Une Histoire sur http://revebebe.free.fr/
n° 21777Fiche technique25560 caractères25560
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Temps de lecture estimé : 18 mn
15/05/23
Présentation:  Une rencontre presque fortuite, version moderne du fantasme de l’autostoppeuse (et de son mari).
Résumé:  Un couple me demande d’imaginer un scénario pour leur donner envie de me rencontrer. Je leur propose de quitter le site de rencontre où nous sommes pour nous retrouver sur un site de... covoiturage.
Critères:  fh fhh couplus candaul voiture autostop cérébral voir exhib miroir odeurs fellation cunnilingu anulingus préservati pénétratio -candaul -exhib
Auteur : The Lounge Lizard            Envoi mini-message
Covoiturage à trois

J’ai échangé récemment avec un couple sur Internet. Nous avons flirté sur le chat, ils avaient envie d’une rencontre comme par hasard et qu’Elle se fasse prendre par un inconnu devant son mari, de façon fortuite, que cela arrive comme par accident. Un homme l’exciterait, elle se laisserait séduire, et puis finalement elle céderait, avec l’assentiment de son homme, à l’idée de se faire baiser devant Lui.

Nous avons envisagé des scénarios, nous nous sommes excités, nous nous sommes masturbés en discutant, sans nous voir, mais avec beaucoup de plaisir et de complicité. Alors nous nous sommes promis de nous rencontrer « en vrai », et je leur ai proposé de leur envoyer le « script » de cette rencontre, pour finir de les convaincre. Voici ce qu’ils ont reçu.




Chers amis, voici comment nous pourrions nous rencontrer, si vous le voulez bien. Elle veut partir en week-end chez une amie d’enfance qui vit à Auxerre. Mais comme c’est la grève, que vous n’avez pas de voiture, et que vous aimez l’imprévu, vous décidez de céder à la mode du covoiturage et vous vous inscrivez sur Blablacar. Ça tombe bien : j’ai une maison dans le coin, et j’y vais justement vendredi prochain. Je serai donc votre chauffeur.


J’arrive au lieu de rendez-vous, à l’heure dite, en début d’après-midi, et la perspective de profiter d’un des derniers beaux week-ends de l’été pour partir à la campagne met tout le monde de bonne humeur. Je vous aperçois sur le trottoir, je vous découvre ainsi, joli couple complice, Lui dans une tenue décontractée, mais bien mis, Elle dans une robe croisée en liberty façon tablier, cintrée par un nœud dans le dos, ni trop courte ni trop longue. On se fait signe, je me range devant vous, j’ouvre la fenêtre passager et l’on se salue, tout sourire : Lui monte devant et Elle derrière.


On roule et on papote, on a deux heures de route devant nous, ça circule à peu près, et déjà la campagne fait son apparition, à mesure que l’on prend de la vitesse. Je vous explique que je vais passer le week-end dans ma maison à 15 min d’Auxerre, dans le joli pays de Puisaye, que je fais souvent le voyage, et que Blablacar est un bon moyen d’avoir de la compagnie en voiture – et accessoirement d’amortir les frais : discussions habituelles faites de banalités et de sympathies entre un conducteur et ses autostoppeurs, il faut bien meubler, et savourer ce petit plaisir de la rencontre impromptue.


De fil en aiguille, je vous raconte deux ou trois anecdotes qui me sont arrivées. Pour vous, c’est votre premier covoiturage, et vous êtes curieux de savoir comment cela fonctionne, je n’ai qu’à répondre à vos questions pour vous emmener sur un terrain, disons… un peu moins convenu, et voir comment vous réagissez… C’est Elle qui me tend la première perche, pour savoir s’il y a beaucoup de femmes seules qui acceptent de monter avec un inconnu… et justement, Blablacar est très sécurisant pour les femmes seules, donc oui, c’est beaucoup plus fréquent qu’on ne pourrait le croire, et ça n’est pas pour me déplaire… d’ailleurs, personnellement, je n’accepte que les femmes seules, la compagnie des hommes m’ennuie, sauf quand ils sont aussi bien accompagnés que vous, Monsieur ! Et je m’assure d’un coup d’œil dans le rétroviseur qu’Elle a reçu le compliment, et pour la première fois, nous échangeons, Elle et moi, un regard furtif et complice.


