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n° 21911Fiche technique21256 caractères21256
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Temps de lecture estimé : 15 mn
21/07/23
Résumé:  C’est le dernier jour de cours de l’université, et j’ai décidé de tenter le diable avec mon professeur préféré.
Critères:  fh hplusag extracon profélève école fsoumise noculotte fmast facial fellation cunnilingu préservati pénétratio baillon fouetfesse -prof
Auteur : Blacksad22_      Envoi mini-message
Dernier cours de l'année

C’était le dernier jour des cours. Il faisait une chaleur infernale dans l’amphithéâtre, et personne n’écoutait réellement. Les élèves s’endormaient doucement, ou discutaient entre eux devant le professeur de linguistique qui peinait à se faire écouter.

Pas par moi. J’étais pendue à ses lèvres, comme depuis chaque cours cette année. C’était un jeune professeur, d’une beauté indéniable. Il était grand, visiblement sportif, blond, avec une barbe de quelques jours qui tirait vers le roux. Toutes les étudiantes avec qui j’avais pu discuter le trouvaient séduisant, bien entendu. Mais pour moi, c’était encore pire.

Il était presque irrésistible. Ses cours étaient passionnants, mais j’oubliais parfois qu’il enseignait, et je m’imaginais des histoires folles avec lui. Mais retour au cours.

C’était le dernier jour, et j’étais bien décidée à tenter quelque chose. Rien de bien risqué, j’avais déjà mon année, je quittais la fac dès demain, et je ne le reverrai probablement jamais. Au pire, il se souviendrait de moi. Et c’était tout.


Je n’en avais pas parlé à mon petit ami. Je n’avais pas osé. En même temps, qu’est-ce que j’aurais pu lui dire ? Il n’y avait rien de concret, et je faisais ça un peu pour le défi personnel. Pour vaincre ma timidité. Jamais un professeur n’irait imaginer quoi que ce soit avec une étudiante. Quelle idée je me faisais !

J’étais avec lui depuis presque trois ans. Nous nous étions rencontrés à la fac, et nous ne nous sommes plus lâchés depuis. Il s’appelait Tom, il était beau, drôle, gentil, attentionné, et il faisait bien l’amour. Que demander de plus d’un petit ami ? Pas grand-chose. J’étais comblée avec lui.


Mais il y avait le goût de l’aventure, du risque qui me prenait aujourd’hui. Parce que je n’avais rien à perdre, j’avais envie de jouer.

Dans mon sac, j’avais une petite enveloppe, avec une petite photo imprimée. Et au dos de celle-ci, mon numéro de téléphone. Sur cette photo, j’étais dans les toilettes de l’université, dans exactement la même tenue que je portais aujourd’hui.

Une jupe au-dessus des genoux, des chaussettes montantes, une chemise blanche, avec une surchemise verte. Au détail près que sur cette photo, j’étais face au miroir des toilettes, une jambe levée, pour laisser apparaître ma chatte épilée, et une main ouvrant ma chemise, pour laisser sortir un de mes seins. Pas de culotte, pas de soutien-gorge.

C’était une très jolie photo, que j’avais prise quelques jours plus tôt, que j’avais soigneusement développée, prête à la donner à mon professeur préféré.

C’était sûrement idiot, mais j’étais nerveuse comme pas possible. J’avais soigneusement pris soin de cacher mon visage avec mon téléphone en prenant la photo, pour qu’on ne puisse m’accuser de rien. Mais tout de même.

Je me sentais aussi idiote qu’excitée. Et en même temps, était-ce trahir mon petit ami ?

Au diable, les considérations éthiques, le cours allait se terminer, j’allais agir, et on oublierait tout cela.


Le cours se termina doucement, il nous souhaita à tous et toutes de bonnes vacances, et tout le monde s’enfuit de l’amphithéâtre rapidement, dans un brouhaha joyeux.

Et à l’inverse du flot d’étudiants, je descendis vers le petit bureau de la scène, pour aller voir ce professeur qui était en train de ranger ses affaires, lui aussi prêt à partir.



Il leva les yeux de son sac pour me regarder, souriant, presque surpris qu’une élève vienne le voir après un cours aussi long, le dernier jour de l’année.



Je lui tendis l’enveloppe secrète, avec un grand sourire.



Je fis demi-tour aussi vite que possible, sans même attendre sa réponse. Je devais être devenue toute rouge devant lui, et je n’avais aucune idée de s’il l’avait remarqué.

