n° 21856 | Fiche technique | 16053 caractères | 16053 3135 Temps de lecture estimé : 13 mn |
21/06/23 |
Résumé: Elle et lui s’aiment. Ils vivent une relation à longue distance et échangent donc par téléphone. Ils vont concrétiser leur fantasme de cocufiage. | ||||
Critères: #adultère #candaulisme f h cocus amour jalousie cérébral | ||||
Auteur : Aramis43 Envoi mini-message |
J -2
Elle – Coucou, mon amour. Comment s’est passée ta journée ?
Lui – Bien, mais tu me manques, c’est dur de devoir attendre le week-end prochain pour te voir.
Elle – Oui, moi aussi j’ai hâte.
Lui – Et toi, ta journée ?
Elle – Le boulot, bof. Par contre, je me suis fait draguer…
Lui – Ah oui, raconte.
Elle – C’est un jeune cadre d’un autre service, il s’appelle Karim. Il m’a abordée pour me dire que j’étais très en beauté aujourd’hui, encore plus que d’habitude.
Lui – Tu l’as rembarré ?
Elle – Non, c’était plutôt marrant et il est très mignon. Alors, on a déliré un peu. Il m’a fait la cour en me disant que ça faisait longtemps qu’il me trouvait sexy et qu’il cherchait une occasion de me parler.
Lui – Il te plaît, hein.
Elle – Hmm, oui. Il est grand, large d’épaules avec une peau basanée, une barbe de trois jours et un regard noir profond.
Lui – Ah ouais, quand même, à ce point. T’es sûr qu’il t’a juste draguée ?
Elle – En fait, on a aussi flirté. Il effleurait mes mains, mes hanches, et moi je le laissais faire, toute troublée. Et puis je l’allumais du regard. T’es jaloux ?
Lui – À mort, oui.
Elle – J’adore. Et tu bandes aussi ?
Lui – Oui.
Elle – Tu te touches ?
Lui – Oui, à travers mon pantalon. Et toi, tu te sens comment ?
Elle – Toute chose, mon amour, et aussi toute chaude. J’adore l’idée que tu te caresses en pensant à moi.
Lui – Moi, j’aimerais surtout te caresser toi, toucher ta peau. Comment tu es habillée ?
Elle – J’ai mon petit shorty vert, et dessus, le peignoir qui va avec.
Lui – Seins nus ?
Elle – Oui, je savais que ça te plairait. Et là, je les caresse à travers mon peignoir, et ils sont en train de devenir tout durs.
Lui – Et tu mouilles ?
Elle – Oui, mon shorty est un peu humide.
Lui – Tu penses à mes mains sur toi, là ?
Elle – Sincèrement ? C’est surtout de Karim que j’ai envie ce soir. Qu’il me touche, qu’il me caresse, qu’il m’embrasse. Ça te blesse pas trop ?
Lui – Beaucoup, si, mais en même temps, ça m’excite.
Elle – Alors, laisse-toi aller, mon amour. Sors ta queue et branle-toi en pensant à ta petite femme qui ne rêve que de se faire sauter par le beau Karim.
Lui – Et toi, tu te touches ?
Elle – Oh, oui, en m’imaginant ce qui va arriver demain.
Lui – Qu’est-ce qu’il y a demain ?
Elle – Karim m’a proposé d’aller au cinéma et j’ai dit oui. Je crois que dans le noir, ça va devenir très chaud.
Lui – Tu vas coucher avec lui ?
Elle – Oh non, pas direct. Il faut qu’il me mérite. Mais j’ai envie qu’il m’embrasse, qu’il me caresse, qu’il me pelote. Et je me liquéfie à l’idée que tu seras au courant que je suis dans les bras d’un autre, super jaloux et excité, et que tu ne pourras rien faire.
Lui – Oh putain…
Elle – Je vais jouir, mon amour…
Lui – …
Elle – …
Elle – C’était super bon de partager ça avec toi.
