Quand on change les codes…

J’ai envie de raconter cette expérience magnifique, qui vient de m’arriver.

Histoire très récente, puisque cela s’est passé entre jeudi dernier et ce lundi…

Certains nous connaissent déjà, surtout ma belle, au travers des photos que j’ai pu vous montrer, et quelques-uns ont pu apprécier son physique… et son tempérament.

D’autres ont même pu y goûter…

Notre histoire est assez banale.

Nous sommes un couple très amoureux, de cinquante-six et cinquante-huit ans, qui se sont connus à dix-sept ans. Premiers amours qui durent depuis près de quarante ans.

Bien sûr, pas toujours facile. Des hauts, très hauts, et des bas. Il y a presque dix ans, premier accroc, ma belle rencontre un homme à son cours de piscine, celui-ci la drague, lui dit des mots nouveaux pour elle, ou du moins oubliés… pendant plusieurs semaines, elle a résisté, pour lui céder un soir, où il a pu goûter à son corps, à ses lèvres, à son sexe…

Elle est d’un naturel franc, et après l’avoir revu pendant un mois, elle a craqué et m’a tout avoué, histoire de fesse, pas de sentiments, elle a décidé de tout arrêter pour ne pas me perdre.

Histoire banale d’un adultère, mais qui a laissé des traces. Je me suis aperçu que j’avais non seulement eu beaucoup de facilité à lui pardonner, mais que cela a comme effet une formidable excitation chez moi, que son aveu provoque une réaction très forte, avec une envie d’en savoir plus ! Je lui ai fait raconter toute son histoire, et nous avons un rebond formidable dans notre sexualité. Et cela, pendant plus de cinq ans…

Et ensuite, c’est moi qui rencontre une maîtresse, qui me donne ce que ma femme oublie, des jeux sexuels osés, un peu exhibe., un peu perverse, me faisant découvrir (eh oui, il n’y a pas d’âge) des sensations nouvelles, des actes sexuels que je n’avais que fantasmé. Je découvre la sodomie, le 69, les parties à trois… Un vrai feu d’artifice ! Je suis moins honnête que ma belle et je le lui ai cache pendant … un an.

C’est elle qui découvre tout. Elle a intercepté des messages enflammés, elle nous surveille (on a pas mal de réunions le soir ensemble, faisant partie d’une même association…) Elle nous a vu baiser ensemble.

Drame, rupture, on passe très près de la fin de notre histoire.

Puis on discute, on remet tout à plat.

Notre vie, une rencontre très jeune, aucune autre expérience, son adultère, la reprise de nos rapports sexuels, enfiévrés, puis à nouveau mon écart…

Je lui avoue l’excitation que j’avais eue de savoir qu’elle avait baisé avec un autre que moi, ce qui m’avait survolté toutes ces années passées, lui démontre ma vision de l’amour, avec des sentiments très forts que j’ai pour elle, et la différence avec le jeu sexuel, avec d’autres, sans me cacher, voire en participant.

Je lui avoue avoir envie de la voir se faire prendre sous mes yeux, jouir sous un autre, sucer, être léchée, et moi, simple spectateur, admirer mon amour prendre son plaisir…

Nous avons établi des règles. Toujours nous deux plus un amant, jamais nous seuls, et moi je sélectionne, elle valide. Et les histoires ne durent qu’une seule fois, pour ne pas prendre de risque de s’attacher.

Et c’est comme ça que nous sommes devenus un couple candauliste, et nous avons vu notre libido exploser entre nous.

Histoire simple, qui marche depuis quelques années…

Mais ce que je veux raconter maintenant, c’est comment on en est venu à changer nos règles, petit à petit…

Une évolution de nos jeux, avec son lot d’adrénaline, de peur, d’excitation et de désir…

Elle rencontre un nouvel amant… c’est sa quatrième expérience et jusque-là, tout a très bien fonctionné. Mais celui-ci est particulier ! Beau, l’air baroudeur, brut de décoffrage, sans trop d’éducation, et … très bien membré.