Je remontai les escaliers en silence, pour sortir rapidement. Je jetai un regard discret, une fois dehors, pour voir une dernière fois ce professeur. Il était en train d’ouvrir ma lettre. C’était le moment de fuir.


La journée continua tranquillement, avec des cours tout aussi longs, une atmosphère chaude, presque suffocante. Je sortis d’un cours, pour tomber nez à nez avec Tom, mon petit ami. Je l’embrassai en le saluant, presque un peu gênée de le voir aujourd’hui. Mais il ne semblait rien remarquer, m’embrassa à son tour, et me chuchota à l’oreille que j’étais très sexy aujourd’hui.


Je rigolai doucement en lui répondant que je pouvais aller chez lui ce soir, s’il le souhaitait. Vu ses yeux pleins d’envie, j’allais sacrément m’amuser ce soir. C’était un oui. Je continuai la discussion avec mes amies, les derniers cours continuèrent bien trop longtemps pour retenir mon attention, mais la journée arriva à son terme.

Voilà, tout le problème était terminé. J’avais donné ma photo, il l’avait vue, il m’avait ignoré toute la journée, et fin de l’histoire. C’était une petite aventure rigolote, et c’était à peu près tout. Ou c’était du moins ce que je pensais. En train de rêvasser une dernière heure, je fus brusquement tirée de ma torpeur par mon téléphone qui avait vibré dans mon sac.

Et si… non, impossible.

J’avais reçu un SMS d’un numéro inconnu.


17 h. Amphi B.


Il m’avait écrit. Et il avait l’air intéressé. Si c’était uniquement pour me faire la morale, le texto était bien aguicheur. Je ne tenais plus sur place. Bon, il était 16 h, le supplice allait se terminer rapidement. Mais l’attente fut si longue. Mon esprit était complètement occupé par la perspective de ce qui m’attendait. J’étais nerveuse, je ne pouvais pas dire autre chose. Nerveuse, mais aussi très excitée.

Je ne pouvais pas penser à autre chose qu’au corps de mon professeur, qui m’attendait dans une heure, pour me parler. Pour me parler seulement, bien entendu. Je sais me tenir tout de même.

Lorsque le cours se termina, je sortis le plus vite possible de la salle, pour rejoindre l’amphi. J’étais à deux doigts de courir, mais sans culotte sous ma jupe, cela aurait été une erreur stupide.

J’arrivai tout de même rapidement devant l’amphi, toutes portes fermées, avec un écriteau « en rénovation ». Oh le coquin, il me donnait rendez-vous dans un endroit où personne n’irait. J’étais déjà mouillée.


Je poussai discrètement la porte pour entrer. C’était désert. Il n’y avait absolument personne. Toutes les tables étaient vides, le bureau était presque poussiéreux. Un début d’échafaudage se faisant sur le mur droit, mais sinon, rien d’autre qu’un amphithéâtre vide.

Je m’assis à une place, au premier rang, en attendant. Il avait peut-être été retenu avant de venir lui aussi.

L’attente semblait des heures, mais ma montre n’affichait que 17 h 16 lorsque la porte arrière claqua, laissant entrer mon rendez-vous mystérieux.

Je fis mine de ne rien avoir vu, et restai concentrée sur mon livre, posé sur la table devant moi. Les pas se rapprochaient doucement, avant de voir une ombre s’arrêter devant moi, pile à ma hauteur. Il déposa ma photo devant moi, et je levai la tête pour le regarder dans les yeux.



Ouh, on en était aux noms de famille maintenant. Je fis mine de ne rien savoir, ouvrant grand les yeux.



J’aimais bien la tournure que prenaient les choses. Il faisait comme s’il était strict, mais s’il voulait vraiment savoir de quoi il s’agissait, il ne m’aurait pas donné rendez-vous ici.

Je déboutonnai ma chemise de deux boutons, pour laisser apparaître mon buste, qui n’était pas caché par un soutien-gorge. Il m’observa le faire, sans rien dire.


Il déposa sa sacoche sur le bureau réservé aux professeurs, et s’y adossa, les bras croisés, me fixant droit dans les yeux.



Il y eut un moment de silence, toujours à nous regarder tous les deux. C’était finalement assez érotique ce qu’il se passait. Tout dans le non-dit. Mais j’en avais marre du non-dit, et je voulais plus. Il était là, devant moi, si élégant. Et il voulait la même chose que moi, c’était certain.

