n° 21881 | Fiche technique | 13034 caractères | 13034 2190 Temps de lecture estimé : 9 mn |
03/07/23 |
Résumé: La fin du cours, enfin ! Marie fut la première à foncer vers les douches du studio de danse. | ||||
Critères: f douche humilié(e) fmast rasage confession -mast | ||||
Auteur : Electraheart Envoi mini-message |
Collection : Marie la danseuse |
Marie se sentait trop gênée pour attendre ses copines. L’épilation de sa chatte par Chantal, elle ne pouvait penser qu’à ça ! Le sourire de Chantal en regardant sa touffe brune, les mains de Chantal sur son pubis, les mains de Chantal passant la crème à raser sur son mont de Vénus, les mains de Chantal étalant la mousse autour de ses lèvres vaginales (et sur ses lèvres, aussi !), les mains de Chantal maniant le rasoir, les mains de Chantal la mettant peu à peu plus que nue, les mains de Chantal qui débarrassaient son sexe nu des restes de mousse, les mains de Chantal qui rinçaient sa peau si fine, si sensible, et le sourire encore de Chantal en devinant, oh non : en voyant son émotion, là, entre ses lèvres du bas…
Oui, elle se sentait honteuse d’avoir reçu les soins de Chantal devant les autres filles… mais surtout elle avait du mal à admettre que cela l’avait tant troublée, et à comprendre pourquoi.
Et tout ça à cause de sa professeure de danse ! Selon elle, les poils pubiens étaient trop visibles sous le costume de leur nouvelle chorégraphie. Il n’était composé que d’une simple paire de collants chair, et les seins étaient nus. Pas de culotte sous les costumes pour danser, bien sûr. La prof avait donc imposé une épilation intégrale à toutes, pour ce spectacle, du moins. Marie n’avait pas obéi. Résultat : elle venait en effet de subir une séance de rasage pendant le cours.
La jeune Marie n’était pas coutumière de ce type d’épilation. Elle était trop gênée pour se rendre dans un institut et se dévoiler ! et elle ne savait pas non plus se raser, alors… elle avait espéré que sa touffe passerait inaperçue. Mais c’était sans compter sur la vérification par sa professeure de l’ensemble des pubis des filles ! cela l’avait terriblement humiliée. Mais ce n’était pas tout : une amie de son professeur était présente pour assister au cours. Elle avait tout vu !
Comme si ce n’était pas assez, la prof lui avait carrément imposé soit de quitter le cours et de ne plus participer au spectacle, soit de se raser sur-le-champ… ou plutôt de se faire raser par cette amie providentielle puisque Marie n’était pas capable de le faire toute seule ! Pas question pour sa professeure de s’en charger elle-même et de retarder la dernière répétition. Et voilà ! Chantal, l’amie en question, lui avait rasé l’ensemble de sa fourrure. Le tout, devant les autres étudiantes ! Parce qu’en plus, c’était un cours de danse réservé aux étudiantes… elle était donc entourée de ses camarades de fac !
Pourquoi avait-elle senti une chaleur moite monter d’entre ses lèvres, à l’idée que les autres filles la voyaient totalement nue, sous les douces mains de Chantal ? Ce genre de chose la gênait, d’habitude… et pourquoi avait-elle tant apprécié d’être touchée par Chantal ? Chantal était pourtant une femme, comme elle. Marie n’était pas censée ressentir son ventre se tordre, lorsqu’une autre femme touchait « sa minette » (comme elle l’appelle), non ? du moins, cela lui paraissait impensable jusque-là. La petite Marie n’avait jamais eu de petit ami, contrairement à ses camarades. Elle ne pensait pas que la première personne qui la toucherait serait une autre femme ! et encore moins que cela aurait cet effet sur elle…
Avec toutes ces questions, avec toutes ces images en tête, Marie était arrivée à la porte des douches. Des douches collectives où elle se pressa d’enter. Elle voulait avoir l’occasion de se laver seule, avant que les autres danseuses arrivent. Elle souhaitait, en réalité, surtout éviter sa mère et toute question qu’elle pourrait lui poser sur sa nouvelle épilation ! elle n’aurait pas pu masquer son trouble et ne souhaitait donc en aucun cas parler de cet incident à sa propre mère ! Marie était bien trop pudique pour cela.
Mais sa mère le savait déjà ! elle s’en souvenait : sa professeure lui avait téléphoné pour l’avertir et s’assurer de son accord. Non, jamais elle n’oserait la regarder sans rougir en sachant qu’elle savait ! La petite Marie se jurait de tout faire pour éviter ça.
