi de RTT pour faire les courses du week-end et décharger Daphné des soucis matériels. Ce soir, c’est pot-au-feu à l’ancienne qui a mijoté trois heures durant. Elles s’échangent les nouvelles de la famille, elles pourraient être sœurs ayant à peine six ans d’écart : Roxane est la fille précoce du frère aîné de Daphné qui a quinze ans de plus qu’elle, la petite dernière. Je les écoute d’une oreille distraite en me remplissant la panse, mon pot-au-feu est vraiment réussi. Fromages, dessert, café et tisane pour ma chérie qui déclare vers dix heures devoir aller se coucher pour bien récupérer avant sa garde.


Je vais aider Roxane à sortir ses bagages, elle m’aide à débarrasser et nettoyer table et cuisine. Malgré la fraîcheur, je vais sur la terrasse fumer une cigarette, elle m’accompagne, frissonne, je lui prête un de mes pulls qui traîne dans la penderie de l’entrée. Elle se love dans la laine en ronronnant presque, me disant :



C’est gentil, toujours agréable de la part d’une jolie fille, même s’il lui manque cinq ou six kilos. Elle poursuit :



Nous rentrons, je m’assois devant ma bécane et la mets en route, je saisis mes codes et lui ouvre la messagerie pendant qu’elle pose mon pull. Quand tout est prêt je me recule pour lui laisser la place et ne pas être indiscret, mais elle se laisse tomber assise sur ma cuisse en disant :



Effectivement, elle vire quelques pubs, répond « ok pour mardi midi » à une copine qui lui propose de déjeuner avec elle, et ouvre un de ces messages qui circulent sur le Net avec des bêtises en pièces jointes. Il y a une histoire soi-disant drôle et un petit clip vidéo qui nous fait rire comme des gosses. Je regarde à la dérobée ses avant-bras couverts d’un duvet brun que je trouve très érotique, comme ses longues mains fines faites pour caresser. Son léger parfum m’emplit les narines et ses petites fesses sont restées bien pommées car je ne sens pas ses os sur ma cuisse. Pendant un instant, la pression sanguine monte d’un cran dans mon sexe, j’essaie de vite chasser cette mauvaise idée. Puis elle ferme le tout et me claque une bise sur la joue pour me remercier, déclare aller se coucher aussi. Avant de monter dans sa chambre, elle se penche sans fléchir sur son sac à main posé au sol près de l’escalier en marmonnant :



C’est vrai que ses petites fesses, qui repoussent la jupette en arrière, ont l’air bien rondes et assez charnues. Elle gobe le petit comprimé et monte en m’envoyant un baiser. Je me sens plutôt émoustillé, et je vais à nouveau faire un tour dehors pour que la fraîcheur me calme. Parce que gaule ou pas gaule, pas question de réveiller Daphné pour une séance de zizi-panpan ! La pauvre manque de personnel dans son service et risque fort, surtout lors d’un week-end prolongé avec des urgences surchargées, de faire ses vingt-quatre heures non-stop, avec à peine une heure ou deux de récupération sous la menace des sonneries.


Le samedi se passe comme j’avais prévu : elles campent dans la cuisine pour papoter, le matin prétextant de préparer le déjeuner et l’après-midi bien sûr pour laver et ranger la vaisselle. En fait, leur position statique me gêne plus qu’autre chose, car pendant ce temps-là, moi j’agis. Jusqu’au moment où Roxane s’étonne :



Et puis je m’en vais bricoler un peu dans le jardin. Elles me rejoignent, on parle arbustes et fleurs, Roxane se met à me questionner pour son propre jardin, et Daphné nous quitte pour préparer le sac qu’elle emporte pour sa longue permanence. Nous dînons très tôt, à dix-neuf heures, et mon épouse nous dit au-revoir avant de se coucher, après avoir pris un petit somnifère et en me glissant ce rappel :



