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Temps de lecture estimé : 22 mn
09/05/23
Présentation:  Un texte très dialogué et fort soft qui explique la progression d’un couple, mais pas que... L’occasion fait le larron.
Résumé:  Depuis la fin de leurs études, afin de garder contact, Magalie (la rousse) et Isabelle (la blonde) ont l’habitude de déjeuner ensemble environ tous les quinze jours dans une cafétéria, avec parfois des déficiences dans cet emploi du temps.
Critères:  copains caférestau fsoumise revede vidéox sm init confession -initiat -dominatio
Auteur : Patrik  (Carpe diem diemque)            Envoi mini-message
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Un texte très dialogué et fort soft qui explique la progression d’un couple, mais pas que…

L’occasion fait le larron.

Bonne lecture : )






Première conversation – Jeu spécial


Depuis la fin de leurs études, afin de garder contact, Magalie (la rousse) et Isabelle (la blonde) ont l’habitude de déjeuner ensemble environ tous les quinze jours dans une cafétéria, avec parfois des déficiences dans cet emploi du temps. Parfois, elles s’invitent mutuellement chez elles.


Les deux femmes n’ont pas le même rythme de vie : Magalie est mariée avec deux jeunes enfants, quant à Isabelle, elle est restée célibataire, ne se privant pas en matière d'hommes, même si parfois le succès affectif n’est pas franchement au rendez-vous.


Comme Isabelle l’avait soupçonné, Magalie a quelque chose à confier à son amie :



Fière de son effet, la rousse enchaîne :



Tout en découpant son pavé mariné, Isabelle s’étonne :



Relevant le menton, Magalie assène :



La blonde essaye de comprendre :



La rousse fronce les sourcils, ayant quelques difficultés à vouloir bien exprimer sa pensée :



Isabelle continue sur sa lancée :



Finissant son assiette, Magalie reconnaît :



À ces paroles, Isabelle s’inquiète :



Posant sa fourchette, la rousse avoue :



Puis les deux amies passent à un autre sujet. Elles ont tant à se dire, car dès le départ, elles ont convenu de ne pas se téléphoner, sauf pour les urgences, afin d’avoir plein de choses à raconter lors de leurs déjeuners en tête à tête…




Deuxième conversation – Tarification


Une fois de plus, Magalie et Isabelle déjeunent en face à face, dans un coin assez isolé. Avide d’en savoir plus sur un certain sujet, Isabelle demande :



Interdite, Isabelle ouvre de grands yeux :



Posant sa fourchette, Magalie explique :



Entendant cette réponse, Isabelle tique un peu :



Isabelle glousse en catimini :



Intéressée, la blonde demande :



Isabelle hausse des sourcils :



La rousse réfléchit un peu :



Surprise, la blonde ne s’attendait pas à ce retour de bâton :



Faisant fi de cette réponse, Isabelle insiste :



À moitié rigolarde, Isabelle hoche la tête :



Puis sans se concerter, elles se mettent à pouffer gaiement.




Troisième conversation – Vidéo


Une fois de plus, les deux amies déjeunent ensemble, mais cette fois-ci l’intervalle a été réduit à une semaine, à la place de deux. Marjorie est en train d’expliquer à son amie la direction que prennent ses petits jeux spéciaux :



Magalie montre une photo qui semble fort ancienne sur laquelle une femme de très mauvais genre aguiche un bonhomme plutôt patibulaire. Isabelle semble néanmoins dubitative :



Se souvenant parfaitement de cette première séance, Magalie en salive presque :



Isabelle semble un peu dépassée :



Elles se mettent à rire, puis elles abordent le sujet du boulot, pour la blonde comme pour la rousse.




Quatrième conversation – Application


Deux semaines plus tard, après s’être saluées et avoir échangé des banalités, la pulpeuse rousse s’adresse fébrilement à son amie :



Isabelle affiche un large sourire :



Magalie regarde autour d’elle, puis sortant son smartphone, elle se penche sur son amie :



Isabelle se penche sur le petit écran :



Isabelle s’empare du smartphone :



La blonde continue l’exploration de la fiche :



Magalie regarde une fois de plus autour d’elle :



Tout en continuant à consulter la fiche de son amie, Isabelle demande :



Isabelle demande quelques précisions :



Magalie reprend son smartphone, puis après quelques manipulations, elle affiche une page composée de diverses petites vignettes :



Puis elles triquent joyeusement.




Cinquième conversation – Mauvais film


Quinze jours plus tard, alors qu’Isabelle est déjà sur place, un peu à l’écart comme de coutume, Magalie arrive, plateau en main, toute fébrile, pour venir s’asseoir face à son amie :



Assez excitée, la nouvelle arrivée s’installe face à son amie :



La coupant dans sa phrase, Isabelle s’exclame :



Sidérée, les bras ballants, sa voisine accuse le coup :



Jean-Philippe et moi étions en train de faire ce que nous avions à faire, quand soudain la porte s’ouvre violemment, laissant entrer quatre policiers en uniforme, événement qui n’était pas du tout prévu dans le scénario ! Pas des acteurs, des vrais flics.


Le plus grand s’exclame d’un air triomphant :


  • — Haha ! On vous tient en flagrant délit !

Toujours en train de me prendre en levrette, ses mains fermement rivées sur mes hanches, Jean-Philippe demande placidement :


  • — Ah oui ? Et en quoi ?