Elle ouvrit le robinet d’eau froide en premier. Une douche glacée était nécessaire pour lui remettre les idées en place (et apaiser sa chatte irritée). Elle fut pourtant surprise de devoir rapidement serrer les cuisses : sa vessie se rappelait à elle ! le froid la titillait, sans doute.
Eh oui, leur professeure recommande aux danseuses de bien s’hydrater tout au long du cours et leur impose de boire à intervalles réguliers. Elle est si attentionnée…
Mais la pauvre Marie avait une petite vessie. Il lui était difficile de contenir toute cette eau le temps du cours. Et sa professeure était stricte : si une danseuse quittait le cours avant la fin, c’était pour partir. Elle n’y était plus admise à son retour. Souvent, Marie se demandait si elle allait être capable de terminer le cours sans inonder son justaucorps. Il lui arrivait même de le tacher, un peu. Oui, bien sûr, pour elle c’était gênant, très gênant lorsque ça se produisait. Il fallait continuer à danser avec cette humidité honteuse qui collait à sa minette. Les premières fois, elle se demandait toujours si les autres filles ou sa professeure, elle aussi, s’en apercevraient.
Et puis un jour, sa coloc lui avait raconté en riant qu’elle avait eu des fuites dans sa culotte. Elle la lui avait même montrée. Alors, Marie avait un peu commencé à laisser entendre que ça lui était peut-être arrivé aussi. Elle avait parlé à demi-mot de ses problèmes au cours de danse, et elle avait été surprise de la réaction de sa coloc : selon elle, toutes les femmes tachaient leur culotte, que c’était normal et tout ça, et qu’en plus, avec l’épaisseur et la couleur du justaucorps, ça ne risquait pas de se voir. « Sauf bien sûr, si tu vides toute ta vessie à travers ! », avait-elle ajouté. Depuis, Marie s’était rassurée. Enfin, rassurée à moitié quand même !
Mais là, la représentation approchant, les danseuses s’entraînaient dans le costume de la chorégraphie : de simples collants chair, donc, et si fins…. Il lui aurait été impossible de cacher la moindre fuite. Cela aurait même exposé son intimité aux autres filles. Les fins collants, une fois mouillés, auraient laissé tout transparaître. Ils se seraient même collés à sa vulve.
Marie ne l’admettait devant personne, encore moins à elle-même, mais elle appréciait bien cette incertitude. Elle se demandait si elle allait tenir ou non, à chaque cours. Elle aimait la sensation du bas de son ventre plein, appuyant sur ses points sensibles, et plus bas aussi… L’idée de devoir se retenir rendait la chose encore plus troublante. La possibilité d’être humiliée, et la pensée du soulagement que ce serait, faisaient dévaler des vagues de chaleur tout le long de son corps, ajoutant aux sensations déjà présentes, et pressantes !
Parfois, mais c’était très rare, quand elle s’avouait ce qu’elle ressentait, elle se traitait de vicieuse. La plupart du temps, elle préférait l’ignorer, faire comme si ce n’était pas elle qui avait ces idées et ces sensations bizarres. De toute façon, le justaucorps masquait tout, alors…
Avec ce fameux costume, elle avait eu de plus en plus de mal à cacher son émoi. Si ce n’avait été que la pointe des seins… mais non, elle devait aussi dissimuler l’humidité sournoise entre ses jambes ! Marie culpabilisait d’avoir de telles préoccupations : la honte d’avoir de la peine à contrôler sa vessie, et la honte d’y trouver, aussi, un certain plaisir.
Elle jeta un rapide coup d’œil alentour : elle était bien seule. Elle pouvait en profiter pour vider sa vessie… de toute façon, celle-ci n’était pas prête à l’attendre : c’était urgent ! en écartant les cuisses, les yeux de Marie se posèrent naturellement sur sa minette chauve. C’était si étrange de la voir ainsi !
Marie laissa enfin couler le flot. Ouf ! elle réalisait à quel point elle avait besoin de se soulager en sentant son ventre dégonfler. Cela lui procurait une chaleur au plus profond d’elle. Se vider était vraiment plaisant !
Elle fut même prise d’un frisson tant le plaisir était grand. Les petites framboises au bout de ses seins pointaient, et pas seulement à cause de la fraîcheur de l’eau. De toute façon, le liquide qui glissait sur ses cuisses l’empêchait d’avoir trop froid. Marie attrapa le pommeau de douche dans le but de rincer sa petite affaire. Mais, surprise ! la danseuse ressentit nouveau frisson lorsqu’elle dirigea le jet vers sa chatte excitée.
Marie ne s’y attendait pas. Elle marqua une pause, le regard ébahi. Elle décida rapidement de réitérer l’expérience.
