Julian, perturbant cet amant…

Cécile se sent mal, elle est au volant de sa voiture et se dirige vers le magasin où travaille son époux. Il est seul en cette fin d’après-midi et il l’attend avec impatience.

Pourquoi se sent-elle aussi mal ?

Elle vient de vivre un instant sexuel des plus intenses…

Elle est encore toute excitée rien que d’y penser, sa jupe risque d’en garder des traces car son petit string est toujours dans son sac à main. Mais là, elle culpabilise d’avoir vécu ce tendre moment. Certes, il l’a autorisée à voir cet homme et il savait que cela pouvait déraper mais elle lui avait promis de ne pas aller trop loin.

Pas qu’elle ne voulait pas ou qu’il ne lui laissait pas la possibilité mais simplement parce qu’ils n’avaient pas eu le temps d’acheter des préservatifs sans latex au gabarit hors norme de cet homme. Ils sont tous les deux allergiques et sans cette précaution ils risquaient une infection qui les priverait de galipettes pendant de longues semaines.

Cela fait maintenant quelques mois que Cécile et son époux sont libertins. Ils ont déjà réalisé pas mal de leurs fantasmes respectifs mais depuis peu, elle dialogue en solo avec des hommes de son choix afin de trouver un amant pour des rencontres purement extra-conjugales. Elle n’arrive pour le moment pas à accepter que son chéri fasse de même, mais cela ne le dérange pas outre mesure. Elle s’est prise au jeu rapidement ; quel plaisir de se sentir désirée et d’avoir des messages charmeurs et même quelques photos sensuelles, voire même très coquines. À l’aube de ses quarante ans, Cécile assume beaucoup mieux sa sexualité et ses désirs les plus fous.

Elle se trouve même jolie et sexy alors qu’auparavant elle n’aimait pas son physique !

Elle a commencé à discuter avec Julian il y a quelques semaines. Une rencontre au hasard d’un site d’échange de photos coquines et d’expériences libertines où chacun a aimé les photos de l’autre. Puis quelques échanges sur le chat et cela débouche naturellement par une fréquence endiablée de messages coquins. Il est extrêmement charmeur par les mots et elle adore le désir qu’il arrive à faire naître en elle par clavier interposé. De plus il a un atout de taille qui ne la laisse pas indifférente. Elle en rêve d’ailleurs régulièrement, ce sexe imposant par le format mais particulièrement par la largeur. Les quelques photos échangées l’excitent au plus haut point, elle s’imagine déjà jouer avec ce gros morceau de chair.

Ils en arrivent rapidement tous les deux à vouloir se rencontrer afin de vérifier si le désir et l’excitation par les mots se concrétisent en vrai, face à face. Ils se laissent surprendre même par le fait de ne pas avoir pensé avant à commander des préservatifs extra large sans latex pour ce rendez-vous. Mais aucun des deux ne souhaitent repousser cette échéance si difficile à planifier aux vues des agendas de chacun. Ils se sont promis qu’ils resteraient sages, pas le choix… Quelques bisous certainement, des caresses peut-être, ils ne veulent pas prévoir et se laisser porter par l’instant.

La voilà garée sur ce parking de site touristique en forêt. Ce lieu de rendez-vous leurs convenait à tous les deux. Excentré de la ville mais quand même un peu fréquenté pour rassurer Cécile. Le site comporte deux accès par des parkings différents, sauf qu’aucun d’eux ne le sait. L’heure de rencontre est maintenant dépassée de cinq minutes et elle ne voit aucune voiture arriver. De plus elle n’a pratiquement pas de réseau et le fait qu’il ne passe que par Skype pour leurs échanges ne facilite pas les choses. Après plusieurs essais ils arrivent enfin à communiquer et se retrouver au même endroit. Elle le voit arriver avec son gros pick-up et l’observe se garer à côté d’elle.

