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n° 21848Fiche technique16033 caractères16033
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17/06/23
Résumé:  ‌Dernier épisode d’une série où on a vu défiler plusieurs femmes libres et libérées, de tous âges et de toutes fonctions dans cette entreprise. Le cadre est la garden party organisé par le patron et son épouse.
Critères:  fh hplusag fplusag couleurs frousses extracon cocus candaul collègues nympho grossexe piscine danser fête voir exhib nudisme noculotte strip caresses intermast fellation pénétratio fsodo coprolalie partouze humour -humour -totalsexe
Auteur : Jacquou            Envoi mini-message

Série : Sexe en entreprise

Chapitre 05 / 05
L'exemple vient d'en haut

Résumé des épisodes précédents :

La série a vu défiler plusieurs employées d’une entreprise comme beaucoup d’autres, à ceci près que le sexe est leur affaire, DRH comprise.




‌Avant que les salariés de l’entreprise partent en vacances durant les deux mois d’été, le patron avait instauré la tradition d’une garden-party à son domicile. Même si tout le monde ne venait pas, tout le monde était invité, le patron entretenant sa fibre sociale, et un buffet permettait quelques agapes à consommer autour de tables rondes au son d’une musique d’ambiance permettant ensuite des danses.


Chacun se voyait même proposer de piquer une tête dans la piscine en fin d’après-midi si le temps le permettait. Occasion de voir les dames en maillot de bain, ce qui ne les avantageait pas forcément, mais c’était également vrai pour les messieurs. L’organisatrice était Mylène, la femme du patron, une quinquagénaire BCBG aux cheveux mi-longs auburn et à la peau d’albâtre, restée mince à grand renfort de cours de gym et de salades composées. Les femmes la craignaient pour son regard impitoyable.


Cette garden-party était aussi l’occasion de découvrir les épouses des salariés connus des salariées pour leur fidélité aléatoire. Les épouses, parfois bafouées, avaient dans leur collimateur le petit groupe de libertines dont nous avons déjà évoqué les frasques. En particulier cette Marjorie dont elles entendaient souvent parler et qui était vêtue ce jour-là d’une combinaison très moulante au fessier, révélant la ficelle d’un string, « appelant la main de l’homme », pensaient certains mâles. La combinaison était boutonnée sur le devant ou plutôt très déboutonnée en exposant un profond sillon mammaire, l’ensemble ayant le don d’ulcérer les rombières.


Mais elles avaient aussi déploré le dos nu de Coralie, portant une robe longue sans manches, fendue jusqu’à la ficelle du string, dont le haut lui descendait jusqu’au bas des reins, révélant deux seins pointus en liberté. Elles grimaçaient aussi devant la jupe ultra-courte de Delphine, le mini short de Camille qui lui faisait un adorable petit cul et le pantalon de coton de Marianne tellement moulant qu’on pouvait légitimement se demander si elle portait quelque chose dessous. Néanmoins, toutes faisaient profil bas ce jour-là, car il ne s’agissait pas de provoquer un scandale sur le lieu patronal.


Fort heureusement, certains hommes divorcés bénéficiaient d’une certaine liberté sans être scrutés par leur conjointe, et pour cause. C’était le cas de Fabien, qui baisait désormais régulièrement Nadine, la DRH à la bouche gourmande (voir épisode 3). Mais pour l’un comme pour l’autre, hors de question d’afficher leur liaison, même si elle était désormais notoire.

Fabien était passé sur le grill du duo Marjorie-Delphine qui avait ensuite raconté comment leur collègue et la DRH copulaient dans le bureau de celle-ci alors que l’entreprise était vide. Voir la DRH trôner très fière, très classe, très cadre sup à la table directoriale faisait sourire Marjorie et Delphine quand elles se souvenaient des détails fournis par Fabien, comme son déluge de mots crus dans l’extase, à commencer par cet « encule-moi » qui ne faisait pas trop directrice des relations humaines, encore que…


Précisément, à cette table directoriale siégeaient évidemment le patron et son épouse, mais aussi le délégué syndical, un certain Albert, quadragénaire exempté volontairement de son épouse, charmeur, à la virilité ostentatoire. Il était l’amant occasionnel de la femme du patron, mais cette liaison demeurait tenue jalousement secrète, car elle aurait fait évidemment du tort aux deux si elle avait été révélée. Ils baisaient en général dans la voiture du syndicaliste, un van permettant de s’allonger à l’arrière, mais parfois aussi en plein air, ce qu’ils préféraient. La patronne avait l’orgasme bruyant et il valait mieux qu’il n’y eut pas de témoins à proximité.