Lui – Oui. Le coup du cinoche, c’est sérieux ?
Elle – Bien sûr, j’en ai vraiment très envie. Après tout, ça fait longtemps qu’on en parle, et là on a une occasion que je n’ai pas envie de laisser passer. Mais je ne ferais rien si tu ne veux pas.
Lui – Je sais pas. Tu vas m’en vouloir si je te dis non ?
Elle – Ben oui, forcément. En plus, c’est toi qui as ouvert la boîte de Pandore avec tes fantasmes.
Lui – Oui. Mais peut-être que les fantasmes sont faits pour rester des fantasmes.
Elle – Tu as peur ?
Lui – Franchement, oui. J’ai peur de te perdre, que ça casse l’image que j’ai de toi, celle que tu as de moi, que ça nous empoisonne.
Elle – Écoute, moi je t’aime et c’est avec toi que je veux vivre. Là, c’est autre chose, c’est juste un trip de cul. Et puis, ce qui m’excite le plus c’est de me comporter en garce vis-à-vis de toi et de te rendre fou de jalousie. Alors, si tu n’es pas sûr de toi et moi, on arrête tout, mais faudra trouver autre chose pour nous exciter mutuellement. Prends ton temps, réfléchis et donne-moi ta réponse d’ici une heure ou deux.
Lui – OK
Une heure plus tard, par textos :
Lui – J’ai bien réfléchi, c’est toi qui as raison. Feu vert.
Elle – Je t’aime, bonne nuit, à demain.
lui – Moi aussi je t’aime, fais de beaux rêves.
J -1
Lui – Alors ce cinoche ?
Elle – Tu pourrais dire bonjour d’abord. Tu ne serais pas sur des charbons ardents ?
Lui – Si, excuse-moi, je n’ai pas beaucoup dormi et j’ai pensé à ça toute la journée. En plus, c’était la merde au boulot. Désolé.
Elle – Pas grave. Et puis j’aime bien quand tu te mets dans tous tes états. En plus, y a de quoi…
Lui – Ah oui, raconte, comment était le film ?
Elle – Grosse daube, inintéressante au possible.
Lui – Et Karim ?
Elle – Tout le contraire, hmm…
Lui – Tu jouerais pas un peu avec mes nerfs, là ?
Elle – Si j’avoue, ça m’amuse d’imaginer ton air furieux.
Lui – Garce !
Elle – Oui, mais c’est aussi pour ça que tu m’aimes.
Lui – Oui. Tu racontes ? À quelle heure vous êtes-vous retrouvés ? Comment étais-tu habillée ? Qu’est-ce qui s’est passé ?
Elle – Je raconte seulement si tu te caresses en découvrant comment ta petite femme se dévergonde.
Lui – D’accord.
Elle – On est allé à la séance de 20 h. Il faisait bon, alors j’avais mis la jupe de tailleur orange qu’on a achetée ensemble l’autre fois et le top noir très décolleté fait main que tu m’as offert il y a quelques années.
Lui – Et dessous ?
Elle – Pas de soutien-gorge, string, porte-jarretelles et bas assortis. Aux pieds, mes sandales à talons. C’était excitant de mettre pour un autre des choses que tu adores, voire même que tu m’as offertes.
Lui – Je vois. Et ?
Elle – On s’est retrouvé dans le hall et on s’est fait la bise. Il m’a tout de suite dit que j’étais magnifique et je lui ai répondu qu’il n’était pas mal non plus : polo Lacoste violet sur jean noir, ça allait bien avec sa peau bronzée (ça, tu t’en fous, mais pas moi, et puis j’aime bien te faire bisquer).
Lui – Et après ?
Elle – On s’est installé dans un coin tout au fond, on a un peu papoté et on a regardé le film.
Lui – Vraiment ?