L’eau froide calmait l’irritation, oui… mais pas le feu au creux de son ventre ! bien au contraire. Marie découvrait pour la première fois le plaisir du jet d’eau sur son clitoris gonflé. Cela ne lui était jamais arrivé. Et en effet, c’était bien la première fois qu’elle passait le jet sur son petit bouton après qu’il avait été excité. D’autant que la brûlure du rasoir sur ses grandes lèvres n’arrangeait rien. Marie ne comprenait pas comment elle pouvait trouver un certain plaisir dans cette douleur.
Ça aussi c’était étrange. Elle se regardait à nouveau la minette, sa minette chauve. Elle voyait très bien le bout rouge de son petit bouton. Eh oui, elle se disait que les poils le cachaient avant. Eh oui, si elle le voyait… elle pensait tout à coup à sa coloc. Elle avait pris la douche à côté d’elle, parfois, pas au début, non, mais quand elles s’étaient mieux connues. C’était arrivé… oui, après l’histoire de la culotte tachée. « Toutes les filles sont faites pareil », disait sa coloc quand elle se douchait devant Marie. Marie était gênée, mais elle avait pu l’imiter, finalement. Alors, la prochaine fois… sa coloc verrait son bouton excité ! forcément, avec sa minette chauve ! ça oui, ça la gênerait ! mais pourquoi quand elle pensait à ça, elle avait plus de frissons dans le ventre ?
Les pensées se bousculaient à toute vitesse dans la tête de Marie. Elle n’y comprenait rien à toutes ces sensations nouvelles ! et puis, une autre chose qui arriverait : sa coloc lui demanderait pourquoi sa minette était chauve. Il faudrait lui expliquer en racontant son épilation par Chantal devant les autres danseuses. Elle en aurait honte ! rien que d’y penser, elle avait déjà honte ! surtout honte que sa minette soit encore plus excitée en y pensant. Mais c’était si bon !
Marie ne pouvait plus à présent retirer le jet. Tant pis si d’autres danseuses arrivaient et la surprenaient ! Comment pourraient-elles deviner qu’elle prenait du plaisir avec le jet, de toute manière ? Elle était persuadée que cette technique était inconnue des autres filles et qu’elle était la seule à l’avoir découverte. Si elle avait su ce que faisaient ses camarades de leur côté…
Marie se plia soudain en deux. Son ventre se tordait brusquement, sa poitrine palpitait follement au rythme de sa respiration, qui s’accéléra quand le brouhaha des danseuses venant du cours lui parvint. Sa bouche s’entrouvrit, elle plaça sa main dessus, vaine tentative pour étouffer son râle. Le bruit approchait dans le couloir, elles allaient l’entendre. Cette idée augmentait pourtant son plaisir. Elle le sentit monter de façon exponentielle dans son ventre.
Qui, de l’orgasme de Marie ou des danseuses arriverait en premier ?
Ses yeux se plissaient, elle essayait de ne pas gémir en réponse aux tremblements de son clitoris et à l’embrasement de ses petites lèvres. Sa main quitta sa bouche, elle en avait besoin pour maintenir son équilibre en s’agrippant au mur. Alors, elle mordit ses lèvres pour se rappeler qu’elle ne devait émettre aucun son. Sans l’aide de sa main, la tâche était plus difficile. Elle espérait que les ricanements des filles dans le couloir suffiraient à camoufler sa voix…
D’ailleurs, les voix des filles se faisaient de plus en plus claires : elles se rapprochaient, et c’était de Marie qu’elles parlaient ! Cela était si humiliant pour elle, ses copines qui riaient de sa pudeur lors des soins de Chantal. Son plaisir monta encore d’un cran. Elle ne pensait pas que cela était encore possible, et pourtant ses hanches ondulaient à la recherche du jet d’eau.
Le sentiment d’avoir été humiliée devant ses amies et le souvenir des mains de Chantal lui firent finalement perdre pied. Marie était prise de tremblements dans tout son corps. Mais elle n’avait plus froid. Au contraire ! elle ne comprenait pas ce qui lui arrivait : c’était comme si tout le plaisir accumulé dans son clitoris ces dernières minutes explosait dans tout son corps, parce que le petit organe ne pouvait plus le contenir. Dans un dernier halètement, ses jambes se dérobèrent. Elle se retrouva les fesses sur les talons, face à la douche.
Marie tremblait toujours et peinait à reprendre sa respiration. La porte s’ouvrit dans un fracas joyeux. Ses amies s’engouffraient dans la salle d’eau.
La première s’étonna de la voir assise par terre, et lui lança :
Et les rires des filles s’intensifièrent autour de Marie, qui ne pouvait pas s’expliquer pourquoi cette ultime humiliation lui vrillait à nouveau le ventre.