C’est promis. Je m’installe dans le canapé pour regarder un pauvre film à la télé, Roxane vient se caler contre moi. Le film est mauvais, nous le prenons à la rigolade notant toutes les incohérences et les stupidités de cette œuvre mineure. Puis je sors fumer ma dernière cigarette. Il fait meilleur que la veille, je m’offre un tour de jardin nocturne. Roxane me rattrape, elle a de nouveau enfilé mon pull, et se pend à mon bras connaissant moins bien les lieux que moi. Elle me parle de son divorce, du remariage si rapide de son Didier qui ne laisse pas de doute sur le fait que sa relation avait commencé bien avant leur séparation, et puis en vient aux confidences intimes :



Nous entamons notre second tour de jardin dans cette nuit étoilée. La lune maintenant éclaire les lieux de ses rayons pâles. Elle arrête notre marche, se colle tout contre moi de côté, une jambe levée commençant à frotter les miennes :



En disant cela, sa main m’empoigne pénis et testicules à travers le pantalon. Mon sexe commence à réagir furieusement depuis le début de notre conversation.



La coquine se hisse sur la pointe des pieds et plaque sa bouche sur la mienne, sa langue forçant le passage entre mes lèvres. Ah cruel dilemme entre la raison et le désir ! Pour l’instant c’est le désir qui gagne. Une main de Roxane me pétrit le sexe, l’autre cramponne ma nuque tandis que sa langue fait la folle dans ma bouche. Je finis par lui rendre son baiser, et ma langue curieuse fouille cette bouche nouvelle, comme le ferait ma bite dans sa petite chatte. Elle lâche mon sexe pour se pendre à mon cou en gémissant, mais son bassin et son ventre oscillent en se pressant contre moi. Ce baiser dure une éternité, durant laquelle mes mains s’égarent. Elles pétrissent ses petites fesses toute fermes, remontent ensuite sous mon pull. Et là je découvre que la coquine a préparé son coup : plus de débardeur ni de soutien-gorge sous la laine douce, ses petits seins sont nus et offerts à mes caresses. Ses tétons sont durs comme deux petits bouchons et, comme souvent les femmes à petite poitrine, ils sont hypersensibles comme deux clitoris annexes. Elle gémit dans ma bouche, se tord dans mes bras, elle va finir par l’avoir sa ration de bite. Essoufflée, elle veut m’entraîner vers la maison, je la retiens et me dirige vers le cabanon de jardin. J’ouvre la porte et la pousse vers l’intérieur.


J’allume la réglette de néon alimentée par une petite batterie et un panneau solaire. Ça me permet, sans installation électrique compliquée, d’avoir un peu de lumière dans cet espace sans fenêtre pour ranger mes outils à la nuit tombante. Certes, l’environnement n’a rien de romantique : parois de bois, tondeuse, motoculteur et outils divers côtoient quelques sacs de terreau et de paillage. Mais qu’elle ne se plaigne pas, c’est elle qui a voulu. D’ailleurs aussitôt la porte refermée, elle s’accroupit pour libérer mon sexe de sa prison de tissu et le prend dans sa bouche. Quelle vorace, elle est vraiment en manque ! Je bande comme un taureau et je meurs d’envie de l’embrocher immédiatement, je la fait se relever. Un baiser fougueux et je m’accroupis à mon tour pour lui poser d’un coup son collant et sa culotte. Ô merveille ! Je découvre un pubis en friche couvert d’une épaisse toison noire, j’y plonge en même temps ma bouche et mes doigts.



