n° 21823 | Fiche technique | 12226 caractères | 12226 2068 Temps de lecture estimé : 9 mn |
06/06/23 |
Résumé: De retour chez lui, un homme va faire une expérience inédite. | ||||
Critères: ffh caresses anulingus fsodo délire -fantastiq | ||||
Auteur : SulfurousGuy (Beaucoup d’idées, et une envie d’être lu.) Envoi mini-message |
Ce soir-là, pour la première fois de ma vie, je me sentais enfin chez moi.
Il était 18 h, je rentrais à la maison. La journée avait été fatigante. Mais je ne m’attendais pas à la soirée qui allait venir. En posant la main sur la poignée de la porte, je notai qu’elle était fermée. Ma femme aurait dû être rentrée à cette heure. Je me dis qu’elle devait être allée faire quelques courses.
Les lumières étaient éteintes. Quand je rentrai dans notre chambre conjugale, la surprise me fit stopper. Une magnifique jeune femme blonde m’attendait là, sur le lit à baldaquin, les jambes écartées, un petit sourire aux lèvres, l’air provocant. Je ne l’avais jamais vue. Ce n’était pas une copine de ma femme, sinon j’aurais remarqué un tel spécimen !
Ses sous-vêtements et le regard explicite qu’elle braquait sur moi montraient qu’elle avait visiblement des intentions… eh bien des intentions, vous voyez, quoi !
Je me plantai face à elle et l’interpellai :
La porte n’avait pas été fracturée. Je l’avais ouverte normalement. Je pensai soudainement à un leurre pour un cambriolage. Normalement, les filles ultra sexy de ce genre ne rentraient pas dans une maison pour se montrer en sous-vêtement. Pas que je sache, en tout cas !
Elle se leva dans ma direction tandis que j’hésitais à appeler la police. Mais Vanessa me fit une moue particulièrement mignonne.
Elle était à moins d’un mètre de moi. Elle posa sa main sur mon entrejambe, déjà bien durci. Plus précisément, je lui avais laissé faire. Depuis plusieurs mois, nous nous ennuyions avec ma femme et j’aspirais à quelque chose de nouveau. J’aurais aimé que ma femme m’attende en sous-vêtement sur le lit quand je rentrais du travail.
Les mots me manquaient et je ne savais toujours pas si cette femme était une menace. Je tâchais d’occulter au fond de moi cette petite pensée qui me susurrait d’en profiter. Après tout, il m’était arrivé quelques aventures extraconjugales, et ma femme n’en avait rien su. Cependant, faire cela dans le lit conjugal prenait une certaine importance. Sans compter que Monica pouvait arriver d’un instant à l’autre, et je ne tenais pas à ce qu’elle me voit ainsi.
Elle mit un doigt dans ma bouche et il était tellement doux que je commençai à le sucer.
Intérieurement, je m’en voulais pour ma faiblesse. Mais Monica n’était pas là, alors…
Vanessa me fit un grand sourire.
Elle me prit la main et la posa sur son soutien-gorge. Les deux jolies formes se bombaient sous mes doigts.
Elle m’avait déjà tutoyé. Curieusement, je ne me posai pas de questions. Cette femme m’hypnotisait. Elle s’offrait à moi, il n’y avait pas de honte. Je décidai de mettre ma femme quelque peu de côté.
Elle me tira par le pantalon pour m’attirer vers le lit et s’allongea, les jambes écartées.
Je grimpai à quatre pattes sur le lit pour la rejoindre, sa main cherchai déjà ma braguette.
Je l’embrassai, et elle mit la langue. Puis brusquement, je me redressai et sortis du lit, perturbé.
Allongée calmement sur le lit, Vanessa me lança :
Je restais debout, tout penaud, ne sachant que faire. Alors elle alimenta la conversation, comme si de rien n’était :
Et elle se mit aussitôt à quatre pattes sur les draps en enlevant sa culotte. Puis voyant que je ne réagissai pas, elle me lança :
On m’avait toujours dit que c’était mal, que cela humiliait la condition des femmes. Mais cette déesse sur le lit m’y invitait. Comment pouvait-on aimer d’avoir cela dans les fesses ? Vanessa continuait de se trémousser en m’attendant. Après un moment d’hésitation, je défis mon pantalon et m’approchai de ses jolies fesses. D’ailleurs, tout était joli chez cette femme-là.
Elle soupira et me lança un petit sourire compréhensif :
Elle soupira de soulagement.
Elle secoua son beau popotin juste devant mon nez. Mon sexe tendu s’approchait de son trou. Elle se mit à rire :
Je m’enfonçais soudainement et elle poussa un râle :
Elle ne maîtrisait plus sa voix qui fleuretait avec les aigus.
Je me sentais un peu à l’étroit, mais quelque part, ce n’était pas désagréable. C’était comme une épée dans son fourreau. Je me pris au jeu et la fourrais comme un gamin. Mes coups de boutoir finirent par la faire jouir de joie. Je tâchais de me convaincre que c’était ma femme dont je pilonnais le derrière. Cette dernière n’accepterait jamais une telle chose, du moins, je ne lui avais jamais demandé.
La sensation était divine. Les fesses enveloppaient ma chair et mon corps se prolongeait dans celui de cette femme accroupie dans l’extase.
Alors je me penchai vers elle et caressai son soutien-gorge, tout en la pénétrant comme je ne l’avais jamais fait.
Puis au moment où j’étais en train de jouir, j’entendis la porte de la chambre claquer et des pas se rapprocher. Je n’avais pourtant pas envie de stopper ce moment. Malgré moi, je fus sur le point de me retirer, mais Vanessa m’agrippa pour m’empêcher de partir. J’étais mort de peur, et en même temps, je n’avais jamais autant joui. Sensation étrange. Irréelle même. Je devais déjà être au paradis.