Elle – Oh oui, au moins cinq minutes, le temps de vérifier que c’était bien un navet. Et puis…
Lui – Et puis ? Tu me tortures là
Elle – Hmm. Il a posé sa main sur mon genou pour le caresser et je l’ai laissé faire. Et ensuite, j’ai tourné la tête vers lui, je l’ai fixé droit dans les yeux et il m’a embrassée.
Lui – Il embrassait bien ?
Elle – Oh oui, comme un dieu. C’était à la fois sensuel, ferme et tout doux.
Lui – Et toi, tu l’as embrassé ?
Elle – Bien sûr. En même temps, il me caressait la joue de la main gauche, c’était délicieux.
Lui – Tu étais excitée ?
Elle – Oui, j’avais les tétons tout durs et ça me faisait chaud dans le ventre. J’avais l’impression de revenir à l’adolescence, quand je sortais avec plein de garçons.
Lui – Ça a duré longtemps ?
Elle – Tout le film.
Lui – Vous n’avez pas fait que vous embrasser, alors ?
Elle – Non, très vite, il m’a passé les mains partout. Sur mes seins, sur mes hanches, sur mes cuisses, sur mon ventre.
Lui – Et toi tu le touchais ?
Elle – Oui, j’ai passé la main sur son torse, qu’il a super musclé. Et puis j’ai caressé sa peau sous son polo avant de poser ma main sur sa braguette. Sa bite était déjà toute raide et ça m’a remuée de sentir combien il avait envie de moi !
Lui – Et lui ?
Elle – Lui, il continuait de me toucher partout.
Lui – Dessus ou dessous les fringues ?
Elle – Dessus d’abord, puis dessous. Je vibrais de partout, il caresse super bien et puis c’était super excitant de sentir d’autres mains que les tiennes sur moi. C’était tellement bon que j’ai ouvert les cuisses pour lui faciliter le travail.
Lui – Il n’a rien dit en découvrant tes seins nus et ton porte-jarretelles ?
Elle – Si, il m’a demandé si c’était pour lui. Alors, j’ai dit que oui, et il m’a fait un grand sourire craquant. J’ai fondu et je l’ai embrassé langoureusement, pour le rendre dingue.
Lui – T’avais envie de lui ?
Elle – Oui. Et il a profité de ce que j’étais tournée vers lui pour me caresser les fesses. Tu sais que j’adore ça, ça m’a rendue folle !
Lui – Vous avez fait quoi ?
Elle – On s’est dévoré la bouche et je suis venue me mettre à califourchon sur lui, la jupe relevée. Je frottais mon string contre son jean et je sentais sa bite bien dure contre ma chatte trempée. Lui, il me caressait partout avec ses deux mains tout en m’embrassant. Puis il a commencé à lécher mes tétons et je l’ai laissé faire, je lui passais la main dans les cheveux.
Lui – Vous avez pas baisé dans le cinéma quand même ?
Elle – Non, mais c’était pas loin. De toute façon, le film était fini, c’était le générique, on a juste eu le temps de se rajuster avant que la lumière se rallume.
Lui – Et après ?
Elle – Il m’a raccompagnée à la maison. Il était très correct dans la rue, mais dès qu’il y avait un petit coin d’ombre, une porte cochère, il me poussait dedans pour m’étreindre, m’embrasser, me peloter. Ça aussi, j’ai bien aimé.
Lui – Tu as couché avec lui à la maison ?
Elle – Crois-moi, il aurait bien aimé et moi aussi d’ailleurs. Mais quand on est arrivé, je l’ai laissé nous chauffer à mort avec ses caresses, jusqu’à ce qu’il me murmure qu’il avait envie de moi. Là, je l’ai regardé droit dans les yeux et je lui ai dit ça : « Karim, moi aussi j’ai très envie, mais je ne couche jamais le premier soir. Le deuxième par contre… Si tu veux, je suis seule toute la nuit demain soir ». En même temps, ma main caressait sa bite à travers son pantalon. Il a souri et il m’a dit « à demain alors ». Et il est parti.
Lui – Et toi ?
