n° 21762 | Fiche technique | 18612 caractères | 18612 3050 Temps de lecture estimé : 13 mn |
08/05/23 |
Résumé: Voyage seule, rencontre avec une collègue et sa nouvelle conquête et réalisation d’un de mes fantasmes préféré au cours d’une soirée magique. | ||||
Critères: ffh fagée hotel voyage fsoumise voir exhib noculotte fmast caresses fellation pénétratio fsodo hdanus -totalsexe -diffage | ||||
Auteur : Etienne56 Envoi mini-message |
Cette fois-là je n’accompagnai pas Marie lors du voyage qu’elle effectuait aux États-Unis. Elle profitait de ces escapades en solo ou pas, c’était selon.
À son retour, un soir, elle me raconta l’aventure qu’elle avait vécue loin de moi. Marie n’était jamais avare de confidences de tous ordres sachant parfaitement qu’elles contribuaient à pimenter notre vie sexuelle.
Proche de la soixantaine, elle ne m’avait jamais paru aussi belle et séduisante. Je vous relate l’histoire telle qu’elle me l’a confiée.
La décision de partir chez des amis en Floride à Fort Lauderdale s’accompagna de la bonne nouvelle annoncée par une de ses collègues, Josiane : elle comptait, à la même époque, passer quelque temps à Miami. Josiane est une belle femme, jouant volontiers de ses atouts qu’elle a fort nombreux. La soixantaine très, très épanouie et attirée par les messieurs très, très jeunes. Cela allant de soi, avait-elle coutume de dire. Je saute sur l’occasion, hôtesses de l’air toutes les deux, nous faisons en sorte, tâche facilitée par nos amis pilotes, de nous faire enregistrer en classe affaire.
Voyager en GP (Gratis Passenger), nous impose une tenue vestimentaire irréprochable, aux yeux des messieurs j’entends, le pantalon est à bannir, la jupe s’impose et le métrage de tissu des plus réduit, tout en restant dans les limites du chic parisien.
Comble de chance pour mon amie le siège voisin du sien est occupé par un cadre trentenaire au physique ne laissant aucune femme indifférente. Pleine de sollicitude, solidarité féminine oblige, sororité, dirions-nous aujourd’hui, je laisse les deux compagnons de voyage faire connaissance et peut-être ou sans doute assaut de leur séduction respective.
À l’arrivée, Josiane, très excitée, me confie avoir rendez-vous le soir même à l’hôtel avec le jeune homme. Du Josiane tout craché ! Je m’en réjouis pour elle, je ne suis pas vraiment attirée par les jeunes. Après un après-midi à me prélasser au bord de leur piscine, puis une soirée chaleureuse auprès de mes amis à Fort Lauderdale, fatiguée du voyage, je me couche tôt.
Le lendemain, bien reposée, je reçois un appel de Josiane.
Assez peu habituée au qualificatif fort désagréable à mes oreilles de mature, je n’ai tout de même que cinquante-neuf ans et quelques, j’ai souvent confié à Josiane mes aventures extra-conjugales et mon désir toujours en éveil pour les hommes.
Faire l’amour à trois, je l’avais souvent fait, mais toujours avec mon mari, mais j’aime l’audace et les audacieux.
L’après-midi se passe agréablement autour de la piscine où j’échafaude mille scénarios faisant grimper l’excitation en même temps que l’impatience de cette expérience à venir. Vient le moment des préparatifs, douche, lavage intime scrupuleux, devant, derrière, rien ne doit être laissé au hasard ! Je coupe très court les poils de ma toison, vaporise un parfum musqué, de ceux qui apportent une touche supplémentaire de sensualité. Dessous blancs, sexy, une jupe portefeuille noire, un chemisier blanc, une veste légère.
Long regard devant le miroir, les jambes se dévoilent à chaque pas, chemisier suffisamment échancré pour que se devine la naissance des seins. Bronzage parfait faisant ressortir le vert de mes yeux… il allait… il devait craquer ou je n’y entends rien aux désirs masculins !
Mes amis me souhaitent une excellente soirée qu’ils imaginent, ils me connaissent parfaitement, chaleureuse, très chaleureuse.
