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n° 21827Fiche technique31160 caractères31160
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Temps de lecture estimé : 22 mn
07/06/23
Résumé:  Je rencontre Gwen à une soirée de boîte et découvre rapidement quel volcan couve en elle. Petit détail, elle est malvoyante.
Critères:  f fh ff fhh ffh grp inconnu taille handicap laid(e)s danser amour caresses fellation cunnilingu pénétratio échange partouze -rencontre -groupes
Auteur : Olaf      Envoi mini-message

Collection : Fulgurances
Harness

Cette histoire a commencé au mois de juin, à l’occasion d’une soirée de boîte. Une de ces soirées qui fleurissent habituellement en fin d’année. À mi-chemin entre l’atelier de consolidation d’équipe et un frotti-frotta bon enfant sur une piste de danse, voire plus si entente.


La boîte, c’est une école de formation de chiens-guides pour aveugles. Une partie des personnes présentes sont donc malvoyantes et accompagnées de leur chien. Les responsables de l’école, des monitrices d’éducation canine et quelques vétérinaires forment l’autre partie des invités.


À leur arrivée, les chiens sont libérés de leur harnais de guidage pour qu’ils puissent s’éclater entre congénères dans un espace qui leur est réservé. En ce qui concerne les humains, chaque responsable du comité ou de l’école est chargé d’accompagner et de guider une personne malvoyante de l’apéro jusqu’à la dernière danse. Un tirage au sort détermine la composition des couples de circonstance. Le hasard fait en général bien les choses et les changements de partenaires en cours de soirée sont plutôt rares. Quelques belles rencontres sont même assez fréquentes.


Je ne connaissais pas Gwen avant ce soir. Je découvre en elle une femme enjouée, vive d’esprit, gourmande des plaisirs de la vie et en aucune manière aigrie par son handicap. Le chien qu’elle a reçu il y a déjà deux ans lui donne une autonomie de vie et de travail qu’elle apprécie et dont elle profite largement. Sans entrer dans les détails, elle me laisse comprendre qu’elle se débrouille fort bien toute seule, même si elle ne se prive pas d’une compagnie masculine de temps à autre.


Elle ajoute à demi-mot que, compte tenu de son infirmité, elle a renoncé sans trop de regrets à une vie de couple de longue durée, qui lui semble imposer trop de concessions et de restrictions aux deux partenaires. Elle n’envisage en revanche pas de renoncer à prendre un mec vigoureux dans ses filets et à le garder dans son lit aussi longtemps que le plaisir de s’aimer est partagé.


Au fur et à mesure du repas, elle me fait comprendre avec délicatesse, mais de manière très tactile, que je remplis bon nombre de cases sur sa liste des mecs désirables. Peu à peu, nous nous rapprochons aussi bien intellectuellement que sensuellement, tout en gardant un minimum de distance qui donne un charme presque désuet à notre rencontre. Cette femme est une pépite, extrêmement sensible et au charme fou.


Lorsque la musique démarre entre la poire et le fromage, Gwen accepte de danser avec moi. Les morceaux, sans doute tirés des archives de Radio Nostalgie, sont abominablement ringards. Nous nous en amusons, tout en appréciant de pouvoir continuer à discuter sans hausser la voix.


Nos mouvements se correspondent et nos corps s’entendent instinctivement. Après quelques danses, je suis agréablement étonné de sentir la jeune femme plutôt raisonnable, discrète et pudique du début, se métamorphoser en une habile et troublante provocatrice. Ses effleurements furtifs se transforment en caresses ciblées, ses lèvres s’approchent de plus en plus souvent de ma peau, et son corps s’abandonne de plus en plus lascivement contre le mien. Pris à contre-pied, je ne résiste pas et j’entre dans son jeu.



Un changement de tempo musical bienvenu impose à nouveau un minimum de distance entre nous. Et me soustrait provisoirement à une discussion dont la franchise me désarçonne.

Très provisoirement, tant la manière sensuelle de danser de Gwen augmente encore le trouble que ses paroles ont mis en moi. Tout en elle évoque maintenant une folle envie de plaisirs, de jouissance, de sexe. Et tout indique que je suis la cause de ces frémissements intimes. Elle ne tarde d’ailleurs pas à bousculer irrémédiablement mes fragiles défenses.



