n° 21829 | Fiche technique | 24020 caractères | 24020 4132 Temps de lecture estimé : 17 mn |
08/06/23 |
Résumé: Une stagiaire qui cache bien son jeu. | ||||
Critères: fh hplusag collègues travail voir noculotte entreseins fellation cunnilingu pénétratio fsodo -occasion | ||||
Auteur : Roy Suffer (Vieil épicurien) Envoi mini-message |
Godiche, une grande « gourdasse », pensai-je en la regardant entrer et en l’écoutant… C’est pas possible : si je ferme les yeux, j’ai l’impression d’entendre Shirley, du duo comique Shirley et Dino… Et ce sourire niais, permanent : elle a un deux de Q.I. cette pauvre fille… Et la copine de Pôle-Emploi qui me dit : « prends-la en stage, tu verras, tu risques d’être surpris… » Et quand elle rit, c’est encore pire, on dirait qu’elle tousse dans les aigus et qu’elle ronfle en respirant. .
C’est dommage parce qu’elle n’est pas mal du tout. Très balaise, mais pas grosse, heureusement vu sa taille. Elle doit faire au moins un mètre quatre-vingt ou pas loin. Bien proportionnée, longues jambes, tout ce qu’il faut là où il faut… Le visage est un peu mou, mais des yeux superbes, verts, très verts, d’un vert profond genre malachite, et très en amande. Mais alors, « sois belle et tais-toi ! », il faudrait l’anesthésier !
La belle affaire, voilà qu’elle va nous donner des leçons avec son air niais, pensai-je en téléphonant à ma secrétaire. La voilà qui entre avec une chemise dans laquelle trois pages de journaux jaunies se battent en duel, oubliées au fond d’un tiroir depuis quatre ou cinq ans. Je lui tends la chemise.
On l’installe dans un coin, on lui met un vieil ordinateur inutilisé et un téléphone, et je n’entends plus parler d’elle pendant trois semaines. Tout juste si, de temps en temps, les éclats de son rire idiot parviennent jusqu’à mon bureau. Parfois aussi, je m’enquière de son absence en arrivant :
À la fin de cette troisième semaine, le vendredi en fin d’après-midi, on grattouille à ma porte. C’est elle, toutes dents dehors, des documents à la main.
Elle s’assoit dans un cliquetis de ferraille, qui reprend à chaque fois qu’elle bouge. Je lève un peu le nez : un tas de bracelets métalliques s’entrechoquent à son bras. Mais par ailleurs, comme elle est grande, que ses jambes sont longues et sa jupe très courte, elle m’offre au passage une vue splendide sur ses cuisses croisées, fuselées comme ses mollets. J’en suis tout émoustillé et perturbé dans ma réflexion. Je termine tout de même mon brouillon de courrier urgent et je file le donner à taper à ma secrétaire avant qu’elle et le courrier ne partent. Quand je reviens, la grande greluche est debout, penchée sur mon bureau en train d’installer ses œuvres sur mon sous-main. Bon sang, ce cul dans cette position ! Large, rond, pommé, les fesses bien séparées par une vallée profonde, la robe serrée remontée jusqu’au raz des fesses, les jambes ainsi presque totalement exposées. Superbe vraiment, dommage qu’elle soit si gourdasse. Je m’assois. Elle reste debout pour me montrer ses dossiers. D’abord, un press-book reconstitué, plutôt pas mal présenté dans des pochettes transparentes reliées dans une jaquette extensible, ce qui permet de l’enrichir au fur et à mesure. Elle a mené un vrai travail de recherche, fouillé dans nos archives, aux archives départementales et dans tous les services de presse locaux.
