n° 21787 | Fiche technique | 21579 caractères | 21579 3704 Temps de lecture estimé : 15 mn |
18/05/23 corrigé 18/05/23 |
Résumé: Debout face à un arbre en pleine campagne, je suis en train de satisfaire un besoin naturel et physiologique, quand je vois surgir devant moi une blondinette à couettes. | ||||
Critères: fh inconnu campagne cérébral caresses fellation pénétratio -totalsexe | ||||
Auteur : Patrik Envoi mini-message |
Un petit texte situé au début des années 80,
avant qu’on donne un nom au Sida,
avant bien des choses moins agréables…
Bonne lecture : )
Debout face à un arbre en pleine campagne, je suis en train de satisfaire un besoin naturel et physiologique, quand je vois surgir devant moi une blondinette à couettes, vêtue d’une chemise à carreaux blancs et rouges, ainsi que d’un mini-short en jean. Assez abasourdi, je cligne des yeux : je me crois propulsé dans une célèbre publicité pour fromage à pâte molle !
Copie conforme !
Quoiqu’il me semble bien que l’original fût en pantalon, mais assurément, le short, c’est nettement mieux, surtout quand il dévoile des gambettes fort avenantes !
Sans attendre ma réponse, l’inconnue saisit mon bâton de berger (autre pub connue). Je suis tellement surpris que je me laisse faire. Et comme la donzelle commence un doux et long mouvement de va-et-vient fort agréable, je proteste encore moins ! Il y a d’heureuses surprises dans les campagnes !
Ravi de l’aubaine, d’autant que l’inconnue n’est pas laideronne, j’approuve son initiative :
Un petit silence s’installe tandis qu’elle continue de me branler avec douceur et fermeté. Je romps rapidement la pause vocale :
Amusée par ma question, elle pouffe :
J’approuve à cent pour cent et même plus, si c’était mathématiquement possible :
Je penche la tête, pour mieux voir ma verge capturée entre ses doigts agiles :
Un sourire mutin, elle lève les yeux vers moi :
La donzelle à couettes accélère un peu le mouvement :
Intrigué, je la regarde mieux :
Je me mets à rire :
Sans complexe, elle s’agenouille devant moi et enfourne avec aisance ma verge bien raide entre ses lèvres. Je constate très vite que ma Belle des champs est plutôt douée, ce qui ne m’étonne pas trop, vu la facilité avec laquelle elle a foncé sur son objectif.
En tout cas, c’est très excitant que ce soit une inconnue qui fasse le premier pas, et un énorme pas avec des bottes de sept lieues !
Après quelques bonnes léchouilles dignes d’une pro en la matière, je commence à avoir quelques soucis de contention. De plus, j’ai une énorme envie de mettre mon goudouridou ailleurs, dans une autre grotte. Comme je ne suis pas un spécialiste des circonvolutions et que j’aime aller droit au but, aussi bien avec le maire, le curé ou le fisc, j’annonce la couleur avec un doigt de diplomatie, car j’ai un peu de savoir-vivre :
Ce qui est un oubli à réparer prochainement, il est toujours utile d’avoir au moins un préservatif sur soi. La donzelle ôte mon bâton de berger de sa bouche :
Devant tant de bonne volonté, je m’exclame admiratif :
Autant demander une position que j’aime beaucoup :
Après avoir abaissé son mini-short en jean et dévoilé aussitôt un cul tout rose, docile, elle se met en position. Et en plus, elle n’avait même pas de petite culotte, une vraie saute-au-paf ! Avide, je me plaque illico contre ce corps offert, ma verge trouvant très vite le bon chemin pour aller se nicher, le tout facilité par une cyprine déjà abondante. Visiblement, la donzelle à couettes a autant envie que moi !
Sous sa chemise à carreaux, elle cache des seins assez petits, mais pas trop, qui remplissent fort bien mes mains, dotés de tétons très érectiles. Rien que du tout bon !
Très enthousiaste, je m’esbaudis :
Sa réponse fuse aussitôt, très explicative :
Remuant légèrement du popotin, elle minaude :
Elle marque une légère hésitation avant de répondre :
Coulissant toujours en elle, je me mets à rire !