En quittant leur propriété, j’annonce par un SMS à Josiane mon arrivée prochaine. La réponse arrive aussitôt, je suis attendue au bar de la piscine.
Je les repère assez vite, elle, jolie blonde en débardeur et bermuda blanc, lui, polo noir, pantalon beige. Parfait, j’aime… Je profite des quelques mètres à parcourir pour détailler l’animal, ce que je n’avais pas fait durant le vol. Silhouette irréprochable, cheveux courts, un regard noir intense, il ne fait pas semblant. L’ensemble me plaît instantanément, rien à jeter, hum… à déguster sur place et sur-le-champ, je suis aux taquets.
Le regard qu’il me porte, sûrement identique au mien, suinte de son côté l’approbation totale qu’il devine réciproque. Nous nous embrassons, j’adore son odeur, je m’y attarderais volontiers.
Un serveur nous sert trois cocktails maison. La discussion démarre un peu poussive, un peu banale, il y a des étapes que l’on sauterait bien, mais il nous faut prendre quelques forces. Alors, voyages, travail, les États-Unis, ce que nous en pensons. Josiane s’éclipse souhaitant s’habiller pour le dîner.
Vincent m’offre un second cocktail, nous rentrons dans le vif du sujet. Sans vraiment trop y croire, il avait fait cette demande qu’il craignait inopportune, ma réponse l’avait surpris, un peu déstabilisé. Cet aveu craquant me fait littéralement fondre.
Trop de certitudes voire d’arrogance me déplaisent chez un homme. Sentir la petite faille, le trouble me touche. Mon sourire, mon plaisir de nouvelles expériences achèvent de le convaincre et sans doute de le rassurer pleinement. Je me garde, pour le moment, d’ajouter qu’être soumise et offerte est mon fantasme ultime. Il me fait quelques compliments sur mes jambes largement découvertes, me trouve désirable avec mes cheveux gris, mon corps de femme mûre, il a toujours été attiré par les femmes plus âgées que lui.
Il ne relève pas cette réflexion, sans doute un peu stupide de ma part. Nous passons ainsi au tutoiement, l’avalanche de compliments, son regard qui me détaille sans retenue, aucune, le sentiment de devenir une proie, la pensée de ce qui pourra suivre, je craque vraiment pour lui.
C’est le moment que Josiane choisit pour revenir. Jolie robe très décolletée, raisonnablement courte, absence criante de soutien-gorge. La température grimpe.
Nous choisissons, pour dîner, la terrasse encore ensoleillée d’un restaurant. La commande passée, notre conversation ne laisse planer aucun doute sur la soirée que nous envisageons de vivre. Josiane, minaudant à qui mieux mieux, sûre de ses charmes, excitée par la main baladeuse de Vincent sur sa cuisse… Elle ne cesse, sans filtre, de vanter mes prouesses, mes préférences sexuelles qu’elle connaît parfaitement.
Vincent en demande davantage et m’interroge sur celles-ci. J’élude rapidement le sujet m’intéressant davantage au présent qu’à mes aventures passées, j’aime le sexe et si l’excitation est au rendez-vous, j’accepte, et j’apprécie beaucoup de choses, lui dis-je. Josiane précise, voulant manifestement accaparer l’attention de Vincent et ainsi reprendre le dessus, qu’elle ne porte rien sous sa robe.
Aussi gracieusement que possible, le fixant durant la délicate opération, me tortillant, me contorsionnant, nonobstant le voisinage, je me libère de l’objet que je pose en boule sur la table entre mes deux… partenaires. Vincent sans se démonter, la saisit, l’examine.
Je ne vais pas faire ma pudibonde et ça me plaît de lui obéir.
Je m’éclipse et disparais cinq minutes dans les toilettes le temps d’enlever le sous-vêtement. Une rapide inspection confirme ce que je ressens de plus en plus fort, tétons dressés, chatte mouillée, décidément le soleil n’y est pour rien.