Elle reste à m’observer, les paumes posées à 180° sur le bureau, épaules haussées soutenant son buste suspendu. Le col cheminée de sa robe largement échancrée laisse deviner une belle naissance de poitrine. En feuilletant son classeur, les souvenirs me reviennent un par un, du moins pour la partie qui me concerne, car elle est remontée bien avant mon arrivée. Je ne peux que la féliciter et j’avoue être le premier étonné. Elle rosit un peu, ricane comme à son habitude et me présente la suite. La suite, c’est un plan de communication. Elle n’a pas qu’un cul et des guibolles, mais aussi une sacrée poitrine apparemment et, selon toute vraisemblance, libre sous la robe. Car mes félicitations ont dû lui donner un frisson de plaisir, et deux pointes se manifestent en repoussant le tissu. Ça y est, cette fois je bande…
Mais pas pour longtemps parce que son projet est rudement bien ficelé. Elle m’assène des vérités qui font mouche pratiquement à chaque fois. D’abord l’analyse de l’existant. On fait la même chose depuis vingt ans, et en vingt ans le monde a changé : radio, télé, internet, portables, messageries, réseaux sociaux, bref on est nuls ! Même le graphisme utilisé est désuet. À la rigueur, il pourrait conforter les vieux clients, mais c’est inutile puisqu’ils sont déjà clients. En aucun cas il n’est capable d’en séduire de nouveaux, de plus jeunes, ceux que l’on voudrait bien toucher sans y parvenir. Elle propose donc une campagne bien orchestrée, multimédia, avec suivi et piqûres de rappel régulières, et elle termine par une proposition de charte graphique rénovée qui me laisse un peu pantois. C’est pas mal du tout, à quelques détails près, mais ça tient rudement bien la route. Là, je ne suis plus étonné, mais baba ! Sous son air gourdasse, cacherait-elle un réel talent ? Je la regarde en plongeant droit dans ses yeux verts :
Encore ce p… de rire à la Shirley, que ça m’agace ! J’ai encore des doutes sur la réalité de son travail personnel et je me dis qu’il serait bon de tirer les choses au clair avant d’aller plus loin. Parce que forcément, ce qu’elle propose ne peut pas se réaliser isolément, il faut impliquer le niveau régional, voire national, pour se lancer dans une « révolution » comme celle-là. Le temps a passé, il est presque dix-neuf heures, j’ai une idée :
Je me rends compte que je suis un peu marteau d’avoir invité cette bécasse à dîner. Elle a l’air tellement gourde que je n’ose pas aller dans un endroit connu. En l’attendant, je cherche une adresse sur internet, un endroit convenable où je n’ai jamais mis les pieds. Je trouve un truc japonais à la sortie de la ville avec de bonnes appréciations, on va essayer.
Accueil en courbettes, bonne surprise c’est une « table chaude ». La déco est à chier, que des japonaiseries de plastique et de papier crépon. J’espère que la cuisine est meilleure. On s’assoit sur des chaises hautes, côte à côte autour d’une des quatre tables chaudes. Apéro : je prends un whisky, elle prend un de ces cocktails japonais, plusieurs couleurs pas mélangées dans un grand verre bordé de sucre avec des lychees piquées de petites ombrelles qui trempent dedans.
Je me dis surtout que sucre et alcool vont la ratatiner très vite. Surtout qu’ayant fini, elle déclare :
On choisit, on commande, et une bouteille de rosé de Provence pour humecter tout ça, plus sympa que le thé proposé. En se juchant sur sa chaise haute, sa robe s’est fortement retroussée, mais à aucun moment elle n’a essayé de la remettre en place. Ce qui fait que mon regard se perd de temps en temps sur ses cuisses charnues et quand elle s’accoude sur la table, au fond de son vaste décolleté. Si elle n’est pas si gourdasse qu’il y paraît, c’est possiblement volontaire. D’ailleurs parfois son genou vient heurter le mien. Le repas est un vrai spectacle : les tofus sautillent en crépitant, la panière de légumes frais finement découpés apporte une cascade de couleurs, les crevettes sautent sous des coups de palette habiles, on fait le noir le temps du flambage au saké, le jus du citron s’écoule tout le long de la lame d’un sabre. Magnifique et délicieux. Elle s’agite, se dandine sur son siège, applaudit comme une gamine, me met la main sur la cuisse quand elle est fascinée.