Ce jour-là, ils étaient assis côte à côte à la table directoriale, affectant des politesses réciproques comme il sied à une femme de patron avec un syndicaliste. Mais sous la table, la main d’Albert caressait la cuisse découverte par la robe très classe et courte de Mylène. Celle-ci l’avait repoussée une fois, deux fois, trois fois, mais l’autre avait insisté, se sachant vainqueur à terme. De fait, les cuisses avaient fini par s’ouvrir et la main syndicale avait atteint le slip co-patronal.


À la table, seule la DRH avait remarqué l’expression changée de la patronne, visiblement ailleurs, la bouche légèrement crispée, le torse relevé, indifférente aux conversations de la table. Albert n’avait qu’une main visible, tenant une fourchette. Où était l’autre ? Nadine fit semblant de faire tomber sa serviette et en la ramassant, vit l’autre main d’Albert en pleine activité masturbatoire.


La DRH était assise un peu sur le côté du couple, elle n’avait pas été repérée. Elle vit la patronne réprimer difficilement un petit cri qui alerta l’un des convives et qu’elle justifia laborieusement en disant qu’elle s’était mordu la langue, ce qui d’ailleurs était vrai. Les deux mains d’Albert étaient maintenant sur la table, l’une légèrement poisseuse, mais personne ne pouvait le remarquer.


Lorsque vint le temps des danses, les tables se vidèrent en partie. La DRH suivit des yeux le couple adultère, qui s’était éloigné séparément, mais dans la même direction, à savoir un cabanon de jardin isolé sous les frondaisons Il fallait vraiment que le désir fût impérieux pour prendre un tel risque. De la part de la patronne, il est vrai, puissance invitante, c’était pour le moins osé et inattendu.


Nadine, poussée par la curiosité, arriva à pas prudents jusqu’au cabanon. Dissimulée sous les feuillages, elle jeta un œil entre deux planches disjointes. Le spectacle était éloquent. La patronne avait suspendu sa robe à 1000 euros à un crochet, fait valser slip, soutif et escarpins, s’était assise sur une table et recevait les hommages virulents du syndicaliste, pantalon aux chevilles et torse nu, son cul poilu en mouvements frénétiques tandis que les deux amants se dévoraient des yeux.


D’où elle était, Nadine pouvait entendre le floc floc du choc des peaux et des sexes joints et les halètements de Mylène qui se mordait la main pour ne pas crier son plaisir d’être aussi copieusement baisée. Ses cheveux mi-longs balançaient en cadence, au rythme des coups de bite d’Albert, puissants et rectilignes, sortant presque totalement pour entrer totalement. Nadine ressentit une onde de chaleur dans le bas-ventre. Elle porta même la main à l’intérieur de son slip quand le syndicaliste bascula la patronne pour la prendre par-derrière tandis qu’elle posait ses coudes sur la table. Elle se retournait vers lui pour l’encourager mezza voce, mais Nadine entendit clairement :



Signes vocaux du plaisir intense qu’elle prenait. Elle venait le chercher à grands coups de fesses. Et quand Nadine l’entendit dire : « Prends-moi par le cul, je suis dilatée comme jamais », la DRH voyeuse juta dans ses doigts et réprima de justesse un gémissement. Il fallait qu’elle baise à son tour, et le plus tôt serait le mieux. Elle s’esquiva, ventre et tête en feu.


Elle attrapa Fabien pour danser avec lui au milieu d’autres couples et lui dit à l’oreille :



Alors, Nadine, tout en dansant le slow du moment, raconta à l’oreille de Fabien la scène puissamment érotique et fort peu lutte des classes à laquelle elle avait assisté en voyeuse. Elle sentit la queue de Fabien durcir.



