n° 21784 | Fiche technique | 21343 caractères | 21343 3661 Temps de lecture estimé : 15 mn |
17/05/23 |
Résumé: Ophélie se met à considérer son amie Amélia différemment. | ||||
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Auteur : SulfurousGuy Envoi mini-message |
Jusqu’à ce fameux jour, je n’avais jamais considéré Amélia que comme une amie.
Nous avions l’habitude de nous donner rendez-vous chez elle avant de sortir en boîte, pour chercher la tenue idéale pour faire se retourner les mecs. La fidélité que je devais à mon mec n’était pas pour moi une raison suffisante pour m’empêcher de m’amuser et me sentir attirante. Nous enfilions, chacune notre tour, des robes achetées la veille pour nous conseiller mutuellement. Jusqu’à ce soir-là, cela ne m’avait jamais gêné de rester en culotte et soutien-gorge devant Amélia, nous étions amies et c’était tout à fait normal.
En cherchant une nouvelle robe dans la penderie, mon regard tomba sur un tissu tout à fait différent, une forme peu commune de vêtement. Curieuse, ma main se tendit vers le cintre et je le retirais.
Je tenais entre mes mains une combinaison complète pour femme, qui recouvrait tout le corps sauf la tête d’une seconde peau élastique. Une étrange sensation me vint alors. Un mélange de peur et d’intérêt. Cela devait être très confortable, mais la moindre forme du corps était montrée. Je n’avais entendu parler de cela que sur internet et j’étais surprise de trouver cela « excitant ». Je tendis le vêtement vers mon amie :
Son visage exprima alors une vive excitation :
J’étais cramoisie.
Encore ce mot. Décidément, il me cherchait. Étais-je en manque de stimulation sexuelle ? Pourtant avec mon copain, nous formions un couple parfaitement normal. Trop, peut-être ? Je décidais de laisser cette réflexion de côté et de nous concentrer sur la soirée qui s’annonçait.
Mais durant les heures qui suivirent, il fut très difficile pour moi de ne pas y penser. Mon esprit ne cessait de revenir à cette fameuse combinaison qui trônait sur le cintre entre deux tenues de soirée, dans la penderie d’Amélia.
Nous nous trouvions en plein sur la piste de danse et cela faisait le troisième mec que j’ignorais. Je répondis vaguement à sa remarque, et nous allâmes nous trouver un coin le plus au calme possible, même si, avec le niveau sonore des enceintes, c’était mission impossible. Accoudée à la banquette, mon amie se tourna vers moi.
Je me mis à regarder intensément Amélia. Elle était parfaitement sincère, et cela me bouleversait. Pourquoi pas, après tout ? Qu’est-ce qui m’en empêchait ?
Son regard s’illumina.
Devant mon silence, elle me prit par la main d’un geste très naturel. J’aimais le contact de ses doigts fins.
Avec soulagement, je me laissais entraîner à sa suite. Une fois dans la voiture, elle mit le contact avec un regard vers moi :
Déception, mais je tâchai de faire bonne figure. Elle me laissa sur le pas de ma porte avec un tendre bisou sur la joue.
Cette nuit là, quand je me glissai dans les draps, Antoine dormait déjà et je tâchai de ne pas le réveiller. Je cherchai le contact de son corps d’homme, mais une fois lovée contre lui, je le trouvai un peu trop rugueux. Je m’endormis en souhaitant goûter un jour à des bras plus doux.
Le lendemain, nous étions face à la fameuse combinaison, qui était ouverte sur le lit devant nous, comme une chrysalide confortable. L’intérieur, matelassé, me semblait très confortable. Je pensais à la sensation sur mes cuisses, à celle d’une main qui me caresserait à travers le tissu.
Amélia fronça un sourcil, ce qui me poussa à me justifier :
Je repensais au contact d’Antoine la veille en contemplant cette enveloppe de latex si séduisante.
Elle se saisit de la combinaison et me tendit un pied.