Je les retrouve, approbation générale des clients mâles présents, cuisses largement découvertes à chacun de mes pas, chemisier très généreusement déboutonné masquant avec peine mes seins, le tissu est fin, très fin. Je reprends ma place, ne tenant pas, à vrai dire, à trop m’y attarder. La chatte en ébullition, le ventre dévoré par l’envie de sexe, je veux être leur objet à tous les deux, leur plaire, ressentir très fort leur désir.
Le dîner s’achève rapidement, pas de dessert, ou plutôt si mais, plus tard, un autre type de dessert qui reste bien plus longtemps en bouche… Et puis non, une envie soudaine de glace recouverte de chantilly, mon péché mignon.
Les deux convives me regardent me délecter, faire fondre glace et crème sensuellement dans ma bouche.
Il s’éclipse quelques minutes, nous retrouve à sa porte. La suite est superbe, la vue depuis la terrasse l’est tout autant, nous serons aux premières loges pour admirer le coucher de soleil si rien ne détourne notre attention de ce spectacle. Je suis fort sceptique.
Josiane s’intéresse de très, très près à mon corps, s’y colle, me caresse le bras tout en me guidant vers le canapé. Vincent choisit le fauteuil qui nous fait face, une bouteille de champagne entre nous. Il remplit les trois coupes, un sourire indéfinissable aux lèvres, nous les tend :
Mon amie est tout de suite dans le vif du sujet, écarte les pans de ma jupe, en fait autant avec mes cuisses, me caresse, m’embrasse offrant une vue qui semble pleinement satisfaire notre hôte.
Josiane achève de déboutonner mon chemisier, l’ouvrant totalement sur ma poitrine. Offerte, docile et soumise à toutes leurs envies.
Elle me fait lever, enlève mon chemisier, ma jupe. Je suis totalement nue, partagée entre une folle excitation et l’extrême embarras d’être face à eux encore vêtus.
Ma chatte dégouline, leur regard a pris une intensité presque violente. Celui de Vincent surtout, il me détaille, m’envahit. Puis se débarrasse soudainement de ses vêtements. Quel corps, mais quel corps ! Dois-je ajouter que mon regard s’est aussi porté sur une autre partie de son corps, et là aussi conforme à mes souhaits les plus fous.
Josiane caresse mon corps, me fait tourner, je lui présente mes fesses. Elle les palpe, les embrasse, les lèche et m’oriente de façon à offrir ma chatte, mon cul à Vincent. Je ne sais plus très bien qui fait quoi, je ferme les yeux et sens le plaisir m’inonder, telle une vague scélérate. Des mains écartent mes fesses, me caressent la chatte, leurs doigts la pénètrent, je suis leur jouet, totalement soumise, je suis…à deux doigts de jouir.
Il lui suffit de quelques secondes pour enlever sa robe et nous laisser admirer son corps, magnifique, poitrine aux tétons arrogants, chatte imberbe et si douce, une friandise. Nous sommes toutes deux allongées sur le canapé, nous fouillant respectivement la chatte humide, très humide tout en caressant le clito. Il durcit sous mes doigts. Comble de l’excitation. Elle enfonce un doigt dans mon petit trou tout en masturbant mon clito.
L’orgasme me fait crier de plaisir, le regard de Vincent ne se détache plus de moi.
On frappe à la porte. Vincent, nu comme un ver, va ouvrir… Audacieux.
Nous l’entendons vaguement échanger quelques mots et le voyons revenir avec un jeune homme cramoisi à notre vue, tenant une coupe de belle taille remplie de chantilly. Surprise totale ! Délicate attention.
Josiane s’avance vers lui, s’offre à lui, les bras derrière la tête, Vincent tenant la coupe dirige l’opération, et c’est avec application et une fébrilité touchante qu’il opère la main tremblante, l’œil dilaté.
Trop contente, l’occasion est trop belle, je me lève, baisse le pantalon puis le caleçon du garçon, saisit son sexe déjà bien raide que j’enduis de chantilly, tout en caressant ses testicules, puis m’agenouille et lui taille une pipe au délicat parfum. J’engloutis son sexe au maximum, il peine à tenir debout, ses mains sur ma tête, respire de plus en plus fort, gémit de plaisir et décharge très rapidement dans ma gorge. Je me relève et retourne m’allonger sur le lit fière de m’être comportée comme une pute.