Je me remets à bander ferme, surtout que je dois l’aider à tenir ses baguettes en frottant au passage mon coude sur son sein effectivement libre et bien dressé. Et puis il y a aussi la sauce au gingembre en quantité généreuse. On termine par un premier saké, dans ces petites tasses avec une loupe au fond qui ne montrent que quand elles sont pleines une photo cochonne. Elle ricane encore puis me prend par le cou pour me chuchoter à l’oreille :
Rebelote pour un éclat de son rire idiot. Quel dommage, une si jolie fille qui, quand elle parle, a le débit de Brigitte Bardot, les intonations de Michèle Laroque et le rire de Shirley… Ça gâche tout. En attendant, elle est quand même un peu éméchée, mais j’avoue que son grand corps supporte bien l’alcool, vu ce qu’elle s’est enfilé. J’en profite pour attaquer à nouveau, sur le ton de la plaisanterie :
Quand nous sortons, après les courbettes d’usage, elle se colle à moi et nous marchons d’un même pas comme un vieux couple. Une fois dans la voiture, toujours troussée jusqu’à la dentelle blanche de sa culotte, elle demande avec le plus grand naturel :
Elle me guide. Petit immeuble dans un quartier tranquille. Troisième étage sans ascenseur. Appartement coquet d’une cinquantaine de mètres carrés. Une grande pièce à vivre avec cuisine américaine, dégagement, deux chambres dont l’une sert à tout (bureau, repassage, couture, débarras), toilettes et salle d’eau à chaque bout du couloir. C’est sobre et propret, avec des murs de toile de verre blanche, un léger désordre de vie courante. C’est aussi un peu impersonnel, car sans trace de présence masculine, mais sans touche franchement féminine : pas de plantes vertes, par exemple.
Elle ferme les volets, cachant les toits, les réverbères et les bâtiments hauts de la ville, me propose un café puis s’éclipse vers les toilettes, du moins je le suppose. Un instant plus tard, elle revient dans le plus simple appareil, juste vêtue de ses talons hauts avec lesquels je pense qu’elle est plus grande que moi. Oh le bel animal ! Une femelle dans toute sa splendeur, toute en courbes harmonieuses et douces, blanche de peau, avec ce léger enveloppement qui dissimule toutes les duretés des muscles sans pour autant être grasse. Magnifique poitrine tombant à peine, aux pointes bien érigées, fessier superbement rebondi, membres longilignes sans être maigres. Elle ne s’embarrasse pas de préliminaires, vient droit sur moi et me roule une pelle longue et profonde. Je palpe, je caresse, je tripote, je presse, je pelote. C’est parfait quand elle a la bouche pleine. Puis elle s’écarte et me déshabille, je l’aide, et elle se remplit la bouche de nouveau avec mon sexe déjà dressé. Elle ne sait pas faire que des dossiers de presse. La garce me met, en trois coups de langue et deux aspirations, dans un état pas possible.
Pour une fois je ris avec elle, avant qu’elle ne m’entraîne dans sa chambre. Là, je lui rends sa politesse en fouillant sa chatte à grands coups de langue. Elle aime ça et son corps se couvre d’une buée caractéristique.
Je fais donc, libre de toute contrainte, mais avec une bonne coopération. Un régal pour les sens que ce grand corps magnifique qui s’offre sans réserve et répond aux sollicitations du plaisir de toute sa puissance. À son second orgasme, je ne peux plus me retenir et je remplis son gousset à longs jets de semence. Nous retombons côte à côte, épuisés et en sueur.
Effectivement, ce furent deux cafés, mais le second après le deuxième tiers-temps. Car nous remîmes le couvert une troisième fois : je souhaitais absolument la trousser debout, il faut savoir profiter des avantages physiques, ce que nous faisons un peu avant l’aube. Elle s’appuie sur la fenêtre ouverte, tant nous avons chaud, et comme son vagin ne me donne plus aucune sensation tant il dégouline de nos sucs, je dois les utiliser comme lubrifiant pour la sodomiser en règle, pétrissant furieusement sa poitrine dilatée. Je laisse échapper les dernières gouttes de mes réserves taries dans ses entrailles, elle braille son plaisir au moment du passage d’un train, sur la voie juste en face. Et ça dure tout le week-end !