Je me stoppai un instant, feignant d’être outrée, mais venant d’elle, le mot m’apparut plutôt séduisant. Elle avait des gestes doux et fermes. Puisque nous faisions à peu près la même taille, la combinaison m’allait tout aussi bien qu’à elle. Je savourai dans un premier temps le fait que mes pieds étaient gainés dans ce plastique enveloppant et grisant au toucher. Puis Amélia m’aida à enfiler les jambes, puis le bassin. Tandis que le tissu m’enveloppait peu à peu, avec Amélia, nous nous touchions presque. Je devais enfiler la combinaison en étant totalement nue, mais cela ne me dérangeait pas de me dévoiler devant elle. Au contraire, sa proximité me rassurait. Ses mains passaient sur mon ventre et mes épaules pour arranger la forme de l’enveloppe. Au final, elle se saisit de la fermeture éclair et la monta jusqu’en haut en me regardant dans les yeux avec un sourire complice.
J’avais devant moi une femme tout à fait différente. Très féline et sensuelle. Mes cheveux blonds, dénoués, reposaient d’une manière sauvage sur mes épaules. Mais ce qui me frappa particulièrement, ce fut la dose de plaisir que j’entrevis dans ce regard, comme si ce corps tout entier venait de se réveiller.
Le battant à côté du miroir pivota et un jeune homme brun s’avança vers nous. Musclé, mais pas trop, légèrement plus grand que moi. Brun et la bite dressée comme un énorme feutre. J’aurais voulu qu’il me barbouille partout avec ce truc. Soudainement, je détournai la tête, cramoisie. C’est moi qui venais de penser ça ? Amélia me prit la main.
Mais mon corps tremblait d’appréhension.
Deux mains puissantes se posèrent sur mes fesses. Elles n’appartenaient certainement pas à Amélia.
Les mains caressèrent mes hanches, puis l’une d’elles vint se placer tout contre mon entrejambe, comme pour mieux le saisir. Je me sentais extrêmement bien dans cette situation. J’étais comme un poireau dans son film plastique, et j’attendais que le client me dévore. Alors que ma respiration s’accélérait, je pris la main d’Amélia :
Rassurée, je me tournais vers le « client » :
Il était bien ferme sous mes doigts.
Je le pris dans la bouche.
Pour me remercier, il me caressait les cheveux.
J’étais sa petite chienne.
Amélia me rejoignit dans mon humiliation. Elle s’accroupit, repoussa ses cheveux vers l’arrière dans un geste très sensuel, saisit le membre rigide avec sa frêle main droite et embrassa le bout du gland avec délice en me regardant. L’ampleur que prenait notre amitié me troublait, mais je décidai de laisser le monde des pensées derrière moi. Puis mon amie le recouvrit en partie de ses lèvres, et peu à peu, s’y intéressa davantage en approchant ses genoux. Ce rituel très sérieux et consciencieux me fascinait. L’homme était aux anges. De l’index, Amélia me fit signe d’approcher et me tendit le membre. Je le pris entre mes doigts, la puissance et la vigueur que j’y sentais me séduisaient. J’y posai mes lèvres, puis ma langue. L’homme poussa un soupir.
Dix minutes avant, je ne le connaissais pas.
J’étais dans la peau d’un animal qui assouvissait enfin ses désirs intimes. Il n’y avait plus que cette jolie bite et Amélia. Celle qui m’avait ouvert la porte de ce monde. Cela valait bien un baiser.
Je retrouvai sur ses lèvres humides la saveur du gros pénis. Je reculai soudain d’un bon mètre en prenant la mesure de la situation. À l’instant, je venais de souhaiter que l’énorme pénis de cet homme m’explore les fesses. Ou était Ophélie, la courtière en assurance qui aimait juste boire un coup et sortir avec ses copines ?
J’essayai de m’en extraire, mais n’y parvint pas. Mon attitude exprimait un refus catégorique. Je m’adressai à Amélia comme si l’homme (dont j’ignorais le nom, d’ailleurs) n’était pas dans la pièce.
Amélia tenta d’être conciliante :
Je persistais à m’adresser à mon amie.
