n° 21805 | Fiche technique | 23782 caractères | 23782 4020 Temps de lecture estimé : 17 mn |
27/05/23 |
Résumé: Poursuite du week-end à Royan. | ||||
Critères: f ff frousses collègues groscul fépilée plage essayage voir exhib nudisme lingerie journal -lieuloisi | ||||
Auteur : Maudmoder Envoi mini-message |
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Résumé des épisodes précédents :
Maud est partie en week-end chez Anna et fait connaissance des lieux et des amis.
J’avais toujours eu du mal à dormir s’il ne faisait pas noir. J’avais donc été réveillée au lever du jour, le rideau, pourtant épais, n’occultait pas assez la lumière. Anna dormait, pelotonnée en version fœtale, ses fesses collées contre les miennes. Je me dégageais doucement. Le lit immense permettait de bouger sans que l’autre ne soit dérangée… le, la ou les autres, d’ailleurs, plus probablement. J’avais dormi profondément, j’étais reposée. J’avais senti, à une heure indéfinie, Anna qui me prenait un sein dans sa main comme si elle avait besoin de s’accrocher à quelque chose. Je n’étais pas certaine qu’elle savait que c’était le mien.
Je consultais l’heure sur mon portable, encore un bon moment avant une heure décente pour le petit déjeuner. Je regardais Anna, j’aimais la voir dormir, je la trouvais touchante, abandonnée à ses rêves. La couette la laissait à demi-découverte. Je suivais la ligne de son dos depuis le cou jusqu’en haut de la raie des fesses. La courbe de ses hanches était troublante et je restais un moment à les contempler. J’avais l’étrange impression d’avoir déjà vu cette scène. Le souvenir était flou et lointain, mais s’éclaircit progressivement. Elle était la copie d’un modèle d’un photographe de la fin du dix-neuvième et du début du vingtième. Je revoyais cette femme allongée sur un petit divan, de dos, nue, mais encore avec ses bottines. C’était un certain Carabin, sculpteur et photographe qui avait fait cette photo. Cette inconnue alanguie était, peut-être, l’ancêtre d’Anna, l’omoplate légèrement saillante et le fessier bien épanoui. Anna bougea mollement, se mit sur le ventre, le charme se dissipa.
Je m’installais confortablement calée par les oreillers pour affronter l’heure à venir. L’écran sombre de la télé me paraissait plus grand que je ne le pensais. Surtout, je fixais l’œil noir de la webcam comme s’il me dévisageait. Une petite lumière rouge quasi invisible était censée démontrer son inactivité. Je savais cependant que cela ne voulait rien dire, un bon hacker était parfaitement capable de mettre en route la visio sans que personne ne s’en aperçoive. Nous avions eu une journée de formation à la boîte sur la cybersécurité et surtout insécurité.
Plus la scène de la veille avec Chouchou me revenait en mémoire et plus j’étais mal à l’aise. Et si après la coupure nous avions continué à être espionnées ? S’il avait enregistré à notre insu les images de notre masturbation ? Si j’étais encore sous surveillance ? Je glissais lentement vers une paranoïa malsaine et destructrice. Toutes les conséquences que j’imaginais me donnaient le vertige et j’avais du mal à revenir dans le raisonnable. Je pensais un moment réveiller Anna pour me sortir de cette espèce de cercle vicieux angoissant qui m’envahissait.
Cette crise d’angoisse disparue de façon incompréhensible lorsque l’image de Chouchou me revint à l’esprit. Je réalisais à cette occasion que je ne connaissais toujours pas son vrai prénom. Je le revoyais debout, nu, son membre dressé et toute inquiétude disparue. Peut-être, certainement même, s’était-il masturbé pour calmer son érection. L’idée qu’il ait pu se faire jouir en nous regardant nous caresser n’était plus inquiétante, mais, au contraire, excitante. Je l’imaginais prenant son sexe dans sa main et réglant le va-et-vient de sa main sur l’agitation de nos doigts. C’était un jeu que nous pratiquions régulièrement Alain et moi. Il aimait regarder ma main entre mes cuisses qui se démenaient de plus en plus vite sur mes lèvres, mes doigts qui pénétraient mon vagin. Et puis je me réglais sur sa cadence en prenant mon « petit-gros » membre entre le pouce et l’index et en le frottant jusqu’à l’explosion finale quand sa semence venait m’asperger.