Dire que le lundi soit difficile est un euphémisme. J’ai les jambes en flanelle, les yeux au beurre noir et la tête au fond d’un seau plein d’écho. Quant à elle, la pleine forme ! Comme si elle m’avait pompé toute mon énergie en me pompant le dard… Je passe la journée enfermé dans mon bureau, bâillant à m’en décrocher la mâchoire. Je m’octroie une petite sieste réparatrice après le déjeuner, prétextant un rendez-vous extérieur. Le soir, après le brouhaha de l’heure du départ, on toque à ma porte :
Et cette grande déjantée pousse légèrement mon fauteuil à roulettes sur le côté et, malgré sa taille et la longueur de ses cannes, plonge dans l’espace exigu réservé aux jambes, sous le bureau. Elle me tire vers elle et défait ma braguette, entamant sans hésiter une turlute de première classe. Ça, c’est vraiment la première fois que ça m’arrive ! Je reconnais que l’on entre dans le domaine des fantasmes de tout chef de service, se faire sucer ainsi par une petite secrétaire en étant bien installé à son bureau de chef, mais entre fantasme et réalité… il y a un monde. Pas avec elle, elle le fait. Elle le fait même très bien, avec un art consommé de la pipe, à croire qu’elle est née à Saint-Claude ! Mon sexe prend de l’ampleur dans sa bouche, mon mal au crâne disparaît, je n’entends plus que ses petits grognements satisfaits, jusqu’à la sonnerie du téléphone.
J’ai le temps de raccrocher avant qu’elle ne remonte de la base de mon sexe, complètement englouti, à son extrémité en le griffant légèrement avec ses quenottes. J’en rugis de plaisir douloureux. J’allais lui parler du pays en m’occupant de son arrière-train, quand on frappe de nouveau à ma porte. Panique, j’essaie en vain de me sortir de là, de la sortir de là, elle s’accroche aux accoudoirs et me rapproche du bureau. Garce !
Si elle savait la pauvre dame ce qui perturbe ma circulation ! Cette fois je me libère de son emprise et fonce donner un tour de verrou. Le temps de me retourner, et la belle s’est extraite de sa cachette en même temps que de sa robe-chaussette, prouvant au passage qu’elle n’avait rien en dessous, un sourire satisfait sur les lèvres. Je la fais s’agenouiller sur mon fauteuil et, sans préliminaires ni précautions, je l’enfile avec toute la rage que sa petite séance avait fait monter. Elle rugit, couine, halète, tandis que je laisse libre cours à toutes mes envies les plus perverses. C’est assez rock’n’roll un fauteuil pour baiser : ça roule, ça tourne, ça bascule et il faut quelques minutes pour bien en maîtriser tous les mouvements. Mais après, qu’est-ce que c’est bon ! On peut tout faire… Je fais tout ! Une demi-heure plus tard, la moitié de la boîte de Kleenex recueille nos liquides. J’avoue n’avoir jamais connu une telle affamée de sexe que cette fille-là, et je me sens à nouveau vidé jusqu’à la dernière goutte. Je la ramène chez elle et je rentre chez moi, pas question d’aborder son « grand oral » demain sans une nuit de repos.
C’est fou cette faculté qu’elle a d’aborder les échéances importantes sans le moindre trac, avec tout son naturel et sa spontanéité ! Je la regarde pendant qu’elle détaille ses diapos, parfaitement sereine, et je vois bien que le « chef » régional n’a d’yeux que pour la silhouette qui se détache sur l’écran, les autres aussi d’ailleurs. Ah s’il n’y avait pas cette voix et ce débit atrocement nunuche ! Elle aurait un avenir certainement doré. Son rire à la Shirley émaille le repas, le chef l’a placée à côté de lui. En fait, je crois bien qu’elle a réussi son coup et ce n’était pas gagné d’avance. Sur la route du retour, elle me confie avec le plus grand naturel que le directeur régional a passé le déjeuner à lui tripoter les cuisses et… qu’elle le lui a bien rendu. Pas d’autre solution que de s’arrêter dans un endroit désert, un petit bois proche de l’autoroute, et de lui faire tâter du capot de ma berline. J’en profite pour lui dire qu’elle est une fichue salope, compliment qu’elle accepte avec enthousiasme.
La réponse vient quelques jours plus tard, non pas à l’agence, mais directement dans sa boîte aux lettres. Le directeur régional lui propose un poste au siège, non sans arrière-pensées, mais ça, elle le sait déjà. C’est ainsi que je perds cette « gourdasse » non sans une dernière promesse :
Merci ! De rien…