Dont acte. Je récupère son chien que je fais monter à l’arrière de ma voiture, sans lui remettre le harnais puisque c’est moi qui vais guider Gwen jusque chez elle.


Dès ce moment, tout va très vite. Une fois installée, la jeune femme commence par déboutonner ma chemise et dénuder mon torse, tout comme mes attributs virils dont elle prend la mesure avec une précision d’horlogère. Puis elle se déshabille à son tour, sans se retenir de commenter les volumes et les raideurs qu’elle a mis à nu.


Déjà dépoitraillée avant le passage du deuxième rond-point, elle ne me cache plus rien de sa superbe anatomie après l’entrée de l’autoroute. Les routiers qui nous dépassent apprécient et klaxonnent à tout berzingue, malgré l’heure tardive. Seule coquetterie, elle garde ses lunettes noires de malvoyante qui agissent sur moi comme un accessoire érotique. C’est sans doute aussi pour elle une manière de me rappeler qu’elle perçoit autrement ce qui se passe autour de nous. Mais qu’elle me fait confiance pour tout ce qui va suivre. Une manière de s’offrir aussi, qui va bien au-delà de ce que la plupart de mes partenaires m’ont offert jusqu’à cette nuit.


J’essaie de me concentrer sur ma conduite, mais une fois son strip-tease terminé, elle se jette sur ma queue avec une maîtrise fulgurante de la fellation. Elle ne s’interrompt que pour reprendre brièvement son souffle ou m’indiquer en quelques mots la direction à suivre. Le reste du temps, kilomètre après kilomètre, elle me torture avec un entrain irrésistible.


Après plus d’un quart d’heure de ce traitement, je renonce à résister. Nous sommes arrivés à la sortie de l’autoroute. Qu’elle fasse de ma virilité ce que bon lui semble.


Elle s’active et m’achève dans la dernière ligne droite avant son domicile en parcourant ma queue de ses doigts légers, comme si elle déchiffrait mon excitation écrite en braille sur la hampe. Je craque et gicle entre ses lèvres, qu’elle garde serrées autour de mon vit palpitant et jutant abondamment. Exactement ce qu’elle avait décrit pendant que nous dansions.



Elle m’impose le silence en pressant ma tête contre sa vulve béante et trempée. Je m’active entre ses cuisses jusqu’à ce qu’elle se laisse aller. Des jets chauds et épicés inondent mon visage et ma barbe pendant qu’elle profère de formidables insanités. Son vocabulaire imagé bouscule les défenses que des années de bonne éducation ont érigées en moi. Ses mots fous excitent mon cerveau reptilien. Je me remets à bander, prêt à embrocher cette femelle impatiente qui s’offre à moi entre le siège du conducteur et celui de la passagère.


Quelques minutes plus tard, les gémissements du chien, qui demande à sortir de la voiture, nous remettent les pieds sur terre. Récupérant à la va-vite ses habits et son sac à main, elle sort du carrosse à moitié nue et se dirige sans hâte vers la porte de son domicile. Le balancement de ses hanches me laisse supposer qu’elle attend encore beaucoup plus de moi. Je ne doute pas que son enthousiasme et son appétit sensuel sauront me garder en forme aussi longtemps qu’elle désirera faire durer nos jeux.


En fait, comme j’aurais dû m’y attendre avec une diablesse de ce type, rien ne se passe comme supposé. Sitôt refermée la porte de son appartement, toujours à moitié à poil, elle se pend tendrement à mon cou et me demande si je connais le club Harness.



Lorsque je pose mes lèvres sur les siennes en guise d’acquiescement, quelque chose d’immense explose entre mon cœur et mon bas-ventre. Sa réponse fougueuse à mon baiser ouvre toute grande la porte des possibles. Plus rien ne nous retient.


Juste avant d’entrer dans le club, elle me serre fort entre ses bras et me demande de respecter une seule règle jusqu’au bout de la nuit. Quoi que j’aie envie de faire avec qui que ce soit, et quoi qu’elle ait envie de faire avec qui que ce soit, je ne dois jamais la perdre de vue. Si quelque chose se passe mal, nous utiliserons le signe danger en langage des signes pour demander de l’aide à l’autre (poing gauche fermé devant la poitrine et V de la victoire de la main droite par-dessous). Pour le reste, elle connaît bien l’endroit et me le fera visiter, à sa manière. Je ne demande aucun détail sur ce qu’elle a déjà vécu à l’intérieur de ces murs.