Je vois qu’il la fascine, et même si elle me dit que ça ne change rien, elle ressent des sensations énormes quand il la pénètre pour la première fois.

Après une première soirée mémorable, on rentre, elle est épuisée, et comme d’habitude, je lui fais l’amour sitôt rentré. Elle me laisse faire, passive tellement son corps avait vibré fort auparavant.

Nous reparlons souvent, de cette rencontre. Et toujours, elle est excitée comme jamais et on fait l’amour avec une rare intensité pendant les semaines qui suivent.

Un soir où nos rapports sont particulièrement forts, le lui reparle de cette soirée, et de lui. Je lui propose de casser nos codes, et de le revoir. Elle se jette dans mes bras, on refait l’amour et je sens qu’elle n’est déjà plus avec moi, qu’elle jouit sous moi, mais en pensant à lui.

On reprend rendez-vous et là, elle vit un feu d’artifice ! Pendant près de deux heures, il la suce, la lèche, la prend et la défonce avec son sexe énorme. Elle le suce avec une intensité que je ne lui ai jamais vue, et pour finir, je vois son amant lui masser son petit trou, faire pénétrer son pouce et la masturber pendant qu’elle est à quatre pattes sur le lit, et qu’elle crie sa jouissance…

Quand il veut la prendre par-derrière avec sa queue, elle a peur et refuse, en se retournant sur le dos pour lui prendre son sexe, et le guider pour qu’il la remplisse à nouveau.

Pour moi, spectateur, je passe la soirée la plus intense de ma vie, dans un état d’excitation indescriptible. De la voir s’exprimer si fort, participer aussi activement, se faire prendre aussi longtemps, jamais je ne l’avais vue ainsi, et je découvre une femme belle, jouisseuse, délurée et un brin perverse, que je ne connais pas.

Ce soir-là, il la reprend à deux reprises, elle n’arrive plus à s’en décrocher. Vers deux heures du matin, je les laisse dans seuls la chambre. Pendant que je sers du champagne. Dix minutes après, ils me rejoignent, on boit un verre et on se quitte.

Elle s’est endort dans la voiture tout de suite, je n’ai qu’une envie, c’est de la prendre, là, sur le champ, mais elle est tellement fatiguée qu’on attend le lendemain matin pour un câlin tendre, doux, comme si elle veut remettre nos habitudes en place.

Deux semaines plus tard, un soir où je la trouve chaude comme la braise, on fait l’amour au bord de la piscine et plusieurs fois, elle me suce. Je la prend en levrette, on fait un 69 enfiévré, je la trouve particulièrement entreprenante.

Je lui en fait la remarque peu après, et elle m’avoue avoir eu un message de lui, lui proposant de passer une nuit entière ensemble, pour qu’ils puissent aller encore plus loin dans leur découverte sexuelle… il suggérait de la revoir sans moi, pour qu’elle ait moins d’inhibition, et que, bien sûr, si elle accepte, il faut que je sois au courant…

Elle me dit avoir refusé, que ce n’est pas dans notre fonctionnement, même si certains codes sont modifiés, elle ne veut pas aller plus loin dans cette transgression.

Mais après, elle me demande tout de même ce que j’en pense, si ce qu’on veut s’imposer rend cette nouvelle expérience impossible à réaliser…

Je reçois un vrai coup dans l’estomac.

Je sens qu’elle en a vraiment envie, que de s’imaginer seule toute une nuit avec lui la fait mouiller comme jamais, et que même si je la vois très amoureuse avec moi, cette idée lui plaît énormément.

Mais elle ne voulait pas prendre la décision.

Je lui dis que je ne peux pas lui répondre de suite, qu’il faut que l’idée fasse son chemin. On était jeudi dernier.