C’est vrai que j’ai horreur des foufounes glabres et aseptisées. Je les trouve tristes et sans saveur. Quelle idée ont les femmes de vouloir ressembler à des petites filles ? C’est prendre leurs partenaires pour de potentiels pédophiles. C’est peut-être plus hygiénique, et encore, mais tellement moins érotique. Alors que rien qu’imaginer déverser mon liquide nacré sur ce tapis d’astrakan me fait bander encore plus fort. Bien sûr, il faut faire l’effort, comme moi en ce moment, d’écarter ces longs poils pour dégager le sillon d’amour : plaisir de la découverte, de l’explorateur dans la forêt presque vierge. Mais quand ces délicates chairs roses ourlées de brun apparaissent, quel bonheur. Je me jette dessus comme un affamé, aspirant et suçant grandes et petites lèvres déjà dégoulinantes de mouille, fouettant le clitoris à petits coups de langue, explorant l’entrée de sa grotte de mes doigts inquisiteurs. Elle gémit de plus belle, coule de plus en plus fort, elle est plus que prête à me recevoir. Je la retourne face à la paroi de planches et mon gland rejoint le chemin balisé par mes doigts qui écartent son orifice. Dieu qu’elle est serrée ! Mon gland dilaté n’a pas de mal à la pénétrer tant elle est mouillée, mais il force sa tendre muqueuse à s’écarter comme elle ne l’a pas fait depuis des mois. C’est délicieux, pour moi comme pour elle puisqu’elle murmure :



Alors je commence mes va-et-vient en elle dans un bruit de clapotis érotique. Mais je peine. J’ai beau avoir les jambes écartées, je dois aussi les fléchir, les siennes étant tellement plus courtes. A chacun de mes coups de boutoir, ses pieds décollent du sol. Alors je la retourne et la soulève de terre, elle est tellement légère. Ses cuisses fines viennent enserrer ma taille et elle s’empale sur mon dard dressé. Je l’adosse à la paroi, les planches craquent un peu mais tiennent bon, et je la bourre frénétiquement, sentant sa cyprine couler sur mes testicules. Elle gémit doucement par le nez, mord un de ses poings serrés pour ne pas hurler, puis soudain se contracte toute entière en un long et puissant frisson. C’est sa façon à elle de manifester son orgasme, un tremblement qui affecte tout son corps, à l’extérieur comme à l’intérieur. Mon pénis est soudain étranglé et parcouru par ces étranges vibrations qui, presque instantanément, provoquent mon orgasme. Un geyser de sperme gicle en elle, toute la semence retenue depuis des jours l’inonde, épaisse et brûlante, provoquant une seconde vague d’ondes dans tout son corps. J’attends en elle un long moment que son corps retrouve son calme. Son visage est rouge et porte encore les plis de la grimace du plaisir. Des gouttes de nos sucs mêlés tombent sur le sol en longs fils poisseux.



Elle roule son collant en boule et l’emporte à la main. Je regarde ses petites fesses pommées dandiner à chaque pas sous le bas de mon pull-over, et ce petit cul me fait encore envie même si mon sexe n’en peut plus. Sur le seuil de la maison, nous nous embrassons encore une fois longuement et tendrement. Elle entame l’escalier et je ne peux m’empêcher de la retenir un instant par les hanches, le temps d’embrasser ses deux jolies fesses rebondies et fermes. Elle me sourit puis reprend son ascension silencieusement. Je suis bien ébaubi par ce qui vient de se passer, oscillant entre ravissement et remord vis à vis de mon épouse. Pour ne pas faire de bruit à l’étage, je me lave la queue dans la cuisine essayant de gommer tout relent amoureux avant de me glisser silencieusement près de Daphné. Heureusement, le somnifère a bien fait son travail et elle dort paisiblement. Je suis plus agité.