Le club est divisé en trois vastes parties. D’abord une sorte de hall d’entrée bordé sur la droite d’un long bar, devant lequel quelques personnes complètement nues sont assises, boivent, discutent, se caressent et reprennent des forces avant de nouveaux ébats.


Plus loin, juste après le vestiaire et les douches, se trouve une grande pièce dans laquelle des sofas accueillent les ébats des amants d’un soir. Après m’être habitué à l’obscurité, je peux distinguer des corps nus de toutes tailles et de toutes formes, engagés dans des joutes érotiques, sensuelles, sexuelles ou plus encore, suivant les goûts et les possibilités physiques des partenaires.


Une formidable ambiance de désir, de plaisir et de volupté imprègne l’atmosphère. Le tout renforcé par une musique d’ambiance très évocatrice. La plupart des personnes sont handicapées d’une manière ou d’une autre. Certaines peinent à se déplacer, d’autres ont perdu un ou plusieurs membres, d’autres encore ont besoin d’aide pour trouver le plaisir. Mais chacune et chacun cherche visiblement à offrir un maximum de bonheur à celles et ceux qui l’entourent. Tout cela dans un profond respect mutuel.


Au centre de la pièce, une femme amputée d’un bras et d’une jambe lèche avidement le sexe et les fesses d’une femme obèse, massant langoureusement les plis de son ventre et ses seins. Non loin d’elles, un nain, comme dit Gwen, suce la queue d’un homme paralysé, pendant qu’une accompagnante caresse ses tétons, ce qui semble lui procurer un intense plaisir. Derrière eux, une femme aveugle chevauche un homme aux cheveux gris, qui doigte vigoureusement une petite femme bossue dont la main s’agite fiévreusement sur son clitoris. Elle finit par jouir en grognant de plaisir au moment où nous passons à côté d’eux.


Cette scène semble exciter Gwen autant que moi. Sa main gauche tenant fermement mon sexe à nouveau très raide, elle me demande ce que cela me fait de voir ces corps malmenés, parfois même difformes, se donner du plaisir et partager ouvertement leur excitation. J’avoue mon trouble face à ces différences physiques que je ne connais pas. Mais aussi mon envie de découvrir la beauté des gestes au-delà de l’imperfection des corps, l’intensité des désirs et la sincérité des abandons en dépit d’une mobilité réduite.


Au fond de cette pièce se trouve un deuxième espace, où Gwen me conduit d’un pas assuré. Elle s’oriente en suivant de sa main droite la paroi qui prolonge le bar, tout en caressant au passage de sa main gauche des corps qui sont proches du couloir. Je réaliserai plus tard que, tous ses sens en éveil, c’est sa manière de repérer celles et ceux avec lesquels elle va poursuivre la soirée. Je la sens déjà impatiente d’entrer dans le vif du sujet, et de me le faire partager.



Nous passons dans la seconde pièce, séparée jusqu’à mi-hauteur de la première par une cloison permettant de ne jamais se perdre complètement de vue, tout en ne distinguant pas ce qui se passe sur le grand lit central où des couples font l’amour, changent de partenaires, se caressent ou s’embrassent lascivement. Ici, la plupart des corps ne présentent pas de particularités ni de handicap.



Après nos ablutions, nous retournons dans la première pièce. Elle me demande de la conduire près de Gaëtan, qu’elle a repéré au son de sa voix, puis, à courte distance, grâce au parfum de son corps excité. Il est en train de lécher le sexe d’une femme assez âgée, dont les contorsions sous ses coups de langue montrent à quel point ses sens sont encore exacerbés. Gwen pose ses mains sur la poitrine de l’homme et lui murmure quelque chose à l’oreille. Un large sourire illumine son visage lorsqu’il comprend ce qu’elle attend de lui. Accélérant le rythme de sa stimulation, il fait rapidement jouir sa partenaire qui exprime à pleins poumons l’intensité de son orgasme.


Le temps que les deux finissent leurs jeux érotiques, Gwen me demande de me coucher sur le dos à côté de Gaëtan. Elle s’allonge alors entre mes cuisses et sur mon ventre, les hanches relevées, la croupe largement offerte. Sa tête arrive juste à hauteur de la mienne, sa bouche tout contre la mienne.