Le flic s’empare d’une liasse de billets posée sur le chevet :


  • — Ah oui ? Et c’est quoi, ça !
  • — Ça ?
  • — Prostitution !

Très flegmatique, toujours fiché en moi, mon client répond :


  • — Ah oui ? Regardez mieux ces billets…
  • — Ils ont quoi ces billets… Hein !? C’est quoi ce bins !?

Sans cesser de me pistonner, Jean-Philippe fait remarquer à juste titre :


  • — À ce que je sache, des billets de 45 ou 90, ça n’existe pas… De plus, il s’agit de zeuros avec un Z doublement barré et non d’euros. Sans oublier qu’il est rare que des billets affichent des scènes olé-olé !
  • — Mais c’est quoi, ces billets ?
  • — Des faux billets, genre Monopoly, bien sûr ! Aucun pays au monde ne les accepte.

Contemplant à nouveau la liasse, le policier semble perdu :


  • — Mais…
  • — Madame est ma maîtresse, et nous ne détestons pas les jeux de rôle, comme jouer au client et à la prostituée. Je ne crois pas savoir que la législation empêche les couples de faire mumuse de cette façon.
  • — Eh bien, c’est bien imité ! On jurerait que… aussi bien pour les billets que pour vous deux…

Ses mains toujours accrochées aux hanches de la fausse prostituée que je suis, sans oublier de me pistonner avec son engin en pleine forme, Jean-Philippe explique sereinement :


  • — Non, Madame n’est pas une pute professionnelle. Tout au plus, elle s’accorde du bon temps.
  • — Habillée comme ça ?
  • — Attendez, pour jouer à la pute, il convient de s’habiller en pute. Elle n’allait quand même pas s’habiller en dame patronnesse !

Le policier grimace :


  • — Euh… c’est sûr…
  • — Je ne sais pas qui vous a tuyauté, mais il s’est largement planté ! Si vous voulez bien refermer la porte en sortant. Merci d’avance.

Ce que les quatre intrus ont fait ensuite.


Le récit achevé, Isabelle est partagée entre consternation et fou rire :



Sous l’œil étonné de Magalie, Isabelle se met à rire. Puis après quelques secondes, elle se calme :



Isabelle demande :



Magalie s’empare de son téléphone qu’elle met bientôt sous le nez de son amie :



Tout en farfouillant son smartphone, Magalie sourit :



La réaction est immédiate :



Fébrile, Isabelle tend le bras :



Magalie fait remarquer :



La blonde grimace :



La rousse secoue la tête :



Puis assez excitée, Magalie explique à sa voisine les autres séances qui se ressemblaient néanmoins assez fortement, sauf que pour chacune d’entre elles, il ne s’agissait pas du même client virtuel.


Quelle belle santé, songe Isabelle…




Cinquième conversation – Anniversaire en avance


Huit jours plus tard, découvrant le choix de son amie, Isabelle s’étonne :



Après quelques banalités, la blonde rentre rapidement dans le vif du sujet :



Magalie sourit coquinement :



Un certain sourire aux lèvres, la rousse explique :



Assez sidérée, Isabelle pose ses mains sur le rebord de la table :



Les deux femmes se mettent à rire, puis continuent leur discussion. Un peu plus tard, un SMS arrive sur le smartphone de Magalie qui vient juste de terminer sa salade. Alors qu’elles parlaient de cinéma, la rousse change complètement de sujet de conversation :



Soudain une grave voix masculine retentit dans le dos d’Isabelle :



Cette dernière sursaute puis se retourne. À sa grande stupéfaction, Robert se tient maintenant devant elle, un large sourire sur le visage. Totalement sidérée, elle en bafouille :



Amusée par le trouble évident d’Isabelle, Magalie se lève :



La rousse se poste juste à côté de son amie toujours stupéfaite et figée. Elle dépose ensuite un petit bisou sur son front :



Puis elle s’en va tranquillement, laissant Isabelle et Robert attablés face à face.




Sixième conversation – Faire faire


Presque trois semaines plus tard, toujours à la même heure, dans la même cafétéria, à la même place, mais pas le même jour de la semaine, dévorée par la curiosité, Magalie demande à Isabelle :



Isabelle rosit un peu avant de répondre :



Magalie ouvre de grands yeux :



La nouvelle petite amie de Robert regarde autour d’elle, puis elle confie à voix basse :



Isabelle regarde une dernière fois autour d’elle, puis elle confie :



Isabelle semble rêveuse. Sa voisine demande :



Les deux femmes se sourient, puis Isabelle montre en catimini une photo présente sur son smartphone :



Les yeux brillants, Isabelle continue de raconter ses expériences :



L’aspirante ponygirl raconte :



Magalie essaye de visualiser tant bien que mal tout ce que son amie est en train de lui confier. Elle hoche la tête :



Magalie regarde à nouveau l’écran du smartphone :



Isabelle s’empare de son verre :



La blondinette boit une gorgée avant de répondre :



Isabelle repose son verre :



À ces mots, Isabelle devient songeuse :



La blonde semble perdue dans une vaste rêverie :



Isabelle montre d’autres photos, dont celles prises lors de la fameuse séance avec d’autres pouliches. Magalie est à la fois étonnée et émoustillée. Puis la ponygirl en puissance confie à son amie :



Se rapprochant un peu de sa copine, Isabelle s’attarde maintenant sur une photo qui montre une pouliche dans toute sa splendeur. Elle montre du doigt les divers anneaux que cette inconnue porte dans sa chair :



Les deux amies se mettent à rire.