Le lendemain, elle me montre un message de lui qui demande si elle m’en a parlé, si je suis d’accord, et lui propose un rendez-vous dans un restaurant à Villefranche-sur-Saône pour le lundi, 19 h !

Quand elle me demande ce que j’en pense, qu’elle suivra complètement mon avis et que si je le veux, elle peut rompre définitivement avec lui, je n’ai pas pu lui donner de réponse. Je suis tétanisé, avec à la fois une angoisse terrible de la savoir se faire baiser par quelqu’un d’autre sans moi, et une excitation comme jamais de l’imaginer dans toutes les positions les plus indécentes, à lui céder sans limites, sans frein…

J’attends jusqu’au lundi matin pour lui dire mon accord, je n’ai pas pu avant. Je suis déjà au boulot, elle commence plus tard que moi et je lui envoie un message disant :

Vas-y, rejoins-le, et reviens-moi demain.

Ils ont bien préparé leur coup, elle ne travaille pas le mardi…

Elle m’écrit qu’elle m’aime, que jamais elle n’aurait pensé que j’accepterais, et que cette nouvelle expérience renforçait encore plus notre libido, décuplant son désir quotidien pour moi… etc.

Je sais qu’elle dit ça pour me rassurer, mais il est vrai que nos rapports n’ont jamais été aussi intenses.

Je passe une journée d’enfer, alternant de vraies angoisses, et ne pouvant m’empêcher de me masturber tellement je suis excité. J’envisage toutes les situations, je l’imagine le sucer, et lui, la prendre, arriver à la sodomiser, les voir se réveiller ensemble, recommencer… autant dire que je ne travaille pas beaucoup ce lundi…

Elle ne m’a pas montré sa tenue, elle n’a pas eu le temps de la mettre avant de partir au boulot…

Dans l’après-midi, je ne tiens plus en place. Je décide malgré ce qu’on avait convenu, d’aller surveiller leur arrivée sur le parking du restaurant. Ils ont choisi celui-ci parce qu’il faisait hôtel en même temps…

À 18 h, message de ma belle qui me dit qu’elle part de Lyon…

À 18 h 50, je le vois arriver, il descend de sa voiture et attend.

À 19 h 05, je vois entrer sur le parking la voiture de ma femme

J’ai le cœur qui battait à 1000 coups, une boule dans l’estomac et une érection… !

Elle descend de sa voiture, belle avec sa petite robe bleue, très courte, où on devine la lisière de ses bas, des bottes hautes, maquillée, elle est magnifique.

Elle se jette dans ses bras, ils s’embrassent, il lui caresse directement les fesses. Je peux voir d’où je suis, sa main passer sous sa culotte ! il y a même des clients du restaurant arrivés derrière eux qui les regardent en souriant.

Un érotisme énorme !

Ils entrent dans le restaurant, je ne peux plus les voir et ne veux surtout pas me montrer ! Je reste un moment, dans un état second, puis je rentre chez moi…

Je ne dors pas beaucoup … Je fais des rêves érotiques toute la nuit, et au matin, dès 6 h, j’ai les yeux ouverts et une érection colossale.

Je l’attends jusqu’à 10 h, mais, devoir professionnel oblige, je dois partir.

Vers 9 h, j’avais essayé de l’appeler, elle n’a pas répondu.

Je reçois un appel d’elle vers 11 h. Elle me dit qu’elle rentre, qu’elle me racontera tout ce soir, qu’elle est épuisée, que la nuit avait été très chaude, et qu’elle m’aime.

Je ne rentre que vers 20 h, après un déplacement sur Grenoble toute la journée.

J’ai essayé de l’appeler dans l’après-midi, mais elle n’a pas répondu, elle devait dormir. Je reçois un message de lui, qui me dit que j’ai une femme hors norme, qu’il avait rarement vécu ça ; et qu’il m’est très reconnaissant de lui « prêter » ma belle !