La voix encore ensommeillée d’Anna venait de me faire rentrer dans la réalité. J’étais réellement en train de me caresser en revivant intensément cette scène. Elle vint se coller à moi, son corps était doux et chaud. Je sentis sa main se poser sur mon sexe. Elle introduisit délicatement deux doigts dans mon vagin en recueillant ma cyprine gluante. Elle porta ses doigts à sa bouche.
Je me contentais de lui sourire, je ne trouvais pas opportun de lui expliquer comment j’en étais arrivée là. Je pris sa main et je la plaquais contre mon sexe. Elle comprit et frotta vigoureusement, mon plaisir arriva rapidement. Elle me faisait des petits baisers et avait pris la pointe de mon sein gauche entre ses lèvres. Elle se dégagea brusquement, enleva mes oreillers pour me mettre à plat et m’enjamba pour venir exposer son sexe juste devant ma bouche. Le message était plus que clair. J’écartais ses lèvres, son petit bouton nacré était tout dur. Elle était déjà très liquide. Sa cyprine était beaucoup plus fluide et abondante que la mienne. Son orgasme fut rapide sous ma langue et elle faillit m’étouffer en écrasant ses grosses fesses sur mon visage. Nous sommes restées, ensuite, un moment, silencieuses dans les bras l’une de l’autre. Je ne lui fis pas part de mes inquiétudes au regard de la webcam qui était pointée vers nous.
Nous nous sommes retrouvées dans la cuisine. Anna faisait couler un café qui embaumait et qui, à sa couleur, allait nous tenir éveillées jusqu’au lendemain. Je surveillais le four dans lequel nous avions mis des pains au chocolat surgelés. Nous n’avions pas envie de nous habiller pour aller prendre le café à l’extérieur. Anna me mit en garde :
Nous avons ensuite discuté du programme de la journée.
Quand elle a dit samedi, j’ai presque été surprise. J’avais l’impression d’être installée depuis longtemps alors que je n’étais arrivée que de la veille.
Cela m’allait parfaitement. On a pris une douche vite fait, pas de maquillage à cause de l’exposition au soleil.
Pour s’habiller léger, Anna avait trouvé la solution. Un tee-shirt et une jupe longue style bohémienne qui lui allait à ravir. Elle la fit virevolter et la remonta jusqu’à sa taille, je me doutais qu’elle ne portait rien dessous. Le tee-shirt était indiscret, la marque des mamelons était flagrante. Je mis la seconde robe que j’avais apportée : une toute bleue comme la mer, en lin très fin, légère et décolletée. Anna vérifia bien entendu en haut et en bas que je ne portais que la robe.
Il était à peine dix heures lorsque nous arrivâmes à Royan. On aurait pu croire que la ville était encore endormie. Il n’y avait presque aucun magasin d’ouvert. Nous avons laissé la voiture et longé la route du front de mer qui n’était qu’une succession de restaurants plus ou moins attirants. Nous nous sommes installées un peu plus loin à une terrasse qui donnait sur une petite place en partie recouverte d’une belle pelouse parfaitement entretenue. Les fauteuils étaient profonds, presque des petits transats. Nous avons repris des expressos. J’aimais les terrasses de café, pour le simple plaisir de regarder passer les gens. J’avais l’impression de pouvoir imaginer leur histoire, deviner leurs sentiments, rien qu’en observant leur démarche, leurs vêtements. Anna me dit presque la même chose. Nous nous mîmes, comme à jeu, à comparer nos impressions et nos déductions sur quelques passants. Les couples étaient nos cibles favorites. Nous avons constaté que nous partagions souvent les mêmes sensations et il n’était pas trop difficile de faire la distinction entre les touristes et les locaux comme disait Anna.