Je continue de vous expliquer comment l’idée d’être enfermé dans une voiture avec une parfaite inconnue, même sans arrière-pensée, constitue toujours un plaisir pour moi. Ce passage soudain de l’anonymat à l’intimité, de l’indifférence à une forme de complicité – car c’est finalement une grande proximité, que de se retrouver avec une inconnue dans sa voiture, assise juste à côté sur le siège passager – eh bien oui, j’adore cela, je savoure à chaque fois…


À l’arrière, dans le rétroviseur, je vois bien qu’Elle écoute avec attention. Elle s’est assise au milieu, un genou derrière chaque siège, le visage entre nos appuie-têtes… et, comme la banquette de mon gros break est assez haute, qu’elle se penche en avant, je devine assez bien le décolleté plongeant de sa robe cache-cœur, ses seins à peine recouverts, en même temps que je cherche son regard dans le miroir. Rien d’indécent, bien sûr, juste une évocation furtive de sa féminité, en écho à la jolie voix qui parle derrière moi.



Et en disant cela à son homme, c’est moi qu’Elle regarde dans le rétro, de façon appuyée, montrant qu’Elle a bien vu mes yeux chercher les siens, et que, même si Elle est derrière, Elle sait que je la vois et que je l’observe.


Un court silence, pour savourer ce qui vient d’être dit, et c’est Elle qui renchérit sur la question de Monsieur :



Je laisse volontairement un nouveau silence, et je plonge encore les yeux dans le rétroviseur, mais cette fois je jette aussi, ostensiblement, un regard vers le bas, vers ses seins, et je vois qu’Elle me voit les regarder, et qu’Elle ne bouge pas, mais au contraire, me relance :



Je joue le teasing tant et plus, et maintenant c’est Lui qui insiste :



Et, disant cela, je la regarde encore, Elle me sourit, ses yeux pétillent.



Un délicieux parfum d’excitation se répand incidemment dans l’habitacle. Lui me regarde d’un air entendu, et je me retourne furtivement pour voir qu’Elle s’est encore avancée sur la banquette, les jambes tout écartées, et je crois même deviner sa petite culotte blanche entre ses cuisses – mais voilà, je conduis, et je fixe aussitôt la route de nouveau, pas vraiment le temps de vérifier.



J’avais pris une femme assez belle, mais plutôt réservée. La quarantaine, agréable, mais pas bavarde, elle avait somnolé la plupart du temps lors du trajet sur l’autoroute, et j’avais pu regarder discrètement ses longues jambes, son pantalon strict, sa veste croisée qu’elle n’avait pas retirée. En sortant, après le péage, nous avions un peu parlé de ma maison, de son mari, de sa fille qui allait bientôt partir vivre à l’étranger… bref, comme d’habitude avec mes passagères.


Mais soudain, sur une petite route en forêt, alors que nous arrivions quasiment à destination – je devais la déposer à la gare d’Auxerre – elle m’a demandé de faire un stop… une pause technique a-t-elle avoué, un peu gênée. Évidemment, ça m’a surpris, alors elle s’est justifiée : après, on vient me chercher, et j’ai de nouveau quarante minutes de voiture, je ne tiendrai pas jusqu’à la maison… désolée de vous demander cela… sinon, tant pis je trouverai bien des toilettes à la gare, mais j’ai peur que ce soit fermé le soir. Il faisait déjà nuit.


Alors immédiatement je la rassurai, pas de problème. Il y avait justement un chemin forestier un peu plus loin, et puis je n’étais pas pressé.


  • — On va s’arrêter.
  • — Merci c’est gentil, je suis vraiment désolée…

Je quittai la nationale et m’enfonçai dans les bois, je connaissais bien l’endroit : il y a une cabane de chasseur derrière laquelle on peut se cacher, je m’y suis arrêté. Un soupçon d’excitation m’animait déjà à l’idée que nous soyons là tous les deux, et qu’elle ait cette envie de faire pipi… en moi une petite voix chuchotait « elle va défaire son pantalon, baisser sa culotte… se retrouver cul nu dans la nuit… s’accroupir, tout près de moi, en pleine forêt… et se soulager de son envie… » : son impudeur me faisait frémir, mais je ne montrai rien.


Elle a ouvert la porte, mis un pied hors de la voiture, et aussitôt elle a suspendu son geste en se tournant vers moi, avec un sourire gêné…


  • — Je suis désolée dit-elle, dans un somptueux battement de cils… vous allez me trouver ridicule, mais… j’ai un peu la phobie des bois comme ça… en plus il fait nuit… je… je serais plus rassurée si… si vous sortiez avec moi… j’ai tellement peur que quelqu’un surgisse ou quelque chose comme ça…

Là, évidemment, la petite voix qui chuchotait en moi s’est transformée en une immense vague de désir, qui m’a envahi de la tête aux pieds. Enfin, aux pieds, euh… bref, vous voyez. Je me suis dit, pas possible, cette femme aux bons airs de mère de famille m’a demandé de s’arrêter au fond d’un bois pour pisser devant moi ! Excusez-moi, mais rien que d’en parler, cela me met à nouveau dans tous mes états !