Je rentre vers 20 h… ma belle est assise dans le jardin, en train de lire. Je la regarde un moment en me cachant, je la trouve magnifique. Elle a les traits tirés, elle a l’air très fatiguée. Mais son visage respire le plaisir, je la trouve sereine ainsi.

Je m’approche d’elle, je n’ose pas la prendre dans mes bras, ressentant une timidité inconnue vis-à-vis d’elle ! C’est elle qui se jette dans mes bras, m’embrasse fougueusement, en me disant qu’elle m’aime, qu’elle est heureuse…

En même temps, elle a commencé à ouvrir mon pantalon à baisser mon slip et à me prendre directement dans sa bouche ! j’étais déjà très raide en arrivant, et elle commence à me sucer furieusement, comme si elle veut se rattraper !

J’ai toutes les peines à m’arracher à sa bouche chaude et enveloppante, je ne veux pas que tout aille trop vite, j’ai failli éjaculer dans sa bouche de suite !

Je m’assieds à côté d’elle, et lui demande de me raconter toute l’histoire, qu’on a toute la soirée devant nous !

Et quel récit ! le voici tel qu’elle me le raconte…

Quand tu m’as appelée ce lundi matin, pour me dire de me lancer toute seule, je n’en revenais pas. On avait tellement dit qu’on faisait ça a deux, que j’ai même douté, j’ai eu peur que tu n’acceptes que pour me faire plaisir ! Mais je reçois un message de S. qui me demande si tu es d’accord, et si je suis prête à passer une nuit avec lui. J’ai une telle envie de me faire prendre par lui que je fais taire mes scrupules, et que je lui donne rendez-vous à Villefranche, sur le parking, à 19 h.

Juste avant de partir au lycée, je prends ma petite robe bleue que tu aimes, avec mes bas Dim up à dentelles, mes bottes, et mon body rouge. C’est la tenue que j’avais la dernière fois que nous sommes allés en club, tu avais adoré !

J’ai du mal à faire cours ! je n’écoute pas mes élèves, ni mes collègues, et malchance, j’ai un conseil de classe à 17 h !

Je prétexte des horaires de trains décalés, et je m’enfuis à 18 h, complètement mouillée à la pensée de ce que j’allais faire…

Je roule dans un état second ! il y a des bouchons, je n’en peux plus… J’arrive avec dix minutes de retard sur le parking, il m’attend.

Quand je le vois, je crois que mon cœur va exploser… Première fois depuis qu’on se connait que je rencontre un homme sans toi (si on excepte son adultère dix ans auparavant, je lui rappelle…) et en plus, tu es au courant ! J’ai failli faire demi-tour…

Mais il me voit, me fait signe de me garer à côté de lui, je ne peux plus reculer.

On s’embrasse tout de suite, appuyés sur le capot de sa voiture. Il soulève tout de suite ma robe et me caresse les fesses, masse mon sexe à travers ma culotte ! je n’ai plus du tout envie de repartir, juste envie qu’il me prenne, tout de suite, sur le capot ! Je cherche à l’attirer à moi, ouvre les jambes, j’ai envie de son sexe ! je n’en reviens pas de n’avoir aucune inhibition avec lui, juste envie de lui !

Il m’arrête en souriant, me montre des gens derrière nous qui nous regardent ! Je réalise alors le spectacle qu’on donne, et je me sens rougir de honte… On entre alors dans le restaurant, derrière les gens qui nous mataient… je ne te raconte pas la gêne éprouvée à attendre avec eux qu’un serveur nous place dans la salle…

On nous propose une table, dans un coin de salle, parfaite… sauf que la table la plus proche est occupée par nos spectateurs du parking… S. me persuade qu’on est trop loin pour qu’ils nous entendent, et je suis un peu rassurée…

Surtout qu’il commence à me caresser sous la table, en me disant qu’il a envie de moi, de me prendre, d’enfoncer ses doigts dans moi, de me lécher…Il est assis à côté de moi, sur une chaise et moi sur la banquette… Du coup, sa main se pose très vite posée sur ma cuisse, et glisse sous ma robe ! il me masse le sexe par-dessus ma culotte, je n’arrive plus à parler tellement je mouille et suis complètement obnubilée par sa main. Je me penche pour l’embrasser pendant qu’il me caresse, c’est tout ce que j’arrive à faire ! Les jambes écartées sous la table, j’ai envie qu’il aille encore plus loin, plus fort, et je mouille comme une folle !