Fabien promit et de fait, une fois que le couple adultère eut réapparu, Nadine s’éclipsa vers le cabanon du stupre, bientôt rejointe par Fabien, que la situation excitait au plus haut point, bien que fort dangereuse. Ou plutôt à cause de cela.


Nadine exigea d’être baisée comme la patronne, assise sur la table puis prise par-derrière et tout autant sodomisée. Fabien, survolté, la faisait vraiment jouir et elle connut un orgasme à chaque position. Mais ce que le couple ne savait pas, c’est qu’un nouveau regard indiscret ne perdait rien du spectacle. Marjorie, à laquelle rien n’échappait, avait vu le manège et suivi Fabien à distance jusqu’au fameux cabanon.


La seule différence résidait dans sa masturbation. Sa combinaison l’empêchait d’atteindre l’intérieur de son string et elle dut se contenter de se frotter à travers le tissu. Lorsque Fabien eut giclé dans le fondement de sa maîtresse, elle s’éclipsa, le string trempé, et s’empressa de raconter à Delphine ce qu’elle venait de voir. Coralie, Marianne, Camille et Agnès furent ensuite mises au courant et toutes convinrent que cette copulation était sacrément gonflée en ces lieux et ces circonstances, non sans envier malgré tout la DRH d’avoir été aussi glorieusement baisée.


La soirée s’avançait et la patronne indiqua que la piscine était disponible, invitant chacun à se mettre en maillot de bain dans une chambre du bas, à tour de rôle bien sûr, chacun ayant été averti de cette possibilité avant la soirée. Des épouses apparurent qui en une-pièce, qui en deux-pièces, les hommes presque tous en bermuda. Camille, « vêtue » d’un bikini de quelques grammes, provoqua une petite sensation, favorable chez les hommes, défavorable chez leurs épouses.


Mais toutes n’étaient pas aussi coincées. L’une d’elles, par réaction, provoqua un petit scandale. Cette grande perche aux cheveux blancs, prénommée Véronique, en fin de cinquantaine, épouse d’un cadre sup bientôt à la retraite, se trouvait un peu éméchée par l’abus de sangria. Elle se flattait d’un corps resté mince et arborait un bikini de jeune fille qui avait fait déjà jaser les rombières, moins avantagées par la nature. Elles la virent avec stupéfaction poser culotte et dégrafer soutif avec un air de défi pour plonger complètement à poil dans la piscine.


Après l’avoir regardée nageoter, le cul en surface, sans la moindre gêne, la stupéfaction se transforma en une petite révolution au bord de la piscine. Son initiative agit chez les libertines comme un signal. Marjorie et Coralie, adeptes du naturisme, étaient venues sans maillot, forcément, sans l’intention donc de se baigner vespéralement. La première se débarrassa de sa combinaison et de son string, exposant sans complexe son pubis fourni et plongea à son tour en tenue d’Ève, au bronzage intégral. Elle fut aussitôt imitée par Coralie dont le corps sculptural que la robe fendue à dos nu n’avait fait que suggérer fit aussitôt lever un certain nombre de queues sous les bermudas.


On vit alors quelques femmes emmaillotées se mettre nues à leur tour : Delphine, la rouquine, révélant ses taches de rousseur et son pubis fauve, Marianne, la maîtresse du patron, exposant sa luxuriante végétation intime, Agnès désormais totalement décomplexée de ses rondeurs et même la « langue de pute » Cathy, assez fière de montrer à femmes et hommes ses deux melons à l’équilibre parfait, au grand dam de son mari présent.


Tous les regards se tournèrent alors vers la patronne. Comment allait-elle réagir ? Elle portait un maillot une-pièce très échancré frisant la raie des fesses. Elle s’en débarrassa en un tournemain et gagna les marches de la piscine en ondulant avec grâce, comme si elle prolongeait le coït du cabanon, et se glissa dans l’onde avec une volupté évidente. Trois hommes seulement se déculottèrent : Fabien, Christian et Albert, pas mécontents d’exhiber leurs avantages non seulement aux dames présentes, mais aussi aux hommes moins bien servis par la nature.