À peine si j’entends la voiture démarrer, le portail grincer, Daphné est partie pour vingt-quatre heures de boulot. L’instant d’après, du moins me semble-t-il dans mon demi-sommeil, la porte de la chambre s’ouvre et Roxane nue vient se glisser contre moi. La tête sur mon épaule, elle me fait des bisous sur la joue, dans l’oreille, pendant que sa main me caresse le torse et titille mes tétons, et que sa cuisse repliée se frotte sur les miennes et remonte jusqu’à mon sexe. Elle fait connaissance avec le « bâton-pipi » du matin, bien gros, bien dur, et sa main va vérifier ce que sa cuisse a senti. Alors la jeune femme glisse sous la couette et va prendre ce gros pénis turgescent dans sa bouche. Hum… Délicieux réveil ! Je la laisse faire pendant quelques minutes puis décide de ne pas être en reste. Je soulève la couette et lui demande de se tourner pour me donner ses jolies fesses à brouter et là, ô divine surprise, lorsqu’elle se met à quatre pattes pour se placer au-dessus de moi, une grosse bulle de cyprine se forme sur sa vulve. Je n’avais encore jamais vu cela ! D’abord, le fait de sucer ma queue devait la faire mouiller beaucoup, et puis son vagin élargi la veille devait se contracter provoquant ce curieux phénomène. Quel bonheur ! Je m’amuse un temps avec cette grosse bulle qui finit par éclater, laissant tomber une grosse goutte de cyprine sur mon cou. Sa petite chatte sent fort ce matin, parfums mélangés de cyprine fraîche et de sperme rance, enivrant. J’y plonge ma bouche gourmande, elle ronronne par le nez, elle aussi la bouche bien pleine.


Roxane mouille beaucoup, beaucoup plus que Daphné, je ne peux m’empêcher de les comparer. Mais jamais Daphné ne m’a attaqué ainsi à froid dès le réveil, et jamais elle n’aurait offert son cul sans une toilette minutieuse au préalable. Pour Roxane, l’urgence est ailleurs : elle ne veut pas perdre une minute pour combler son manque de plaisir. Pour l’instant, le plaisir c’est elle qui le donne : elle me fait une pipe digne d’une professionnelle. Tout y est : petits coups de langue sur le méat, aspiration du gland, hampe branlée et légèrement griffée de temps en temps, bourses malaxées. Accéléré par l’envie de pipi qui n’arrive pas à prendre le dessus, je sens que je ne vais pas tarder à jouir. Je redouble alors d’attentions vicieuses pour son sexe, langue enfoncée complètement dans sa grotte, le nez sur sa petite rondelle serrée à mort, un pouce roulant son clitoris. C’est quand, de ma main libre humectée à ses sucs, je titille son petit anus, le lubrifie copieusement et finis par le pénétrer d’un doigt, que Roxane se cambre échappant ma bite de sa bouche pour pousser un petit cri, puis reprend sa fellation en grognant et geignant par les narines. Soudain son corps se contracte et, comme la veille, est la proie d’un long et puissant frisson, un grand tremblement qui la pétrifie comme une intense vibration. Pas de cris, pas de grands gestes, pas de soubresauts, juste une tétanie proche de l’épilepsie qui la foudroie. Mais ses glandes, comme brutalement comprimées, éjectent leurs sécrétions avec la même violence et je prends deux petits jets sur le menton. Sa bouche se crispe sur ma queue, délicieusement et douloureusement en même temps, et d’un dernier coup de bassin qui me place au fond de sa gorge, j’éjacule mon sperme dans son gosier. Ça ne l’étouffe pas puisque à cet instant elle ne respire même plus tant elle est tétanisée. Ce n’est qu’ensuite qu’elle tousse en essayant de tout avaler quand elle revient doucement à elle.


Ouf ! Une journée qui commence bien ! Après un peu de repos, nous descendons prendre un café. L’adorable Daphné nous en a préparé une grande cafetière, nous l’avalons avec quelques tartines. Roxane rit de bon cœur, semble enfin heureuse et épanouie. On a toujours gagné ça. Vêtue d’un tout petit kimono, elle ne tarde pas à venir sur mes genoux en me chevauchant. Je peux enfin écarter le satin et palper ses petits seins au grand jour. Ses aréoles sont brunes et se crispent vite, ses tétons très foncés, gonflés et durs, finissent dans ma bouche et ma langue et mes lèvres les excitent à l’en faire gémir. Tenant ses fesses à deux mains, j’entreprends de titiller de nouveau son anus, m’aidant en cela du beurre qui est là tout près, sur la table. Je parviens à y faire pénétrer deux doigts.