C’est le serveur qui nous sépare… je ne sais plus où me mettre, il sourit en nous demandant si on veut commencer, ou s’il fallait encore qu’il attende … S. est très calme, et passe la commande, je suis incapable de te dire ce qu’on a mangé !

J’ai juste vu nos voisins qui nous regardaient en parlant de nous, ils souriaient et visiblement, n’avaient rien perdu du spectacle…

Je veux à mon tour prendre l’initiative. Je pose ma main sur sa jambe, et je réussis à ouvrir son pantalon, et à sortir son sexe ! Il bande très fort et, monté comme il est, son sexe sort de son pantalon ! je le masturbe, et j’ai une folle envie de le prendre dans ma bouche ! juste à un moment, je me penche pour prendre quelque chose dans mon sac, et j’en profite pour l’emboucher furtivement…

Moi qui râle toujours contre toi quand tu poses ta main sur mes fesses par-dessus le pantalon en public, je n’en reviens pas moi-même de mes réactions ! et je m’en fous royalement !

Au dessert, il me demande ma culotte… je lui annonce triomphante que je ne peux pas, que j’ai un body … il ne se démonte pas, et me demande d’aller aux toilettes l’enlever ! je n’arrive pas à me lever, surtout que je vois nos voisins qui n’arrêtent pas de nous regarder.

S. arrête de me caresser, et il me dit qu’il ne bougera plus tant que je ne fais pas ce qu’il me dit !

Je cède ! en pleine panique, je me lève, demande les toilettes. Je suis enfermée et complètement déshabillée… toute seule dans les toilettes, nue, je n’en reviens pas. Je réalise ce qu’il m’arrive, je pense à toi, aux enfants, à mes parents… je me trouve dépravée !

Mais je remets ma robe, cache mon body dans mon sac à main, et reviens dans la salle de restaurant… nos voisins me regardent, et se sont bien rendu compte du changement ! Ma robe bleue me colle complètement, mes pointes de seins libres ressortent, et je dois être rouge comme une pivoine …

Mais quand je lui tends mon body comme un trophée, et qu’il glisse un doigt sur ma fente, j’oublie tous mes scrupules et n’ai plus qu’une envie, me retrouver seule avec lui dans la chambre !

Il fait durer le repas, alternant les phases où il ne me touche pas et celle où il me caresse sous la table. Le serveur, nos voisins ne perdent rien du spectacle, mais je m’en fiche complètement ! Et quand enfin, S. se lève en me prenant par la main, ils nous souhaitent bonne nuit ; il n’était pas 22 h !

On entre dans l’ascenseur, je me sens en feu ! je me jette sur sa braguette pour le prendre dans ma bouche ; il est énorme et donne de grands coups de bassin, pour aller plus loin encore.

Tu sais comme je n’aime pas ça d’habitude, mais là, j’ai vraiment envie qu’il me défonce, tellement je suis excitée ! je n’avais jamais ressenti ça.

Je dois le lâcher quand la porte s’ouvre. Heureusement, il n’y a personne dans le couloir, j’ai les seins à l’air et lui le sexe sorti, on est en désordre !

On entre dans la chambre… elle est déjà éclairée, et je le vois me regarder tellement intensément que je ressents physiquement son désir pour moi, son envie de me prendre tout de suite…

Je m’assieds sur le lit, j’ouvre les jambes et je lui dis :

• — Viens…