Entre deux baisers langoureux, je vois Gaëtan se placer derrière la jeune femme, le sexe largement bandé. Une accompagnante très caressante le recouvre d’un préservatif à disposition dans des coupes un peu partout autour des couches. Elle retourne ensuite s’ébattre avec un autre homme et nous laisse à nos jeux. Après quelques mouvements du bassin et du bas-ventre, le monsieur à la bite d’enfer présente son membre entre les fesses de mon amante. Ce qu’elle décrit sans fioritures.



Je sens aux vibrations et aux spasmes qui parcourent le corps de Gwen, bien calée entre mes bras, de quelle manière le monsieur pénètre en elle. Il lui arrache à chaque poussée un léger râle de plaisir, que ce soit d’un coup de reins impérieux, ou, plus délicatement, en la pénétrant de plus en plus profondément, encore plus profondément.



Jamais je n’aurais imaginé baiser ainsi en trio, ni surtout supporter les commentaires d’une amante en plein délire érotique provoqué par la bite d’un autre. Mais avec Gwen, tout est apparemment possible, et je découvre sans la moindre pointe de jalousie combien le plaisir que lui procure l’autre m’envahit aussi. Je sens sous mes mains, dans le corps abandonné de la jeune femme-bilboquet, les moindres tressaillements de volupté, tout comme la montée progressive de sa jouissance. Ses soupirs puis ses râles, son souffle qui s’agite, la litanie qu’elle psalmodie à la recherche du plaisir ultime m’excitent autant que les mouvements lubriques de Gaëtan, dont le sexe va et vient dans les profondeurs de Gwen. Elle m’embrasse avec fougue, pour mieux m’associer à son bonheur érotique, tout en s’efforçant de caresser mon sexe de son ventre, lorsque les poussées de Gaëtan lui en laissent le loisir. Si cela continue encore longtemps, je vais jouir avant elle et son étalon.


Heureusement pour moi, Gwen décolle quelques instants plus tard. Apparemment bien informé de ce qui augmente son plaisir, le mec accélère son rythme et pilonne ma belle de toutes ses forces. Elle pousse ses hanches contre le bas-ventre de l’homme pour mieux profiter de chaque pénétration. Je m’attends à ce qu’il se lâche avant elle, tellement elle doit être bouillante et étroite juste avant l’orgasme. Pourtant le gars maîtrise la situation avec brio et ne se laisse pas démonter. Quelle santé ! C’est donc Gwen qui explose en premier, dans un fulgurant débordement érotique, accompagné de vocalises particulièrement salaces. Prudent, l’étalon se retire pour éviter de déborder à son tour. Un tel renoncement, dans l’état de rut dans lequel il doit être, laisse supposer qu’il a une idée derrière la tête. Probablement la certitude qu’il pourra obtenir sous peu encore plus de plaisir. Avec qui ?


Une fois Gwen remise de ses émotions, je comprends mieux lorsqu’elle me propose, le souffle encore un peu court, d’aller vers Bélinda. Tout en précisant qu’elle nous rejoindra après avoir remercié Gaëtan. L’expression est probablement faible…


La copine de ma partenaire est allongée quelques sofas plus loin, entre les bras d’une accompagnante qui la caresse amoureusement.



Sylvie préfère me laisser la place et va rejoindre une femme qui se caresse seule en regardant son homme faire l’amour avec une partenaire aux seins et au bras gauche amputé. Bélinda m’invite à m’allonger contre elle. Puis elle m’explique en quelques mots ce qu’elle aime recevoir d’un homme.



Comme convenu, je m’occupe du plaisir de Bélinda sans quitter Gwen des yeux. Elle est retournée près de Gaëtan qu’elle a tendrement embrassé, tout en caressant sa queue encore luisante de sa mouille. Puis elle s’est assise derrière lui, entourant son torse de ses bras. Vu de loin, cela donne l’impression qu’il a retrouvé ses deux membres.