Mais elle n’obtint plus aucune réponse de moi, j’étais trop choquée. L’homme s’impatienta et se tourna vers elle :
La voix d’Amélie protestait
J’entendis un cri de femme à travers la porte. Quand j’ouvris, ayant enfin réussi à me changer, l’homme était tétanisé contre la porte. Amélia avait un taser dans la main, qui grésillait encore.
Il n’insista pas et on entendit bientôt la porte du rez-de-chaussée se refermer.
Je commençais à mettre mes chaussures. Amélia me lança un regard larmoyant.
Mon regard s’agrandit soudainement. C’en était trop pour moi dans la même soirée. Je m’éclipsai en urgence de cet appartement, laissant à contrecœur une Amélia en morceaux. Durant tout le chemin du retour, je ne cessai de penser à ses mains sur moi, ses sourires si doux.
Ce fut au tour de mon copain d’être en colère. J’étais à peine rentré à la maison, qu’au bout d’un quart d’heure, j’eus besoin de lui en parler. Je n’étais plus du tout la même qu’au début de la soirée. Cette nouvelle expérience m’excitait et m’embarrassait en même temps.
Antoine était hors de lui. Décidément, la soirée se poursuivait à bon rythme !
Il me regarda avec stupeur, et éclata de rire.
Il réfléchissait manifestement. Que sa femme soit bi et aime les combinaisons, cela faisait trop dans la même soirée. Au bout d’un long moment de silence, il reprit la parole, doucement, essayant de remettre ses idées en ordre.
Il me regarda en silence, mais je le savais conquis. Je réfléchissais déjà à un modèle de lycra que j’avais vu sur internet. Il n’allait pas me reconnaître !
La semaine suivante, en enfilant le vêtement souple et collant si grisant, je repensai à Amélia et à ses mains sur moi, ce soir-là. Pas de nouvelles depuis la semaine dernière. Je ne voulais pas en prendre pour l’instant. Le moment était consacré à ce corps de gomme visqueux qui rebondissait sous mes doigts. Je me sentais confortablement glisser dans cette seconde peau. Mes sensations étaient à fleur de peau. Je n’aspirais qu’à recevoir des mains sur moi. C’était la première fois que je mettais une telle tenue dans notre chambre. Je ne savais plus trop où j’en étais dans ma vie, mais j’aimais ça.
Le claquement de la porte d’entrée me sortit de mes pensées. J’éteignis la lumière et m’allongeai. Quand la lumière réapparut quelques interminables secondes plus tard, il me trouva ainsi, rougissante sur le lit.
Son regard surpris ne m’échappa aucunement.
Lorsque son visage se mua en celui d’un chien affamé, je sus que j’avais choisi la bonne couleur. Il posa la main sur moi et me dit avec assurance :
Il me malaxa les jambes, le popotin et fourra sa tête entre mes jambes, me faisant languir. Je sentais sa langue sur mon intimité, mais mon sexe était frustré d’être encore si loin de sa bouche.
Heureusement pour moi, il trouva vite l’ouverture de la combinaison à l’entrejambe. La petite brise fraîche fut bientôt suivie de sa langue humide sur mon orifice. J’avais envie de hurler de joie. Calme-toi ma fille ! Calme-toi ! Était-ce l’excitation due à ma combinaison ? Antoine semblait plus précis qu’à l’habitude, ce qui n’était pas pour me déplaire.
Cette expérience me donna envie de recommencer. Un autre soir, j’enfilai une combinaison jaune canari et je me jetai à son cou pour l’embrasser :
Mon doigt à l’intérieur de sa bouche le fit taire. Obéissant, il s’allongea sur le lit et mon corps luisant et agile se positionna au-dessus de lui. Je commençais à lui retirer sa ceinture. Ces mains me palpaient avec tendresse.
Ses mains explorèrent mes hanches.
Sa chemise partit en quelques secondes.