Je prends tout mon temps pour élargir son petit trou tout en lui suçant les seins. Plus le temps passe et plus je la sens mouiller de nouveau. Quand je la sens prête, nous remontons. Elle m’attire vers sa chambre :



Toujours l’esprit pratique dans cette famille ! Va pour la chambre d’amis. Sans un mot de plus, elle s’installe sur le lit en levrette, bien cambrée, m’offrant ostensiblement sa voie étroite. Quoique chez elle les deux sont étroites. Je commence donc par plonger dans son vagin afin de bien me lubrifier le pénis, tout en doigtant sa rosette de mes deux pouces, à la faveur du beurre encore présent. Je sors de sa chatte, rabats mon prépuce pour faciliter l’intromission et me positionne sur son anus. J’appuie, mon gland coulisse un peu et s’engage, mais elle se contracte.



A la seconde tentative, la porte est franchie ; bien qu’elle tente de se resserrer, c’est trop tard. J’attends un peu qu’elle s’habitue, elle souffle comme si elle allait accoucher. Je ne peux m’empêcher d’avoir une pensée pour Daphné qui m’a toujours refusé ce type de plaisir. L’amant aurait-il plus de chance que le mari ? Mon sentiment de culpabilité resurgit soudain, me faisant un peu débander, ce qui est finalement salutaire et me permet de m’enfoncer complètement dans le cul de Roxane. Et là je retrouve ma forme en plus de la sensation incroyable procurée par l’étroit conduit. Puis j’oscille doucement pour y faire ma place en douceur avant d’entamer progressivement mes va-et-vient. Roxane me suit, cambrant ou faisant le gros dos et poussant des petits « Oh… Oh… ». Je suis au fond de ce merveilleux petit cul, l’idée même me procure un plaisir immense, je ne sais pas pourquoi mais j’en rêvais. Puis je me lance très progressivement dans une chevauchée fantastique, un pilonnage en règle de cet étroit fourreau, duquel je peux maintenant sortir et le renfiler sans difficulté. Son petit trou est devenu à peine moins gros que mon gland, et l’effet de piston provoque des pets qui nous font rire tous les deux. Et une femme qui rit lorsque vous êtes en elle par cet orifice, c’est un massage prodigieux. Je lui pétris en même temps le clitoris, et chaque passage sur son petit bouton provoque une sublime contraction. Roxane exprime cette fois son plaisir à pleins poumons. Chaque changement de rythme lui fait gravir une marche de plus vers l’orgasme qui, lorsqu’il se déclenche, me broie le sexe d’une invraisemblable succession d’ondes contractiles. Inutile d’essayer de me retenir, je lâche tout le reste de mon stock dans ses entrailles, elle hurle à la mort et retombe foudroyée. Je reste ainsi pantelant, appuyé sur mes quatre membres au-dessus de ce petit corps qui me donne tant de plaisir. Je suis en nage, le cœur à cent vingt, je me traîne épuisé vers la salle de bains pour remplir une baignoire.



Elle me rejoint dans l’eau tiède, à chacun de ses pas son anus émet des borborygmes mi-gazeux mi-humides, elle colmate les fuites avec une poignée de mouchoirs en papier. Nous avons dû nous endormir dans le bain, elle est assise entre mes jambes adossée à ma poitrine. J’ajoute de l’eau chaude, il est bientôt midi. Je serais bien allé nous préparer une petite collation, mais mon insatiable partenaire place mes mains sur ses seins, arguant qu’ils ont un peu froid. Je me sens incapable de « remettre le couvert », mais je veux bien la caresser encore. Je m’occupe de ses seins, elle se charge de son clitoris. Quelques minutes plus tard, son étrange orgasme vibratoire fait trembler la surface de l’eau. Quelle gourmande ! J’ai vraiment besoin de recharger les batteries, même si le spectacle de cet orgasme m’a redonné une érection momentanée. Je m’habille et nous fait réchauffer le reste de pot-au-feu que nous mangeons avec une bonne bouteille. Puis je vais faire un tour dehors, fumer une ou deux cigarettes, dégourdir mes jambes courbatues comme le reste de mon corps, délicieuse sensation qui suit les excès amoureux. Je m’assois sur un banc au soleil, Roxane s’assoit près de moi, pose sa tête sur mon épaule et s’endort la première, je la suis dans le sommeil. C’est le téléphone qui nous réveille, Daphné prend des nouvelles.