Alors j’ai coupé le contact en bredouillant, je suis sorti, je l’ai suivie derrière le cabanon. Là, les yeux dans les miens, à un mètre de moi, elle a ouvert sa veste, dégrafé son pantalon, l’a baissé en même temps que sa culotte, me laissant à peine le temps d’entrevoir, dans la lueur des phares, la toison brune de son pubis et la finesse de ses jolies cuisses, et elle s’est accroupie, en écartant les jambes, pour pisser tout en me regardant.


  • — Oh la la, quelle vicieuse ! s’exclame Monsieur. Tu te rends compte ? Tu ferais ça, toi, ma chérie ?
  • — Devant toi, oui, répond-Elle, mais devant un inconnu, je ne sais pas…
  • — Mmmmh, je suis sûr que tu en serais capable, coquine, insiste-t-il.
  • — Oui, faut voir, dit-elle après un court instant de réflexion, en me regardant de nouveau dans le rétro, un vague sourire aux lèvres…

Et que s’est-il passé ensuite ?


Eh bien justement, rien. J’étais comme tétanisé, tellement étonné, et en même temps tellement excité, que… je n’ai rien entrepris, je n’ai rien dit, j’ai savouré la vue de…. de la voir aussi impudique, et qu’elle me laisse regarder entre ses cuisses, j’ai écouté avec délice la mélodie magique d’une femme qui pisse, mais… je suis resté les bras ballants, sans rien dire, trop surpris pour agir. Et quand elle m’a demandé si j’avais un kleenex, au lieu de lui proposer de l’aider à s’essuyer, je me suis retourné vers la voiture, en bredouillant que j’allais regarder… le temps de trouver, c’était trop tard, elle s’était déjà rhabillée : c’était fini, on est repartis. Elle m’a remercié d’un sourire malicieux, l’air sincèrement soulagé :


  • — Ouf, ça va mieux ! Je n’en pouvais plus !

Et moins de vingt minutes après, nous arrivions, elle descendait, et disparaissait… me laissant là, gorgé de désir, condamné à fantasmer seul tout le week-end…


Vous riez. Monsieur enchaîne :



Et ainsi va votre dialogue devant moi. Cette histoire obscène racontée à dessein vous a libérés de toute pudeur, et vous jouez à confesse l’air de rien, décrivant sans gêne quelques jeux du même acabit auxquels vous vous êtes livrés vous aussi. Ainsi Monsieur raconte quand, une fois, Elle avait accepté comme un gage d’afficher sur la vitre de la voiture, sur l’autoroute, aux yeux de tous :


« je n’ai pas de culotte ».


Ou encore, la fois où vous aviez fait l’amour sur une aire de repos, en sachant pertinemment que l’on vous observait depuis la cabine du camion d’à côté…


Notre conversation glisse inexorablement vers les vicissitudes du sexe, de plus en plus ouvertement. Dans mon pantalon, je sens désormais que je bande. Ses récits à Lui se font de plus en plus explicites. Il savoure manifestement l’impudeur de ses propos, Il dévoile avec délectation ce qu’Elle aime faire et ce qui l’excite. Et Elle est de plus en plus insistante du regard dans le rétroviseur, ses yeux brillent, sa bouche est complice, son visage se rapproche. Elle se penche plus avant : sa robe croisée s’est encore ouverte, et ses seins sont désormais bien visibles dans leur soutien-gorge de dentelle, offerts à mon regard inquisiteur dans le rétroviseur.


À mesure que l’on parle, Elle avance son bassin sur le rebord de la banquette, et ses jambes s’ouvrent encore. Ce ne sont désormais plus ses yeux, qui aimantent mon regard, mais l’intérieur de ses cuisses, qu’Elle cherche manifestement à me montrer, d’ailleurs. Rendu confiant par l’intensité de son regard et l’invitation de sa posture, je règle différemment le miroir, je l’incline ostensiblement et Elle s’en rend très bien compte : Elle-même, quand elle regarde dans le rétro, ne voit plus mes yeux, mais ses jambes largement écartées, et sa culotte blanche, désormais sciemment offerte à mon regard.


Or nous avons quitté l’autoroute depuis une dizaine de minutes, et nous arrivons bientôt. C’est que le temps passe vite, avec ces confidences érotiques et nous voici justement à proximité du chemin des bois dont je parlais plus haut. Je ne manque pas de vous en faire part.