La boutique était dans la grande avenue qui allait au marché et qui, curieusement, était dénommée rue du marché ! Entre une agence bancaire et une agence immobilière, il y avait la petite boutique de Marianne. Une belle vitrine entourée d’un écrin de bois peint en bleu myosotis, ce qui n’allait pas du tout avec le bleu de ma robe. Anna moqueuse me fit rire.
La vitrine était classique, les modèles présentés ne présentaient pas une particulière originalité. Il n’y avait pas de string comme le noir et or qui avait tant plu à Anna. Deux mannequins sans tête étaient, si l’on pouvait dire, habillées, l’un d’un maillot-nageur bien échancré sur les hanches, et l’autre d’un ensemble avec une culotte haute et un soutien-gorge qui devait pouvoir résister à tous les assauts. Les modèles étaient ciblés pour une clientèle plutôt classique, ce qui ne veut pas forcément dire sage. Une lumière était allumée au fond.
En poussant la porte, nous avons déclenché une sorte de carillon au son aigrelet. Une petite voix venant du fond, sans doute une réserve, nous informa qu’elle arrivait.
Ce n’était évidemment pas Marianne. C’était Chloé : celle qui n’était pas ma fille. Elle dut reconnaître Anna :
Chloé semblait très jeune. Petite, enfin pas très grande. Rousse flamboyante avec de grands yeux verts et une peau très blanche qu’elle devait sûrement protéger du soleil. Ses cheveux de feu ruisselaient jusqu’aux épaules. Elle avait une petite voix aiguë. Elle portait un débardeur vert assorti à ses yeux et un short blanc avec des sandales plates. Sous le débardeur on pouvait déceler un soutien-gorge que je devinais plus fait pour faire valoir que pour soutenir une poitrine qui pouvait paraître inexistante.
Anna et Chloé commencèrent à évoquer une prochaine animation organisée pour le quatorze juillet. Il y aura des concerts et les commerçants feront des stands ouverts. Chloé expliquait à Anna ce qu’elles pensaient faire pour leur barnum. Pendant ce temps-là, je fouinais un peu dans le magasin et les portants sur lesquels s’entassaient slips, culottes et soutiens-gorge. Je remarquais avec amusement que le portant le plus éloigné était le plus intéressant. Il était chargé de pièces de lingerie beaucoup plus sexy. Là étaient les strings, les porte-jarretelles, quelques guêpières et j’y ai même repéré deux soutiens-gorge seins nus.
Le carillon de la porte d’entrée avait à peine retenti que j’entendais Marianne
Elle s’approcha et chuchota
Je ne voyais pas vraiment, mais la situation m’amusait. Je pensais bien que Marianne avait dû partager quelques-uns de ses « secrets » avec Anna. Je comptais bien profiter de notre petite escapade à la plage pour en savoir un peu plus. Cependant, la question que posa Anna me fit douter du réel partage de ces confidences.
Vu la conversation, je me laissais aller à raconter ce que j’avais vu dans le train.
Marianne me regarda comme si je débarquais d’une autre planète. Ne pas connaître ou au moins avoir entendu parler de Paula Brilland lui semblait impossible. Elle pointa son doigt vers Chloé.
Chloé était rouge écarlate d’être ainsi mise en lumière.
Il y avait un petit ensemble qui me plaisait bien, surtout avec un porte-jarretelles un peu original avec une large ceinture de dentelle noire. Il était assorti à un mini string et un soutien-gorge. Je demandais à Anna ce qu’elle en pensait.