Aussitôt après, il remet de l’ordre dans sa tenue et titubant, accompagné par Vincent, quitte la chambre non sans un regard envieux sur le spectacle offert.
Vincent nous retrouve, je lèche jusqu’à l’écœurement le corps de mon amie, en extase tant la situation l’excite. Son corps nous glissera entre les doigts toute la soirée, rajoutant du plaisir aux plaisirs. Il nous demande, après cet épisode des plus sensuels, d’adopter la position de levrette, j’adore être traitée de la sorte, je suis soumise, totalement obéissante à tous ses souhaits. J’en demande, j’exige toujours plus.
Je le regarde, nu, sa queue impressionnante dressée.
Josiane m’embrasse, me lèche, fouette mon corps de ses longs cheveux, pince mes tétons tellement sensibles. Je sens des doigts pénétrer ma chatte, mon cul, les gémissements de Josiane me confirment qu’elle subit le même traitement. Offertes et soumises ensemble aux désirs d’un jeune mâle vigoureux.
Je le sens énorme tout au fond de moi, il me doigte en même temps mon petit trou.
Je gémis, halète, me laisse aller à crier, me cabre sous la puissance de l’orgasme qui me submerge. Sa queue, ses mains me quittent, je le regarde dans un état second se tourner vers Josiane, la pénétrer, la défoncer. Je me caresse, je la caresse, les seins, le clito. Je vois, je ressens presque en moi la queue de Vincent rentrer, sortir à grands coups, les gémissements gagnent en intensité, ça me rend folle de plaisir d’y participer. Elle crie sans retenue, il l’accompagne en jouissant bruyamment et se vide en elle. Toujours pas totalement rassasiée, je me rapproche, lui saisit sa queue, la lèche avec gourmandise, le goût des sécrétions mêlées ravive mon désir.
J’humecte mon index, l’enfonce dans son cul. Le jeune homme semble surpris par la manœuvre. J’enfourne sa queue molle dans ma bouche. Peu à peu avec les doux titillements de la langue, la chaleur de la bouche, je le sens progressivement gonfler. Mon index toujours au fond de son trou s’y active.
Josiane, de retour parmi les vivants, vient de se réapproprier ma chatte. Je me remets à quatre pattes, abandonne Vincent qui manifestement a recouvré ses moyens. Je lèche la chatte dégoulinante de mon amie.
J’en demande encore et encore. Je sens les doigts de Vincent s’enfoncer dans mon intimité et aussitôt après dans mon cul.
Je ne me reconnais pas, ces mots dans ma bouche ne me sont pas vraiment familiers. Mais je m’en fou, je veux aller au bout de mon fantasme, je veux boire jusqu’à la lie.
Je sens un puis deux doigts, j’écarte les cuisses, me cambre au maximum pour mieux lui offrir mon petit trou. Je râle de plaisir quand ses deux doigts s’ouvrent, puis, très vite sa queue plonge en moi violemment. De surprise, de douleur, je crie, son ventre contre mes fesses, il me l’enfonce si profondément. Il commence ses va-et-vient les mains agrippées à mes hanches, j’entends son pubis claquer contre mes fesses. Les gémissements de Josiane, que je ne cesse de caresser, nos cris, nos plaisirs tout m’excite, tout se mélange. Au moment où elle jouit, Vincent inonde mon cul de son sperme et je sens en moi une explosion si forte que je sombre dans une autre dimension.
Quand je reprends conscience, je suis allongée sur le ventre contre Josiane. Il nous regarde.
Nous éclatons de rire, discutons, petit brin de toilette puis nous sombrons dans un sommeil des plus réparateurs.
Le lendemain matin, encore hébétée par cette chaleureuse soirée, je m’habille et laisse mes deux amis, ne voulant rien rajouter aux réminiscences de cette nuit magique.
Je ne pourrai plus jamais goûter à la chantilly sans évoquer ce souvenir.
Ce soir-là, je n’ai rien vu du coucher de soleil.