Je me penchai pour fouiller dans mon sac, pour en sortir ma culotte et la déposer devant moi. Je le regardai dans les yeux à nouveau, écartant légèrement les jambes, pour qu’il puisse voir sous ma jupe.

Je réitérai ma question.



Il baissa les yeux, m’observa longuement, puis s’approcha de moi, pour avoir le visage presque collé au mien.



Il glissa sa main autour de ma gorge, sans serrer, juste pour me signifier qu’elle était là, et il m’embrassa. Je fus surprise qu’il aille si vite, mais je me laissais emporter. Il embrassait vraiment bien. Suffisamment bien pour que je remarque qu’il embrassait bien. Et sa main autour de ma gorge. J’avais imaginé beaucoup de choses, mais pas qu’il soit si direct et si dominant rapidement.

Il ne serrait pas le moins du monde, mais il me montrait qui était en charge de la situation. Et ce n’était pas moi.

Il me relâcha doucement, pour reculer, et me regarder.



Oh oui, je savais ce qu’il risquait, et c’était peut-être pour ça que je le faisais. Et c’était surtout pour ça que je pensais qu’il ne ferait rien du tout. Ou du moins pas aujourd’hui. Je hochai la tête silencieusement.



J’étais trempée sous ma jupe, c’était certain. Il savait ce qu’il faisait. Je refusais de croire que c’était la première fois qu’il couchait avec une étudiante.



Il me donnait des ordres ? Parfait, j’étais son élève soumise avec un immense plaisir. Tous les soucis de ma vie avaient disparu, il n’y avait plus rien. Plus que lui, et moi, et ses ordres. Je me levai pour m’asseoir sur ma table, jambes lâches au-dessus du sol, écartées, et jupe remontée, laissant apparaître mon sexe humide, tout juste épilé. Il ne bougeait pas, toujours à me regarder.

J’y glissai doucement un doigt, sur l’extérieur d’abord, pour tourner lentement autour de mes lèvres, faisant monter mon excitation. Il était paisible face à moi, qui perdais mes moyens face à lui. Mon doigt glissa à l’intérieur de mon sexe, pour accélérer un peu le mouvement, me faisant soupirer un peu plus fort qu’avant.

J’avais du mal à croire à la situation. Je me touchais devant mon professeur, sur lequel j’avais un peu fantasmé durant toute l’année. Je m’étais déjà touchée en pensant à lui, mais je ne me serais jamais imaginée face à lui comme ça. Il faisait chaud, je commençai à transpirer et devins rouge. Il souriait. Il appréciait le spectacle. Quel homme !


Puis il se pencha vers moi, se mit à genoux, et plaça sa tête entre mes cuisses. J’enlevai ma main, pour la placer derrière moi, pour garder l’équilibre, le laissant entrer doucement avec sa langue en moi.

Et c’était magique. Il savait exactement où aller appuyer ou lécher pour me faire vibrer. J’avais du mal à contenir mes soupirs. Mes mains serraient le plus fort possible les bords de la petite table sur laquelle j’étais assise, mais j’aurais pu sans problème tomber à la renverse tellement ce que je ressentais était fort.

Il glissa lentement un doigt en moi, et ce fut l’extase. Je ne savais pas s’il était particulièrement doué ou si c’était l’attente et la situation qui m’excitait particulièrement, mais je n’avais jamais ressenti quelque chose d’aussi fort avec un homme. Même chez un homme que j’aimais.

Cette extase fabuleuse dura encore quelques minutes, durant lesquelles il prit le temps de déplacer son doigt aux meilleurs endroits, et l’accompagner de sa langue. Ce fut des minutes fabuleuses.

Puis il se redressa pour m’embrasser langoureusement. Il avait mon goût sur les lèvres, c’était excitant comme pas possible. Nos lèvres se détachèrent doucement, et il me regarda au plus profond de mes yeux.



Il avait un petit sourire narquois aux lèvres, et je ne pouvais pas répondre, il m’avait envoyé l’esprit ailleurs.



Il recula d’un pas, et me fit signe de le suivre. Je sautai sur mes pieds, peinant presque à retrouver l’équilibre, encore dans le brouillard. Je me mis près de lui.