Antoine s’acheta une combinaison pour homme, mais elle fut rapidement laissée de côté, car j’aimais être la seule dans cette tenue et cela ne seyait pas à mon homme, il était beaucoup mieux sans aucun vêtement ! D’un autre côté, la manière dont Antoine me traitait avait beaucoup évolué. J’exigeais de lui sans cesse plus de douceur. Il était l’épée que je forgeais grâce à mon caractère sauvage. Peu à peu, il se pliait à la moindre de mes volontés et devinait ce que je désirais avant même que je ne le formule. Il devenait très bon, très très bon, même.
Un soir, nous étions tous les deux couverts de transpiration. Mais en ce qui me concernait, c’était à l’intérieur de ma combinaison. Les jambes largement ouvertes devant lui, il m’avait, à ma demande, couverte de son sperme.
Mon Adam vint alors s’allonger entre mes jambes et chercha ma bouche. Je la lui livrai avec un petit rire léger. Une fois son envie assouvie, il se recula légèrement sur mon ventre et me contempla :
Ronronnante de plaisir à son attention, je refermai mes jambes sur lui.
Ce ne fut qu’une fois dans la douche, alors qu’il me frottait le dos doucement, qu’une idée me vint à l’esprit. L’image furtive d’Amélia avait traversé mon regard, sans dépasser la frontière de mes lèvres.
Quelques jours plus tard, j’envoyai un timide SMS à celle qui m’avait tout appris sur les combinaisons. Elle semblait ravie.
Oh ma chérie ! Je suis tellement contente d’avoir de tes nouvelles. Bien sûr qu’on peut aller se boire un café !
En avance au rendez-vous, j’eus le temps de la voir arriver dans sa robe turquoise. Elle était magnifique. Je ne me souvenais pas qu’elle soit si belle. D’ailleurs, je la considérais comme une amie, mais les derniers mois avaient façonné une autre image d’elle dans ma mémoire. Me saluant de loin, elle s’assit en face de moi, en croisant les jambes et commanda un café.
Je me demandais si elle avait elle aussi la tête pleine de fantasmes. C’était à mon tour de faire un pas vers elle.
Elle tritura son verre avec gêne.
Le soir venu, alors qu’elle essayait une robe, ma main se posa sur sa cuisse avec gourmandise.
Je l’embrassai avec toute la fougue d’un premier baiser. Ses mains vinrent se poser sur mon visage. Les miennes lui ceinturèrent la taille. Lorsqu’Amélia comprit que je voulais partager mon mec avec elle, elle s’enflamma.
Après un instant de gêne, nous parvînmes à nous déshabiller tous les trois les uns devant les autres. Le pénis d’Antoine avait un goût particulier dans ma bouche, ce soir-là, alors que je m’activais sur lui avec application. Peu avant de jouir, des mains légères se posèrent sur mes épaules. Des mains que je reconnaissais. Au contact rassurant. Peu importe pourquoi elle était là, j’aimais leur présence.
Je suçais Antoine avec plaisir et Amélia me regardait. Toutes les deux, nous nous retrouvions dans la même situation. Mais cette fois-ci, j’eus beaucoup moins d’hésitations et lui fit signe de s’approcher. Amélia, rayonnante, me rejoignit sur ma couche avec Antoine. Plus pour me palper à travers la combinaison que boire à la même fontaine que moi, d’ailleurs. Pour Antoine, cela équivalait à avoir deux chattes dans son panier au lieu d’une seule, c’était donc une véritable responsabilité. Je consultai mon mari du regard :
Il eut un mouvement d’hésitation puis sa queue se mit à grandir comme jamais. Je pris cela pour un oui. Je supposais que sa conception du féminisme n’autorisait pas cela, mais pour moi si. Alors nous avons fait l’amour tous les trois. Ce fut un festival de caresses et de râles de plaisir. Amélia eut autant le droit que moi d’accueillir sa divine queue à la fois dans sa bouche et entre ses jambes.
Aujourd’hui, tout autant que le sexe d’Amélia accueille ma bouche, nous l’accueillons avec plaisir dans notre couple. Désormais, l’appeler « ma chérie » n’a plus du tout la même signification à mes yeux.