Après quelques caresses sur le torse et le ventre, dont le type profite les yeux fermés, Gwen descend ses mains vers le bas-ventre de son partenaire, et commence à le masturber. Lentement d’abord, puis de plus en plus vite, de plus en plus intensément. Le gars s’abandonne complètement entre les bras de sa bienfaitrice, tend son bas-ventre à la recherche d’un plaisir encore plus intense, puis finit par se lâcher. Une formidable giclée de sperme s’élève dans les airs, et va arroser son torse, juste sous son cou. Elle est suivie sitôt après d’une autre, encore plus abondante et à peine moins puissante, qui inonde le haut de son ventre velu. Une autre giclée, puis une autre encore suivent, qui forment des canaux et des petites rivières de sperme sur le corps nu de l’homme. À chaque secousse, le mec se plie en deux et renforce son plaisir par des contractions du périnée, comme me l’explique plus tard Gwen encore toute troublée par leurs ébats. Il a de toute évidence le gabarit et les capacités sexuelles d’un artiste porno de haut vol. Je comprends son bonheur en le retrouvant ici ce soir.


Tout en parcourant le corps de Bélinda avec toute la douceur et la tendresse dont je suis capable, je me demande fugitivement si c’est cette forme de virilité qui a séduit Gwen, et dans quelles circonstances elle en a profité jusqu’à ce jour. L’image de l’étalon perforant la jeune femme m’excite, ce que Bélinda ne manque pas de remarquer.



Sitôt allongé sur elle, je trouve immédiatement le chemin de son intimité. D’abord par jeu, puis parce que c’est incroyablement excitant, je reste toutefois juste au bord, effleurant sa vulve de la pointe de ma queue. Cette retenue semble l’exciter plus qu’elle ne s’y attendait. Elle le confirme en passant sa main entre nos deux corps et en guidant mon vit un petit peu plus profondément, mais sans me laisser la pénétrer entièrement.



J’adore l’expression et sa franchise. En plus de l’intensité de la conjonction, le tempo lent nous laisse le temps et le plaisir de nous regarder les yeux dans les yeux. Puis de nous embrasser et nous caresser longuement, savoureusement.


Les choses se compliquent pour moi et la maîtrise de mes pulsions viriles lorsque Gwen revient vers nous et se met à caresser mes fesses. Je dois vraiment commencer à me retenir lorsqu’elle s’empare de mes couilles et les masses entre mes cuisses, un doigt glissé dans la vulve de Bélinda, comme pour bien répartir les caresses intimes.



Gwen nous accompagne et aide Bélinda à prendre place entre son homme et l’une des deux accompagnantes, très excitée par un beau mâle si viril. Pour éviter tout esclandre, Gwen se met à embrasser et à doigter l’une des filles, qui, une fois la surprise passée, finit par trouver l’assaut féminin assez agréable. J’arrive à convaincre l’autre de lâcher prise par des attouchements assez semblables. Elles finissent par partir vers d’autres horizons, laissant la place à ma beauté sauvage, juste à côté de Bélinda et de son homme.


Ma partenaire de la nuit m’ouvre alors grand les bras et avec un sourire lumineux sur le visage, m’invite à lui faire l’amour. Elle dit bien faire l’amour et à sa manière de m’enfouir en elle, elle le pense sincèrement. Cela me rend dingue et décuple mon excitation. Après tout ce qu’elle m’a fait vivre ce soir, je suis tendu comme un arc. D’ailleurs malgré toutes mes précautions, je ne tarde plus à décocher ma flèche.



Le plus beau à ce moment, c’est qu’à peine ses lèvres posées sur les miennes, sans aucune autre stimulation que les émotions folles qui nous emportent, elle se met à jouir à son tour, provoquant d’interminables spasmes dans tout mon corps par son massage intime.


Nous restons longuement enlacés, imbriqués, gavés de tendresse et de plaisirs. Bélinda et son homme ne sont plus là lorsque nous arrivons à nous lever et à rejoindre le vestiaire.


Nous n’échangeons presque aucun mot pendant le trajet de retour. Elle se contente d’entretenir l’intensité de ce qui nous unit par de douces caresses, des longs baisers dans mon cou. L’odeur de son corps saturé de volupté suffit à me convaincre que nous avons encore beaucoup à partager.


D’un commun accord, nous renonçons pourtant à finir la nuit ensemble. Un peu de distance est nécessaire pour faire le point et décider de ce qu’il va advenir de notre relation. Elle donne juste une discrète indication sur ses envies me concernant, en murmurant un timide « je t’aime » au moment de refermer la porte de son appartement. En vérité, elle m’a devancé de peu, tant j’avais le même aveu sur le bord de mes lèvres…