J’active un peu plus mes entrées-sorties :
Sans cesser de la pistonner, je montre du doigt une bâtisse au lointain :
Visiblement, ça ne l’impressionne pas du tout, alors que je suis l’un des plus gros propriétaires du coin, même que c’est pour cette raison que certaines femmes veulent me mettre la main dessus, mais je ne suis pas né de la dernière pluie ! Je réagrippe ses hanches à deux mains :
Je sens comme un intérêt dans le son de sa voix :
Elle devient rêveuse :
Tout de suite, le gros cliché ! Je me défends :
Elle tourne la tête vers moi :
Je me contente de sourire, tout en continuant de la tringler joyeusement. Oui, j’adore être en elle, mais je commence à rencontrer quelques difficultés à me contenir. Après quelques va-et-vient entre ses reins, je réponds :
Se cambrant un peu plus, elle tend plus encore ses fesses :
Elle remue vicieusement du popotin :
Pour toute réponse, je donne de grands coups de boutoir pour m’enfoncer encore plus loin en elle. Le résultat ne se fait pas attendre, j’éjacule aussitôt de tout mon saoul, inondant cette grotte inconnue, mais si accueillante. Ce n’est pas tous les jours qu’une donzelle m’offre ainsi sa fente à honorer !
Oui, que c’est bon de s’écouler dans cet antre si chaud et humide ! D’en mettre partout ! De se libérer sans entrave de tout ce sperme accumulé dans mes réserves ! Je ferme les yeux tellement c’est divin !
Je ne réagis même pas quand ma verge ramollie sort de sa cachette, je frémis juste un petit peu quand ma queue gluante est enfournée dans une bouche fort experte. Décidément, elle n’a peur de rien, cette fille ! Et son homme est parti durant quinze jours loin d’une femme pareille ?
Peut-être qu’il recherchait un peu de repos pour recharger ses batteries ? Qui sait…
Eh, à bien y réfléchir, ça doit être épuisant de vivre avec une telle saute-au-paf, si on est une petite nature ! Même moi, je me demande si j’arriverais à maintenir le rythme au bout de quelques mois à ce tarif… Est-ce que mes ouvriers et moi arriverions à éteindre l’incendie qui ravage cette nymphomane ?
Petit à petit, je reprends pied sur terre. Quand je sens que je suis à présent bien debout, droit dans mes bottes, avec cette belle salope qui est toujours en train de me sucer, et que tout ceci est bien réel, je lâche dans un grand soupir de satisfaction :
Je ferme à nouveau les yeux pour goûter au mieux la savoureuse fellation qu’elle m’offre. Je sens que ça recommence à frétiller en moi, c’est un bon signe pour la suite. D’habitude, il me faut un peu plus de temps pour relancer la machine, mais aujourd’hui, c’est du rapide ! Sans doute le contexte…
Elle continue de m’infliger son doux supplice, officiant une délicate sucette toute en retenue, sachant très bien alterner coups de langue et délicats suçotements, sans parler de ses doigts qui savent très bien agir sur la base de ma tige ou masser mes boules bien pleines.
Si c’est une débutante, moi je suis le Pape. Cela étant, certaines femmes savent très bien prodiguer de délicieuses fellations naturellement et spontanément. Mais je doute que ce soit la première sucette qu’elle inflige à un inconnu, elle a trop le petit coup de langue ! Et puis, je suppose qu’elle ne m’a pas menti quant à son changement de coin, ce qui laisse supposer bien des choses.
Peu importe, du moment que le plaisir est là !
Et mon plaisir est bien là, dangereusement là, prêt à jaillir sans retenue. Cette petite garce sait très bien se servir de sa bouche et de sa langue ! Je ne vais plus résister longtemps. Alors je lui tapote sur la tête pour lui annoncer la couleur :
Elle continue de plus belle, et ma tension monte d’un cran. Je lui répète :
Pour toute réponse, elle enfourne profondément ma queue jusqu’à sa base. Puisqu’elle est parfaitement d’accord, je ne vais certainement pas la contrarier ! Elle s’active sur ma tige, la faisant sortir jusqu’à mi-course, l’absorbant ensuite jusqu’à ce que son menton cogne mes testicules.
C’est divin et stressant en même temps !
Dans un grand soupir de soulagement, je me laisse aller, une première salve vient noyer son palais. Malgré le sperme qui coule à flots, sa langue agile continue son œuvre tandis que d’autres salves envahissent sa bouche puis sa gorge, tandis qu’elle avale tout, méthodiquement.
Décidément, j’ai déniché une oiselle fort rare ! Pas question qu’elle s’envole de sitôt !
Elle se redresse. À ses pieds, je constate qu’il y a maintenant une tache blanchâtre sur l’herbe verte. Elle surprend mon regard :
Je me doutais bien ne pas être le seul homme sur terre à penser à ce genre de chose. Mais d’après le ton de la réponse, ça semble être d’un banal pour ma nouvelle partenaire de jeu. Tant pis pour l’originalité !