Un silence, et puis Elle ose :



Elle rigole et répond rien. Comme le rétro est désormais braqué sur son entrejambe, je ne sais pas si Elle me regarde, mais je devine que oui. En tout cas ses cuisses sont à l’équerre : désormais, ce n’est plus moi qui regarde sa culotte, c’est Elle qui me la montre, à moi et aussi à Lui, et d’ailleurs, se retournant, il pose sa main sur son genou, et finit de remonter sa robe, dévoilant toutes ses cuisses.



Je m’engage sur le chemin, je m’arrête Elle ouvre la porte.



Et il me dit :



Je sors, et nous allons derrière le cabanon.


Là, les yeux dans les miens, la bouche entrouverte, Elle remonte lentement sa robe, regardant autour d’elle comme si elle craignait d’être vue. Elle reste quelques secondes en maintenant le tissu au-dessus de sa taille, comme hésitante, en vérité, pour me faire languir et s’exhiber, je le sais. Puis Elle baisse tout doucement sa culotte blanche, à la dentelle presque transparente, et la fait glisser sur ses cuisses en me fixant des yeux, tandis que je savoure la découverte de son intimité, sa petite toison brune et, en dessous, les lèvres de son sexe lisse qu’Elle me dévoile sans pudeur, dans le temps suspendu.


Puis, sa main remonte entre ses jambes, Elle effleure les lèvres de son sexe du bout de ses doigts, ouvre un peu sa fente, et me dit, provocante :



Et, sans me quitter des yeux, Elle s’accroupit lentement, ouvre bien ses jambes : pour la seconde fois ici au même endroit – mais cette fois-ci en plein jour – je regarde une femme se soulager devant moi, et comme la dernière fois, j’en nourris un désir immense… Le jet, qu’Elle semble retenir, peut-être par timidité, peut-être pour en profiter, s’écoule de son sexe, d’abord le long de sa jambe, l’obligeant à glisser ses doigts dans sa fente pour l’écarter largement, m’offrant ainsi, totalement impudique, le spectacle de sa vulve juteuse expulsant le philtre somptueux de ses entrailles.


Je ne dis rien. Je bande puissamment. Tout en moi boit du regard son intimité offerte, et je dois me retenir pour ne pas extraire moi aussi mon sexe et le lui montrer comme Elle me montre le sien. Elle pisse, longuement, et son regard ne me quitte pas, comme pour goûter l’ivresse que le désir produit sur moi.


Elle baisse enfin les yeux pour regarder entre ses cuisses le jet se tarir. Quelques gouttes coulent encore qu’elle recueille sur ses doigts. Quand Elle se redresse, Elle maintient sa robe levée, comme pour ne pas la souiller, mais plus évidemment encore pour continuer de me montrer son sexe, et lorsque nos regards se rencontrent à nouveau, Elle susurre :



Alors je m’approche d’Elle, et j’ose enfin toucher ses cuisses ruisselantes, toutes humides, et je remonte mes doigts vers sa fente pour y saisir les dernières gouttes qui perlent, et, très délicatement, j’embrasse sa bouche. Son sexe est trempé, j’ai rarement vu ça, elle coule véritablement, ou bien ce sont encore quelques gouttes de pisse qui s’échappent quand je la touche, et qui perlent sur mes doigts. Je pose mon autre main en bas de don dos pour la serrer contre moi, et je glisse mes doigts entre ses fesses pour la toucher par-derrière. Quittant mes lèvres, elle se retourne, toute cambrée, et regarde en arrière pour vérifier que je la mate bien, que je profite de la vue, tenant toujours bien haut la frange de sa robe, pour me laisser la toucher sans gêne ni pudeur, s’abandonnant totalement à mes mains qui prennent possession de son cul magnifique.



Je m’agenouille derrière elle et j’écarte bien ses fesses pour la lécher et l’embrasser. Elle est délicieuse. Sa mouille a coulé de sa fente jusqu’à son petit trou, la pisse aussi, le goût est divin, la douceur exquise. Et pour mieux me sentir Elle enfonce sa raie sur mon visage, comme pour s’empaler sur ma langue et mon nez, et je l’entends gémir et soupirer, Elle ondule, Elle se frotte à ma bouche. Elle voudrait écarter plus largement les jambes, mais sa culotte baissée à mi-cuisse l’en empêche. Je me relève, elle s’appuie sur moi, m’embrasse encore, goulûment, profondément, tandis que, dansant d’un pied sur l’autre, Elle retire sa culotte trempée de mouille et de pisse, et me la donne.