Elle descend de sa voiture, il en fait de même. Ils sont enfin face à face, il la regarde et lui demande si elle n’est pas trop déçue. Elle lui répond que non, pas du tout, il s’approche et l’embrasse timidement. Ce baiser est très doux et Cécile est très sensible à ce genre d’attention. Elle se sent déjà très attirée par lui. Il lui demande, s’ils prennent sa voiture afin de trouver un endroit plus tranquille, elle ne se fait pas prier et monte du côté passager. Une fois à ces côtés, elle est terriblement excitée, craintive mais ayant envie d’en découvrir plus sur lui. Il est mignon, plus en vrai que sur les photos, il paraît doux et sa façon de lui parler la rassure. En roulant, il ose enfin quelque chose et lui pose une main sur la cuisse. Sa mini-jupe lui permet un contact sensuel, sa main qui remonte découvre qu’elle porte des bas. Il trouve enfin un chemin tranquille à l’abri des regards, il s’engouffre sur celui-ci et se gare sur un pré légèrement arboré. Il coupe le moteur, ils se regardent tous les deux ne sachant pas trop quoi faire, elle sait que si elle ne se jette pas à l’eau, cet instant risque de se transformer en malaise.

Cécile se met à genoux sur le siège face à lui et se penche pour l’embrasser tendrement. Ce baiser est d’une terrible douceur, elle se sent chavirer et la main qui retrouve sa cuisse n’arrange rien à son état. Ses doigts virevoltent maintenant sur sa peau au-dessus de l’élastique de ses bas. Cette main virile mais douce sur ses cuisses et ses fesses la pousse à plus d’audace. Elle tend sa main vers son entre jambe et découvre que monsieur est déjà terriblement en forme. La bosse de son jeans est impressionnante et elle se dit que les photos n’étaient pas trompeuses du tout. Elle meurt d’envie de voir cela en vrai et ouvre son pantalon. Son sexe jaillit hors de cette emprise, elle veut se pencher pour le goûter mais la disposition intérieure de ce gros pick-up l’empêche dans sa manœuvre. Afin de lui faciliter la tâche, il recule son siège au maximum et elle se faufile entre ces cuisses et s’installe à genoux devant le volant. Il en profite pour descendre son pantalon, elle reprend son attribut viril en main et tente de le prendre en bouche. Oui elle tente car elle n’y arrive pas vraiment, jamais elle n’a connu un homme avec un sexe aussi large, aussi long peut-être, mais jamais aussi gros. Ses doigts n’arrivent pas à en faire le tour et loin de là, elle arrive juste à sucer le gland et le branler en même temps.

La position n’est guère confortable et elle se redresse et se met à califourchon sur ses genoux. Il ouvre son chemisier et découvre sa magnifique poitrine. Elle se penche en avant et l’embrasse de nouveau. Il glisse une main entre ses cuisses et découvre qu’elle n’a pas de culotte. L’humidité de son sexe lui prouve à quel point il lui fait de l’effet. Il parcourt ses lèvres et trouve un joli petit clitoris déjà bien dressé. Il joue tendrement avec pendant qu’elle continue de le branler en l’embrassant. Il ne résiste pas longtemps à glisser un doigt dans cet antre humide. Un second le rejoint très rapidement et joue en réalisant des cercles. Elle est contrainte d’arrêter de l’embrasser car elle ne peut résister et gémit tout doucement. Il lui fait le plus grand bien et à ce moment précis elle sait qu’elle ne va pas pouvoir résister. Elle meurt d’envie de sentir ce sexe en elle, elle sort de son sac à main un préservatif et lui tend. Il le regarde, sourit et lui dit que cela ne va pas le faire du tout. Jamais il ne pourra enfiler cela, il lui faut une taille bien supérieure. Il en prend un dans le vide poche et lui dit que le sien malheureusement est en latex, elle lui dit que ce n’est pas grave et qu’elle a trop envie maintenant. Il l’enfile rapidement et elle se redresse afin de se mettre au-dessus de lui.