Elle – Moi, j’ai vite refermé la porte derrière moi, parce que j’avais une folle envie de le rappeler pour m’abandonner à lui. Et puis j’ai foncé dans la chambre pour t’appeler et tout te raconter.
Lui – Tu es chaude là ?
Elle – Comme la braise. Et toi tu te branles ?
Lui – Oui. On fait comme hier soir ?
Elle – Non. Je vais raccrocher et je vais me coucher. Ce soir, je vais me caresser toute seule dans le lit en pensant à Karim et à demain soir. Mais j’ai très envie que tu te fasses jouir en pensant à moi et à mes mains sur mon corps, mes yeux clos, mon souffle court, la façon dont je gémis son nom
Lui – Cruelle.
Elle – Oui, mais tu aimes ça, et moi aussi je t’aime. Je te recontacte demain juste avant qu’il arrive pour prolonger ce petit jeu délicieux. Bonne nuit, mon amour, pense bien à moi.
Lui – Bonne nuit.
Échanges de textos entre elle et Karim :
23 h 50 – Karim – J’arrive pas à dormir. Trop envie de toi. Hâte d’être à demain.
23 h 51 – Elle – Moi aussi très envie. Demain, 19 h chez moi ?
23 h 52 – Karim – OK. Bonne nuit, je vais rêver de toi.
23 h 53 – Elle – Karim, j’aime mon mari et je ne le quitterai pas. Je veux juste m’amuser un peu, parce que tu me plais et ça m’excite de le tromper. Mais ça n’ira jamais plus loin.
23 h 54 – Karim – Ça me va très bien comme ça. Merci pour ta franchise. Fais de beaux rêves.
jour J
Elle – Hello, mon amour.
Lui – Bien dormi ?
Elle – Pas trop non. J’étais trop excitée. Dis, tu reviens bien demain ?
Lui – Oui, j’arrive à l’aéroport à 10 h. Je serai à la maison vers 11 h, sauf si tu viens me chercher.
Elle – Non, je sortirai juste de ma nuit d’amour avec Karim. Je t’attendrai à la maison, toute chaude, pour t’accueillir en bonne épouse adultère.
Lui – Alors, c’est décidé pour ce soir ?
Elle – Oui, on a fixé le rendez-vous hier soir par texto. J’en ai profité pour lui mettre les points sur les i et les barres sur les t en lui disant que c’était toi que j’aimais, et que lui c’était juste pour le plaisir, mais qu’il n’y aurait rien d’autre entre nous.
Lui – Comment il l’a pris ?
Elle – Super bien, on est sur la même longueur d’onde, donc il vient à 19 h.
Lui – Il ne te reste plus qu’une vingtaine de minutes alors, tout est prêt ?
Elle – Oh oui. J’ai sorti le grand jeu à tous les étages. Cet après-midi, j’étais de repos, alors j’ai eu le temps de faire quelques courses pour préparer un dîner léger afin de prendre des forces et puis le faire mariner encore un peu. J’ai mis la table dans le salon, ambiance dîner aux chandelles et champagne au frais. Et puis je me suis baignée, épilée, j’ai passé de la crème partout, j’ai la peau toute douce. Ensuite, atelier maquillage et parfumage, avant de passer à l’habillage.
Lui – Tu me tues… Qu’est-ce que tu as choisi ?
Elle – En haut, le corset violet que tu m’as offert, et le string qui va avec. J’ai eu du mal à fermer le corset toute seule, mais finalement j’y suis arrivée. Des bas attachés au porte-jarretelles incorporé, avec des escarpins. Et au-dessus, ma jupe de tailleur en cuir noir, celle dont tu trouves qu’elle me fait un si joli cul. J’ai hâte de sentir ses mains me peloter les fesses à travers le cuir, hmm.
Lui – Tu ne préférerais pas mes mains à moi ?
Elle – Non, pas ce soir. Toi, je suis à toi pour la vie, mais cette nuit, je veux la passer avec Karim. T’es jaloux ?