La piscine s’emplit dès lors de rires et d’éclaboussures avec quelques contacts peaux à peaux pas toujours fuis. Le plus heureux de l’affaire était le patron, heureux de découvrir ses employées dans le plus simple appareil (sauf Marianne bien sûr) et pas mécontent d’exposer la plastique impeccable de son épouse, manière de faire comprendre à ses subordonnés qu’il avait dans son lit une femme éminemment baisable, contrairement à la plupart. Et ce alors qu’il la baisait beaucoup moins souvent que sa maîtresse.


Cet épisode marqua le reflux d’un certain nombre de couples, des épouses étant ulcérées par cette orgie aquatique. Leurs hommes les suivirent à regret vers la sortie, tant et si bien qu’il ne resta plus autour et dans la piscine que des corps nus, à l’exception du patron qui ne s’était même pas mis à l’eau et se contentait de mater. Si les libertines, prudentes, conservèrent une relative réserve, tel ne fut pas le cas de Cathy, qui collait à Albert sans remarquer qu’elle était fusillée du regard par la patronne et évidemment par son mari, scandalisé par le comportement de son épouse. Il n’était pas interdit de penser qu’ils allaient baiser dans l’eau.


Mais la sensation vint surtout de celle qui avait tout déclenché, à savoir la mature Véronique. Elle s’était « rapprochée » du seul célibataire de la soirée, un certain Célestin, homme à tout faire de l’entreprise, à l’amabilité proverbiale, natif de Fort-de-France et doté d’un membre viril que même Albert, Fabien et Christian pouvaient envier. Les libertines n’en furent pas les moins émues, ce qui leur fit découvrir des perspectives d’avenir et sous-estimées.


Timide, il avait tardé à entrer dans l’eau. Véronique l’avait acculé dans un coin de la piscine et avait collé ses seins et son ventre contre sa peau d’ébène tout en l’embrassant. Cette parade amoureuse avait tout pour choquer, mais dans l’ambiance survoltée de cette fin de fête, plus rien ne surprenait. Tous les regards se tournaient vers le mari de Véronique, le cadre sup proche de la retraite, mais il ne semblait guère s’offusquer de la scène. Au contraire, s’approchant du couple, il déclara au Martiniquais à haute et intelligible voix :



Alors, l’assistance figée vit sortir de la piscine la mature tenant par la main le Martiniquais à l’érection déjà spectaculaire, l’entraînant vers un bain-de-soleil sur lequel elle s’allongea, cuisses ouvertes, guida le sceptre vers son antre et le couple inattendu offrit le spectacle d’une copulation ardente, frénétique, sonore qui figea les spectateurs(trices), à l’exception parfois de leurs mains gagnant leur entrecuisse.


Pieds en l’air dans un angle très ouvert, la quinquagénaire recevait l’hommage viril en piaillant des encouragements sous le ciel étoilé. Le coït fut aussi intense que bref, ponctué par une éjaculation massive sur le visage extasié et dans la bouche goulue de la nommée Véronique, qui allait évidemment devenir célèbre dans l’entreprise après cet épisode inédit. Sans parler de son mari, heureusement proche de la retraite, et visiblement ravi par la prestation de son épouse à en juger par son érection.



Et de sortir de l’eau, le corps luisant d’humidité, attrapant une serviette de bain mise à disposition par la patronne et revêtant sa sulfureuse combinaison. Elle fut suivie aussitôt par Coralie, Delphine et Camille, mais pas par Marianne, qui avait disparu en même temps que le patron pour un très probable accouplement.


Comme Albert et la patronne n’étaient plus dans la piscine, il n’était pas interdit de penser qu’un plan à quatre était en cours, mais on en saurait beaucoup plus long le lendemain.


Quoi qu’il en soit, la petite bande des quatre, dûment rhabillée, s’éclipsa en direction d’un night-club où l’élément masculin (et pas trop vieux) devait pouvoir répondre à la demande. Car s’il est une vérité rarement démentie, une femme qui a envie de baiser finit toujours par baiser.



FIN