J’avais oublié un petit détail, j’étais nue sous ma robe et pour faire l’essayage il fallait forcément la retirer. Chloé s’enquit de mes mensurations, elle m’avertit d’emblée que pour le string, elle n’était pas sûre d’avoir la taille.
Je passais dans la cabine exiguë et passais ma robe par-dessus tête. J’éprouvais une légère émotion à m’exposer ainsi quand Chloé passa la tête par le rideau, triomphante, en m’informant qu’elle avait la bonne taille. Je ressentais même un trouble certain à m’exposer nue devant elle.
Elle ne se retira cependant pas.
De l’autre côté du rideau, j’entendis Anna.
Chloé semblait embarrassée et j’accentuais son malaise en lui demandant :
Elle ne fit aucun commentaire sur le volume de mon postérieur, mais elle posa ses mains sur l’élastique du string pour le mettre bien en place. Elle s’attarda quelques secondes sur le haut de la raie qui séparait mes deux globes afin de bien y faire rentrer l’étroite bande de tissus. Je pivotais pour qu’elle ajuste le devant. Elle écarta légèrement le tissu, son regard trahissait son trouble devant mon pubis complètement lisse et, peut-être, avait-elle entrevu mon clitoris à demi gonflé. Le soutien-gorge m’allait parfaitement, emboîtant bien mes seins.
Chloé resta dans la cabine pour récupérer les trois pièces et aussi, possiblement, pour me voir de nouveau nue.
Même avec la réduction promise, je trouvais la note un peu salée. Anna me pressa un peu.
Nous sommes reparties de bonne humeur. Dans la voiture, Anna me confirma qu’elle avait remarqué l’intérêt que me portait Chloé. Elle m’expliqua où se situait la plage par rapport à la côte et qu’il fallait marcher un bon moment dans le sable avant d’arriver sur la plage elle-même.
Arrivées à la maison, les sacs étaient quasiment prêts, je rangeais mes dessous dans ma valise, près pour être portés.
En sortant, nous sommes tombées nez à nez avec Paula qui descendait la route. Elle était accompagnée par la grande bringue qui était à table avec elle la veille au soir. Paula avait l’allure d’une bourgeoise en villégiature. Un tee-shirt avec les incontournables C entrelacés de Chanel en lettres noires sur fond blanc. Une jupe fendue qui laissait sortir une cuisse qui semblait parfaitement lisse et galbée. Des sandales spartiates avec des petites fleurs de marguerite sur les lanières. Je me sentais obèse et laide. Et, en plus, elle était charmante et joyeuse, ce qui aggravait les choses. Heureusement, l’autre ne semblait pas aussi détendue et avenante. Elle engagea la conversation avec un grand sourire et, après que nous ayons pris civilement des nouvelles des unes et des autres, elle enchaîna :
Elle s’adressa plus particulièrement à moi :
Anna acquiesça d’un signe de tête. Nous allions monter dans la voiture quand Paula crut bon de préciser :
La route vers la plage était un peu encombrée, mais au fur et à mesure que nous avancions il y avait de moins en moins de monde.
Il n’y avait pas plus d’une dizaine de voitures arrêtées au bord de la route. Juste à l’entrée d’un chemin sableux. Il était vrai que la marche était difficile dans du sable sec et presque brûlant. Nous avions entendu l’océan avant de le voir.
Après une petite montée en haut de la dune, la plage immense était à nos pieds.
Nous avons trouvé un petit creux abrité, posé nos serviettes, et nous étions nues au soleil. Pas très loin, un jeune couple nous avait fait un signe de bienvenue. Nous nous sommes enduites de crème solaire, partout. Anna s’attarda plus que de raison sur mes fesses et en profita aussi pour me caresser les seins. Une fois bien pommadée, elle me dit :
Elle me prit la main, nous sommes descendues, le sable brûlait nos pieds. Heureusement, la marée était haute et nous avons pu les refroidir rapidement.