J’ai le rouge de la honte aux joues, la terrible sensation d’avoir trompé ma femme, que j’aime et qui m’aime, et d’avoir aimé ça. Roxane n’a pas l’air gênée du tout. Elle continue de me faire bisous et chatouilles, et donne toute l’apparence de quelqu’un qui n’a qu’une envie : recommencer. Puisqu’il faut lui expliquer, je lui dis combien je me sens mal d’avoir fait tout cela avec elle, même si ça lui a fait beaucoup de bien, même si j’ai aimé ça et si j’y ai pris un immense plaisir. Nous décidons d’aller faire une balade dans la nature pour me changer les idées. Elle promet d’être sage tant qu’il y a des maisons en vue, car nous connaissons à peu près tout le quartier sa tante et moi. C’est elle qui, une fois dans la solitude verdoyante, entame la conversation :



Nous rentrons, Roxane se met nue et vient m’agacer de son corps de liane. Nous baisons encore comme des fous, je la bourre avec toute la colère que me donne la situation dans laquelle elle m’a mis. Oui après tout, que j’y trouve au moins mon compte. Plus le temps passe et plus je mets de temps à jouir. Logique, je crois que je n’ai jamais de ma vie autant fait l’amour en si peu de temps. En plus, Roxane multiplie les orgasmes : elle en est à quatre ou cinq avant que je ne me répande en elle après l’avoir troussée par tous ses orifices. Nos ébats reprennent après le dîner et se prolongent tard dans la nuit. Nous nous endormons l’un dans l’autre, j’ai mis un réveil pour être certain de réintégrer le lit conjugal avant le retour de Daphné. Je lui ai préparé un bol de bouillon de légumes dans le micro-ondes avec un somnifère, c’est ce qu’elle prend en général en revenant de garde.


Quand le réveil sonne, je suis dans un coaltar pas possible. Je vais dans notre lit essentiellement pour le chauffer, mais je me rendors instantanément. C’est Daphné qui me réveille en se glissant sous les draps, j’en profite pour me lever après un petit bisou et la laisser se reposer en paix. Roxane semble aussi bien fatiguée, elle dort à poings fermés. Je termine ma nuit sur le canapé jusque vers onze heures. Une petite douche et je nous prépare une collation. Roxane descend vers midi, les cheveux encore humides, avec la grosse boule de ses draps maculés d’autant de couleurs bizarres que de taches multiples. Elle lance une lessive puis nous déjeunons sagement en tête à tête. Nous regardons ensuite les infos à la télé, suivies d’une émission stupide de télé-réalité, je m’endors. Vers quinze heures je fais un tour de jardin, Roxane me rejoint, nous nous asseyons sur le banc face à la maison pour mettre au point ce que nous dirons des activités que nous avons menées la veille, concluant que moins nous en dirions et mieux ce sera : un peu d’informatique, une promenade, un peu de jardin, un peu de télé… Daphné ouvre les volets de la chambre vers seize heures, les yeux bouffis de sommeil. En fait Daphné ne pose qu’une question :



Daphné est contente, je les laisse dans leur poste de commandement, la cuisine, en grandes manœuvres de papotages.