Lui – À mort, ça me déchire au creux du ventre.
Elle – Mais ta bitte est toute dure, hein ?
Lui – Tu me connais bien, hélas.
Elle – Écoute, ça fait partie de mon plaisir de te faire subir ce tourment. Alors je veux que tu saches exactement ce que je vais lui offrir ce soir. Au dîner, je vais le vamper comme tu aimes que je le fasse avec toi. Et puis, je l’emmènerai dans notre chambre, dans notre lit, pour qu’il me prenne. Sache que je vais faire avec lui tout ce que j’aime faire avec toi, l’embrasser en jouant avec ses lèvres, le caresser, le branler, lui lécher le torse, jouer avec ses tétons, lui dire des mots doux en le regardant droit dans les yeux. Et je vais aussi lui faire ce que tu n’aimes pas, comme le sucer longuement. Et s’il me baise aussi bien que je m’y attends, je vais le laisser me lécher le derrière et me sodomiser. Cette nuit, pour lui tout sera permis et rien ne sera tabou. Quoi qu’il veuille de moi, il va l’avoir. Je vais être sa chose, sa chienne, sa catin, totalement dévouée à son plaisir. Je lui ferai des câlins aussi, je mettrai ma tête sur son épaule. Je vais me donner entièrement à lui. Et ça va durer toute la nuit. Ce sera sa nuit ! c’est pour ça que je vais couper mon portable : comme ça, tu pourras m’appeler autant de fois que tu en auras besoin, me laisser tous les messages qui te passeront par la tête, sans me déranger avec mon amant. Car je sais que tu vas être fou de jalousie et de désir, et ça fait partie de mon plaisir. Je veux que tu passes toute la nuit à te branler en pensant à moi, vibrante de désir pour mon amant, lui ouvrant les cuisses pour l’accueillir, frémissant sous ses caresses quand il me réveille, hurlant son nom quand il me fait jouir, toute douce et tendre avec lui après. Je veux que tu sentes que tu me perds pour cette nuit, rien que pour cette nuit, et que cette nuit-là tu ne la rattraperas jamais. Je veux que tu sois fou d’amour, de désir et d’angoisse et que tu penses à moi tout le temps, pendant que mon amant s’enfonce en moi, me possède et me fait atteindre l’extase. En te disant ça, je suis si excitée que je n’ose pas me toucher, car ça me ferait jouir tout de suite, et ce soir, je suis pour Karim, pas pour toi. D’ailleurs, il est l’heure, je raccroche.
Lui – Je t’aime.
Texto d’elle à lui :
N’oublie pas que c’est un jeu et que je t’aime pour toujours. Ta petite femme, parfois cruelle, mais toujours amoureuse de toi.
J +4
Elle – Quel merveilleux week-end, mon amour. Maintenant, je peux te l’avouer, je n’étais pas très fière vendredi quand tu es arrivé. J’avais peur de ton regard sur moi, que tu ne m’aimes plus. C’est pour ça que j’ai adoré la façon dont tu as repris possession de moi, en me serrant fort contre toi. Et puis, j’ai aimé notre jeu dans la douche, que tu me laves les endroits que je t’indiquais sans me poser de question. C’était troublant et en même temps doux et tendre, tout comme quand tu m’as fait ensuite l’amour tout doucement en me regardant dans les yeux. J’ai presque eu l’impression de faire l’amour avec toi pour la première fois, c’était fort.
Lui – En fait, je voulais restaurer d’abord notre couple avant de repartir dans l’excitation de nos délires. J’avais besoin à ce moment-là de sentir que nous pouvions nous désirer encore en toute simplicité, sans facteur extérieur. En fait, je ne voulais pas être excité, je voulais juste fusionner avec toi.
Elle – Et c’était parfait comme ça, parce que c’est aussi ce que je ressentais. Je n’aurais pas aimé que tu m’assailles de questions tout de suite, j’avais besoin de nous retrouver d’abord.