Nous sommes à présent face à face. Belle femme, assurément. Je la capture dans mes bras pour mieux la contempler. Elle ne résiste pas, ses yeux plongés dans les miens. Quelques instants plus tard, un déclic se fait en moi :
Elle ouvre de grands yeux :
Un peu gênée, elle grimace :
Je constate avec plaisir qu’entre mes jambes, mon engin est déjà frétillant. Oui, d’habitude, il me faut un peu plus de temps pour remonter la pente, mais la donzelle est un gigantesque aphrodisiaque, à elle toute seule, aussi bien physiquement que par sa bonne volonté. Je m’écarte d’elle, tout en lui prenant la main :
Nous arrivons rapidement face à un petit fossé à sec. Elle le regarde avec application, puis elle me demande :
Intriguée, elle s’exécute :
Je descends dans le fossé, je suis juste à bonne hauteur. Je connais depuis mon adolescence ce coin un peu particulier que j’ai expérimenté plus d’une fois avec des filles de mon âge. C’est un peu comme si la nana était allongée sur une table, jambes largement écartées. Je suppose que tout le monde a compris, car Gwladys semble avoir tilté, si j’en crois son petit sourire coquin.
Mon vit étant à bonne hauteur et bien dans l’axe, je me fais un plaisir de la pénétrer à nouveau, mais cette fois-ci en un classique missionnaire.
Mains posées sur le haut du talus, je commence à nouveau mon activité favorite avec les femmes : le pistonnage, à l’horizontale ou à la verticale, peu me chaut, je ne suis pas sectaire. J’accepte même celui en diagonale, c’est dire mon ouverture d’esprit !
C’est avec volupté que je coulisse dans l’antre privé de la donzelle. Ah le sexe, rien de tel pour ensoleiller votre journée, même s’il pleut des hallebardes avec un ciel totalement bouché ! N’en déplaise aux pisse-froid, sans sexe, il n’y aurait plus d’humanité depuis belle lurette, faute de descendants pour remplacer ceux qui sont partis pour un monde dit meilleur.
Après ces considérations hautement philosophiques, je redescends sur terre, constatant un point de détail concernant Gwladys qui est allongée devant moi :
C’est alors que j’ai une idée : je glisse ma main vers son pubis, mes doigts bien décidés à venir explorer son intimité. Elle proteste mollement :
Même si je n’ai pas à me justifier, je lui explique quand même :
Elle me sourit :
Tout en la besognant au mieux, de tout mon art, je taquine voluptueusement son petit bouton rosé niché dans son intimité détrempée, mélange de cyprine et de sperme. Elle vibre doucement, fermant souvent les yeux, se mordillant les lèvres.
Je continue mon petit jeu pervers, elle frémit de plus en plus, je sens confusément qu’elle va bientôt déflagrer. J’adore voir une femme jouir, je prends mon temps pour pouvoir contempler ce beau spectacle. Je suppose que c’est l’une des raisons pour lesquelle je contente diverses femmes mariées, et que parfois, elles communiquent mes coordonnées à des consœurs pas bien loties…
Très obéissant, je m’exécute, ravageant sa chatte en fusion, tandis qu’elle déborde de mille petits cris. Puis je n’y tiens plus, je me vautre sur elle, mon corps collé au sien, je l’embrasse goulûment, cette femme me fait trop d’effet ! Elle répond à mon baiser sauvage, tandis que je me déverse abondamment en elle. Nous nous dévorons ainsi durant de longs instants, jusqu’au moment où elle explose une nouvelle fois :
Jolie chanson qu’une femme en train de jouir sans entrave !
Tremblante, elle récupère peu à peu, toujours captive, plaquée contre moi. Comme je suis un gros cochon, je lui propose de sucer mes doigts. Elle susurre :
Ce qui ne l’empêche pas d’ouvrir les lèvres…
Après cette entrée en matière particulièrement réussie, il serait bon de voir si on peut, elle et moi, passer à la suite. De ce fait, mes doigts nettoyés, j’aborde directement le sujet :
Posant son index sur ses lèvres, Gwladys devient songeuse :
Je propose une solution :
Elle affiche un petit sourire que je qualifierai de pervers :
Mon bras autour de sa taille, nous cheminons vers ma ferme. Chemin faisant, je me demande franchement si mes ouvriers et moi arriverons à éteindre l’incendie qui ravage cette luxurieuse nymphomane !