Alors je la pousse doucement devant moi, pour la conduire vers la voiture, et aussi parce que je veux continuer de mater son cul, la voir marcher quelques pas, les fesses à l’air, tendues en arrière, bien cambrée, fébrile de désir. Quand Elle arrive devant Lui, Il sourit, la regarde, ouvre la vitre et lui dit :



Et Elle s’engouffre par la vitre dans la voiture, et l’embrasse à son tour, glissant entre deux baisers :



Elle écarte alors ses jambes, et se cambre plus en avant pour aller chercher sa bouche à Lui et l’embrasser profondément, ne se souciant plus de moi.


Moi, derrière Elle, j’admire ce cul offert, ces longues jambes nues ruisselantes de pisse et de mouille, et j’engouffre de nouveau ma langue dans sa raie, à la recherche du goût acre et acide des dernières gouttes de son jus, jusqu’à ce que je découvre le goût suave et sucré de son con profondément excité. Ses genoux se plient, son bassin s’ouvre, son sexe et son cul accueillent tout mon visage, et je l’entends gémir tandis que je la suce et la lèche de plus en plus profondément, quand je l’entends dire :



Elle lâche, dans un souffle :



Alors je m’écarte et me redresse, et Luitout de suite glisse ses mains sur ses fesses et les ouvre pleinement, et Elle gémit :



Et tandis que d’une main je sors enfin mon sexe gros et dur comme jamais, de l’autre je touche sans ménagement ses fesses et son con, j’y enfonce mes doigts, j’étale sa mouille et ma bave tout le long de sa fente. Je mate ses deux orifices ouverts, obscènes, gorgés de désir, et je caresse ma queue, prenant mon temps, la reluquant, la pénétrant de mes doigts, et je Lui demande :



En même temps qu’il cherche la boîte de préservatif, Il lui demande encore :



EtElle gémit, n’y tenant plus, poussant son bassin en arrière comme une chienne en chaleur.



Sitôt recouvert, mon sexe se darde à l’entrée de son con, et je m’introduis en Elle, tout ouverte, tout offerte qu’elle est, et je n’attends pas avant de la pénétrer profondément, brutalement, dans l’orifice trempé qu’elle me tend. Je claque ses fesses, et l’insultant parfois, la traitant de pisseuse, de petite vicieuse, je propulse puissamment mes reins contre son cul, et je lui demande :



Et Lui désormais la regarde, caresse ses cheveux, embrasse délicatement ses lèvres, et lui susurre :



Assez vite, comme mes coups de reins puissants lui enfilent mon sexe bandé tout au fond du sien, et que je maintiens fermement ses hanches dans mes mains pour être sûr de la remplir complètement, Elle gémit, Elle crie, Elle en demande encore, Elle dit qu’elle aime et qu’Elle veut que je la baise plus fort, plus fort, oh oui plus fort, jusqu’à ce qu’un long gémissement rauque s’échappe de sa bouche, qu’elle se fige brusquement, que son con se rétracte sur ma queue…



Moi je coulisse encore dans sa chatte chaude, dégoulinante, j’en veux encore… je la laisse reprendre son souffle tandis que je reprends mon rythme, et de nouveau Elle se met à gémir.



Mes mouvements s’accélèrent, je sens que je viens. Je la brutalise presque, son frêle petit cul entre mes mains, sa position obscène sur le montant de la portière, je vois sa bouche ouverte, vos langues se cherchent, mais les mouvements qu’Elle prend par derrière vous empêchent de lui attraper la bouche, quand soudain… je décharge. J’ai l’impression de lui briser les reins tellement je la tiens fort, jamais je n’ai senti un petit con aussi serré contre mon vit. Un instant l’idée saugrenue que mon éjaculation doit être si forte que le préservatif ne résistera pas… Elle halète de plaisir… je me retire… Elle se retourne, chancelante, comme ivre, et immédiatement s’accroupit devant moi, touche mon sexe, le caresse, retire le préservatif, et me suce et me lèche, délicatement…



Elle ne dit rien et m’aspire délicatement, la sensation est divine, je soupire profondément. Elle se relève, je l’enlace, elle m’embrasse, le goût de mon sperme dans sa bouche m’électrise. On remonte dans la voiture, elle s’assied à nouveau sur la banquette, les cuisses écartées, et comme je regarde dans le rétro, je vois son sexe béant, entre ses jambes tout ouvertes.



Nous repartons et nous allons chez moi. La copine d’Auxerre attendra.