Une voix que je connaissais bien et que j’appréhendais, surtout dans cette situation, s’écria derrière moi :
Je reconnus aussitôt la voix de ma femme, Monica, et tremblai à l’idée de pilonner une autre, juste devant elle, et qui plus est dans notre lit conjugal. Alors qu’une intense chaleur m’emplissait le corps entier, j’espérais qu’être expulsé de chez moi ne serait pas trop douloureux.
Mais un bassin se colla au mien et des mains caressèrent ma poitrine, tout en me murmurant des paroles rassurantes :
J’écarquillai les yeux de stupeur. Ça y est, ma femme m’avait tué, les anges des cieux m’accueillaient. Des anges qui ressemblaient beaucoup à Monica et à cette inconnue que je venais de rencontrer (et de pénétrer par-derrière), avant de mourir. Très étrange. Si j’étais mort, il me fallait en profiter, donc je poursuivis ma route entre les fesses de cette superbe soubrette.
Vanessa se mit à crier de joie.
Je m’arrêtai aussitôt. Peut-être n’étais-je pas mort, mais dans ce cas, qui était cette femme qui avait la voix, les mains et le parfum de ma femme ?
Vanessa se mit à crier en agrippant les draps, mordant dans l’oreiller. Tout son corps était secoué de soubresauts, pendant que mon copilote et moi la pilonnions par-derrière. La transpiration faisait luire nos corps qui ne formaient plus qu’un.
Quand ce fut terminé, Vanessa se retira de mon sexe et s’allongea sur le dos tandis que je m’allongeai sur elle, ma femme sur moi.
Pendant que nous nous caressions, notre invitée lâcha d’une voix calme :
Elle avait posé sa main sur mon bassin. Sa main finit par tomber sur celle de ma femme, qui tressaillit à son contact. Vanessa et moi restâmes figés, attendant sa réaction. Dans un premier temps, elle ne bougea pas puis elle referma sa main sur l’autre, les doigts croisés entre eux.
Ma femme hésitait clairement. Ce que je comprenais totalement. J’aurais moi-même refusé cette proposition si elle m’avait été faite.
Nous attentions sa réaction. Monica passa une main entre ses fesses, sûrement pour sentir son intimité. Elle ouvrait légèrement la bouche en nous regardant, Vanessa et moi. Son bassin ondulait comme un serpent. Nous l’attendions avec patience. Pendant ce temps, la jolie blonde préparait mon membre en l’astiquant un peu, mais pas trop. Puis Monica finit par dire :
Je m’allongeai, le sergent dressé, la coéquipière, Vanessa, prête pour accompagner l’atterrissage.
Monica s’approcha de mon membre en reculant. Elle courba le bassin vers l’arrière et s’aida des mains pour écarter les fesses. Vanessa l’encourageait par ses paroles et guidait le canon vers sa cible :
Elle s’assit sur moi en poussant un grand cri. Peu à peu, elle s’enfonçait toujours d’un centimètre ou deux jusqu’à arriver au bout. Elle soupira puis :
Elle se pencha pendant que je me levai et elle s’agrippa à la barre du lit, les yeux fermés en gémissant, sa jolie cascade brune tombant sur ses épaules nues. Je la poussais à intervalles réguliers. Mes coups de bassins épousaient son corps nu. Jusqu’à l’extase.
Lorsque la tension se relâcha, Vanessa rejoignit ma moitié. J’étais au-dessus d’elles, les bras tendus appuyés sur le lit, veillant sur mes femelles. La nouvelle venue déposa un baiser sur la joue de Monica pendant que je l’embrassai sur l’autre joue. J’étais fier d’avoir mes deux femmes entre mes bras.
Nous nous allongeâmes et dormîmes tous les trois enlacés. La nuit passa rapidement, je sentais des corps chauds tout contre le mien, formant un ensemble uni, un nid douillet.
Je fus réveillé par un poids qui était venu soudainement sur moi. J’ouvris les yeux difficilement pour sortir de ma torpeur. Alors que j’étais toujours allongé, Vanessa s’était empalée sur mon entrejambe, à cheval sur celui-ci, tandis que Monica adoptait la même position au-dessus de ma tête, me proposant son propre entrejambe. Je me mis à l’embrasser doucement. Cela semblait lui créer des frissons.
Alors que les deux femmes étaient à cheval sur moi, s’embrassant goulûment, leurs tétons commencèrent à se frotter l’un à l’autre. Entre deux annulingus, je me permettais de profiter du spectacle. Il se passa quelque chose d’étrange. Au bout d’un instant, je ne parvins plus à distinguer les deux formes rondes. C’était comme si leurs seins avaient fusionné. Les deux femmes se rapprochèrent encore et s’enlacèrent étroitement. Ce furent alors leurs jambes, leur bassin et leurs bras qui ne formaient plus qu’un amas de chair qui roulait sur lui-même. Les deux femmes continuaient de s’embrasser tendrement, sans visiblement prendre conscience de ce qu’il se passait entre elles. Finalement, leurs lèvres puis leur visage se coulèrent l’un dans l’autre. Leurs traits fusionnèrent, la couleur de leurs cheveux et de leurs yeux se mêlèrent. Ils partageaient les mêmes bras, les mêmes jambes.
La blonde et la brune n’étaient plus qu’un seul être qui me regardait. Dans ce visage et ce corps, je percevais la présence de ma femme, mais aussi celle de Vanessa. Unies dans le même corps, qui me souriait d’un air espiègle. Et je sentais que les folies que nous pourrions faire ensemble grâce à cette nouvelle personnalité ne faisaient que commencer.