n° 21866 | Fiche technique | 15752 caractères | 15752 2877 Temps de lecture estimé : 12 mn |
24/06/23 |
Résumé: Lors d’une soirée de fiançailles, je me rappelle la naissance de mes enfants, pauvre Jean. | ||||
Critères: fh fhh fplusag jeunes extracon inconnu vacances plage caresses intermast fellation cunnilingu anulingus pénétratio double sandwich fdanus fsodo confession -occasion -extraconj | ||||
Auteur : Gege18 Envoi mini-message |
Ah ! si tu savais.
La fête bat son plein, je suis crevée, fourbue, mal aux pieds et je suis tranquillement assise tout en sirotant un verre de champagne. Je regarde nos amis sur la piste de danse dans un souk endiablé, ce sont les fiançailles de ma fille, Chloé. Jean, mon mari, s’approche de moi, met ses mains sur mon épaule et en me faisant un baiser dans le cou me dit en la montrant dansant avec son fiancé :
Ah si tu savais, mon cher mari.
Chloé.
C’était l’été 1998, l’année de la coupe du monde de foot, en juillet, dans un camping du sud de la France.
Il fait chaud, le séjour se passe bien et vite fait nous avons pris nos habitudes. Pour moi, le matin, je fais bronzette sur la plage et pour Jean qui aime la lecture et les mots croisés, il s’adonne à son passe-temps favori. Il fait aussi les courses et prépare le repas du midi. Ce n’est que l’après-midi que l’on se retrouve pour, soit la plage, soit des balades dans l’arrière-pays suivant le temps.
Un jour, en faisant la vaisselle dans les sanitaires communs, je surprends une conversation entre deux jeunes femmes.
En revenant à la tente, je me dis que je vais y aller voir demain. Le nudisme, je n’en ai jamais fait, mais ce n’est pas le petit tissu qui cache mon sexe qui change grand-chose, je pratique les seins nus, rien n’est plus désagréable de voir des peaux blanches à côté du bronzage avec ma petite robe dos nu.
Le lendemain matin, je pars pour ma bronzette matinale, un bisou à mon chéri qui est déjà dans ses mots croisés. C’est vrai, ce n’est pas dur à trouver. Une petite plage de sable fin, une petite crique entourée de pins, on se croirait dans un lagon océanien. Il n’y a personne. Je m’installe sur ma serviette et commence à me déshabiller, je n’ai pas grand-chose à enlever, le haut parti je me pose la question sur mon mini triangle qui cache mon intimité, et hop ! je l’enlève aussi. Un sentiment de plénitude m’envahit, qu’est-ce qu’on est bien à poil sans contrainte vestimentaire. Je regarde ma toison, il faudra que je me fasse une beauté de ce côté-là, cela ressemble plutôt à la forêt vierge.
Je suis là depuis un petit peu de temps, quand j’entends des rires qui descendent du chemin. Deux jeunes hommes et une fille s’installent un peu plus loin. Ils se déshabillent entièrement, ils parlent allemand, je crois, ou hollandais. Je suis un peu gênée et me tourne sur le ventre. Un garçon part dans l’eau tandis que le couple restant s’embrasse à bouche que veux-tu. Ils ne perdent pas de temps, ils ne vont quand même pas baiser ici ! Je tourne la tête.
Je décide d’aller aussi me baigner. Le garçon dans la mer me sourit en me voyant et me lance un bonjour. Il est pas mal et bien fourni dans ses attributs, je ne peux m’empêcher de le regarder. Quel âge ? Pas plus de vingt ans, grand, athlétique, blond, un parfais aryen, et un sexe qui pend, mais d’une bonne longueur, qu’est-ce que cela doit être quand il bande ? Après cinq ans de mariage ou de vie commune, on peut regarder ailleurs, non ?
Je regarde sur la plage, ça y est, ils baisent. Je continue mes brasses, je contourne la crique et je me retrouve dans une autre mini crique. Je m’allonge sur le sable sur le dos les pieds dans l’eau. Les jambes bien écartées les vagues viennent se cogner sur mon intimité, que je suis bien.
Le garçon m’a suivie et se met à côté de moi dans la même position. Il me sourit.
Je le regarde en lorgnant son sexe, impressionnant, et lui sourit aussi. J’ai des pensées adultères. Ça fait comment de baiser avec un autre homme ? Je ne me suis jamais posé la question. L’amour ou le sexe ? Avec Jean, ça va, de ce côté ce n’est pas transcendant, mais c’est quand même pas mal dans nos rapports hebdomadaires.
Ça me fait bizarre de parler ainsi à un inconnu, de plus complètement à poil et de sexe en plus. J’entends des rires dans l’eau. Ça y est, ils ont fini de baiser, ils nettoient leurs instruments, me dis-je. Je décide de partir et de rentrer au camping.
J’ai eu du mal à m’endormir cette nuit, Jean a voulu faire l’amour, mais je n’ai pas eu le cœur de m’éclater, le sexe de l’allemand est gravé dans ma tête.