Les jours suivant se passent comme Roxane l’avait prédit, très paisiblement, et la vie retrouve son cours normal à l’exception des mails que m’envoie notre nièce, de plus en plus enflammés. Je lui intime d’arrêter : une, Daphné peut à tout moment tomber dessus par hasard ; deux : notre relation devait être purement sexuelle, pour lui rendre service, et pas amoureuse. Roxane me répond illico qu’elle est la première surprise, que l’amour ne se commande pas et qu’elle n’a jamais rien vécu de mieux avec aucun homme. Alors elle use de moyens détournés : elle se contente de m’envoyer des liens vers des poèmes ou des chansons d’amour tout aussi enflammés. Et Daphné, évidemment, tombe dessus.



Mes souliers deviennent soudain tout petits. Car ça, nous ne l’avions pas mis au point ensemble, c’est de l’improvisation pure. Mais tout semble bien se passer entre les deux pipelettes, jusqu’au moment où mon épouse se tourne vers moi en disant :



Eh bien voilà ! Daphné me renvoie directement dans la gueule du loup, de la louve en l’occurrence. À vrai dire j’en suis ravi, parce que son petit corps affamé d’amour et de sexe me manque terriblement. Ça a commencé trois jours après son départ. Au début, j’avais espoir de tourner la page et d’essayer d’oublier. Mais une fois mes batteries rechargées à bloc, comme il fallait attendre le week-end pour avoir un rapport avec Daphné, mon corps s’est souvenu tout seul de celui de Roxane qui lui avait donné tant de plaisir, en quantité comme en qualité. Je bande en pensant à elle ou je pense à elle en bandant, j’en rêve la nuit.


Je pars donc chez Roxane en même temps que Daphné part pour sa garde de week-end, le coffre chargé d’outils de jardin. Je n’y vais pas, j’y vole. Elle m’attend avec un café, simplement vêtue d’une nuisette transparente : à tomber. Le café est très vite avalé et je lui bondis dessus en même temps qu’elle se jette sur moi. Pendant une heure, je la baise dans sa cuisine avec une rage et une frénésie dont je ne me croyais pas capable. Après cela elle me dit que ce serait bien de faire quand même quelque chose dehors, ne serait-ce que pour justifier la présence de ma voiture auprès des voisins. Ils avaient joué un rôle important dans son divorce et sont très curieux, voire voyeurs. Je vais tailler la haie de façade, Roxane vient ramasser les déchets. Les vieilles alentour nous observent derrière leurs carreaux. La haie est vite rabattue au carré, j’entame celle du fond qui donne par un portillon sur un chemin longeant le canal. Roxane me propose d’aller déjeuner, elle a fait plein de petites choses délicieuses : avocat aux crevettes, pain de poisson, acras de morue, fromage blanc aux herbes, salade de fruits… C’est elle que je veux, elle dont j’ai envie. Je la prends sur mes genoux, la déshabille, tandis que nous picorons sur la table. Sa peau, son odeur, tout me manque. Je n’aurais jamais imaginé cela, ça m’inquiète même un peu. Est-ce que moi aussi je ne deviens pas amoureux de cette femme ? Attention Jérôme !


Pour l’instant je joue avec tous ses accessoires féminins comme un enfant avec un nouveau jouet : je mordille et triture ses seins, je lui donne la chair de poule par de légères caresses dans le dos, je fais mouiller son minou… Très vite, elle est excitée comme une puce et m’entraîne dans sa chambre. Corps à corps furieux, elle se laisse prendre en missionnaire puis reprend le dessus pour me chevaucher à son rythme, je la retourne ensuite en levrette, sors de sa chatte détrempée et attaque son petit œillet, bien refermé depuis la dernière fois mais resté souple. C’est à ce point précis que le ciel me tombe sur la tête. La porte de la chambre s’ouvre en grinçant doucement, je jette un coup d’œil par-dessus mon épaule croyant à un courant d’air, mais pas du tout. Daphné, ma Daphné, est là dans l’encadrement de la porte. Mon sang tourne instantanément en jus de navet et je débande d’un coup. Ma vie s’écroule. J’ai fait le con, je paye cash. Je retombe assis au bord du lit et me prends la tête à deux mains, au bord de l’évanouissement. J’entends comme dans le lointain les deux filles qui rient, je suis en train de faire un cauchemar, je vais me réveiller. Roxane s’agenouille dans mon dos, Daphné s’accroupit devant moi.