Cécile est à un point de non-retour, elle a en main un sexe puissant qu’elle présente à l’entrée de sa petite chatte serrée. Elle descend lentement et sent le gland tirer ses lèvres pour forcer le chemin. Le désir est bien trop fort, elle ne tient plus et n’a qu’un souhait le sentir en elle. Une fois le gland entré elle se laisse descendre brutalement jusqu’à ce que ses fesses se rapprochent de son pubis. L’intrusion lui coupe le souffle, elle sent des zones en elle qu’aucune queue auparavant n’avait titillées. Ses mains sont sur ses fesses, il la soulève légèrement pour mieux la plaquer au plus profond. En un aller-retour puissant elle connaît son premier orgasme avec lui. Jamais elle n’a joui aussi rapidement lors d’une pénétration avec un autre homme. Elle se contracte de tout son corps et le bloque complètement. Les muscles de son vagin enserrent son énorme sexe gonflé dans un orgasme violent. Il est surpris de ce plaisir soudain, il la laisse reprendre ses esprits, tranquillement.

Elle se redresse, les yeux embués de bonheur, elle s’avance et l’embrasse de manière très coquine. Il profite de ce baiser et reprend ses mouvements de bassin afin de la faire remonter rapidement. Ses mains sont toujours sur ses fesses et ils profitent de cette pénétration plus rapide que tout à l’heure pour titiller son petit trou avec audace. Elle adore cela mais ne le laisse pas faire pour ce premier rendez-vous. Elle veut garder quelques primeurs pour d’autres rencontres. La position et le volant ne sont pas des plus confortable, il lui demande d’aller sur le siège passager.

Il incline le dossier façon couchette et vient lui aussi de ce côté du véhicule. Il s’installe entre les cuisses de Cécile, lui relève les jambes et la pénètre lentement. Un pied sur la portière l’autre sur le volant, elle sent dans cette position toute la puissance de cet homme. Il bouge lentement pour débuter, mais ces mouvements sont profonds et les zones de contact sont multiples. La vision de son corps dénudé pris par son amant est d’un érotisme fou. La jupe relevée avec des bas sexy, le chemisier ouvert, un sein dépassant de son soutien-gorge et Julian qui accélère progressivement la cadence. Elle perd complètement pied, les va-et-vient imprimés par son amant ne sont que jouissance en elle, si cela continue elle va inonder le siège. Elle a abandonné tout contrôle et les gémissements ont depuis bien longtemps laissés place à des cris aigus de plaisir. Elle sent un orgasme puissant monter en elle et elle sait que cette lame de fond va les emporter tous les deux. Afin de lui apporter un supplément d’excitation, elle glisse une main vers son minou, la largeur démesurée de ce sexe écarte tellement ces lèvres, qu’elle n’a pas besoin de chercher longtemps son petit bouton du plaisir. Elle le parcourt de deux doigts et se met à le titiller tout en plantant ses yeux dans ceux de Julian. De la voir se masturber comme cela devant lui, lui donne un électrochoc et il se redresse encore plus sans quitter ce joli spectacle des yeux. La pénétration lente et profonde à laisser place à un claquement régulier et rapide. Elle hurle son plaisir et elle le sent gonfler en elle, le rythme et le spectacle ont raison de son endurance et il jouit abondamment en elle. Cécile est emportée par un orgasme très puissant, ce sexe imposant qui grossit encore au moment de l’explosion la fait jouir comme elle ne l’avait jamais connu auparavant au niveau de la puissance.

Cécile est complètement dans les vapes, elle met un certain temps à reprendre ses esprits. Quelques minutes de plus et elle sent qu’elle serait tombée dans les pommes comme il peut lui arriver de temps en temps lors de plaisirs très intense et durable avec son homme. Une première fois a rarement été un aussi bon moment de plaisir pour elle. Il se retire, enlève ce protecteur rempli de sa semence et retourne derrière son volant. Elle prend dans son sac à main un paquet de lingette intime et lui en tend une afin qu’il se rafraichisse tout comme elle. La main qu’elle passe entre ses lèvres pour se nettoyer lui apporte la confirmation qu’elle est encore très ouverte par cette longue incursion imposante. Une fois terminée elle redescend sa petite jupe sans remettre sa culotte et referme un à un les boutons de son chemisier. Elle se tourne vers lui qui est déjà habillé et voit dans ses yeux une tristesse profonde.