Après une nuit agitée, ces jeunes m’ont vraiment troublée. Qu’est-ce je fais ce matin ? J’y retourne dans cette petite crique ou je retourne à la plage normale ? Allez, hop, j’y vais, advienne que pourra ! qu’est-ce que je fais si le garçon se montre, disons entreprenant ? Ou si je succombe à la vue de son engin qui me paraît assez imposant ? Je crois que je suis sur le point de tromper mon mari, mais je me dis au fond de moi-même que la vie est trop courte, qu’il faut en profiter, et puis si je baise avec lui qu’est-ce que cela va enlever à mon mari, rien !
La crique est déserte, j’enlève les quelques vêtements et plonge dans l’eau, c’est vraiment agréable de nager nue. Assez bonne nageuse, je fais beaucoup de brasses et au bout d’une demi-heure de nage, je rentre sur la plage. En arrivant au bord, j’aperçois le garçon qui m’attend avec une grande serviette.
C’est vrai, il fait moins beau aujourd’hui, il a dû y avoir des orages dans le coin. Je récupère la serviette et je commence à me frotter le corps. Je m’installe sur la serviette et je me badigeonne de crème anti-UV.
Malicieusement je lui tends le tube de crème, il commence par les épaules, descend dans dos et, en passant sur les côtés, me badigeonne un peu le ventre. Je ne réagis pas. Continue, me dis-je.
J’obtempère à son désir, il étale maintenant la crème sur mes fesses, il fait aussi le derrière des cuisses. Puis doucement, il les entoure et je sens sa main se positionner entre elles et faire un genre de massage. Il remonte de plus en plus et sa main est près de mon sexe. Devant mon manque de réaction, il est maintenant carrément sur mon clito. Son pouce fait des petits va-et-vient, je ne bouge pas. Vas-y, me dis-je ! Le pouce est maintenant dans mon intimité et fait des cercles à l’intérieur, je mouille et bien vite un éclair traverse mon corps. Il continue encore en me faisant des baisers sur les fesses.
Il retire son doigt et m’écarte les cuisses. Je sens son sexe se positionner sur ma vulve, il s’amuse avec son sexe sur le mien. Il commence l’introduction de son engin, j’ai le vagin dilaté. Il met ses mains sur mes seins, les pétrit et arrivé au fond de ma matrice, il me donne des grands coups de reins, je jouis. Ça fait longtemps que je n’ai pas pris un pied comme ça. Je suis sur un nuage, il me dit des mots en allemand, je ne comprends pas. Continue ! et je sens de grandes giclées de sperme m’inonder. J’ai un orgasme terrible, je ne peux pas réagir.
Je me retourne, allongée sur le dos, je souffle. Je n’ai jamais eu un plaisir aussi intense, l’interdit peut-être ? Il se tourne également et embrasse mes seins, les tétons sont très durs. Le sperme coule le long de mes cuisses, il m’a mis le paquet. Il me prend par la main et m’entraîne dans la mer. Il me serre et m’embrasse. Je lui rends son baiser, je sens son membre durcir et hop, le voilà qui retrouve le passage de mon intimité. Ce n’est pas facile de baiser debout. Je m’agrippe à lui et il recommence ses va-et-vient, il explose encore au fond de moi.
Retournés vers la plage, on s’allonge sur les serviettes, je me retourne pour admirer son engin qui m’a donné tant de plaisir. C’est vrai que c’est une belle bête, je ne peux m’empêcher de l’empoigner. Je soupèse les bourses et je lui fais une pipe, son sexe mou reprend de la vigueur. Je n’ai jamais fait cela à mon mari, je sens qu’il est au bord de l’explosion. Je continue ? Allez, je poursuis, ça a quel goût sa semence ? Il explose dans ma bouche. Je nettoie consciencieusement son engin. Quelle heure est-il ? tard ! Et vite, je repars !
Sur le chemin du camping, je me remémore ces instants de stupre et de sexe. Je viens de tromper mon mari et cela ne me fait rien. Je croyais que pour faire l’amour avec un autre, il fallait des sentiments, eh bien pour moi, je ne ressens aucune espèce de sentiment pour ce jeune. Je suis quoi ? une salope ? une cochonne ou une chaudasse comme m’ont dit les jeunes.
Les matins suivants ont été de la même tournure, même qu’une fois, ils sont venus à deux et à deux, c’est deux fois plus de sexe, quatre mains, deux bouches, deux fois plus de jouissance, deux fois plus de plaisir.
Et puis est venue cette soirée mémorable de la finale de la coupe du monde, rappelez-vous France-Brésil, le camping a installé un écran géant, tout est pavoisé aux couleurs tricolores, l’ambiance est surchauffée.
Jean, mon mari a mis son maillot de l’équipe et s’est bien installé avec un groupe de supporters. Pour moi, le foot ce n’est pas ma tasse de thé, vingt-deux types qui courent après un ballon, cela me laisse perplexe. Je suis plus pour les sports individuels, natation ou athlétisme. Ça y est, les hymnes commencent, je suis tranquillement installée au bar, loin du bruit quand j’aperçois mes deux jeunes Allemands qui s’approchent.