Nous avons couru en petites foulées, au début je tenais mes seins, mais rapidement je les ai laissés ballotter au rythme de ma course. Je dis à Anna que j’adorais les sentir bouger et s’agiter, même si par moment cela pouvait être un peu douloureux. Les pointes étaient érigées, tendues. Anna était devant moi, ses fesses faisaient des vagues. Les images de ma course avec Amélie me revinrent à l’esprit, mais ne provoquèrent pas la moindre nostalgie. Nous allâmes jusqu’à la petite buvette, il y avait quatre hommes et une femme. Nous avons partagé un Perrier déjà un peu tiédasse.
Anna voulut se baigner. Pour moi, ce n’était pas possible, autant rentrer dans un frigidaire. J’expliquais que même dans les mers tropicales il m’était arrivé de les trouver fraîches. Je ne devais pas avoir complètement tort, car elle ne fit qu’un aller-retour et ne s’attarda pas. Elle sortit frissonnante, la peau grumeleuse, les aréoles contractées au point de ne plus exister et des mamelons rigides.
En remontant vers nos affaires, nous avions repéré deux silhouettes debout sur la dune, ils ne regardaient pas la mer. En nous approchant, en effet, ils ne regardaient pas la mer.
Le jeune couple était en train de faire l’amour. La fille était à califourchon sur son homme. C’est elle qui imprimait le rythme, de plus en plus rapide à ses hanches. C’était une brune assez jolie, mais le visage crispé par le plaisir… Ses seins s’agitaient, petits avec des pointes très brunes. Elle avait des hanches larges, mais des cuisses assez fines. Elle ne gémissait pas, mais émettait une sorte de feulement continu. Anna se colla contre moi.
Les deux hommes nus se masturbaient. Un jeune blond avec une queue très courbée et pas très longue. Un beaucoup plus âgé avec une énorme queue qui ne semblait pas très rigide. Un gros gland et des boules qui pendaient bas.
Les deux hommes, sentant le dénouement proche, s’approchaient doucement du couple. L’homme tenait la femme fermement par les hanches lui imposant un rythme de plus en plus rapide. La jeune femme se crispa brusquement et cria. Sans le voir, on devinait l’homme vider sa semence au fond du vagin. Elle s’affala sur lui. Les deux voyeurs s’étaient approchés et ils déversèrent presque simultanément leur sperme sur le dos et les fesses de la femme. Les giclées étaient abondantes. Ils avaient eu ce qu’ils voulaient et s’éloignèrent sans un mot possiblement honteux de cette scène. Nous sommes restées un peu bêtes. J’avais entouré Anna dans sa serviette. La femme se sépara de son homme, laissant le sperme s’écouler de son vagin encore ouvert. Son sexe était complètement épilé avec des lèvres très développées comme Anna. Elle s’assit et nous fit un grand sourire comme pour nous inciter à nous rapprocher. L’homme nous fit un signe de la main, mais plus explicite, et nous les avons rejoints. Nous n’avions aucune intention particulière et nous avons discuté un bon moment avec eux. Ils étaient de la région et venaient presque tous les week-ends à La Palmyre quand il faisait beau.
Ils ne se justifiaient pas, simplement ils expliquèrent l’intense excitation que leur procurait l’exhibition. Comme souvent, une des premières questions que l’on pose ou à laquelle on répond concerne l’activité professionnelle. Anna décrivit rapidement notre situation et bien sûr leur posa la même question. Nous en avons eu pour notre argent, sans chercher à tourner autour du pot, ils nous expliquèrent qu’ils étaient gérants d’un club libertin pour adultes. Ils s’étaient installés dans la région depuis deux ans et ils étaient ravis de la situation. Je dois dire que nous n’avons pas trop su quoi dire et nos airs coincés les ont fait rire.
Pour discuter, nous étions assises en tailleur, nos sexes exposés entre nos cuisses ouvertes. Thomas, il s’appelait Thomas, nous regardait.
Le portable d’Anna sonna.