Je m’exécutai rapidement, presque surprise d’obéir si facilement. Mais j’avais besoin de ses ordres. Il était là pour me combler, je le voyais bien. Alors j’étais à sa merci, et j’étais prête à tout pour exécuter ses désirs. Et j’étais là, à ses pieds, la tête en face de son entrejambe. Je voyais son sexe tendu sous son pantalon en tissu très léger. C’était moulant, et je distinguais assez clairement le volume. Et ce n’était pas petit.


Il détacha sa ceinture, pour faire tomber son pantalon à ses pieds. Il ne portait rien en dessous, et je me retrouvai nez à nez avec son sexe, tendu, devant les yeux. J’étais bouche bée, et je regardais l’objet face à moi, en bavant presque. Jamais je n’aurais douté aller aussi loin, mais maintenant que j’étais là, je ne regrettais rien. J’avais toujours rêvé de ça, en fait.

Je pris en bouche son gland, pour commencer, en faisant tourner ma langue autour, puis, doucement, j’avalai un petit peu plus de son membre, en quelques allers-retours, toujours un peu plus loin.


Il était adossé à son bureau, et respirait fort, sur le point de gémir. J’aimais l’effet que je lui procurais. Alors j’accélérai légèrement, pour rendre le tout un peu plus intense. Je touchais avec peine ses testicules du bout de ma langue. Il était entièrement dans ma bouche, mais je ne pouvais pas le garder très longtemps sans suffoquer un peu.

Il gémissait de plus en plus fort, et finit par me prendre la tête, serrant mes cheveux dans son poing, pour m’intimer un mouvement précis. Il était brusque, et rapide, et je faisais de mon mieux pour suivre. Ma gorge faisait du bruit à chacune de ses poussées, et j’avais un léger filet de salive qui tombait au sol.

Il me tira les cheveux un peu plus fort, pour m’embrasser à nouveau, se penchant sur moi, tel un géant clément.



Je hochai la tête frénétiquement, de la salive dégoulinant de ma bouche, sur ma chemise et mon buste. Oui, je méritais tout cela. J’avais montré une photo de moi nue à un professeur, et il m’ordonnait des choses, pour me montrer les conséquences. Et qu’est-ce qu’elles étaient agréables, ces conséquences !



Il m’aida à me lever en me tirant vers le haut, toujours par les cheveux, et me poussa sur son bureau. J’étais sur le ventre, pliée sur le bois, les fesses vers lui. Il remonta ma jupe, laissant apparaître ma croupe.



Je hochai la tête à nouveau. Je ne voulais pas penser à Tom maintenant. Ni même jamais peut-être. Tout ce qui comptait, c’était mon beau professeur, qui se tenait derrière moi.



Je hochai de nouveau la tête, mais de droite à gauche, cette fois-ci. J’avais failli lui en parler, mais je n’avais pas osé. Il aurait été sûrement contre, de toute façon. Et à mon mouvement de tête, je sentis sa main frapper sèchement mes fesses. Je laissai échapper un petit cri de surprise, face à cette punition.



Il avait raison. J’avais envie qu’il me corrige. Qu’il me punisse d’être comme j’avais été. Comme j’étais devant lui. Je voulais sentir sa main à nouveau.

Sa main me tira en arrière, passant sur ma gorge. Il me coinçait contre lui, et son bureau. Je sentais son sexe sur ma croupe nue.



Il me relâcha aussitôt, et m’asséna une gifle sur les fesses. Puis une deuxième, puis une troisième.

Mon professeur fit le tour du bureau, pour se placer devant moi, toujours à moitié allongée, et déposer son sexe face à mon visage. Sans aucune hésitation, je l’avalai du mieux que je pus, le laissant donner des coups de reins pour l’enfoncer au plus profond possible. J’avais pensé maîtriser la situation en étant à l’initiative, mais en quelques mots, il m’avait transformée en sa chose sexuelle. Je n’étais plus son étudiante, j’étais celle qu’il baisait sans ménagement.

Et je n’en voulais pas. Aucun. Mon gémissement fut étouffé par son sexe, lorsqu’il glissa un doigt dans mon sexe, par-dessus moi. J’étais prise de chaque côté, par le même homme.

Et sans prévenir, il me lâcha, me laissant seule sur le bureau, essoufflée. Il avait reculé d’un pas, pour m’observer. Il farfouilla dans sa sacoche, juste à côté de moi, pour en sortir un préservatif, qu’il enfila. C’était gentil de sa part.