C’est même plus que cela, un chagrin intense le terrasse. Cécile se sent mal pour lui et lui demande ce qui se passe. Il discute quelques minutes tous les deux mais il se ferme et ne veut pas trop développer. Il lui avoue juste avoir été surpris que cela se passe si bien et que cela soit si intense tous les deux. Il a des regrets pour sa femme et n’assume pas vraiment ce qui vient de se passer. Il pensait être prêt mais a besoin d’être seul pour réfléchir ; il lui demande s’il peut la ramener à sa voiture. La route fut longue avec ce silence pesant, il se gare sur le parking, l’embrasse. Cécile ouvre la portière, quitte ce véhicule témoin de leurs plaisirs, une odeur de sexe est encore présente dans l’habitacle. Elle remonte dans sa voiture, le regarde partir et démarre afin de rejoindre son époux.

PS : Arrivée au magasin, je descends de la voiture et le rejoins à l’intérieur. Il m’attend et me regarde avec curiosité et désir. Il ferme la porte à clés et actionne la fermeture du portail. Il m’entraîne à l’étage vers son bureau et me demande de lui raconter mon rendez-vous. Je l’embrasse tout d’abord et il en profite pour glisser une main sur mes fesses. Il ne sent aucune couture et tire dessus afin de découvrir ma nudité. Il me pousse sur le canapé et m’assoit jupe relevée et jambes écartées. Il glisse une main entre mes jambes et découvre un sexe trempé et ouvert comme jamais. Il m’en fait part et je lui avoue que nous avons été trop loin mais avec capote, par contre avec latex. Il est vraiment fâché mais je vois qu’une part d’excitation prend le dessus. J’ouvre son jeans et sors son sexe bandé, je le prends immédiatement en bouche. La longueur est pas loin de Julian mais la largeur n’a rien à voir. Par contre, je dois avouer qu’elle est beaucoup plus facile à sucer et je préfère ; car celle de mon amant, je n’arrivais qu’à rentrer le gland. Pour imager un peu, vous voyez une canette d’Orangina, cela ne devait pas être loin. Il me pousse au fond du canapé et me demande de lui raconter, je débute mon récit et il débute sa pénétration. Il attaque fort, profond et rapide mais je suis préparée, son sexe qui tape au fond me fait monter instantanément et je jouis en quelques minutes. Il me demande de me mettre en levrette, j’obéis et lui tend mon postérieur. Il me pénètre de nouveau et je poursuis entre deux gémissements mon récit. Je sens que tout cela l’excite au plus haut point mais il se contrôle. Au moment où je décris qu’il a essayé de me titiller le petit trou et que je ne l’ai pas laissé faire, il me dit : « c’est le seul trou serré que tu m’as laissé car le reste et plus qu’ouvert et lubrifié ». Il lèche son pouce, le présente sur ma rondelle et pousse lentement. Son doigt est avalé facilement, tellement ma mouille a coulé partout. Les mouvements de ce doigt, son sexe qui enfle encore par mes explications et les va-et-vient rapides et puissants me font exploser dans mon quatrième et dernier orgasme de l’après-midi. Les contractions de mon vagin ont raison de mon chéri et il explose en moi des flots de plaisir.

Mon homme est un amant fabuleux et il me connaît par cœur, j’ai avec lui trois à quatre orgasmes par rapport, et depuis quelques mois, nous faisons l’amour quasi tous les jours. Il me fait parfois tomber dans les pommes ou même juter comme une fontaine. La quarantaine nous réussit au niveau libido. Seul bémol, je n’arrive pas à le laisser avoir des maîtresses en solo, je n’ai pas envie de le prêter, trop peur qu’on me le pique. Quand je le vois donner du plaisir à une autre, je suis là, donc ça va, mais je vois dans les yeux de ces filles le plaisir qu’elles prennent et je ne peux me résoudre à le laisser seul.