Je ne connais pas leur nom, je les ai appelés Jules et Jim en rigolant, Jules, c’est le premier qui m’a baisée et Jim l’autre. Ce sont deux jeunes qui étudient en France, à Lyon dans le cadre d’Erasmus, d’où leur français parfait.
Ils logent au bout du camping dans une tente aménagée.
Après quelques mots en allemand, les deux garçons poussent les deux lits en fer, enlèvent les matelas qu’ils posent par terre. Je comprends leurs gestes, je vais déguster. Je suis assise tranquillement en train de boire ma bière, je rigole. Ils reviennent vers moi.
Jules enlève son tee-shirt, j’enlève le haut, Jim aussi son maillot et ainsi de suite. C’est moi qui ai été la première à être à poil. Les deux garçons discutent. Jules m’entraîne sur le matelas, me couche sur le dos, m’écarte les cuisses et me fait un cunni. Jim n’est pas inactif, il s’occupe de mes seins, me caresse tout le corps et m’embrasse à pleine bouche. Ça y est le premier orgasme arrive, suivi par d’autres. Chacun leur tour, ils m’ont baisée et bien baisée. Je suis remplie de leurs semences. Après une série de baise dans un instant de récupération, Jim me demande si je me suis fait déjà enculer.
Il se lève va chercher un rouleau de Sopalin et un tube de crème, de la vaseline.
Consciencieusement Jim me nettoie la vulve toute dégoulinante de sperme tandis que Jules s’occupe de mes seins. Je sens le froid de la vaseline sur mon petit trou. Doucement son doigt se promène sur ma rondelle puis s’introduit dans mes fesses. Le doigt tout entier est à l’intérieur, il tourne, un autre plaisir m’envahit, puis il me met sur le côté, écarte mes cuisses et je sens son membre s’approcher de ma rondelle. Le gland se promène va du clito à l’anus. Ça y est, il est en face de mon petit trou et commence sa lente introduction, bien aidé par la vaseline.
Il me donne une grande claque sur les fesses, je pousse un « oh ! » d’étonnement et vlan ! son sexe est entièrement en moi. Je ressens une certaine douleur, ça brûle un peu. Jim me ceinture, ses mains m’encerclent, se positionnent sur mon ventre et remontent sur mes seins. Il fait ses va-et-vient, la douleur s’estompe pour faire place au plaisir. Jules ne reste pas inactif, il se met de l’autre côté face à moi, il m’embrasse la bouche et sa main vient titiller mon clito, je jouis.
Jim se retire et demande à son copain de se mettre sur le dos, il bande. Jules me dit de le chevaucher, ce que je fais. Assise sur lui, je sens son sexe encore plus, il va me défoncer ! l’autre garçon me plaque sur mon baiseur et m’encule. J’ai deux sexes en moi, je n’aurais pas cru cela possible, et les va-et-vient s’enchaînent. C’est bizarre, j’ai deux plaisirs différents, lequel je préfère ? qu’importe, pourvu qu’on ait l’ivresse comme dit le poète. Un orgasme se profile et explose en moi ou plutôt un chapelet d’orgasmes. Celui de derrière se vide en premier, il se retire et me laisse finir son ami qui bien vite explose au fond de moi.
Des cris se propagent dans le camping, des coups de klaxon résonnent, le match doit être fini. Je décide de quitter mes deux compères et rejoins mon mari.
Heureusement que je suis passée par les toilettes, car je sens encore du fluide qui descend de mon antre, je me suis garnie comme si j’avais mes règles.
Les garçons sont partis le lendemain et j’ai fini les vacances très calmement. C’est quand même bien de prendre un amant, je me dis, en rentrant j’y penserai.
Les vacances se terminent. Sur le chemin du retour, je repense à tout cela : comment une femme mariée, honnête, bien sous tous les rapports peut-elle s'encanailler de la sorte ? carpe diem, profite du temps présent !
Mais après quelque temps, je suis prise de malaises, de nausées, j’ai mis ça sur le dos d’un rhume ou d’un chaud-et-froid. Je me décide d’aller voir mon toubib qui me déclare que je suis tout simplement enceinte.
Enceinte ? mais ça ne va pas, je prends la pilule, c’est impossible ! je prends rendez-vous à mon gynéco qui bien sûr me confirme mon état.
Mais comment est-ce possible ? vous m’avez changé de pilule qui soi-disant était au top !
Je me rappelle les vacances, je ne me souviens pas avoir oublié de la prendre, ah si ! ce fameux jour de la finale, on est resté longtemps au bar à discuter de ce match, Zidane et toute l’équipe, puis on est parti faire un bain de minuit, on s’est couché tard. J’étais crevée de ma baise avec les deux lascars, je me suis écroulée en oubliant ma pilule.
Et c’est ainsi que Chloé est arrivée, toute blonde.
Je souris.
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Jean vient s’asseoir à mon côté, il sirote sa flûte de champagne, ma fille Chloé danse un slow langoureux avec son copain. Jean me tient la main.
Ah si tu savais, mon cher mari.