Puis il fit le tour, pour retourner derrière moi, à nouveau, et me pénétra. Il entra sans peine, j’étais trempée, de sa salive, et de moi-même. Il entra d’un coup, de tout son membre, pour aller jusqu’au fond. C’était trop, je gémis assez bruyamment, en me redressant légèrement.

Il me prit par les cheveux, en plaça sa main droite sur ma bouche, en y mettant ma culotte, pour me faire taire.



Comment oublier ? Il donnait de grands coups de reins, toujours plus forts, me tenant toujours la bouche fermée. J’avais envie de crier de plaisir, mais j’étais réduite à gémir de manière étouffée. Il avait retiré sa chemise, et je sentais sa peau sur mon dos, sur le tissu de ma chemise à moi. Je ne voulais plus rien sentir d’autre que lui en moi.

C’était intense. Il me retourna, sur le dos, en faisant passer mes jambes au-dessus de lui. Il était toujours en moi, et déposa mes pieds sur ses épaules. Je pus l’observer, maintenant. Il était magnifique. Nu, rouge de chaleur, lui aussi, légèrement transpirant sur son torse musclé. Et il continuait ses mouvements. Il me faisait légèrement décoller du bureau à chaque coup.

Ses mains glissèrent le long de mes jambes jusqu’à ma poitrine, pour défaire ma chemise, et l’ouvrir, laissant mes seins osciller avec ses coups de bassin. Je plaçais mes mains dessus, pour les maintenir légèrement, et me caresser les tétons en même temps.

Il n’y avait plus de mots, tout était devenu bestial.


Il se retira de mon intérieur, retira le préservatif d’un coup, et me tira à lui, pour me faire tomber à genoux devant lui, dos contre le bureau. Sans presque que j’eusse le temps de réagir, il s’engouffra dans ma bouche, me baisant littéralement le visage, coincé entre son bassin et la table en bois.

Il marmonna quelque chose, à moitié en gémissant, à moitié en grognant.



Oh oui, j’étais une salope. Il me défonçait le corps entier depuis plusieurs minutes, et j’aimais ça. Si j’avais pu faire durer ça toute ma vie, je l’aurais fait.

Au bout d’un moment, il se raidit dans ses mouvements, puis retira son sexe de ma bouche, pour le mettre devant moi, se masturbant face à moi, encore tout plein de ma salive.

Et il finit par jouir. Il m’aspergea le visage, à ma grande surprise, la plus grande partie sur ma bouche, mais aussi sur mes joues, mon nez et mon menton. Il laissa tout aller, et j’ouvris la bouche autant que je pouvais, pour récolter sa semence. Mais c’était chaotique, beaucoup coulait le long de mon visage, tombant sur mes seins. Je récupérais le plus possible avec mes mains, me léchant les doigts en le regardant. Il était bon. J’aimais être celle qui avalait jusqu’à la dernière goutte.

Et puis je m’avançais pour reprendre son sexe entre mes lèvres, léchant au mieux, jusqu’à ce que je sente qu’il devenait de moins en moins dur.



Il se pencha vers moi, pour me parler au plus proche de mon visage



Toujours à genoux, couverte de sa semence, je le regardais se rhabiller, redevenir élégant, après avoir été animal. Il me posa deux mouchoirs sur le bureau, en souriant.



Il me sourit à nouveau, et tourna les talons. Je le regardais partir, remonter toutes les marches comme si de rien n’était, comme s’il ne venait pas de me donner le sexe de ma vie, comme s’il sortait d’une réunion de routine. Arrivé en haut, il sortit, en claquant la porte.


Je m’essuyai avec les mouchoirs qu’il avait laissés, encore rêveuse de ce qu’il venait de se passer. Je me coiffai et me rhabillai, pour faire comme si de rien n’était, et en reprenant mon sac, j’entendis mon téléphone vibrer. Un dernier SMS de mon professeur secret :


À bientôt, mademoiselle Flavier.


À bientôt ? J’allais le revoir ? Intéressant. Si j’avais pu, là, maintenant, je lui aurais sauté dessus une deuxième fois, pour tout recommencer. Mais j’allais devoir patienter. Attendre quand il m’appellerait. Et Tom ? Est-ce que je devais lui dire ? Pas encore. Si ça recommençait, peut-être. Pas avant.

Je répondis simplement :


À bientôt monsieur.


J’avais déjà hâte. Quelle idée !

Je glissai les mouchoirs dans mon sac, en souvenir, et sortis discrètement de l’amphithéâtre.