Combine ? Quoi ? Qu’est-ce que c’est que cette histoire ? Pourquoi Daphné est-elle pieds nus en peignoir ici chez Roxane ? Pourquoi ne me fait-elle pas une scène épouvantable ? Elle poursuit :



Le ciel me tombe une seconde fois sur la tête. Je me suis fait piéger comme un bleu par ces deux coquines. Je finis par éclater de rire, un rire nerveux au bord des larmes. Je prends Daphné dans mes bras et la serre très fort.



Ma Daphné laisse tomber son peignoir, s’agenouille et commence à me sucer, ce qu’elle ne fait pratiquement jamais. Je me laisse aller contre Roxane, qui me caresse et me roule des pelles fantastiques. Un moment plus tard, nous faisons l’amour tous les trois. Je passe avec fougue et ravissement de la chatte de l’une au cul de l’autre, tandis que celle qui est libre ne cesse de me caresser et de m’exciter.


Roxane est venue habiter chez nous, ce n’est pas un problème car la maison est grande. Nous avons acheté un lit immense où nous dormons à trois, où nous baisons aussi beaucoup. Car cette nouvelle configuration a stimulé la libido de Daphné, et les râles de plaisir de Roxane la font terriblement mouiller. Il leur arrive même maintenant de se caresser, de s’embrasser, de se doigter l’une l’autre. Ça a commencé un jour où, au hasard de nos ébats, je limais Roxane juste au-dessus du visage de Daphné. Elle s’extasiait de voir en gros plan ma queue défoncer la petite chatte étroite de sa nièce. J’ai appuyé sur la nuque de Roxane, exempte de principes, pour qu’elle suce le clitoris de sa tante.



Et Daphné la pudique s’est suspendue à mes hanches pour venir lécher le clitoris de sa nièce et me gober les couilles. Roxane a joui comme une folle, sa cyprine abondante ruisselait sur le visage de Daphné qui essayait de ne pas en perdre une goutte. Puis nous avons inversé les positions et c’est Daphné qui est partie au septième ciel comme jamais. Roxane a même réussi à persuader Daphné d’essayer les délices de la sodomie. C’est elle qui l’a préparée soigneusement et qui m’a guidé dans la manœuvre. Depuis je pilonne indifféremment leurs quatre orifices, pour mon plus grand bonheur.


Les deux perfides, toujours extrêmement complices, décident à mon insu d’avoir un enfant en même temps. Il n’y a que quelques semaines de décalage, et elles m’annoncent cette incroyable nouvelle le jour de mon anniversaire. Pendant des mois, je me suis délecté des corps de ces deux jeunes femmes enceintes, poitrines et vulves dilatées, gros ventres et sensations nouvelles. Roxane accouche de Chloé que je reconnais, et quelques jours plus tard Daphné donne le jour à Colin, prénoms choisis en hommage à Boris Vian, « L’écume des jours ». Daphné ne conserve que deux petits kilos de sa grossesse, peut-être même juste logés dans ses seins de mère allaitante. Roxane en revanche a pris une quinzaine de kilos et en garde dix. Elle est bien plus sexy avec ses formes retrouvées, ses hanches à nouveau rondes, ses cuisses charnues et ses bras plus tendres. Je la trouve vraiment belle maintenant et j’honore quotidiennement cette nouvelle beauté, qui a conservé tout son appétit sexuel. Elle aussi allaite, et les deux mères échangent souvent les bébés durant la tétée, « pour les habituer à des goûts différents » disent-elles. Je crois surtout qu’elles adorent se faire pomper les tétons, chose que je laisse volontiers aux bébés parce que le lait maternel est particulièrement dégueulasse, il faut bien le dire.